Si Sony et Bose sont des acteurs incontournables des casques sans fil à réduction active du bruit, le constructeur britannique Bowers & Wilkins n’est pas en reste, proposant, depuis 2017, sa propre gamme de casques PX. Après un PX7 lancé fin 2019, la firme revient avec une formule revue et corrigée, le Bowers & Wilkins PX7 S2. Voici son test complet.
Fiche technique
Modèle | Bowers & Wilkins Px7 S2 |
---|---|
Format | Casque sans fil |
Batterie amovible | Non |
Microphone | Oui |
Réduction de bruit active | Oui |
Autonomie annoncée | 30 heures |
Type de connecteur | USB Type-C |
Longueur du cable | 120 cm |
Poids | 307 g |
Prix | 239 € |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec un casque prêté par le constructeur
Design
Dans les grandes lignes, le Bowers & Wilkins PX7 S2 reprend la même approche esthétique que la version précédente, lancée il y a plus de deux ans. Tout d’abord, on retrouve dans les deux cas un format circum-aural avec un casque dont les coussinets en mousse viennent englober les oreilles, et non pas se poser directement sur le pavillon auriculaire comme sur un casque supra-aural. De quoi assurer une isolation passive déjà convaincante, avant même d’aborder la qualité de la réduction active du bruit. Signalons par ailleurs que B&W propose des coussinets de rechange si ceux de votre casque finissent par s’abîmer.
Par ailleurs, on va retrouver des éléments similaires d’un casque à l’autre. C’est le cas notamment des coques de chaque oreillette avec, au centre, une surface ovale — plus en relief sur la nouvelle version — affichant le logo de Bowers & Wilkins. Le constructeur britannique a par ailleurs repris le même design pour son arceau avec une unique branche qui se profile vers l’arrière du casque. De quoi proposer néanmoins une bonne articulation avec la possibilité de faire pivoter les coques à 180 degrés et les positionner mousse vers le haut ou vers les épaules lorsque vous portez le casque à votre nuque.
Malheureusement, on regrettera l’impossibilité de plier complètement le casque. Comme sur le Bose Headphones 700 et le Sony WH-1000XM5, il n’est ainsi pas possible de jeter son casque en vrac dans un sac à dos en espérant qu’il occupe le moins de place possible. Seuls le pivotement des coques et le raccourcissement des branches — avec un coulissement fluide, sans cran — vous permettront de réduire son volume. B&W propose cependant une coque rigide pour vous permettre de ranger et de protéger le casque.
On saluera néanmoins la largeur de l’arceau. Même si la mousse ne paraît pas particulièrement épaisse sur le haut du crâne, cette largeur étendue permet de répartir efficacement les 307 grammes du casque sur une plus grande surface, évitant ainsi les points de pression trop importants. Ce confort sur le haut du crâne est d’ailleurs renforcé par la légère pression du casque sur les oreilles, répartissant ainsi le poids du casque en trois points au total, entre le sommet de la tête et chaque oreille.
J’ai ainsi pu porter le Bowers & Wilkins PX7 S2 pendant cinq à six heures sans sentir la moindre gêne, et ce malgré sa masse plutôt importante. À titre de comparaison, le Sony WH-1000XM5 affiche 254 grammes sur la balance et le Bose Headphones 700 250 grammes.
Du côté des différents boutons et connectiques, le B&W PX7 S2 prend une approche très classique, sans surfaces tactiles. À l’arrière de l’écouteur droit, on va trouver le bouton de mise en pause et de lecture avec les touches de volume au-dessus et en dessous. C’est là également que la firme a intégré un curseur de mise sous tension et d’appairage Bluetooth qui rappelle furieusement l’approche du Bose QuietComfort 45. Ce n’est pas pour nous déplaire.
Derrière l’écouteur gauche, une touche va permettre de basculer entre le mode transparent, le mode passif et la réduction active du bruit. Enfin, sous la coque droite on va trouver une prise USB-C et… c’est tout. Nulle trace de prise casque, le B&C PX7 S2 reprenant la même approche qu’Apple avec son AirPods Max : il s’agit d’un casque conçu pour être utilisé uniquement en mode actif. Si vous souhaitez le brancher à une source filaire, c’est cependant possible grâce au câble jack vers USB-C fourni. Parce que oui, le casque peut-être utilisé même lorsqu’on connecte sa prise USB.
Usage et application
Pour appairer le Bowers & Wilkins PX7 S2 à un smartphone, deux solutions s’offrent à vous. La première est d’allumer le casque puis de glisser le curseur de mise sous tension quelques secondes vers le logo Bluetooth. Dès lors, le casque passera en mode appairage et pourra être détecté dans les paramètres Bluetooth de votre smartphone, tablette ou PC portable. Puisque le casque est compatible avec le protocole Google Fast Pair, il est également possible d’appuyer simplement sur la pop-up qui va s’afficher sur votre smartphone, à condition qu’il soit compatible. Heureusement, c’est le cas de tous les téléphones Android récents.
Les contrôles
On l’a vu, le B&W PX7 S2 joue la carte des simples boutons physiques pour les contrôles de la musique. On a donc trois boutons à gauche, et un bouton à droite. De quoi vous permettre de retrouver un usage assez complet.
Ainsi, sur la droite, le bouton de lecture — facilement identifiable au touché grâce à sa texture crantée — va vous permettre de mettre la musique en pause et de la reprendre avec un appui simple. Le double appui va quant à lui permettre de passer à la piste suivante et le triple appui le retour en arrière. Bref, on a affaire ici à des contrôles simples et communs à la plupart des casques et des lecteurs de musique. Au-dessus et en dessous, Bowers & Wilkins propose une gestion du volume du casque — indépendant de celui du volume du smartphone — pratique pour ajuster plus finement le son.
Enfin, sous l’écouteur gauche du PX7 S2 se trouve la touche de gestion de la réduction de bruit. Un appui simple va ainsi nous faire basculer entre le mode réduction de bruit active, le mode transparent et le mode passif.
Seule absence notable par rapport à la flopée de contrôle que l’on peut parfois trouver sur les casques concurrents, le Bowers & Wilkins PX7 S2 ne propose aucun moyen simple d’accéder directement à l’assistant de son smartphone via des commandes vocales, à moins de passer par l’application.
L’application Bowers & Wilkins Music
Une fois le casque connecté à votre smartphone, vous pouvez passer par l’application Bowers & Wilkins Music pour profiter de davantage de fonctionnalités.
Cette application, assez basique, va ainsi permettre l’affichage du niveau de batterie sur votre casque. C’est là également que vous pourrez mettre à jour le firmware du PX7 S2. On va également retrouver de manière classique, des touches pour passer du mode « suppression du bruit » au mode « passe au travers » au mode « désactivé ». Cependant, en l’état, ces fonctions sont identiques à celles accessibles depuis le bouton sous l’écouteur gauche. C’est là également que vous pourrez gérer le Bluetooth multipoint et les différents appareils connectés au casque — on y reviendra.
Bowers & Wilkins Music propose également un léger égaliseur sur deux bandes, aiguës et graves, permettant d’augmenter ou de diminuer chaque bande de fréquence de -6 ou +6 dB.
Comme indiqué plus haut, l’application va également vous permettre de modifier le rôle du bouton de l’écouteur gauche. Ce bouton d’action rapide peut en effet être paramétré pour gérer l’assistant vocal et non pas la réduction active du bruit.
Enfin, l’application vous permet de gérer la détection de port — qui va mettre en pause la musique automatiquement lorsque vous retirez le casque — ainsi que la mise en veille automatique après 15 minutes sans son.
L’application Bowers & Wilkins Music est finalement assez basique. Malheureusement, elle demande à créer un compte Bowers & Wilkins, sans quoi elle n’est pas accessible. C’est dommage, mais ça se justifie par les ambitions du constructeur britannique. En effet, B&W prévoit de faire de son application un système audio centralisé vous permettant d’accéder au catalogue de plusieurs services de streaming depuis une même application. Ces fonctions ne seront cependant pas déployées avant quelques mois.
La connexion Bluetooth
Le casque de Bowers & Wilkins est compatible avec la norme Bluetooth 5.2. Comme on l’a vu, il peut par ailleurs être utilisé en mode filaire grâce au câble inclus.
Surtout, le PX7 S2 est compatible avec le Bluetooth multipoint. Concrètement, on peut donc le connecter à deux appareils en même temps. Pour ce faire, rien de plus simple puisque, une fois le casque allumé, il suffit de replacer à nouveau le curseur en position « Bluetooth » quelques secondes pour lancer un nouvel appairage. Néanmoins, le système pour basculer d’une source à une autre n’est pas aussi bien géré que sur les modèles de Bose. Contrairement aux casques de la firme américaine, il ne suffira pas de repousser à nouveau le curseur rapidement pour forcer la connexion à la source suivante.
Reste qu’il est agréable de pouvoir utiliser le même casque avec son smartphone et un ordinateur en même temps. On n’a ainsi pas à enlever le casque de ses oreilles pour répondre à un coup de fil sur son smartphone alors qu’on suivait jusqu’à présent une réunion Meet depuis son PC portable. Contrairement aux casques haut de gamme de Sony, le Bluetooth multipoint n’est par ailleurs pas conditionné par l’utilisation de codecs audio plus compressifs et on peut l’utiliser, sur le PX7 S2, avec le codec aptX Adaptive.
Par ailleurs, je n’ai souffert d’aucun souci de connexion majeur sur le casque de Bowers & Wilkins connecté à un Google Pixel 6 Pro. En termes de latence audio, conséquence irrémédiable du Bluetooth, j’ai pu mesurer une latence en aptX HD de 199 ms et en SBC de 196 ms. Un score plus que correct. Néanmoins, la latence reste notable, surtout dans le cadre de l’utilisation de jeux mobiles. Rappelons en effet que les applications vidéo proposent un décalage de l’affichage de l’image pour contrebalancer la latence.
Réduction de bruit
Comme le premier PX2, le B&W PX7 S2 est doté de plusieurs microphones — quatre sur six au total — pour proposer une réduction active du bruit. Le casque pourra donc proposer non seulement une isolation passive correcte, grâce à son format fermé et à son design circum-auriculaire, mais également une réduction active du bruit.
Dans le détail, il s’agit en fait d’une réduction de bruit hybride avec deux microphones capturant les bruits ambiants à l’extérieur et deux autre placés à l’intérieur des coques, chargés de mesurer à la volée les bruits passant outre l’isolation passive pour proposer une correction à la volée.
Dans les faits, la réduction de bruit proposée par le Bowers & Wilkins PX7 S2 s’en sort convenablement. Elle permet de réduire assez efficacement les voix et les sons graves les plus sourds. Néanmoins, si elle est plutôt pertinente pour réduire un bruit de fond continu, comme les sons de circulation sur une voix très fréquentée, elle a du mal à amoindrir des bruits plus ponctuels.
Par exemple, si vous marchez dans la rue, le bruit de fond des voitures au loin sera bien diminué, mais vous entendrez toujours les sons des véhicules qui passent sur la chaussée. Tant et si bien qu’il vous faudra parfois augmenter le volume pour profiter confortablement de votre musique. Il en va de même pour les transports en commun : le ronron du métro sera amoindri, mais pas le bruit de la rame qui arrive alors que vous êtes à quai.
La réduction de bruit active du Bowers & Wilkins PX7 S2 est efficace et s’avère plutôt confortable, mais on est encore loin de ce que peuvent proposer les cadors du genre, qu’il s’agisse du Sony WH-1000XM5 ou du Bose Headphones 700.
Le mode « son ambiant »
En plus de la réduction active de bruit, le B&W PX7 S2 est doté d’une fonction de son ambiant, baptisée ici « passe au travers » (sic). Comme toujours, ce mode vous permet en fait de faire abstraction de l’isolation passive du casque et d’entendre votre environnement comme si vous n’aviez pas ses coussinets autour de vos oreilles.
On a ici affaire à un résultat plutôt efficace avec une bonne restitution des différentes fréquences sonores. Les voix sont bien audibles et les sons alentour sont perceptibles avec une restitution efficace.
Audio
Le casque Bowers & Wilkins PX7 S2 est équipé de deux transducteurs en cellulose de 40 mm de diamètre. Il profite par ailleurs d’un traitement numérique du signal conçu par Bowers & Wilkins et capable de proposer, sur le papier, une qualité sonore haute résolution en 24 bits.
Il faut dire qu’en plus des codecs audio Bluetooth AAC, SBC, aptX, aptX Adaptive et aptX HD, le casque peut être utilisé en mode filaire avec n’importe quel câble USB-C. Certes, B&W fournit, dans la boîte, un câble USB-C vers jack — pour l’utiliser avec un système sans Bluetooth — mais vous pouvez également connecter le PX7 S2 à un smartphone Android dépourvu de prise casque simplement à l’aide d’un câble USB-C vers USB-C. En prime, ce type de connexion propose deux avantages : il va utiliser le batterie du smartphone pour recharger le casque et il fournit un signal numérique de meilleure qualité que la compression proposée par le Bluetooth audio (à condition que vous écoutiez des titres en qualité CD, voire hi-res).
Certes, cela peut donner l’impression d’avoir redécouvert la transmission filaire en 2022, mais c’est en fait bien plus que ça. Les casques Bluetooth qui peuvent transmettre de la musique en USB-C se comptent en fait sur les doigts de la main. Certains modèles, comme chez Bose ou Sony, proposent bien des câbles, mais on a alors affaire à une transmission analogique et on doit compter sur le DAC du smartphone, rarement excellent. Ici, c’est le PX7 S2 qui prend tout en charge et, que ce soit en filaire ou en Bluetooth, c’est le casque de Bowers & Wilkins qui s’assure de la restitution sonore et de l’interprétation du signal numérique.
Pour tester la qualité sonore du Bowers & Wilkins PX7, je l’ai connecté en Bluetooth via aptX HD et en filaire à un Google Pixel 6 Pro. J’ai ensuite écouté différents titres sur Spotify en qualité très élevée, mais également sur Tidal jusqu’en 24 bits à 192 kHz.
Le Bowers & Wilkins PX7 S2 se montre particulièrement généreux dans les basses sans trop en faire pour autant. On a droit à un bon rendu des basses fréquences, légèrement mises en avant sans pour autant déséquilibrer tout le spectre sonore. Sur Bad Guy de Billie Eilish, le casque propose une belle nappe de synthés bien ronds en arrière-plan, sans pour autant qu’ils n’emportent toute la scène. La voix de la chanteuse américaine est elle aussi bien présente et très bien détaillée. Enfin, les aigus aussi son bien là, même s’ils ne montent pas aussi fort que les basses fréquences.
Dans l’ensemble, la réponse sonore du Bowers & Wilkins PX2 donne une signature en W assez peu marquée. On retrouve ainsi une différence de moins de 20 dB entre les fréquences sonores les plus mises en avant, autour de 100 Hz, et celles plus en retrait, vers 2500 Hz. Cela permet finalement de profiter d’un son relativement équilibré, du moins pour un casque actif.
Sur des titres mettant davantage les médiums en avant comme Come Away with Me de Norah Jones, le casque de B&W se comporte là encore comme un charme. La voix de la chanteuse de jazz n’est pas mise en retrait comme on aurait pu le craindre avec ce léger creux dans les médiums. En fait, les basses vont permettre d’asseoir la voix de l’artiste et d’apporter un peu plus de corps à la musique.
Sur de l’électro ou du hip-hop, le comportement dynamique du PX7 S2 est là encore de très bonne facture. Le casque parvient, surtout à fort volume, à bien emporter la musique et à profiter de chaque variation de volume et d’intensité. C’est également le cas sur la Symphonie numéro 5 de Beethoven, reproduite efficacement par les transducteurs du casque.
Si jamais la signature sonore du PX7 S2 ne sied pas suffisamment à vos goûts, Bowers & Wilkins a intégré un petit égaliseur dans son application.
On regrettera néanmoins que cet égaliseur manque nettement de précision. Il se contente en effet de permettre un ajustement des « aigus » et des « graves » à plus ou moins 6 dB — avec une précision de 0,5 dB, mais sans permettre d’ajuster précisément les fréquences touchées.
Micro
Pour les appels vocaux, le Bowers & Wilkins PX7 S2 embarque deux microphones ainsi que des algorithmes visant à réduire le bruit autour de vous pour que votre interlocuteur vous entende bien, même dans un cadre bruyant.
En cas de forts bruits alentour en revanche, le casque va avoir du mal à filtrer parfaitement les sons autour de vous. Surtout, les algorithmes sont plutôt destructifs et vont avoir tendance à supprimer également des fréquences de votre voix en même temps que celles de la pollution sonore. De fait, sur un boulevard parisien avec beaucoup de circulation, la personne au bout du fil m’a indiqué ne rien comprendre à ce que je lui racontais au moment où le feu de circulation passait au vert. Malheureusement, le casque n’a pas réussi non plus à parfaitement supprimer les bruits des voitures.
Voix abîmée et bruits de circulation audibles, c’est un peu le pire des deux mondes et, pour les appels vocaux, on est encore loin de ce que peuvent proposer Bose et Sony sur leurs casques haut de gamme.
Autonomie
Bowers & Wilkins annonce une autonomie de 30 heures pour son casque PX7 S2. De mon côté, avec un volume à 60 % en activant la réduction de bruit et en passant par le codec aptX HD, j’ai pu écouter de la musique pendant 37 heures et 30 minutes avant que le casque ne s’épuise, à court de batterie. C’est pour le moins un excellent résultat, meilleur que sur Bose Headphones 700 — 28 heures et 30 minutes — ou que sur le Sony WH-1000XM5 — 30 heures et 17 minutes.
Surtout, si vous réussissez à trouver un ordinateur ou un chargeur secteur pendant ce laps de temps, vous pourrez continuer à profiter de l’écoute sur le Bowers & Wilkins PX7 S2. En effet, contrairement à ses concurrents, le casque peut-être allumé et utilisé lorsqu’il est en charge. De fait, vous pourrez donc le charger tout en continuant à profiter de votre musique et vous n’aurez pas besoin d’attendre de ne plus en avoir besoin pour récupérer quelques points de batterie.
Pour la recharge, Bowers & Wilkins fournit donc un câble USB-C vers USB-C de 1,2 mètre, mais pas de chargeur secteur. Si le constructeur britannique annonce une charge complète en deux heures et 15 minutes pour récupérer 7 heures d’écoute, j’ai de mon côté pu constater une recharge complète, de 0 à 100 %, en 1 heure et 43 minutes. Une recharge déjà rapide, mais en rappelant à nouveau que le casque peut-être utilisé même en recharge, cela rendra cette attente encore moins gênante.
Notons que le casque peut également être rechargé simplement en le branchant à un smartphone Android. C’est alors la batterie du téléphone — dans mon cas un Google Pixel 6 Pro — qui va servir à la recharge du PX7 S2.
Prix et date de sortie
Le casque Bowers & Wilkins PX7 S2 est décliné en trois coloris, noir, bleu ou gris. Il est disponible à la vente depuis le 29 juin au prix de 429 euros.
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