L’heure est aux grands changements chez Uber. L’entreprise américaine, qui subit les conséquences de la crise sanitaire mondiale causée par le coronavirus (Covid-19), cherche à réaliser de grandes économies pour sauver ses finances. Le groupe a ainsi supprimé 3700 postes, soit 14 % de ses effectifs globaux, début mai. Sans que l’on sache à l’époque que cette vague de licenciements en appelait à une autre.
Nouvelle vague de départs
Comme le relate Reuters, la firme californienne a présenté une nouvelle série de mesures accompagnée d’une stratégie de développement repensée. En premier lieu, 3000 nouvelles personnes ont été mises sur le carreau, portant le nombre total de licenciements à 6700 en moins d’un mois, sur les 28 600 salariés qu’elle emploie. Ces chiffres ne prennent pas en compte les chauffeurs, puisque non considérés comme salariés.
Si la première réduction d’effectifs concernait principalement les pôles support et recrutement, cette seconde salve touche tous les départements de l’entreprise. A ce titre, une quarantaine de bureaux dispatchés aux quatre coins de la planète vont subir une fermeture. Aussi, Uber compte reconcentrer ses efforts sur ses principaux domaines d’activité : le transport de passagers et la livraison de repas à domicile (Uber Eats).
Uber Eats en première ligne
Cette restructuration devrait également entraîner la fermeture de son programme d’incubateur à start-up et de son laboratoire de recherche dédié à l’intelligence artificielle. La firme d’outre-Atlantique réfléchirait enfin à une nouvelle stratégie pour développer Uber Works, plateforme mettant en relation les chercheurs d’emploi et les entreprises ayant un poste temporaire à pourvoir.
Ces mesures permettraient de générer un milliard de dollars d’économie annuelle, toujours d’après Reuters, alors que le PDG Dara Khosrowshahi souhaiterait accéder à la rentabilité en s’affranchissant des investisseurs externes. La société compte sur Uber Eats, dont les activités ont augmenté de 50 % au premier trimestre 2020 sans pour autant être rentables, pour booster les économies du groupe.
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Ah les pseudo "grands groupes" qui parlent bourse, milliards mais qui, à la moindre crise, se mettent à licencier... Les gens devraient arrêter de bosser pour eux Pas si solides que ça au final Et pourquoi le patron n'injecte pas un peu de sa fortune personnelle ?
Même pas drôle 🤣🤣🤣🤣
C'est un repère de violeurs, j'espère qu'ils vont fermer boutique.
C'est le moment de tester Uber Works, ils ont 3000 clients potentiels.
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