Avec ses nouveaux Powerbeats Pro, Beats complète sa gamme d’écouteurs pour sportifs et en crée même une nouvelle, celle d’écouteurs vraiment sans fil. Avant tout destinés aux sportifs, ces écouteurs profitent du même système d’accroche que les Powerbeats 3, de quoi assurer un excellent maintien lors des sessions sportives.
En plus de promettre un « son de haut niveau », la marque annonce 9 heures d’autonomie et jusqu’à 24 heures avec le boîtier de recharge. Voyons si toutes ces belles promesses sont tenues, et si les Powerbeats Pro valent vraiment les 250 euros demandés.
Fiche technique des Beats Powerbeats Pro
- Bluetooth : 5
- Style : intra-auriculaires
- Boutons de contrôle : volume et multifonction sur chaque écouteur
- Isolation sonore : passive
- Boitier de recharge : oui
- Port de recharge du boîtier : lightning
- Autonomie annoncée : 9 heures, jusqu’à 24 heures avec le boîtier
Ce test a été réalisé avec un produit qui nous a été offert par la marque.
Confort et Android ne sont pas laissés de côté
Les Powerbeats Pro sont les premiers écouteurs sans fil de la marque : si les Powerbeats et les Beats X étaient des écouteurs Bluetooth, ils ne se libéraient pas pour autant d’un câble pour lier les deux embouts. Beats se devait donc de sortir des true wireless, surtout que ses concurrents (Bose et Jabra par exemple) ne l’ont pas vraiment attendu.
Les Powerbeats Pro sont dotés de la même puce H1 que les nouveaux AirPods, rien de surprenant quand on sait que Beats est détenu par Apple depuis désormais plus de cinq ans. Qu’apporte concrètement cette nouvelle puce ? Tout simplement une connexion plus rapide et l’activation à la voix de Siri. L’appairage des Powerbeats Pro sur iOS est donc identique à celui des AirPods : il suffit d’ouvrir le boîtier à côté de son iPhone et d’attendre les fluides animations de la fenêtre fraîchement ouverte. Simple, rapide et satisfaisant.
L’appairage sur Android est quant à lui moins sexy, mais il n’en reste pas moins très rapide. Il faut là aussi ouvrir le boîtier pour réveiller les Powerbeats Pro, puis les connecter manuellement depuis les réglages Bluetooth du téléphone. Une fois cette première connexion réalisée, il suffira par la suite de sortir les Powerbeats Pro de leur boîtier et d’attendre que le téléphone les retrouve – moins de trois secondes dans mon cas. On met en réalité autant de temps à sortir les écouteurs de la boîte et les mettre en place qu’ils n’en mettent à se connecter à notre téléphone.
La connexion Bluetooth entre les Powerbeats Pro et mon Pixel 3 XL fut très rapide et sachez que je n’ai subi aucune coupure en trois semaines d’utilisation. Il m’est arrivé plusieurs fois de m’endormir avec les Powerbeats Pro aux oreilles et de les retrouver toujours connectés à mon téléphone six heures plus tard. Certains se demanderont s’il y a des différences d’utilisation des Powerbeats Pro entre un appareil iOS et Android. Pour avoir testé les deux : rien de déterminant. L’appairage est rapide et la stabilité de la connexion est excellente dans les deux cas.
Notez que les Powerbeats Pro ne supportent pas la connexion multipoint : il est par exemple impossible de les connecter simultanément à un ordinateur pour regarder un film et à un téléphone pour être en mesure de répondre à un appel. Il est évidemment possible de manuellement connecter les écouteurs à plusieurs appareils : il suffit de rester appuyé quelques secondes sur le petit bouton situé dans le boîtier de recharge pour lancer un nouvel appairage.
Siri peut être activé grâce au fameux « Dis Siri » sur iPhone, mais j’ai trouvé cette fonctionnalité très limitée par les performances des micros en présence de bruit ambiant : il ne faut pas compter sur eux dans les transports en commun ou même dans une rue un peu fréquentée. Inutile d’expliquer pourquoi crier “Dis Siri” en étant connecté à un téléphone Android ne fera pas grand chose, mais sachez tout de même qu’il est possible de lancer Google Assistant avec les Powerbeats Pro. Il faudra cependant appuyer deux secondes sur le bouton multifonction d’un des deux écouteurs, puis attendre une seconde avant de pouvoir faire sa requête. On a connu plus agréable à utiliser, mais ça fonctionne.
S’il est possible de facilement connaître le niveau de batterie des écouteurs et du boîtier sur son iPhone, il faudra passer par l’application officielle sur Android. Il aura d’ailleurs fallu que je termine cet article pour que Beats la mette à jour et propose cette fonctionnalité. Cette application, sobrement renommée Beats, permet donc d’afficher la batterie des écouteurs et du boîtier, de renommer ses Powerbeats Pro, mais aussi une connexion instantanée à la iOS sous forme de fenêtre. Cette dernière fonctionnalité n’a pas été efficace de mon côté, je vous conseille donc l’appairage classique via le menu Bluetooth.
L’application Beats ne permet aucun réglage du son, mais elle restera installée sur mon Pixel 3 XL pour avoir accès au niveau de batterie. Une annonce par les écouteurs eux-mêmes aurait été appréciée, quitte à l’activer par une combinaison de touches maladroite.
Bonne nouvelle, la fonctionnalité permettant de couper automatiquement la musique lorsqu’on enlève un écouteur fonctionne sur Android, et je dois m’avouer conquis. Il suffit d’appuyer sur le bouton multifonction de l’écouteur restant pour que la musique ou la vidéo reprenne – ou de tout simplement remettre l’écouteur en place. Ceci est rendu possible par un petit capteur de présence/accéléromètre très bien pensé : en plus de ne pas relancer la musique en se faisant duper par notre doigt, il s’intègre parfaitement au design des Powerbeats Pro.
Justement, parlons de ce dernier. En général, les écouteurs intra-auriculaires sont censés rester fermement en place dans les oreilles. Censés. Beats n’avait pas vraiment le droit à l’erreur sur cet aspect. Il s’agit en effet d’écouteurs destinés aux sportifs, qui auront donc peu de motivation à replacer systématiquement les écouteurs en place lors de sessions d’entraînement. C’est donc pour assurer un parfait maintien que Beats a repris son système d’arceaux : ils viennent prolonger les écouteurs pour épouser l’arrière du pavillon de l’oreille.
Il m’a d’ailleurs fallu quelques essais pour bien insérer les Powerbeats Pro : il est au début assez compliqué de manipuler l’arceau tout en enfonçant les écouteurs, le tout à une main. Voici d’ailleurs la technique à utiliser : soulever le bout de l’arceau avec l’index, commencer à le caler derrière l’oreille, poser l’écouteur dans la conque de l’oreille puis faire tourner l’arceau, le tout en enfonçant cette fois-ci les écouteurs dans les oreilles. Trop compliqué ? Suivez le GIF.
Les deux écouteurs embarquent les deux mêmes boutons de contrôle : un pour gérer le volume et l’autre pour effectuer les actions classiques (pause, lecture, musique suivante ou précédente). Il est donc possible d’utiliser un seul écouteur à la fois, ce que j’ai trouvé très appréciable lors de mon test. Notez que le son passe alors automatiquement et sans accroc du mode stéréo au mode mono.
Les boutons sont facilement atteignables et agréables à utiliser, mais j’ai remarqué que celui servant à baisser le volume sur l’écouteur gauche est moins cliquable – sûrement un défaut de mon modèle. Quant au bouton multifonction, il faut bien veiller à cliquer sur son centre pour être sûr de lancer correctement les différentes actions. Il faut souvent tâtonner la surface des écouteurs pour le trouver, une question d’habitude.
À l’usage : des écouteurs pour sportifs ?
À l’instar des Powerbeats 3, les Powerbeats Pro sont des écouteurs avant tout destinés aux sportifs, et Beats affirme même sur son site que ses nouveaux écouteurs sont “conçus pour révolutionner nos séances d’entraînement”. Révolutionner je ne sais pas, mais je dois bien m’avouer conquis par leur confort d’utilisation.
Il m’aura en effet suffi de trois séances Freeletics et d’une heure de course à pied pour m’assurer du maintien des Powerbeats Pro : il est tout simplement excellent et rend donc les écouteurs très agréables à porter. On en vient même à se demander si ces écouteurs n’auraient pas dû embarquer du stockage local, histoire de se libérer totalement du téléphone lors des sorties running.
Les écouteurs tiennent bien en place grâce à l’arceau, mais il ne faut pas hésiter à les enfoncer un peu plus dans les oreilles : le son et l’isolation passive en seront évidemment meilleurs. Notez qu’il est possible d’ajuster l’arceau au contour de notre oreille en tirant dessus – les écouteurs ne se rétractent pas, mais il est possible de déformer un peu l’arceau pour l’ajuster au contour de notre oreille.
Les quelques kilomètres que j’ai parcourus avec les écouteurs ont été pluvieux et m’ont donc donné l’occasion de vérifier la résistance à l’eau (et à la sueur) : pas de problèmes à ce niveau-là. Notez que même si Beats indique que ses nouveaux écouteurs sont résistants à l’eau et à la transpiration, il n’est fait mention nulle part d’un indice de protection IP. Je vous déconseille donc de rester sous une pluie torrentielle avec vos Powerbeats Pro — et il me semble inutile de vous déconseiller une baignade avec.
Les Powerbeats Pro ne m’ont causé aucune douleur lors de mes quelques sessions sportives, ni lors de mes (plus nombreuses) pauses Netflix. Sachez d’ailleurs qu’un total de quatre paires d’embouts sont présentes dans la boîte, de quoi satisfaire un maximum d’oreilles. L’arceau ne s’est étonnamment pas révélé gênant, même après deux heures consécutives d’utilisation. Rappelons tout de même que les Powerbeats Pro restent des intra-auriculaires et qu’ils sont donc très inconfortables lorsque notre tête est posée contre un oreiller.
Eh oui, si les Powerbeats Pro sont des écouteurs dédiés aux séances de sport, ils n’en restent pas moins de très bons intra-auriculaires à utiliser en tant qu’écouteurs Bluetooth classiques. Ils ont parfaitement su m’accompagner dans les transports en commun ou dans la rue. Les seuls freins à de telles utilisations qui me viennent en tête sont leur taille et leur design : certaines personnes auront sûrement plus de mal sortir avec de tels écouteurs dans la rue. Les Powerbeats Pro sont en effet plus massifs et moins discrets que d’autres, surtout à cause des arceaux de maintien. Une question de goût donc.
Une surprenante qualité sonore
Au cas où les images d’illustrations ne seraient pas assez claires, les Powerbeats Pro sont des écouteurs dits intra-auriculaires. Rien à voir avec les AirPods donc puisque les Powerbeats Pro sont faits pour être enfoncés dans notre conduit auditif, au lieu de rester sagement posés dans la conque de nos oreilles. Si bon nombre de personnes ressentent une certaine gêne avec les écouteurs intra-auriculaires, il faut savoir qu’en bouchant notre conduit auditif, ils évitent au son de partir dans tous les sens.
Les intra-auriculaires empêchent également le passage de certains bruits ambiants (isolation passive), permettant par la même occasion une meilleure qualité sonore – de quoi éviter de pousser le volume sonore pour entendre sa musique dans le métro. Les Powerbeats Pro ne présentent cependant pas une forte isolation passive, grâce ou à cause des arceaux : ils tiennent tellement bien l’ensemble qu’il n’est pas nécessaire d’ insérer les écouteurs aussi loin que possible dans le conduit auditif. C’est une bonne nouvelle pour les coureurs qui pourront entendre les voitures, moins pour les pousseurs de fonte qui entendront les cris de leur voisin de machine.
Quant à une utilisation plus classique, sachez qu’il n’est pas non plus possible de tenir une conversation avec les écouteurs dans les oreilles, mais que vous serez malheureusement en mesure d’entendre (et non comprendre) vos voisins de bus.
Parlons finalement de la qualité sonore proposée par les Powerbeats Pro. Je dois m’avouer surpris par cette dernière, qui s’est révélée étrangement bonne pour un produit Beats. La marque nous avez en effet habitué à des produits plus connus pour leur marketing que pour leur qualité de son. Les basses sont comme d’habitude très généreuses, mais Apple semble avoir calmé le jeu sur cet aspect-là : elles ne prennent pas le dessus sur les autres fréquences du spectre sonore.
Les voix sont bien retranscrites et vraiment agréables à écouter, mais j’ai trouvé les aigus parfois trop percutants. Même si on s’y habitue assez rapidement, ce type de signature sonore pourra déranger certaines personnes lors de longues sessions d’écoute. Mais peut-on vraiment faire ce reproche à des écouteurs commercialisés pour les sportifs ? Pas vraiment. Au contraire, les Powerbeats Pro proposent un bon mélange pour des sessions d’entraînements : un son motivant et plus agressif que d’autres grâce à des aigus plein d’énergie et à des basses accentuées.
En plus de s’adapter aux différents types de musique que j’écoute, les Powerbeats Pro m’ont plusieurs fois donné cette impression d’immersion, que ce soit en écoutant des musiques ou en regardant des séries – pas de problème de latence d’ailleurs. Enfin, les écouteurs se sont bien comportés en poussant le volume sonore au maximum et n’ont pas fait preuve de distorsion.
Des micros aux performances limitées
Tout comme pour la détection du « Dis Siri », les capacités des micros sont assez limitées sur ces Powerbeats Pro. Dans des environnements calmes comme un bureau ou une chambre, la qualité des appels est plus que correcte : la voix est très claire et l’échange agréable. L’affaire se complique dans des milieux quelque peu plus bruyants : il était compliqué de me faire entendre par mon interlocuteur lorsque je passais un appel dans la rue ou dans le bus. Ce n’est pas vraiment étonnant, car à l’inverse des AirPods, les micros ne sont pas pointés vers la bouche : on ne pouvait donc pas en attendre des miracles.
Il suffit de cliquer sur le bouton multifonction pour répondre à un appel entrant, et de suivre la même démarche pour terminer une conversation. Sachez également que chaque écouteur embarque son propre micro, et qu’il est donc tout à fait possible d’enlever un des écouteurs lors d’un appel.
Des écouteurs très endurants
Beats promet jusqu’à une journée complète d’autonomie pour ses Powerbeats Pro : 9 heures grâce aux batteries intégrées dans les écouteurs et 15 heures supplémentaires grâce au boîtier de charge. Une telle autonomie placerait sans difficulté les Powerbeats Pro dans le haut du classement des écouteurs sans fil. Spoiler alert : pari réussi. Beats est d’ailleurs l’une des rares marques à communiquer une autonomie théorique inférieure à l’autonomie réelle. J’ai ainsi pu laisser les Powerbeats Pro jouer de la musique depuis YouTube Music à environ 75 % de volume pendant très exactement 10 heures et 50 minutes. Une excellente et surtout rare performance pour des écouteurs sans fil.
On ne s’arrête pas en si bon chemin : sachez que notre modèle aura seulement mis 45 minutes à se recharger complètement. La marque annonce également qu’une recharge dite Fast Fuel de 5 minutes nous permet d’obtenir 1 h 30 d’écoute supplémentaire. Apple a obtenu ce résultat en laboratoire après avoir joué un bruit rose continu à 80 dB jusqu’à l’arrêt d’un écouteur.
De mon côté, j’ai suivi un protocole de test on ne peut plus commun pour vérifier ce chiffre : lancer une playlist sur YouTube Music avec un volume sonore plus que raisonnable (toujours 75 %) et attendre l’arrêt d’un écouteur. Ce dernier s’est éteint après 1 h 48 d’écoute.
Les Powerbeats Pro proposent donc une excellente autonomie et une recharge assez rapide pour ne jamais être dans la peur de tomber en panne. Notons cependant quelques déceptions quant au boîtier de recharge.
Ce dernier permet d’accueillir les écouteurs pour les recharger ou tout simplement pour les protéger. Il ne faut pas hésiter à appliquer un peu de force sur les écouteurs une fois rangés : cela permettra de vérifier si les connecteurs servant à la recharge sont bien… connectés. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai découvert un matin que mon écouteur gauche n’avait pas été rechargé car mal placé dans le boîtier la veille. C’est dans ce genre de situation que la recharge rapide en cinq minutes est appréciable.
Le boîtier reste cependant facile d’utilisation et se recharge grâce au joli câble lightning noir livré dans la boîte. Si l’absence d’un port USB-C ne me surprend pas de la part d’Apple, celle de la recharge sans fil laisse en moi une petite frustration. Enfin là n’est pas vraiment le problème, puisque ce dernier réside dans la taille du boîtier – on a en effet connu bien plus compact chez la concurrence. Certains se moqueront donc facilement de sa taille (on pourrait presque faire rentrer un boîtier d’AirPods dans celui des Powerbeats Pro), mais il est compliqué de demander le même effort de miniaturisation des AirPods sur les Powerbeats Pro. Il faut bien avouer que le boîtier est ridicule, mais rappelons qu’il s’agit d’écouteurs pour sportifs avec des arceaux de maintien et une grosse autonomie, et non d’écouteurs conçus pour la vie de tous les jours. Dans ce cas-là, autant acheter des AirPods.
Si la taille du boîtier des Powerbeats Pro ne dérangera pas les sportifs qui vont à leurs entraînements avec un sac de sport, elle incommodera ceux qui souhaitent partir légers – les coureurs par exemple. Pourquoi ne pas simplement ranger les écouteurs dans sa poche sans le boîtier ? C’est faisable, mais sachez qu’il est impossible d’éteindre manuellement les Powerbeats Pro : il faut impérativement les ranger dans leur boîtier et le fermer. Cela signifie que même non connectés à un téléphone, les Powerbeats Pro perdent de la batterie s’ils ne sont pas bien au chaud dans leur boîtier. Notez tout de même que ce mode de fonctionnement est commun à beaucoup d’écouteurs sans fil livrés avec un boîtier de recharge et qu’à titre d’information, nos Powerbeats Pro ont seulement perdu 20 % d’autonomie en cinq heures grâce à la puce H1.
La qualité a un prix, et il fait mal
Les Powerbeats Pro sont disponibles au prix de 249,95 euros sur le site de Beats, d’Apple et sur Amazon. Les différentes enseignes telles que la Fnac, Darty ou Boulanger proposent elles aussi les Powerbeats Pro.
Notez que seule la version noire est actuellement proposée, et que les couleurs “Crème”, “Marine” et “Vert bouteille”, plus communément appelées “Blanc”, “Bleu” et “Vert” seront prochainement disponibles.
Pour aller plus loin
Test du Jabra Elite 85h : le plus intelligent des casques sans fil
Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.
Beats et excellent dans la même phrase, merci pour le fou rire
Je valide, je n ai pas besoin que ce soit joli pour faire le keke en salle, si le son est bon , que ça tient bien et que ça tient longtemps le reste est secondaire Apple, mes séances powerlifting vous disent merci.
Merci pour le test Une idée de la qualité sonore par rapport au Bose SoundSport Wireless ?
sans vouloir vous vexer on dirait un appareil auditif pour personne âgé
La conséquence du retrait de la prise jack : des écouteurs qui coûtent plus cher que des téléphones !!! Ps : le retour de maxime :)
en effet, impressionnant de mettre autant d'argent dans des ecouteurs.
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