Si vous pensez avoir déjà entendu le nom de Fiat 600e (600 électrique), rassurez-vous, c’est tout à fait normal. Et pour cause, c’est en 1955 que ce dernier est utilisé pour la toute première fois par le constructeur, pour désigner une citadine conçue comme une remplaçante de la Topolino et produite jusqu’en 1969. Désireuse de rendre hommage à son passé, la firme italienne fait revivre ces deux appellations, mais cette fois-ci, pour des modèles totalement différents de leurs ancêtres. De la 600 originelle, cette nouvelle version n’en garde donc que le nom, car elle n’a, a vrai dire, plus grand-chose d’une petite voiture conçue uniquement pour la ville.
Ce rôle est depuis plusieurs décennies réservé à la Fiat 500, désormais uniquement vendue en électrique et qui cartonne particulièrement en Europe. Mais avec cette nouvelle 600, Fiat a de très fortes ambitions, puisque cette nouvelle venue marque le retour du constructeur sur le segment B. Pour mémoire, elle avait abandonné ce dernier avec l’arrêt de la Punto. Par ailleurs, elle devrait remplacer de manière indirecte l’actuelle 500X, qui quittera le catalogue l’an prochain et qui ne sera pas renouvelée. En effet, Fiat, comme tous les autres constructeurs, va devenir 100 % électrique, et ce à partir de 2027.
Fiche technique
Modèle | Fiat 600e |
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Dimensions | 4,17 m x 1,78 m x 1,52 m |
Puissance (chevaux) | 156 chevaux |
0 à 100km/h | 9 s |
Niveau d’autonomie | Conduite semi-autonome (niveau 2) |
Vitesse max | 150 km/h |
Taille de l’écran principal | 10,25 pouces |
Prise côté voiture | Type 2 Combo (CCS) |
Prix entrée de gamme | 35900 euros |
Essayez-la | Fiche produit |
Design : à mi-chemin entre 500 et 500X
Lorsque l’on regarde pour la première fois cette Fiat 600, que nous avions eu la chance de pouvoir découvrir en avant-première lors de sa révélation à Turin, on ne peut pas s’empêcher de voir le lien de parenté avec la 500. À vrai dire, c’est tout à fait logique, alors que le constructeur capitalise à fond sur le succès de sa citadine électrique, qui fait partie des voitures électriques les plus vendues en Europe. La firme aurait tort de se priver et ne cache absolument pas que son SUV se positionne comme la grande sœur de cette dernière. Cependant, Fiat n’a pas souhaité faire un simple copier-coller et transformer cette nouvelle arrivante en une Fiat 500 qui aurait un peu trop mangé à la cantine.
Au contraire, notre modèle d’essai s’en distingue par de nombreux éléments, à commencer par le bouclier avant très différent. Ce dernier arbore de larges prises d’air et affiche un dessin qui peut sembler un peu déroutant au premier abord, un peu moins élégant que sur la 500. Il est surmonté par une calandre dont le dessin a légèrement été modifié. Elle intègre notamment une ouverture inédite, juste en-dessous du monogramme 600. Vous avez d’ailleurs sans doute remarqué qu’aucun logo Fiat n’était présent sur la voiture. Est-ce une volonté de mettre cette nouvelle arrivante un peu à part dans le catalogue, afin peut-être de créer une famille à part entière ?
Pour le moment, rien n’a encore été confirmé par la marque. Celle-ci a offert à sa 600 les mêmes optiques qu’à sa citadine, tandis qu’elle affiche un visage un peu plus jovial que sa petite soeur qui avait gagné en agressivité avec cette nouvelle génération. Quoi qu’il en soit, notre voiture d’essai cache bien son lien de filiation avec les autres modèles électriques du groupe Stellantis, dont les DS 3 E-Tense et autres Peugeot e-208, dont nous avons récemment découvert la version restylée. Même chose à l’arrière, où nous découvrons des feux carrés qui nous rappellent ceux de la 500X, que cette 600 va remplacer.
Pour le moment, Fiat ne communique pas encore sur le Cx (coefficient de trainée) de son véhicule, mais sa silhouette et sa garde au sol élevée laissent tout de même présager qu’il sera relativement élevé. Cependant, les dimensions de la 600 restent relativement compactes, avec une longueur affichée à 4,17 mètres pour 1,52 mètre de haut et 1,98 mètre de large. Conformément à ses récentes annonces, Fiat ne propose aucune nuance de gris dans le catalogue de son SUV, mais il est possible d’opter pour du noir ou du blanc, et pour des teintes plus fun comme le bleu Sky of Italy ou le orange Sun of Italy.
Habitabilité : tout le confort qu’il faut
Vous venez de le voir, la nouvelle Fiat 600 affiche des dimensions assez contenues et se montre plus compacte que sa cousine, la Peugeot e-2008 par exemple. Forcément, cela se ressent au niveau de l’empattement, qui mesure 2,56 mètres, soit cinq petits centimètres de moins que celui du SUV tricolore. Nous pourrions logiquement nous attendre à nous sentir un peu à l’étroit dans le poste de conduite de notre modèle d’essai. Or, soyez rassurés, ce n’est absolument pas le cas, et contre toute attente, c’est même le contraire. En effet, la 600 se révèle en fait assez spacieuse et parfaitement adaptée à des trajets plus longs.
L’habitabilité est plus que correcte, et le conducteur ainsi que son passager sont très bien installés dans des sièges assez confortables, en plus d’être beaux à regarder avec leur motif reprenant le monogramme de la marque. Le maintien est suffisant, sans forcément qu’il soit trop présent non plus. Si l’assise est recouverte de cuir synthétique sur la version Prima coiffant la gamme, la version (RED), placée juste en-dessous s’habille quant à elle de Seaqual, un matériau fabriqué à base de bouteilles en plastique récupérées dans les océans puis recyclées. Ce dernier équipe également la nouvelle Fiat 500 électrique. À noter que les fonctions massage et chauffage sont livrées de série sur La Prima.
La position est idéale pour tous les gabarits grâce à une large amplitude de réglages, qui se font électriquement. À l’arrière, les passagers sont également très bien lotis, avec un espace aux jambes, à la tête et aux coudes très généreux. Le confort est là encore de mise et l’accès à bord est plutôt facile. De quoi faire de cette 600e une parfaite voiture familiale. D’autant plus qu’elle s’offre également de nombreux rangements dans le poste de conduite. Mais ce n’est pas tout, puisque le volume de coffre est assez généreux, puisqu’il est affiché à 360 litres lorsque la banquette arrière est en place.
À titre de comparaison, celui de la Peugeot e-2008 offre 434 litres, mais n’oublions pas que le SUV est aussi un peu plus grand. De son côté, la Jeep Avenger affiche 355 litres, tout comme la DS 3 E-Tense. On notera que le SUV italien affiche une belle dotation de série, incluant dès la finition d’entrée de gamme (RED) la climatisation automatique, l’ouverture et le démarrage sans clé ainsi que l’éclairage d’ambiance qui propose un choix allant jusqu’à huit teintes. Une première pour la marque, qui veut se distinguer par sa philosophie joyeuse et colorée. Pari réussi avec le SUV compact !
Infodivertissement : pratique mais pas too much
Certains constructeurs se sont lancés dans une grande guerre afin de savoir qui proposera le poste de conduite le plus technologique et le plus impressionnant. On pense par exemple à Mercedes avec son Hyperscreen sur son EQS par exemple. Mais ce n’est pas vraiment la philosophie de Fiat, qui tient à rester une marque accessible au grand public. Et cela passe forcément par une dotation technologique simplifiée. Cependant, pas question de faire l’impasse sur les équipements indispensables pour le conducteur, puisque l’on retrouve notamment un écran tactile de 10,25 pouces en format horizontal.
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Ce dernier est légèrement plus grand que celui de la Peugeot e-2008, que nous avions pu tester plus tôt cet été. En revanche, il est strictement identique à celui que l’on retrouve dans le poste de conduite de la Jeep Avenger. Cependant, le constructeur italien a fait le choix d’équiper la dalle numérique de son SUV urbain d’un autre système d’info-divertissement, à savoir le Uconnect de dernière génération. Ce dernier affiche des graphismes assez modernes et se montre très intuitif à utiliser, même si comme dans la plupart des cas, un petit temps d’adaptation sera tout de même nécessaire au début.
Bien sûr, celui-ci est compatible avec Apple CarPlay et Android Auto sans fil, bien qu’il soit également doté de la navigation GPS embarquée fourni par TomTom sur la version La Prima. Toutes les fonctionnalités sont centralisées sur l’écran, bien que plusieurs raccourcis sont disponibles juste en-dessous. La climatisation reste quant à elle réglable via de vrais boutons, ce qui n’est pas une mauvaise chose, bien au contraire. La dalle est associée à un petit combiné numérique de 7 pouces qui affiche les informations relatives à la conduite de manière très claire. Dommage cependant qu’il ne soit pas plus personnalisable, contrairement à ce qui se fait chez Peugeot par exemple.
En revanche, le conducteur devra faire l’impasse sur l’affichage tête-haute qui ne fait pas partie de la dotation du SUV électrique. Ce dernier offre en revanche de nombreux équipements très pratiques, comme un socle pour recharger son smartphone en induction ainsi que des prises de type USB-A et USB-C à l’avant et à l’arrière. On déplore cependant que la voiture ne soit pas équipée d’un planificateur d’itinéraire, tout comme le reste des électriques du groupe Stellantis, de la DS 3 E-Tense à la Jeep Avenger en passant par la Peugeot e-208.
Aides à la conduite : une dotation généreuse
Nous l’avons vu, la nouvelle Fiat 600e est plutôt bien équipée en ce qui concerne l’info-divertissement, sans pour autant que cela soit too much et que les clients risquent d’être perdus. Ce qui est par exemple un peu le cas sur la nouvelle Peugeot e-3008, que nous avons pu découvrir quelques semaines plus tôt. Mais qu’en est-il des aides à la conduite ? Et bien là encore, le SUV urbain n’a rien à envier à des modèles plus haut de gamme. Ce dernier se décline en deux finitions seulement, à savoir (RED) et La Prima. De quoi simplifier le catalogue et donc le choix des clients.
Le premier niveau offre une dotation assez classique, mais suffisante, offrant un bon compromis entre prix abordable et sécurité. Parmi les équipements livrés de série, citons entre autres l’alerte de franchissement de ligne, le freinage autonome d’urgence, la reconnaissance des panneaux de signalisation ou encore le régulateur et limiteur de vitesse. Sans surprise, il faudra opter pour la version La Prima pour profiter d’un choix encore plus large et de prestations plus haut de gamme. Bien que celles proposées sur la version la moins chère soient déjà largement à la hauteur des attentes.
La variante la plus chère ajoute pas mal d’aides à la conduite, dont la caméra de recul à 180 degrés, la commutation automatique entre les feux de route et de croisement ainsi que le détecteur d’angles morts et les radars de stationnements à l’avant et à l’arrière. Mais ce n’est pas tout, puisqu’elle est également livrée de série avec la conduite semi-autonome de niveau 2. Une technologie que l’on retrouve également sur la DS 3-Tense, que nous avions rapidement pu tester sur voies rapides.
Le fonctionnement devrait être peu ou prou le même sur la Fiat 600e, mais nous n’avons malheureusement pas eu l’occasion de l’essayer durant notre prise en mains. Pour mémoire, le système testé chez DS était encore largement perfectible, puisqu’il avait un peu de mal à rester bien centré dans la voie et rencontrait quelques difficultés dans les virages. Reste à savoir si Fiat l’a retravaillé afin d’offrir de prestations un peu plus convaincantes, ce que nous verrons dans une prise en mains un peu plus détaillée.
Conduite : de bonnes prestations en ville
Si le SUV urbain se décline en deux finitions, les clients n’auront pas le choix en ce qui concerne la motorisation. Cette dernière n’est d’ailleurs pas vraiment une surprise, puisque la Fiat 600e reprend la chaîne de traction électrique de tous les autres modèles électriques de Stellantis. Nous retrouvons sous son capot le moteur de 156 chevaux et 260 Nm de couple, qui lui permet de réaliser le 0 à 100 km/h en 9 secondes pour une vitesse maximale de 150 km/h. Vous l’aurez compris, la grande sœur de la Fiat 500 n’a aucunement vocation à afficher un tempérament dynamique. Et ça se voit dans la conduite.
Cette nouvelle venue repose sur la plateforme eCMP, là encore commune à tous les modèles électriques de la firme franco-italienne et qui offre une excellente tenue de route. Cependant, le confort est ici privilégié, grâce notamment à un typage très souple des suspensions, qui ne gomme cependant pas tous les défauts de la route. Ce dernier permet toutefois de ménager le dos des passagers, au détriment du dynamisme global.
La prise de roulis reste assez forte, et ce malgré l’implantation des batteries sous le plancher qui limitent les dégâts. À noter que la voiture reste somme tout assez légère, puisqu’elle affiche un poids contenu de 1 520 kilos, ce qui reste raisonnable pour un modèle électrique.
Outre l’amortissement, la direction se montre aussi très légère, ce qui est très bien en ville, mais un peu moins sur des routes plus sinueuses, puisque la remontée d’informations est insuffisante. Cependant, il faut se souvenir que la 600e reste avant tout destinée à la ville, bien qu’elle soit un peu plus grande qu’un Jeep Avenger par exemple.
Plusieurs modes sont proposés, dont un Sport qui libère un peu plus de puissance et offre une meilleure réactivité, sans changer quoi que ce soit à la fermeté de la direction. En revanche, le mode Eco n’est pas idéal, bridant un peu trop la voiture même en ville, où la voiture se débrouille bien grâce à son court diamètre braquage.
Si l’insonorisation est globalement très bonne, on déplore tout de même quelques bruits aérodynamiques à haute vitesse et sur l’autoroute. Mais rien de rédhibitoire pour autant, d’autant plus que la voiture se comporte très bien dans cette situation. Le freinage est quant à lui efficace mais pas forcément très facile à gérer, la pédale nécessitant que l’on appuie un peu fort. Au risque de freiner un peu trop si l’on n’a pas l’habitude. Si la voiture est équipée d’un mode B permettant d’accroître la régénération au freinage, elle n’est en revanche pas dotée de la conduite à une pédale.
Autonomie, batterie et recharge
Comme Peugeot ou Citroën, Fiat devrait bientôt opter pour des batteries LFP (lithium – fer – phosphate) sur ses futures voitures électriques. Une technologie qui possède l’avantage d’être moins coûteuse, mais d’offrir une densité énergétique inférieure à la chimie NMC (nickel – manganèse – cobalt). C’est justement cette dernière qui est actuellement utilisée par Stellantis sur ses modèles zéro-émission (à l’échappement) et que l’on retrouve sur la 600e. Cette dernière reprend la batterie de 54 kWh bruts (51 kWh nets) des Peugeot e-208 et autres Jeep Avenger, qui annonce une autonomie de 406 kilomètres selon le cycle d’homologation européen WLTP.
Un chiffre qui varie bien évidemment selon les conditions atmosphériques, les équipements utilisés ou encore le style de conduite. Durant notre essai, l’itinéraire emprunté était plutôt vallonné, ce qui a évidemment eu un impact sur la consommation. Cette dernière tournait en moyenne autour des 16 kWh/100 kilomètres, ce qui reste proche des estimations du constructeur, annoncées à 15,1 kWh/100 kilomètres en prenant compte des pertes d’énergie liées à la recharge.
Selon nos calculs, l’autonomie réelle se rapprocherait plutôt des 350 kilomètres, ce qui reste plus que correct, quand on sait que pouvoir parcourir une longue distance en une seule charge n’est plus vraiment indispensable aujourd’hui. En cycle purement urbain, le SUV peut rouler pendant 591 kilomètres avant de vider la batterie.
La voiture est compatible avec la charge rapide en courant continu et demande 27 minutes pour passer de 20 à 80 % sur une borne de 100 kW, ce qui reste raisonnable, mais loin derrière les leaders du marché. Le constructeur a ici fait le choix d’une architecture 400 volts et non pas 800 volts, au contraire d’une Kia EV6 par exemple, qui demande moins de 20 minutes pour atteindre les 80 %. Dommage, d’autant plus qu’il semble que le changement ne soit pas d’actualité, tandis que ce système est aussi présent sur la nouvelle e-3008. À noter que la Fiat 600e peut se charger sur une borne en courant alternatif à 11 kW en 5h45.
Bonne nouvelle, le SUV urbain est aussi livré de série avec une pompe à chaleur, qui permet de réduire légèrement la consommation électrique en hiver. Cependant, nous expliquions dans un précédent article que cet équipement n’était pas forcément utile en ville et lors des courts trajets, ce à quoi se destine pourtant majoritairement la Fiat 600e. À noter qu’il est possible de planifier la charge grâce à l’application eSolutions Charging, afin notamment de profiter des heures creuses lorsque votre voiture est branchée sur une wallbox à la maison.
Prix, concurrence et disponibilité
La nouvelle Fiat 600e démarre à partir de 35 900 euros, un prix auquel il faut déduire le bonus écologique de 5 000 euros. Ce dernier devrait subsister l’année prochaine, alors que le SUV est fabriqué en Pologne, au sein de l’usine de Tichy. Ce tarif est valable pour la finition d’entrée de gamme (RED), tandis que la version La Prima débute à 40 900 euros (hors bonus écologique). Dans les deux cas, l’autonomie est identique à quelques kilomètres près, passant de 406 à 409 kilomètres pour l’entrée de gamme en raison d’un équipement moins important. À noter qu’une version hybride sera aussi proposée en France à terme.
Comme le Jeep Avenger (à partir de 36 500 euros) la Fiat 600e est plutôt qualifiée par la marque de citadine surélevée que de SUV à part entière. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir de nombreuses rivales, d’abord au sein même du groupe Stellantis. Citons notamment la Peugeot e-2008 restylée, qui démarre à partir de 34 800 euros avec une fiche technique strictement identique. On pourrait également comparer la 600e à la DS 3-Tense, qui coûte actuellement 41 700 euros et qui affiche un positionnement un peu plus premium. Mais le SUV italien possède aussi quelques rivales en dehors de sa maison-mère.
Citons par exemple la Volkswagen ID.3, qui affiche un ticket d’entrée à 42 990 euros et une autonomie de 427 kilomètres en cycle mixte pour une puissance de 204 chevaux. Le Hyundai Kona Electric, que nous avions pu découvrir en avant-première fait aussi un concurrent de choix pour notre Fiat 600e, avec un prix d’appel de 37 000 euros.
Enfin, on peut également citer la Tesla Model 3, qui démarre à 42 990 euros avec une autonomie de 41 990 euros ainsi que la Renault Mégane E-Tech et ses 33 000 euros. Cette dernière peut parcourir jusqu’à 300 kilomètres avec la petite batterie de 40 kWh.
On peut aussi la comparer à l’excellente MG4, disponible à partir de 29 990 euros et la BYD Dolphin, à partir de 28 990 euros.
Les premières livraisons devraient débuter au cours du mois d’octobre dans les concessions de la marque. On ne sait pas encore si d’autres versions verront le jour un peu plus tard, dont une déclinaison retravaillée par Abarth par exemple. La Fiat 500e a quant à elle déjà le droit à ce traitement, que nous avions pu mettre à l’épreuve sur circuit quelques mois plus tôt.
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