350 millions d’utilisateurs pour WhatsApp

 

Ce matin, Whatsapp montrait son amour de Nokia et de ses appareils d’entrée de gamme en se montrant sur la scène du Nokia World, à Abu Dhabi, au côté de Stephen Elop. L’occasion de revenir sur les derniers chiffres du service de messagerie présent sur les diverses plateformes mobiles, qu’il s’agisse d’Android ou d’iOS notamment.

Whatsapp

Le CEO de WhatsApp, Jan Koum, présent à la conférence de ce jour au Nokia World – où les nouveaux Nokia Lumia et Asha ont été officialisés – a fait part des derniers chiffres relatifs à son service de messagerie. Début août 2013, il revendiquait 300 millions d’utilisateurs actifs chaque mois, et proposait dans le même temps des messages vocaux à envoyer sous forme de notes, comme des messages classiques. Une croissance qui, à l’époque, avait déjà impressionné du fait que WhatsApp avait acquis 50 millions d’utilisateurs actifs par mois entre juin et août 2013. Le service continue sur sa lancée, et annonce un peu plus de deux mois après la publication de ses chiffres estivaux un total de 350 millions d’utilisateurs actifs.

La percée de WhatsApp concerne les mobinautes équipés de smartphones sous Android et iOS, mais aussi ceux qui possèdent des appareils un peu moins perfectionnés. En témoigne la croissance de l’application sur les appareils d’entrée de gamme principalement présents sur les marchés émergents, tels les Asha de Nokia, dont les utilisateurs sont 250 000 à s’inscrire au service chaque jour. Il nous manque toutefois encore quelques précisions quant au nombre de messages texte et vocaux échangés quotidiennement, même si l’on peut s’appuyer sur les 31 milliards de messages annoncés en août dernier à ce sujet.

Si la situation de WhatsApp, du moins en termes de chiffres, semble radieuse, son existence ne va pas sans heurts. Rappelons que, début octobre, le site a dû faire face à une attaque de hackers pro-palestiniens qui a également touché Avira, la suite de sécurité informatique. Plus récemment encore, une faille de sécurité était relevée par le Néerlandais Thijs Alkemade, selon laquelle que le cryptage des messages qui transitent via le service n’est pas totalement sécurisé.


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