Après un mois de décembre morne au possible en termes de jeu mobile, janvier s’est montré d’une incroyable richesse. Entre un Downwell qui est enfin sorti, la surprise Crashland ou le très attendu The Room 3,impossible de s’ennuyer ce mois-ci. Et le plus beau, c’est qu’il y en a pour tous les goûts : du gratuit, du payant, de l’intello, du runner et du point and click à l’ancienne. Voici les meilleurs jeux mobiles sur Android du mois de janvier 2016.
Crashlands
Si vous n’avez qu’un jeu à acheter et à essayer ce mois-ci, c’est sans aucun doute Crashlands. Mélange de beat them all, de RPG, de jeu construction et d’un soupçon de gestion, c’est la grosse sortie de ce mois-ci. Il bénéficie de graphismes de toute beauté, d’une interface relativement bien adaptée au tactile et surtout d’une durée de vie faramineuse. Mieux, si vous possédez le jeu sur PC, il est possible, via un ingénieux système de Cloud de continuer sa partie sur mobile et inversement. Une telle débauche de qualité a toutefois un prix : 5,50 euros.
Alors que les propriétaires d’un appareil sous iOS pouvaient en profiter depuis de longues semaines, The Room 3 a attendu le début du mois de janvier pour débarquer sur Android. Pas de mauvaise surprise à avoir, le jeu ne démérite pas : il reprend les bases de gameplay de ses prédécesseurs, à savoir un mélange d’énigmes, d’exploration et d’analyse d’objets qui, une fois assemblés, permettent de sortir d’une pièce pour entrer dans une nouvelle. Avec déjà plus de 50 000 téléchargements et une note moyenne de 4,9 sur 5, il fait peu dire que The Room 3 a été apprécié de son public.
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Vous connaissez la série Rick and Morty ? Non ? Alors si vous parlez et comprenez un peu l’anglais et que vous aimez l’humour méta, filez tout de suite regarder la série de Dan Harman (Community). Et si vous avez apprécié les blagues à base de vomi, d’alcool et de génocide, alors il y a de bonnes chances pour que vous appréciiez le jeu mobile tiré de la série : Pocket Mortys. Le jeu est un copier-coller de Pokémon dans l’univers de Rick and Morty. Tout y est : de la capture de Pokémon (pardon, de Mortyr), au rival en passant par le conseil qu’il faudra affronter. C’est idiot, drôle et amusant, mais, là encore, entièrement en anglais.
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Puisqu’une série américaine vient piocher chez Pokémon, pourquoi Pokémon ne pourrait-il pas aller piocher dans les plus grands succès du jeu sur mobile ? Pokémon Shuffle Mobile, c’est tout simplement du Candy Crush à la sauce Pokémon. Chaque tableau est l’occasion d’affronter un Pokémon, qu’il faut capturer en alignant trois Pokémon ou plus dans une grille. Le jeu est très facile à prendre en main et exploite bien les spécificités de la série Pokémon, mais se montre très (trop) agressif sur les achats in-app.
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Il se sera fait attendre ce Downwell, mais il est enfin disponible. Ce mélange de rogue-like, de jeu de plateforme et de shooter demande au joueur de descendre le plus loin possible dans un immense puits. Plus facile à dire qu’à faire, puisque de nombreux ennemis aux comportements différents se dresseront sur la chute du joueur. Downwell est dur, Downwell est rapide, mais une fois maîtrisé, Downwell est particulièrement gratifiant, avec la cette sensation d’avoir passé des épreuves insurmontables. Un jeu hardcore pour ceux qui n’ont pas peur de recommencer encore et encore.
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Le jetpack est sûrement l’une des plus belles inventions que l’on puisse trouver dans les jeux vidéo. Cet accessoire magique permet d’aller partout très facilement. Trop facilement ? Sûrement, si l’on en croit Piloteer, qui nous propose de piloter un jetpack à la physique particulièrement retorse. La moindre poussée à droite ou à gauche envoie en effet le pantin accroché à la fusée faire de très beaux loopings qui finissent inlassablement par des chutes douloureuses. Ajoutez à cela un système d’objectifs addictifs et des graphismes sympathiques et vous tenez le genre de petit jeu idéal qui peut vous tenir un petit mois dans les transports en commun.
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Il fait beau, vous avez le moral et vous vous sentez bien dans votre peau ? Alors c’est le bon moment de lancer I Have no Mouth, and I Must Scream (littéralement : Je n’ai pas de bouche, mais je dois crier) un jeu d’aventure en point and click sorti au milieu des années 90 sur PC. Il y est question des cinq derniers survivants de la race humaine qui ont été piégés par un ordinateur surpuissant et maléfique, AM, et qui les torture depuis maintenant plus de 100 ans. Le joueur va devoir les incarner un à un et trouver un moyen de les sortir de là. Un titre dérangeant et particulièrement glauque que l’on doit à l’auteur Harlan Ellison. À réserver aux adultes et aux fans de jeux rétro.
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Le nouveau Worms est arrivé. La recette ne change pas fondamentalement, il s’agit toujours de prendre le contrôle d’une escouade de vers et de venir à bout d’une équipe adverse. Le tout se déroule via un système de tour par tour avec des armes idiotes et de nombreux objets pour se protéger. Pas de surprise ici, on retrouve tout ce que l’on peut attendre d’un bon Worms : jeu en ligne, 80 missions solo, un système d’amélioration des armes, de personnalisation de son équipe ainsi que 5 environnements différents.
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Vous voilà rédacteur en chef du Westport Independant, un journal indépendant d’un pays imaginaire passé récemment sous la direction d’un parti fascisant. Qu’allez-vous donc faire pour, à la fois faire votre boulot de journaliste et faire en sorte que votre journal ne ferme pas ? Voilà tout l’enjeu de The Westport Independent, qui demande de louvoyer (comprenez censurer) afin de trouver un équilibre entre éthique journalistique, sécurité de ses reporters et viabilité financière. Autant vous l’annoncer tout de suite : il n’existe jamais de bonne solution dans ces cas-là. Et c’est bien le message que veut faire passer le jeu.
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Si vous êtes la recherche d’un runner pour vos enfants qui soit à la fois fun et sans violence, c’est sans aucun doute vers Les Schtroumpfs Epic Run qu’il faut se tourner. Ubisoft a en fait utilisé son moteur graphique, l’UbiArt Framework, pour concevoir un jeu identique sur de nombreux points à Rayman Adventures. Autant dire que le jeu est très beau et que la difficulté est parfois au rendez-vous. Attention toutefois, avec sa barre d’énergie nécessaire pour lancer des niveaux, les incitations à passer par la boutique d’achats in-app sont parfois agressives.
Si notre sélection de jeux de ce mois-ci ne vous suffisent pas, nous faisons chaque mois des sélections de titres importants qui sortent sur le Play Store. Nous regroupons d’ailleurs la crème de la crème dans un article récapitulatif sur les meilleurs jeux de l’année 2016.
Notre émission Twitch SURVOLTÉS, c’est un mercredi sur deux de 17h à 19h : retrouvez-vous nous pour parler voiture électrique ou vélo électrique, autour de débats, d’interviews, d’analyses et de jeux !
Voici Une autre bonne liste https://karatitek.com/android-top-5-des-meilleurs-jeux-de-lannee-2016/
bof, je prefere garder l'autonomie faiblarde d'un droid phone pour telephoner
Si vous êtes la recherche d’un runner pour vos enfants qui soit à la fois fun et sans violence, c’est sans aucun doute vers Les Schtroumpfs Epic Run qu’il faut se tourner. Ubisoft a en fait utilisé son moteur graphique, l’UbiArt Framework, pour concevoir un jeu identique sur de nombreux points à Rayman Adventures. <a href="http://www.50superbowl2016live.com/">superbowl xxxxx Live Stream</a>
Downwell est dément. Cependant après avoir galéré à jouer sur mon tel (5,5"), j'ai testé la version PC (+pad x360) et la on comprend qu'on est pas prêt de le remplacer. M'enfin je crois que le jeu prend en charge les manettes BT sur Android.
Le Trailer de Cashlands.. JUST EXCELLENT. Mdr
Vous avez oubliez punch club <i>-------<a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.frandroid.app">Envoyé depuis l'application FrAndroid pour smartphone</a></i>
Y'a un fan du OnePlus One je vois :0 <i>-------<a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.frandroid.app">Envoyé depuis l'application FrAndroid pour smartphone</a></i>
Je n'ai qu'un seul jeu de cette liste: I Have No Mouth And I Must Scream. Il est vachement bien et captivant. Ah et aussi immersif. Je me suis facilement attaché au pauvre Gorrister. :)
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