Depuis son lancement, nous sommes plutôt clients du Zephyrus G14 d’Asus. Derrière ce nom se cache l’idée pour Asus de développer un PC capable de faire du jeu vidéo dans un châssis plutôt sobre et compact. L’objectif est ainsi de réunir un PC que l’on pourrait utiliser pour les études ou le travail, et, en même temps, un PC capable d’assurer les loisirs vidéoludiques.
En 2022, Asus revient avec une nouvelle révision du PC, sobrement intitulé ROG Zephyrus G14 2022 GA402R. Un jour, les fabricants de PC s’aligneront sur le monde du smartphone quand il s’agit de donner des noms intelligibles à leurs produits. La nouveauté phare est sans aucun doute la place laissée aux dernières technologies AMD, un Ryzen 6000 (Zen 3+) et une Radeon 6000 (RDNA 2). Place au test.
Fiche technique
Modèle | ASUS ROG Zephyrus G14 2022 (GA402R) |
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Dimensions | 312 mm x 19,5 mm |
Définition | 2560 x 1600 pixels |
Technologie d’affichage | LCD |
Écran tactile | Non |
Processeur (CPU) | Ryzen 9 6900HS |
Puce graphique (GPU) | AMD Radeon RX 6800S |
Mémoire vive (RAM) | 32 Go |
Mémoire interne | 1000 Go |
Version du Bluetooth | 5.2 |
Système d’exploitation (OS) | Microsoft Windows 11 |
Poids | 1720 grammes |
Prix | 2 422 € |
Fiche produit |
Notre exemplaire de test a été prêté par Asus.
Un design qui change peu en apparence
Nous n’allons pas trop nous étendre sur le design du PC dans la mesure où Asus reprend dans les grandes lignes le même châssis que nous avions déjà pu tester en 2020. On retrouve le châssis en alliage de magnésium avec un écran quasi bord à bord (91 % de l’espace occupé par l’écran) et des arêtes arrondies pour donner un aspect accueillant et chaleureux au PC.
Le plus gros changement esthétique apporté par Asus est la mise à niveau de son « AniMe Matrix », ce dos pixelisé sur lequel il est possible de programmer des images ou des animations. La firme a augmenté la « définition » de son dos pour afficher des animations plus précises. On y trouve désormais 19 % de plus de mini LEDs et deux fois plus de trous pour laisser passer leurs lumières.
Asus ne révolutionne pas une copie qui a déjà fait ses preuves. Le design était déjà l’un des points forts de ce Zephyrus G14 et le petit ajout en personnalisation pourra faire plaisir, même s’il peut sembler contradictoire avec la sobriété recherchée sur cet appareil. Heureusement, c’est parfaitement désactivable. Avec ses 1,65 kg sur la balance, le ROG Zephyrus sait se glisser dans un sac à dos et se faire plutôt oublier.
Attention, cela ne veut pas dire que les équipes du fabricant se sont tourné les pouces. Si à l’extérieur peu de choses ont changé, c’est à l’intérieur que beaucoup de choses ont évolué.
Clavier et pavé tactile : le changement
Nous avons volontairement omis de mentionner une autre nouveauté. Si le clavier est repris à l’identique de l’ancienne version du PC, le pavé tactile a lui pris beaucoup plus de place et c’est pour le mieux.
L’ensemble fonctionne très bien. Le clavier est agréable et j’ai pris plaisir à taper ce test alors même que l’exemplaire de l’appareil fourni était configuré en Qwerty. La large surface en verre du pavé tactile est aussi une belle réussite qui permet de naviguer avec aisance sans utiliser de souris externe.
Connectique : bienvenue à l’USB 4
Sans lire la fiche technique, nous aurions pu là aussi dire qu’Asus se contentait de rester sur ses acquis, la connectique étant toujours la même. On garde donc le port d’alimentation, le port HDMI, le port USB-C et la prise jack sur la tranche gauche, deux ports USB-A et un port USB-C sur la tranche droite. À ces derniers vient s’ajouter un nouveau port, un lecteur de cartes microSD.
La différence, et elle est importante, se fait sur la technologie embarquée. Ainsi le port HDMI 2.0 est désormais relié directement à la puce graphique dédiée, ce qui va permettre de jouer sur un écran externe avec les performances de la machine au maximum. Surtout, le port USB-C sur la tranche gauche est câblé pour permettre à terme de devenir un port USB4 et Asus promet qu’une mise à jour permettra d’activer cette pleine compatibilité quand la norme sera là. En attendant, c’est un port USB 3.2 Gen 2 capables de gérer la charge avec Power Delivery (100W) ou l’affichage avec DisplayPort 1.4.
Un écran bon sur tous les aspects
Notre exemplaire de test est équipé d’une dalle LCD IPS de 2560 x 1600 pixels au format 16:10 avec un taux de rafraîchissement à 120 Hz. Le traitement mat de la dalle lui permet de résister plutôt bien aux reflets du soleil ce qui va permettre au PC d’être utilisé dans plus de conditions. Avec ce laptop, Asus introduit aussi son propre standard interne : ROG Nebula Display. Pour la marque il notamment doit traduire la promesse d’une haute définition, haute fréquence d’affichage et haute couverture colorimétrique (100% du DCI-P3).
Une fois passé sous notre sonde colorimétrique, l’écran du Zephyrus révèle ses qualités et ses failles. On peut tout d’abord noter une couverture à 100,8 % du spectre DCI-P3 et à 149,5 % du spectre sRGB, une belle prouesse qui le qualifie pour faire partie du haut du panier. Il faut ensuite vérifier la bonne calibration de ces couleurs et là encore, le résultat est très bon puisque l’on relève un deltaE2000 de 2,7 en moyenne pour un maximum de 4,2. Rappelons qu’une différence en dessous de 3 est dite invisible à l’œil nu. Ce n’est donc pas parfait, mais suffisamment bon pour couvrir à la fois du jeu vidéo et du travail. En somme, la couverture du prochain Vogue ne sera peut-être pas finalisée sur cet écran, mais il est assez précis pour couvrir la plupart des usages des particuliers ou professionnels.
Avec sa certification FreeSync Premium, Asus et AMD promettent une luminosité à 500 cd/m². Nous avons relevé un pic à 492,3 cd/m², ce qui s’en approche suffisamment, avouons-le. Un tel niveau est plus que satisfaisant pour un écran de PC portable. C’est au niveau des contrastes que nous notons une déception : seulement 897:1, c’est peu. Autant dire que les noirs seront surtout des gris bien foncés. Une fausse note qui ne gâche tout de même pas la partition et cela reste un écran très agréable à utiliser pour tous les usages.
Une webcam et Windows Hello en plus
Il y a quelques années, Asus avait fait le choix de supprimer les caméras de la gamme ROG jugeant que les joueurs ne les utilisaient pas et que cela permettait d’assurer sans faille la vie privée des utilisateurs. Un choix qui était discutable, mais qui aujourd’hui paraîtrait carrément ridicule. Le covid est passé par là et l’explosion du télétravail a rendu les webcams obligatoires sur PC. Notre ROG Zephyrus G14 intègre donc belle webcam HD 720p affublée d’un capteur infrarouge. Cela lui permet de la rendre compatible Windows Hello pour le déverrouillage facial. Notez que le PC n’intègre pas un lecteur d’empreintes, la reconnaissance faciale est donc le seul système d’identification biométrique du PC.
Windows 11 avec Armoury Crate
Le ROG Zephyrus est fourni avec Windows 11 en sortie de boîte. Asus a le bon goût de n’ajouter peu ou prou aucune personnalisation logicielle. On ne retrouve pas de publicité pour des logiciels ou des versions d’essai d’une application tierce. Seulement Armoury Crate, qui permet de gérer sa machine, et MyAsus. On peut aussi mentionner la version d’essai au PC Game Pass offert avec la machine qui s’active directement dans le Microsoft Store.
Armoury Crate sera votre rendez-vous pour modifier le profil de performance du PC (plutôt silencieux et économes ou plutôt énergivore, mais performant), personnaliser l’affichage AniMe Matrix sur le dos du châssis ou encore le rétroéclairage du clavier.
Que valent le Ryzen 6900HS et la Radeon RX 6800S ?
L’un des grands attraits de ce ROG Zephyrus est d’être l’une des premières machines sur le marché à proposer à la fois la nouvelle génération de processeur Ryzen et une puce graphique Radeon 6000. Il faut tout d’abord démystifier ce qu’est réellement l’AMD Ryzen 9 6900HS, le processeur de notre PC. La firme a en effet pris l’habitude de faire passer deux générations sur une même architecture, ce qui peut prêter à confusion pour le client final. Ainsi, le Ryzen 9 6900HS est toujours basé sur l’architecture Zen 3 des Ryzen 5000 et il faudra attendre plus tard en 2022 pour découvrir Zen 4 et les Ryzen 7000.
Pour justifier le changement de génération, AMD parle d’une architecture Zen 3+ qui marque le passage du processus de fabrication de 7 nm à 6 nm. Hormis ce changement, AMD semble s’être surtout concentrée sur d’autres modifications de ces puces autour du processeur : meilleure gestion de l’alimentation et un passage du circuit graphique de l’architecture Vega à RDNA 2. Le processeur Ryzen 6900HS que nous testons ici est l’un des meilleurs du catalogue AMD et propose 8 cœurs (16 threads) cadencés de 3,3 GHz à 4,9 GHz pour un TDP annoncé de 35W.
Les résultats de nos benchmarks
PCMark 10
On commence nos tests par PCMark 10 qui permet de se faire une première idée des performances de l’ensemble du PC.
Avec un score de 6751 points, notre ROG Zephyrus G14 s’affiche en retrait des derniers PC que nous avons testés, notamment quand ils sont équipés d’un processeur Intel de 12e génération. Pour autant, il s’agit tout de même d’un bon score, qui permet au ROG de se qualifier comme un PC performant dans sa catégorie. On peut être très bon sans être le champion.
Cinebench
Le test de Cinebench R23 permet de se concentrer sur les performances du processeur. Il a l’avantage d’être également disponible sur Mac ce qui permet de comparer les performances entre tous les acteurs des processeurs : AMD, Intel, Apple et Qualcomm.
Sur ce test, on peut noter les améliorations apportées par AMD sur une génération. Face au Ryzen 9 5900HX du ROG Strix G15 Advantage Edition, on passe ainsi d’un score de 1486 points en mono cœur à 1587 points avec notre Ryzen 9 6900HS. Sur le multicœur, l’amélioration est bien moins marquée avec un score de 13367 points, dans les mêmes eaux que les 13355 points du Strix. Dans tous les cas, cela ne suffit pas à rattraper les meilleures puces d’Intel, notamment le Intel Core i9-12900H de l’Asus Strix Scar 15 G533Z qui obtenait 1903 et 19250 points respectivement. L’avantage d’AMD se révèle en prenant en compte la consommation de la puce. Les performances par watt consommé tournent alors à l’avantage de l’architecture AMD.
CrystalDiskMark
Pour assurer le stockage interne, Asus a choisi de travailler avec Micron qui propose ici son SSD NVMe PCI Express 4.0, le Micron 2450.
On retrouve bien les 3,6 Go/s en lecture séquentielle promises par le fabricant. C’est sur l’aléatoire que les performances se dégradent forcément, mais Micron parvient tout de même à se placer dans le haut du panier. Avec 244 Mo/s en écriture aléatoire en moyenne, le fabricant est presque en tête du classement des PC que nous avons pu tester depuis plus d’un an.
3DMark
La Radeon RX 6800S est la dernière puce graphique en date pour nos PC portables chez AMD avec l’architecture RDNA 2. Si vous avez déjà lu nos tests de machines avec des Radeon, vous savez à quoi vous attendre. Ce nouveau modèle veut miser sur un rapport performance-consommation intéressant.
On commence notre session de tests avec 3DMark qui permet d’évaluation la puissance graphique dans plusieurs situations. Le test Time Spy Extreme fait tourner une scène 3D sophistiquée en 4K mettant en jeu les nouveautés de DirectX 12. Nous faisons tourner ce test sur l’ensemble de nos machines de jeu, ce qui permet de mettre une échelle de comparaison plutôt objective des PC, bien qu’un test en 4K ne reflète pas en soi l’utilisation de ce PC en particulier.
Le score de 4354 points peut paraître décevant à première vue pour une puce graphique plutôt haut de gamme. Il faut toutefois rappeler que le Zephyrus G14 appartient à la catégorie des ultraportables, loin des machines de jeu bien plus encombrantes. La puce graphique a donc moins de place pour respirer et une alimentation plus restreinte à 100W. Elle reste tout de même en retrait d’une GeForce RTX 3070 pourtant à 80W.
Comme toujours avec l’architecture RDNA 2, c’est en activant le ray tracing qu’elle affiche ses faiblesses. Le test spécialisé de 3DMark tourne à seulement 9,95 images par seconde, très loin des 20 à 30 images par seconde que l’on peut trouver avec les cartes Nvidia sur PC portable. Comme nous allons le voir, cela se reflète aussi dans les jeux.
Red Dead Redemption 2
Avant de s’aventurer davantage sur la nouvelle génération de jeux avec du ray tracing, Red Dead Redemption 2 est un point de passage important. Ce monde ouvert bluffant sur le plan technique est une bonne façon de tester notre PC sur un jeu populaire.
En définition native, en 2560 x 1600 pixels, avec les réglages sur Ultra, le jeu tourne remarquablement bien avec une moyenne de 52 images par seconde. Il faudra donc légèrement ajuster les options pour avoir une expérience parfaite à 60 images par seconde, mais on a là un jeu qui exploite bien le potentiel de notre PC.
God of War
Oubliez le monde ouvert, God of War mise plutôt sur sa mise en scène bien ficelée pour impressionner. Après plusieurs années d’exclusivité pour la PlayStation, le titre est sorti sur PC en 2022 avec une bonne adaptation à la plateforme. Nous avons fait tourner l’introduction du jeu avec les options graphiques au maximum.
Le ROG Zephyrus n’a aucun mal à faire tourner le jeu à 45 images par seconde avec une très bonne constance. De plus, 40 images par seconde étant une parfaite division par 3 des 120 images par seconde affichées par l’écran, la fréquence en dessous des 60 images par seconde ne choque pas l’œil.
Cyberpunk 2077
Avec Cyberpunk 2077, on fait un pas dans la nouvelle génération. Nous avons fait tourner le benchmark intégré au jeu depuis la mise à jour 1.5, d’abord sans ray tracing avec les options sur « élevé », puis avec du ray tracing.
Ici, la conclusion s’impose d’elle-même. Le jeu passe de 71 images par seconde en moyenne à 7 images par seconde avec le ray tracing. Oui seulement 7. Autrement dit, c’est injouable dans ces conditions. Même l’activation de l’option FidelityFX Super Resolution ne sauve pas la situation. Réglé sur « équilibré », le jeu passe à 23 images par seconde en moyenne. L’architecture RDNA 2 n’est tout simplement pas au niveau sur ces contextes d’utilisation.
Metro Exodus
Metro Exodus
est un autre exemple de jeu intéressant. Il prend en charge le ray tracing, mais n’intègre pas le FidelityFX Super Resolution. Le benchmark tourne à 24 images par seconde sur le ROG Zephyrus G14. Avec une GeForce RTX, il est possible de doubler les performances en activant le DLSS. Sur le ROG Zephyrus M16 équipé d’une GeForce RTX 3070 à 80W, nous faisions tourner ce même test à 43 images par seconde.
Watch Dogs Legion
Même constat avec Watch Dogs Legion, jeu à haut budget d’Ubisoft qui propose un Londres futuriste magnifié par l’utilisation du ray tracing. Le jeu tourne très bien (59 images par seconde en moyenne) dès lors que l’on n’active pas les options de ray tracing (19 FPS).
C’est presque le meilleur exemple de ce que ce ROG Zephyrus G14 peut proposer en jeu. Il va permettre de faire tourner tous les jeux dans de très bonnes conditions, même les derniers du moment. Mais vous ne pourrez jamais profiter du ray tracing. On insiste sur cette technologie, car elle a été mise en emphase comme l’une des grandes nouveautés de ces dernières années dans les jeux vidéo, mais on peut très bien vivre sans, il faut l’admettre. Elle apporte un plus qui fait plaisir à l’œil et qui peut améliorer l’immersion et le réalisme, mais ce n’est pas l’alpha et l’oméga du jeu vidéo moderne.
Il ne faut donc pas résumer les performances de ce PC ou des Radeon en particulier à cette faiblesse objective d’AMD face à son concurrent direct. L’architecture RDNA 2 permet d’assurer un bon niveau de performance dans les jeux classique, parfois meilleur que la concurrence quand on ne prend pas en compte la consommation.
Apex Legends
Une bonne illustration des performances du ROG Zephyrus au quotidien se trouve avec Apex Legends. Ce jeu compétitif est peu gourmand et on demande plutôt à la machine de maintenir un niveau élevé de performances en tout instant.
Après plusieurs sessions de jeux, on mesure une fréquence moyenne de 104 images par seconde. En réalité, le jeu oscille entre les 80 images par seconde et les 120 images par seconde. Une nouvelle fois, sur les jeux les plus populaires, le G14 s’en sort avec les honneurs. C’est un PC avec lequel on pourra jouer à un choix très varié de jeux, en ajustant parfois quelques options graphiques.
Dissipation et bruit
C’est l’autre nouveauté qu’Asus réserve pour le design de son G14. Si à l’extérieur peu de choses changeaient, à l’intérieur, le fabricant annonce pas mal d’évolutions. Le refroidissement a été retravaillé avec un système de Vapor Chamber permettant une amélioration de 50 % de la couverture de la carte mère. Une couche de liquid metal assure le contact avec le processeur et le GPU. Même le design des ventilateurs a été revu, et Asus promet une amélioration de la ventilation de 5 %.
Alors ça donne quoi ? Le ROG Zephyrus G14 est toujours une machine bruyante à plein régime, comme tous les PC de jeux du marché. Elle a le mérite de produire un son plus grave agréable à l’oreille, ce qui est toujours ça de pris. Si elle est bruyante, la ventilation est au moins efficace. Le PC arrive à maintenir son niveau de performances malgré nos sessions de tests assez longues avec un PC poussé dans ses retranchements.
En revanche, le système de refroidissement limité de cet ultraportable pousse les températures à des niveaux très élevés. Le logiciel HWInfo nous donne un relevé à 89,8 degrés pour la température au niveau du SoC et à 89 degrés pour la puce graphique Radeon très logiquement située à proximité.
Autonomie
Asus intègre dans son ultraportable une batterie de 76 Wh qui est dans la tranche haute des PC du secteur. Sur notre test standardisé avec PCMark 10, cela permet à la machine de tenir 8h et 24 minutes.
Évidemment, elle ne va pas aller rivaliser avec les meilleurs ultraportables du marché, mais c’est suffisant pour assurer une solide journée d’utilisation et dépasser de nombreux PC, notamment les ordinateurs dédiés aux jeux et réputés pour leur faible autonomie. Ainsi le ROG Strix Scar obtenait par exemple 7h30 malgré une batterie plus volumineuse de 91 Wh. Asus peut remercier la bonne gestion énergétique proposée par AMD quand une machine utilise l’ensemble de ses technologies.
Pour recharger la machine, on peut passer par l’USB-C qui gère le Power Delivery jusqu’à 100W, ou utiliser l’adaptateur secteur de 240W fourni par Asus. Il s’agit d’un très épais chargeur assez encombrant, et on espère que la marque pourra proposer quelque chose de plus compact à l’avenir, même si c’est difficile à ce niveau de puissance.
Prix et disponibilité
Le ROG Zephyrus G14 est commercialisé au tarif de 2299 euros pour une configuration avec le Ryzen 9 6900HS, 32 Go de RAM, 1 To de stockage et la Radeon RX 6800S.
[…] de connecter une carte graphique externe. C’est ce qui fait l’ADN de la gamme Flow, face au Zephyrus du fabricant. Avec le ROG Flow X16 on garde ces principes, et on les applique à une machine un peu plus grande, […]
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