Depuis quelques jours, les réseaux sociaux sont en émoi autour des récentes déclarations publiques de Donald Trump, actuel président des États-Unis, autour de la liberté d’expression de nos plateformes sociales préférées et le contrôle que ces dernières peuvent avoir sur les paroles de ses utilisateurs. En cause, un fact-checking de la part de Twitter que l’occupant du bureau ovale n’a pas apprécié.
Le feu aux poudres
Avant tout, il faut bien comprendre que 2020 est l’année des élections présidentielles outre-Atlantique et que le président actuel est en campagne pour sa réélection. Pour cela, il profite de tous les médias à sa disposition, dont le site de microblogging, Twitter.
Tout démarre le 26 mai alors que le locataire de la Maison Blanche affirme sur le réseau social à l’oiseau bleu que le vote par correspondance favorise la fraude électorale. Ce commentaire fait référence à un procédé mis en place par le gouverneur californien, l’État le plus peuplé du pays, et à tendance Démocrate, le parti adverse de Trump.
Mais voilà, tout bascule lorsque Twitter ajoute sur les deux tweets du président un lien de fact-checking « Renseignez-vous sur les bulletins de vote postal », vers un message rapportant la parole d’experts indiquant que le vote par correspondance est rarement lié à la fraude. Donald Trump voit rouge et promet de mettre fin à sa censure.
Cette pratique de vérification de l’information est de plus en plus courante sur les réseaux sociaux afin d’éviter la propagation de la désinformation. C’est néanmoins la première fois que le dirigeant de la première puissance mondiale est visé directement.
Un décret contre les réseaux sociaux
Ce jeudi, Donald Trump a donc signé un décret visant à limiter les capacités de modération des réseaux sociaux. « Nous sommes ici pour défendre la liberté d’expression », a-t-il déclaré en signant le décret, pointant du doigt le « monopole » des géants de la Silicon Valley. « Ils ont le pouvoir de censurer, éditer, dissimuler ou modifier toute forme de communication ».
Ce décret vise directement la Section 230 du Communications Decency Act en souhaitant permettre aux autorités de régulation d’avoir un impact direct sur la modération des plateformes. Il s’agit là d’une idée déjà préparée en août 2019 par le président, puis laissée de côté jusqu’à cette altercation avec Twitter.
Qu’est-ce que la Section 230 ?
Le Communications Decency Act, mis en place en en 1996, réglemente certains contenus sur internet, mais protège surtout les plateformes en ligne des dires de leurs utilisateurs, comme c’est le cas ailleurs, comme en Europe. Frandroid par exemple ne pourrait pas être tenu responsable de l’hébergement de contenus publiés par des tiers, dans les commentaires ou sur le forum par exemple, à quelques conditions près néanmoins, comme les violations de copyright, qui doivent être supprimées dans les plus brefs délais.
Ce principe permet aux sites et aux réseaux sociaux de laisser une certaine liberté d’expression à leurs utilisateurs sans craindre de représailles légales. Il leur est toutefois laissé libre choix de modérer du contenu selon leurs propres règles afin notamment d’éviter la propagation de discours haineux ou racistes, y compris ceux qui sont couverts aux États-Unis par le Premier Amendement de la Constitution américaine (la liberté d’expression).
Il est clairement précisé que les plateformes sont ainsi protégées contre toute responsabilité pour « toute mesure prise volontairement de bonne foi pour restreindre l’accès ou la disponibilité de matériel que le fournisseur ou l’utilisateur considère comme obscène, obscène, lascif, sale, excessivement violent, harcelant ou autrement répréhensible, que ces documents soient ou non protégés par la Constitution ».
Quels changements avec ce décret ?
Le décret signé cette semaine par Trump veut permettre à chaque utilisateur ainsi visé par cette « censure arbitraire » des plateformes de porter plainte auprès de la Commission fédérale des communications (FCC), afin de faire valoir la loi au-delà de la « bonne foi » des médias.
Le Premier Amendement prônant une liberté d’expression la plus totale, ce décret pourrait ainsi empêcher les réseaux sociaux de modérer les commentaires haineux, ou encore de fact-checker certaines données.
Donald Trump déclare également dans son décret qu’en agissant de la sorte, les réseaux sociaux ne jouent alors plus un rôle de simple plateforme, mais « deviennent un éditeur de tout le contenu sur [leur] site », les rendant ainsi responsables de leur contenu.
Une levée de boucliers
Facebook et Twitter, les deux principaux réseaux sociaux concernés, ont bien sûr signalé leur opposition à ce décret. Dans un tweet, l’entreprise de Jack Dorsey a évoqué une approche « réactionnaire et politisée d’une loi historique », précisant que cela « menace l’avenir de la parole en ligne et des libertés sur internet ».
Liz Bourgeois, une porte-parole du réseau fondé par Mark Zuckerberg, a quant à elle exprimé sa volonté de soutenir la liberté d’expression « tout en protégeant notre communauté contre les contenus préjudiciables, y compris ceux destinés à empêcher les électeurs d’exercer leur droit de vote ». Elle rajoute qu’« en exposant les entreprises à une responsabilité potentielle pour tout ce que disent des milliards de personnes dans le monde, cela pénaliserait les entreprises qui choisissent d’autoriser les discours controversés et encouragerait les plateformes à censurer tout ce qui pourrait offenser qui que ce soit ».
La porte ouverte aux abus
Ce décret pourrait donc pousser les plateformes américaines comme Facebook, Twitter, mais aussi Instagram ou YouTube à adopter une politique permettant à tout à chacun d’exprimer n’importe quelle opinion, sans émettre le moindre contrôle, ouvrant ainsi la porte à la propagation de fausses informations et autres discours haineux.
Il est clair dans tous les cas que la Section 230 risque de jouer un rôle important dans les débats de la campagne présidentielle américaine de 2020 opposant le camp Républicain de Donald Trump aux Démocrates. L’affaire n’est pas terminée…
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Personnellement, je ne trouve pas que Raoult communique de la meilleure des manières. Son but est de faire passer ses idées, mais le ton condescendant qu'il emploie désert ses idées et ses affirmations. Ce qu'il dit est majoritairement vrai et étayé, mais la manière qu'il a de le dire a la fâcheuse tendance d'agacer ses interlocuteurs. Pour le coup, il manque un peu de pédagogie.
Si si, je connais très bien l'électorat de Trump. Par contre rend-toi que l'ironie est difficile à comprendre par écrit 😉
oui mais personne n'est dupe, surtout pas ses électeurs. le problème c'est que celui qui se présente en face est perçu comme pire encore, voilà pourquoi en dépit de la faillite de Trump les lignes ne bougent pas !
en fait, t'as pas l'air de connaître grand chose à l'amérique profonde électrice de Trump, donc tu ne peux pas comprendre mes allusions ironiques : les électeurs de Trump sont majoritairement très croyants et se croient touchées par la protection divine, mais dans les faits, ils habitent dans des comtés ruraux, où la densité de population est plus faible donc où la propagation du virus moins favorisée. ils n'ont en majorité pas poussé leurs études très loin certes, mais cela ne fait pas d'eux des naïfs pour autant, comme tu l'as faussement affirmé. Les tests de dépistage sont devenus gratuits mais à quoi bon, si les hôpitaux de leur comté n'a pas de lits pour les acceuillir. Mais bon là t'as changé de sujet. j'ai évoqué la crise du coronavirus en soutien à ma thèse que le corps des électeurs de Trump ne se sentent pas concernés par la faillite de Trump au pouvoir, au contraire ils suivent de loin l'hystérie ambiante à washington comme un spectacle. Mais avec l'explosion du chômage qui touche maintenant tout le monde, peut être que les choses vont changer.
Le gros souci avec le fact-checking (et garde bien en tête que je suis pour, en lisant ce qui suit), c'est qu'arrivé à un certain point de spécialité et/ou de complexité, il est difficile pour le modérateur de savoir à qui se fier. Pour être plus clair, je vais prendre un exemple très récent : l'interview de Raoult par Pujadas. Ce dernier, de manière très logique, l'interroge sur le fait qu'une étude publiée par une revue réputée sérieuse contredit ses affirmations quant à la chloroquine. Raoult, extrêmement agacé, essaye de lui faire comprendre que seul un regard très affûté sur la question lui permettrait de comprendre en quoi l'étude est tronquée. C'est un cas d'école. Le journaliste, essayant de vulgariser au maximum le débat (et c'est tout à son honneur) sème le doute plus qu'il ne clarifie le problème, parce qu'il ne trouve aucune autorité intellectuelle indiscutable à qui se fier pour trancher la question. En gros, il faut fact-checker au maximum, mais rester très prudent quand un sujet nous dépasse.
C'est exactement ce que je viens de dire : "[...] Un public généralement plus averti, n'aura pas forcément cette nécessité de vulgariser" Pour Raoult justement je le trouve très bon communiquant : il innonde les réseaux et les plateaux de sa présence, sait faire entendre son opinion et ses positions de façon très claires (et là pour le coup ça se mesure à sa côte de popularité). Quant au sérieux de l'étude du Lancet, ou au sérieux des études Raoult, je ne vais pas me lancer dans un débat qui n'a pas, à mon avis, lieu d'être ici, même si j'ai mon opinion et que chacun est bien entendu libre d'avoir la sienne, j'estime que l'on (le quidam) a pas les compétences requises pour juger de l'efficacité ou non de l'HCQ. Pour ce qui est des études, c'est différent, à mon sens.
Vu le gabarit, c'est plus un dalaï-panda... ^^
Le public averti a rarement besoin de vulgarisation. Là on parle de Facebook ou Twitter, qui ne sont pas franchement connus pour être des réseaux de niches et de spécialistes. Quant à ta remarque sur l'exemple, je te rejoins sur la défense maladroite de Raoult (qui n'est pas forcément le meilleur des communicants) dans sa forme. Mais sur le fond, il a raison sur au moins 2 points : Pujadas ne connait pas le sujet (un peu normal, il se fait la voix de son audience), et l'étude auquel il fait référence est franchement douteuse (et il aurait dû se faire épauler par des statisticiens pour la lecture).
Sauf que l'exemple que tu cites n'est pas, à mon avis, très pertinent. D'une, parce que Raoult a passé son temps à dire d'une façon bien condescendante "Vous ne vous y connaissez pas, ce que vous dîtes n'est pas pertinent" soit. Mais derrière, il justifie le sérieux et la véracité de son étude par sa popularité auprès des citoyens, quels qu'ils soient. Alors qu'eux-mêmes ne s'y connaissent pas plus que Pujadas. De deux, le travail de la presse est de vérifier les faits avec des sources sérieuses (investigations, témoignages, rapports etc.) Quelle que soit cette presse. Qu'elle soit généralisée (et là elle aura besoin de vulgariser effectivement mais c'est toujours possible, et ce, quel que soit le domaine scientifique, géopolitique, économique...) ou spécialisée (auquel cas, s'adressant à un public généralement plus averti, n'aura pas forcément cette nécessité de vulgariser)
J’espère que c'est de l'humour ou du troll bien gras mais j'ai un gros doute avec toi...
Le mec a explosé le nawakomètre dans son dernier com.
Quand on invoque Dieu pour la protection des citoyens du virus, je crois que ça sonne l'heure de la fin de la discussion. Sinon, si jamais une explication plus rationnelle pouvait vous intéresser : les classes qui votent pour Trump sont majoritairement pauvres et sans mutuelle de santé. De fait, très peu se rendent à l'hôpital pour se faire diagnostiquer et soigner, d'où des chiffres plus faibles de contamination. Mais c'est tellement plus simple d'accuser les "gauchos" à tout va !
<b>Sa mission c'est juste faire du bordel à Washington</b> Voilà pourquoi il a été élu. C'est ce que les sondages ont montré juste après les résultats de la présidentielle de 2016. Ses électeurs ne sont pas dupes, pour eux Trump ou un autre, ça n'aura aucun impact sur leur vie. Ils ne veulent pas de la charité de l'état, ce que nous appelons acquis social.
Qu'ils ne vienne pas se plaindre alors... Il n'y a pas la place pour 7 milliards de Jeff Besos sur Terre !
Une sorte de guide spirituel? Un peu comme le dalaï-lama ?
Il remplit toujours sa mission : sa phrase fétiche : "we did a good job". En période de coronavirus, il a dit du genre "si nous limitons le nombre de mort à 60000, on aurait fait du bon boulot" puis ensuite ll a revu les chiffres à la hausse avec la même phrase ...etc. Pour lui il a très bien rempli sa mission. Il réfute même ses dires alors qu'il sont historisées en video depuis le début de période coronavirus aux USA. Avec lui , ceux qui le contredisent sont "fake" ou "nasty", quand ça va pas, c'est la faute des autres et du monde entier mais lui, a fait du "good job" MDR
Il remplit toujours sa mission : sa phrase fétiche : "we did a good job". En période de coronavirus, il a dit du genre "si nous limitons le nombre de mort à 60000, on aurait fait du bon boulot" puis ensuite ll a revu les chiffres à la hausse avec la même phrase ...etc. Pour lui il a très bien rempli sa mission. Il réfute même ses dires alors qu'il sont historisées en video depuis le début de période coronavirus aux USA. Avec lui , ceux qui le contredisent sont "fake" ou "nasty", quand ça va pas, c'est la faute des autres et du monde entier mais lui, a fait du "good job" MDR
C'est un constat. Quand ils manifestent pendant leur confinement et clament que Boris Johnson n'est pas malade à cause du coronavirus ou encore, le coronavirus n'est pas dangereux, c'est un fake alors que le monde est secoué par le nombre de morts etc..! ça en dit long sur leur niveau intellectuel quand même.
Pas pour rien, qu'il est copain avec Kim Jong Un...
Lol. Il veut se faire réélire. C'est tout. Le problème ne l'intéresse pas. La seule chose qui l'intéresse c'est que son tweet va être affiché comme fake news en mondo vision. Et ça c'est pas bon pour les élections
Assez nombreux dans le monde tout court. Franchement, on est toujours là à rabaisser les ricains, mais en termes de culture sur les réseaux sociaux on est pareil.
De toute façon, ce décret n'a aucune valeur juridique, puisque modifier la Section 230 nécessite l'aval du Congrès.
Il ne défend pas la liberté d'expression mais SA liberté de mensonge en période électorale Il en a besoin le bougre.
Oui après Trump c'est une autre histoire, chacun son avis sur lui mais il soulève à nouveau ce sujet qui mérite réflexion.
La question c'est aussi : qu'est-ce que la haine ? C'est un mot fourre tout qui a déja servi a élargir la censure, et je parle pas des choses évidentes comme les insultes ou les discours racistes etc. C'est faire croire que ce mot se limite aux choses simples alors qu'en réalité elle a déjà censuré des articles de journalistes qui dérange. La loi Avia a été voté "dans l'urgence" pendant une crise sanitaire.On avait vraiment besoin de faire passer quelque chose d'aussi colossal dans l'urgence durant cette période ? Sinon sur les Fake news... Mais en quel honneur telle source est légitime de détenir la vérité ? Je sais pas si t'as suivi mais le gouvernemùent français a tenté de faire sa propre page de fact checking. Moi j'ai aucune confiance en ce gouvernement, j'ai pas le droit ? Ça a rapidement été arrêté et heureusement. C'est pas à l'état de barricader la liberté de la presse et la liberté d'expression.
Trump ne soulève rien. Les RS représententt son moyen de propagande à grande échelle qui touchent son électorat. En pleine période d'élections, c'est un problème qu'il faut éliminer.
Intéressant
C'est même inquiétant. Ce monsieur quittera t-il la maison Blanche en cas d'erreur défaite ou sera-t-il prêt à tout pour y rester ?
<i>"Facebook, Twitter ont bien sûr signalé leur opposition... précisant que cela « menace l’avenir de la parole en ligne et des libertés sur internet »."</i> Censurer ou dévier des propos c'est menacer la parole et les libertés ? C'est pas plutôt l'inverse ? Je vois pas d'argument valable a l'opposition des 2 concernés. Le fact-checking systématique c'est un concept très manipulateur.
Ta réaction est caricaturale. Je suis énormément de personnes dans la sphère scientifique (+ de grands instituts comme le cnrs, etc...) sur Twitter, à toi de choisir également ce que tu suis. Comme la TV. Tu peux trouver des chaînes qui augmenteront ton savoir et ta culture, ou tu peux regarder des choses sans intérêt.
Ce n'est pas parce que les discours de Trump sont différents qu'il agit différemment. Il ne s'occupe pas "d'eux" comme tu dis, puisque la pauvreté ne cesse d'augmenter aux USA. Il a même retirer certains rares acquis sociaux, donc je ne vois pas bien en quoi il a rempli sa mission...
quelle condescendance ! les électeurs qui ont envoyé Trump à la maison Blanche lui ont donné une seule mission, mettre le boxon à Washington, secouer une élite politique qui ne s'est jamais occupé d'eux en dépit d' une montagne de promesses. ils ne sont pas dupes de qui il est, mais jusqu'à maintenant il a rempli sa mission à la perfection. La question maintenant est de savoir s'ils sont lassés de ce cirque, où s'ils veulent encore un tour !
on nous dit qu'il faut toujours vérifier les sources avant de croire où ne pas croire. il y a plein ds choses intéressantes sur les réseaux sociaux, y compris sur Twitter.
c'est pas faux ;)
Bizarrement, c'est celui qui balance le plus de fake news qui défend la liberté d'expression...quel sauveur ce trump !! Et bizarrement, quand tu lui poses une question gênante, il te traite de fake news, que c'est pratique ;)
Ce décret pourrait provoquer une sorte d'anarchie numérique brutale avec tous les dispositifs de cyber-harcèlement qui vont voler en éclats puisque l'objectif est de supprimer le droit à une plateforme de modérer, même à la demande de ses utilisateurs. Donc quand tu auras le malheur de contredire des paroles provenant de groupes de désinformation aux méthodes brutales tu vas te prendre un tapis de bombes totalement invivable au point que tu vas quitter la plateforme pour enfin retrouver la paix et ne pas sombrer dans la dépression puisque tu ne pourras plus faire appel à l'aide de la modération. La brutalité va faire loi sur le net et mécaniquement la liberté d'expression va en pâtir du fait de cette brutalité qui va faire que les groupes de désinformation auront pignon sur rue en inondant les réseaux de bullshit qui ne pourra plus être contredit sous peine de te prendre un raid de plusieurs milliers d'internautes assoiffés de sang sur la tronche sans rien pouvoir y faire.
L'argument valable il est très simple et très clair : pouvoir modérer sa propre plateforme (contre les Fake news, les discours incitant à la haine etc) permet de gérer et controller les débordements de la dite plateforme. Il en va de l'image du réseau. C'est la communauté d'un réseau social qui fait sa force ou sa faiblesse. Si tu mets aucune règle à cette communauté, ton réseau se transforme en melting pot de désinformation, de discours haineux et d'harcèlement (ce qui était déjà le cas, alors là j'imagine même pas)
Tout ce que je souhaite c'est qu'il s'attaque aux réseaux sociaux. Plus il fera de c.....ries plus il a de chances de partir.
Mais oui il a raison !!, buvez de la javel bonnes gens mais surtout que personne ne s'oppose à mes tweets coléreux voir mensongers. Et il se permet de critiquer les autres.
Le problème, c'est qu'une grande partie de l’électorat de Trump, un peu naïf et peu cultivé, ne fera jamais cet effort là. C'est ce genre de personne, assez nombreuses aux USA de part leur système de répartition des richesses, qu'il est facile de berner. Si c'était si simple que tu le laisses entendre, Trump n'aurait évidemment pas été élu. Après, en sa lançant dans la chasse aux fausses infos, je suis d'accord que les réseaux sociaux ont probablement mis les mains dans une problématique qui les dépasse et qu'ils ne pourront probablement jamais résoudre de manière parfaitement objective.
Les gens sont tellement influençable par toutes les c*nneries qu'ils entendent ou lisent sur internet et à la TV (radio aussi), ça n'arrangera pas les choses. Ils y a bon nombres de trucs a la limite de la propagande sur internet (voir même qui le sont clairement). C'est sûr la liberté d'expression est importante mais le problème c'est que ceux a qui on donne du crédit ne sont ni les plus impartiaux ni les plus intelligent (preuve en est avec Don). Enfin bon ça va être mignon de voir les ados et les "ménagères de plus de xx ans" (comme on dit) boire 5x plus d'inepties qu'ils en ont déjà.
👍
Après les sanctions d'entreprises sans décisions de justices... Voici que M. Trump muselle les canaux d'informations qui l'empêchent de désinformer l'opinion. Hmmm, ça ressemble de plus en plus à une dictature ! Il est urgent que l'Europe devienne une véritable union et pas un amas de pays qui se tirent dans les pattes pour leur profits dans un marché ouvert!
Franchement je trouve qu'il a raison, de quoi ils se mêlent les réseaux sociaux ! C'est aux lecteurs de se faire leur propre avis et à rechercher d'autres sources d'informations pour vérifier ce qui est vrai ou pas...
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