Piloteer, il n’a jamais été aussi dur de piloter un jetpack

 
Le jeu Piloteer propose à n’importe quel utilisateur d’Android de piloter un jetpack. Enfin, d’une manière un peu particulière, il faut l’avouer.
Screenshot_2016-01-29-16-01-24

Vous avez toujours rêvé de vous envoler avec jetpack ? Dans GTA, c’est assez facile, mais dans Piloteer, la difficulté est tout autre. Ce jeu en 2D va mettre vos nerfs à rude épreuve puisque le mode carrière propose de piloter un personnage désarticulé dans divers environnements. Au départ, le mode carrière nous emmène dans un parc où l’on doit remplir des missions simples comme atterrir sur le stand de hot-dog ou voler 5 secondes et atterrir sans encombre.

Screenshot_2016-01-29-16-01-36

Cependant, c’est bien plus facile à dire qu’à faire. Pour piloter ce jetpack, il faut tapoter l’écran de manière très habile, un appui trop long à gauche de l’écran entrainant une forte poussée à l’arrière, et un appui trop long à droite entrainant une poussée trop forte de l’autre côté. On a donc vite fait de faire un front-flip et d’atterrir en coup du lapin contre un blanc ou un lampadaire. Pour prendre de la hauteur, il est toujours possible d’appuyer des deux côtés de l’écran, mais le jeu étant bien fait, on ne vole jamais vraiment droit. Une fois votre cerveau synchronisé avec vos doigts, il sera nettement plus simple de voler… au moins 5 secondes. Vous l’aurez compris, la difficulté est au rendez-vous.

Au fil des missions, vous débloquez des médailles, et vos exploits font la Une du journal local. Après 30 médailles obtenues, il est possible de débloquer la map Lakeshore et au bout de 70 médailles la map The Pier. Il existe également un mode libre afin de s’entrainer ou simplement s’amuser à faire les plus beaux crashs. Un petit jeu très joli, très amusant, mais également très agaçant et un peu cher. Il faudra en effet débourser plus de 3 euros sur le Play Store pour en faire l’acquisition. Vous pouvez néanmoins l’essayer et vous le faire rembourser avant la fin des deux heures d’essai.