Erratum du 28/03/2022
Nous avons initialement émis l’idée que Google concurrencerait Doctolib si la fonctionnalité était déployée en France, ce qui ne sera pas le cas puisque la prise de rendez-vous s’effectue sur des plateformes tierces. Par ailleurs, aucune donnée n’est partagée avec Google, puisque les créneaux seront justement réservés sur lesdites plateformes tierces.
Article original du 25/03/2022
En France, Doctolib a quelque peu révolutionné la prise de rendez-vous médicaux. Terminés les coups de téléphone à son médecin traitant, place à quelques petits clics sur votre smartphone via une application mobile, et le tour est joué. Google, d’une certaine manière, va tenter d’apporter lui aussi sa pierre à l’édifice.
La firme de Mountain View a en effet présenté ses ambitions en la matière dans un billet de blog. L’idée est simple : en recherchant une structure médicale ou le nom d’un médecin depuis le navigateur web Chrome, ce dernier affiche un onglet détaillé pour prendre un rendez-vous selon vos besoins.
Seulement aux USA
Le groupe californien prend l’exemple de San Francisco MinuteClinic, qui propose des services liés au Covid-19, à la vaccination, à des problèmes dermatologiques ou d’autres types de rendez-vous. Pour chacune de ces thématiques médicales, un bouton « réserver » est alors proposé, avec le créneau (date) disponible le plus tôt possible.
Si vous cliquez dessus, Google vous dirige vers un site tiers pour finaliser votre démarche et booker votre rendez-vous. Ni plus, ni moins. Pour le moment, cette fonctionnalité est bien évidemment réservée aux USA. Le géant californien espère ajouter d’autres fonctionnalités et renforcer son réseau partenaire par la suite.
Des ambitions internationales ?
Car à l’heure d’écrire ces lignes, le projet en est encore à ses débuts. L’exemple de MinuteClinic n’est pas anodin, puisque cette division de CVS Health – plus importante chaîne américaine de pharmacies, produits cosmétiques et soins – est justement un partenaire de l’entreprise. À l’avenir, d’autres groupes pourraient le rejoindre.
Logiquement, on peut également se demander à quel point Google souhaite exporter cette fonctionnalité à d’autres pays dans le monde. Et si, un jour, l’Europe et plus précisément la France feront partie de ses petits papiers.
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