Test de la Garmin fēnix 8 Solar : ambition solaire, déception financière

La gamme fēnix est désormais divisée en deux parties : d’un côté les fēnix 8 avec un écran Amoled et de l’autre les fēnix 8 Solar avec un écran MIP, doté de la recharge solaire. C’est cette dernière version que nous testons aujourd’hui. Notre test de la Garmin fēnix 8 (Amoled donc) est déjà disponible depuis octobre 2024.

Recharge solaire optimisée, autonomie étendue, écran agrandi, fonctionnalités de plongée, boutons revues et intégration d’un micro et d’un haut-parleur. Sur le papier, ces nouveautés rendraient la fēnix 8 Solar sexy.

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Nous l’avons portée jours et nuits pendant plus de deux mois et, en plus de l’utiliser pour tous nos entraînements, nous avons pu la trimballer sur un trail nocturne de 100 km — une bonne occasion de tester son autonomie. C’est parti pour notre avis complet sur la Garmin fēnix 8 Solar.

Garmin Fenix 8 SolarFiche technique

Ce test a été réalisé avec une Garmin Enduro 3 prêtée par Garmin.

Garmin Fenix 8 SolarUn design fēnix que l’on connaît

La fēnix 8 Solar offre sans grande surprise le look très coutumier des montres Garmin haut de gamme, et plus spécifiquement de la gamme fēnix. La montre a une allure robuste, sans trop en faire non plus.

Côté dimensions, la fēnix 8 Solar n’est plus proposée dans les trois tailles habituelles : exit la petite version 42 mm, il faudra choisir entre le modèle 47 mm et 51 mm. Nous testons ici la version standard de 47 mm.

À tailles égales (boîtier de 47 mm), voici les dimensions et la masse des Garmin fēnix 7 Pro, Garmin fēnix 8 Amoled et Garmin fēnix 8 Solar :

L’écart d’épaisseur entre les versions MIP (fēnix 7 Pro et fēnix 8 Solar) et Amoled s’explique précisément par la place prise par les écrans, d’autant plus que les modèles MIP bénéficient d’un panneau solaire. Vous remarquez aussi que la fēnix 8 Solar est seulement proposée dans sa lunette en titane.

Toujours aussi résistante, la fēnix 8 Solar peut techniquement tenir le coup face à une pression équivalente à 100 mètres de profondeur.

Justement, la seule réelle différence de design entre la fēnix 7 Pro et la fēnix 8 Solar concerne les nouveaux boutons inductifs. Leur fonctionnement se fait désormais sans pièces mobiles, là où une action mécanique traditionnelle avait bien lieu sur la fēnix 7 Pro.

De quoi permettre une étanchéité accrue et justifier le déblocage de fonctions de plongée jusqu’à 40 mètres.

Nous y reviendrons plus tard, mais nous n’avons pas été convaincus par ces nouveaux boutons. Ils se comptent d’ailleurs toujours au nombre de cinq, avec la même disposition : trois à gauche et deux à droite.

Passons à une meilleure nouvelle : la fēnix 8 Solar conserve la très pratique lampe torche logée sur la tranche haute du boîtier. Activable avec une double pression du bouton supérieur gauche, cette lampe LED nous est aussi utile que notre flash de téléphone lorsqu’on cherche quelque chose dans l’obscurité.

La fēnix 8 Solar embarque la version Elevate Gen 5 de son capteur cardio optique, la plus avancée à ce jour. Nous l’avons testée dans la partie dédiée de cet article. Enfin, le bracelet est de taille standard 22 mm et bénéficie de l’accroche QuickFit.

Garmin Fenix 8 SolarUn écran MIP avec une recharge solaire améliorée

Par défaut, la gamme fēnix est désormais proposée avec un écran Amoled. C’est pourquoi il faut volontairement se diriger vers la version « Solar » de la fēnix 8 pour profiter d’un écran MIP.

Les avantages ? Un écran qui sera toujours parfaitement lisible sous le soleil et qui permettra une autonomie accrue, car moins consommatrice et compatible avec la recharge solaire.

Les désavantages ? Un écran bien moins défini, aux couleurs bien moins éclatantes et à la luminosité limitée dans l’obscurité. À titre d’exemple, l’écran de la fēnix 8 Amoled affiche 454 × 454 pixels, contre 260 × 260 pour la fēnix 8 Solar. Chacun ses besoins, chacun ses choix.

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À noter que, pour la même taille de boîtier (47 mm), l’écran de la fēnix 8 Solar est plus petit que celui de la version Amoled : 1,3 pouce contre 1,4 pouce.

Revenons sur cette recharge solaire. Si Garmin annonce avoir intégré une version « Power Glass 2.0 » avec une augmentation de 50 % sur l’efficacité, la météo lors de notre test (de décembre 2024 à février 2025) ne nous a malheureusement pas permis de vérifier ces avancées. Reste que cette technologie sert plus à limiter la décharge de la batterie qu’à l’augmenter. Elle sera utile à ceux qui sont très souvent en extérieur, dans un pays fortement ensoleillé.

Rien à signaler sur l’écran de la fēnix 8 Solar. Il a été parfaitement lisible lors de nos deux mois de test, de jour comme de nuit. Dans les conditions de faible luminosité, l’activation du rétroéclairage est très réactif.

Garmin Fenix 8 SolarDeux nouveautés peu convaincantes

Les nouveaux boutons et l’assistant vocal

Parmi les quelques nouveautés de la gamme fēnix 8, une était censée améliorer l’expérience utilisateur (les commandes vocales) et l’autre aurait dû passer inaperçue (les nouveaux boutons inductifs). Loupé, c’est tout l’inverse.

Commençons par l’ajout d’un réel haut-parleur et d’un micro, qui débloque trois usages : les appels téléphoniques, les commandes vocales et l’enregistrement de notes géolocalisées. Pour le premier, rien à signaler. À condition de laisser son téléphone connecté à la montre (qui n’a pas de connectivité 4G), on peut en effet se servir de la montre pour écouter et parler à son interlocuteur. La qualité sonore est passable, mais peut dépanner si nos mains sont prises.

Concernant les commandes vocales, les choses se corsent. Si l’appui long sur le bouton supérieur droit déclenche bien ce simili assistant Garmin, le taux de réussite est étonnamment bas, alors même que nous avons réalisé nos tests en anglais.

Ainsi, « lance une activité randonnée » a déclenché une activité chasse (j’ai un accent français certes, mais il y a des limites). Il nous a aussi fallu trois tentatives pour mettre en route un minuteur, si bien que nous n’avons tout simplement plus jamais réessayé d’utiliser les commandes vocales lors de notre test. Habitués au Google Assistant, Siri et autres assistants conversationnels, nous ne nous voyons pas utiliser celui de Garmin, bien trop limité et peu efficace. Ce n’est pas faute d’avoir essayé.

Enfin, les notes vocales nécessitent de connecter la montre via un port USB pour récupérer les fichiers. Sans synchronisation Bluetooth, nous n’avons pas vraiment saisi l’utilité de cet ajout. Il est toujours possible d’écouter les vocaux enregistrés depuis le haut-parleur de la montre, mais nous avons du mal à cerner la cible.

Passons maintenant à la nouveauté matérielle qui a selon nous légèrement modifié l’expérience utilisateur : les boutons inductifs. Si l’explication de Garmin (sans pièce mécanique donc très étanche) débloque bien un réel usage de plongée, force est de constater que les boutons sont moins agréables à utiliser qu’auparavant.

La course semble plus longue et il faut ainsi effectuer un vrai appui pour déclencher l’action. Autrement dit, nous avons fréquemment dû nous y reprendre à deux fois, que cela soit dans un usage quotidien ou lors d’une course, ce qui est plus embêtant. Pour être plus précis, en tout cas sur notre modèle de test, le bouton inférieur gauche demandait une pression plus forte pour être pressé. C’est bête car c’est l’un des boutons les plus utilisés, pour faire défiler les cadrans et les menus par exemple.

Pour quelqu’un qui plonge une fois tous les trois ans, je préfèrerais largement le retour des boutons mécaniques que l’apparition de cette version inductive, même si techniquement plus avancée. Comme le dit l’adage, si ce n’est pas cassé, pas besoin de le réparer

Interface et application

La fēnix 8 Solar embarque 32 Go de stockage, comme la plupart des montres haut de gamme Garmin. L’interface a quelque peu évolué et nous vous redirigeons vers notre test de la Fenix 8 Amoled si vous souhaitez en savoir plus.

Retenez que le bouton central gauche déclenche désormais l’affichage des notifications, alors que son ancienne action redirigeait vers le bas de la frise des menus. Aussi, le bouton supérieur droit ouvre maintenant un menu général regroupant plusieurs options (activités, carte, horloge), contrairement à l’ancien fonctionnement qui affichait directement la liste des activités.

Pour le reste, on garde l’habituelle navigation au tactile ou avec les cinq boutons. De mon côté, au-delà de l’affichage des notifications, je suis toujours ravi de pouvoir afficher les prochains événements de mon calendrier, de pouvoir payer avec Garmin Pay et de me servir de la lampe LED intégrée pour éclairer brièvement mon chemin la nuit.

Enfin, nous n’écrirons pas plus que ça sur l’application Garmin Connect, déjà fréquemment détaillée lors de nos différents tests Garmin. L’application, inchangée depuis sa refonte de mars 2024, conserve ses forces et ses faiblesses. Si son interface gagne en personnalisation et en esthétisme, certains défauts persistent : des parcours labyrinthiques pour accéder à des menus essentiels, une catégorie « entraînements » mal hiérarchisée et une impression générale de finition à mi-chemin.

Garmin excelle dans la richesse des données et des réglages proposés, mais l’expérience utilisateur en pâtit parfois. On s’en rend surtout compte lorsqu’on goûte aux applications des concurrents Suunto et Coros.

Garmin Fenix 8 SolarTous les sports, et même de la plongée maintenant

Gamme fēnix oblige, la fēnix 8 Solar peut être utilisée pour une multitude de sports, avec en première ligne la course à pied, natation et vélo. La montre est faite pour les activités d’extérieur, mais elle pourra également vous accompagner lors de vos sessions de yoga ou de musculation, avec des programmes dédiés.

Si cette diversité n’est que rarement exploitée, il est toujours agréable d’utiliser des modes sportifs le temps d’un séjour, au ski par exemple. Dans ce cas précis, on retrouve alors sur la cartographie les couleurs des pistes, avec leurs noms et ceux des remontées mécaniques. Même idée avec les parcours de golf.

Mieux, la fēnix 8 Solar est le premier modèle de la gamme à proposer de véritables profils sportifs dédiés à la plongée sous-marine et à l’apnée — tout comme la fēnix 8 Amoled, on s’entend. Pour être plus précis, la montre a été testée avec la norme EN13319 et une résistance jusqu’à 40 mètres.

Garmin explique que cela est permis par les nouveaux boutons inductifs de la montre, plus résistants à l’eau et à la pression. Soit. En plus de justifier un peu mieux ce nouveau modèle, cet ajout permet à la marque de répondre à la montre Ocean du concurrent Suunto, qui combine profils outdoor et de plongée. Ainsi, il n’est désormais plus obligatoire de se tourner vers l’onéreuse gamme plongée de Garmin (Descent) pour utiliser sa montre en plongée.

Attention, la fēnix 8 Solar ne possède pas toutes les options de plongée : elle conviendra aux plongeurs occasionnels, tandis que les montres Descent répondront aux attentes des plongeurs techniques avec des besoins en mélanges gazeux complexes et une intégration sans fil des équipements.

Le reste des composants est on ne peut plus classique pour une montre de cet acabit : puce GNSS multibandes, capteur optique de dernière génération (Elevate Gen 5 chez Garmin), oxymètre de pouls et autres altimètre barométrique, gyroscope, accéléromètre, boussole. N’oublions pas la déjà citée lampe torche.

Bonne nouvelle, la montre a enfin vu l’arrivée du mode électrocardiogramme, longuement attendue par certains utilisateurs français. Côté fonctionnalités justement, la fēnix 8 Solar embarque le généreux ensemble des produits Garmin haut de gamme : charge d’entraînement, suivi du sommeil, de la récupération avec la VFC, scores en tout genre, programmes d’entraînement.

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Il y en a pour tous les goûts et il ne faut pas hésiter à faire du tri en masquant les menus qui vous sont inutiles. À trop en faire, on peut parfois s’y perdre un peu. Cette approche « Qui peut le plus peut le moins » vous garantit cependant de couvrir un maximum de vos besoins, surtout si c’est un premier achat.

Les trailers seront ravis d’utiliser le mode ClimbPro et Up Ahead, ainsi que la très complète cartographie Garmin. À la limite d’être surchargée, elle reste un excellent alié pour se repérer sur les chemins et garde l’avantage d’être routable et d’être chargée dans la montre dès son déballage.

La nouvelle cartographie dite dynamique de la fēnix 8 Solar permet ainsi un recalcul d’itinéraire en temps réel pour ajuster la distance cible en cas de déviation. Les nombreux calques de carte offrent une forte personnalisation et plaira aux bidouilleurs. Bidouilleurs qui pourront même se tourner vers l’abonnement annuel Outdoor Maps+ pour des couches cartographiques encore plus détaillées et des mises à jour fréquentes.

C’est très complet, mais on en attend plus de Garmin sur la réactivité de sa cartographie, encore trop saccadée par rapport à celle de Suunto, beaucoup moins complète mais plus légère.

La précision du GPS de la Garmin fēnix 8 Solar

J’ai sacrément envie d’expédier cette sous-partie du test avec un « Rien à signaler, c’est excellent. La suite maintenant ». Je n’en dirai pas vraiment plus. La Garmin fēnix 8 Solar bénéficie de l’expertise Garmin et d’une puce GNSS multibandes, comme toutes les montres milieu et haut de gamme de la marque.

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C’est cette puce qui reste généralement la plus précise lors de nos différents tests, en ville comme en montagne. Le mode intelligent dit SatIQ proposé par Garmin est toujours aussi efficace pour combiner précision et autonomie. Attention au mode GPS unique, qui offre des performances sans surprise bien moins bonnes, mais qui allonge grandement l’autonomie de la montre.

L’acquisition des satellites (ce moment où tu attends bêtement que ta montre soit prête avant de commencer à courir) est de plus en plus rapide, alors qu’il était déjà parmi les plus vifs du marché.

La précision de la fréquence cardiaque de la Garmin fēnix 8 Solar

Le capteur cardio optique utilisé sur la Garmin fēnix 8 Solar est le même que celui utilisé sur la fēnix 7 Pro et l’epix Pro. Considéré à juste titre comme l’un des meilleur du marché (avec ceux des Apple Watch et des Huawei Watch), ce capteur a montré ses limites lors de notre test.

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Étrangement dans les choux lors d’un bon nombre de séances, nous mettons ces erreurs sur le compte des températures bien fraîches de cet hiver 2024-2025.

Si d’autres séances ont pu révéler son habituelle précision, reste que la technologie employée est fortement dépendante de nombreux facteurs : couleur de la peau, pilosité, taille de poignet, positionnement, ajustement, température et lumière ambiante, etc. Ce sont surtout les vibrations causées par les mouvements de la séance (trail running, vélo gravel…) qui mettent à mal la bonne mesure de la fréquence cardiaque.

Vous trouverez difficilement mieux chez la concurrence, mais nous ne pouvons que vous conseiller d’investir une petite centaine d’euros supplémentaires dans une ceinture cardiofréquencemètre. Justement, voici le bilan des deux comparaisons avec notre modèle de Garmin fēnix 8 Solar.

Comparaison des fréquences cardiaques moyennes :

Comparaison des fréquences cardiaques maximales :

Garmin Fenix 8 SolarUne hausse de l’autonomie

Avec son écran MIP, la fēnix 8 Solar propose logiquement une autonomie plus généreuse que sa soeur la fēnix 8 (Amoled). Nous avons regroupé quelques exemples partagés par la marque, en prenant comme base de comparaison les versions 47 mm et en ajoutant les autonomies de la fēnix 7 Pro.

On remarque donc, sur le papier, une sacrée augmentation de l’autonomie par rapport à la fēnix 7 Pro, qui n’était déclinée qu’en version MIP, et avec qui il est donc tout à fait logique de comparer la fēnix 8 Solar.

Maintenant, voici nos résultats terrain après avoir utilisé la montre pendant deux mois, en la portant la nuit et lors de tous nos entraînements :

En ressortant notre test de la fēnix 7 Pro, on se rend compte que la fēnix 8 Solar a tenu 2 jours de plus, avec pourtant 2 heures d’utilisation de la puce GPS en plus, ou qu’elle a tenu 3 jours de plus avec 9 heures de sport en plus. L’évolution est donc bien là et il est important de le souligner. Eh encore, nous n’avons pas pu tester l’amélioration de la recharge solaire.

Si d’autres modèles font mieux (Coros Vertix 2S, Garmin Enduro 3, Suunto Vertical), la Garmin fēnix 8 Solar délivre une solide prestation.

Pour les curieux, sachez que la montre est passée 100 % à 53 % sur un trail nocturne, après plus de onze heures d’effort, en mode GNSS multibandes, le plus précis donc.

Comptez environ 2 heures pour une recharge complète. C’est long…

Garmin Fenix 8 SolarAppel et communication

Dommage, Garmin n’a pas profité du lancement de ses nouvelles fēnix pour leur ajouter une connectivité 4G. On se consolera avec l’intégration d’une haut-parleur et d’un micro, pour passer des appels depuis sa montre si et seulement si votre téléphone y est connecté — c’est lui qui gère l’appel.

Garmin Pay est toujours de la partie : vous pourrez, sans connexion et sans téléphone cette fois, payer vos courses avec votre montre, à condition d’avoir enregistré votre carte bancaire compatible au préalable.

Garmin Fenix 8 SolarPrix et date de sortie : ça cogne

Alors que la fēnix 7 Pro était déclinée en trois tailles (7S, 7 et 7X) et deux versions (Solar et Sapphire Solar), la fēnix 8 Solar se concentre sur deux tailles (8 et 8X) et une unique version Sapphire Solar.

Vous le voyez venir ? On perd donc les variantes et les tailles les « moins chères ». Pire, on augmente même le prix à version équivalente.

• Garmin fēnix 8 Solar (Sapphire) à 1 099,99 € (contre 949,99 € pour la Garmin fēnix 7 Pro Sapphire Solar) ;
• Garmin fēnix 8X Solar (Sapphire) à 1 199,99 € (contre 1 049,99 € pour la Garmin fēnix 7X Pro Sapphire Solar).

On parle tout de même d’une hausse de 14 % à 16 %.

À titre informatif, la Garmin fēnix 7 Pro Solar (non Sapphire) était affichée à 849,99 € à son lancement, soit 250 euros de moins que la Garmin fēnix 8 Solar (Sapphire).

Fait intéressant, les déclinaisons AMOLED de la fēnix 8 sont au même prix que les versions Solar, voire moins chères si choisies avec leur boîtier en acier.