Comme au premier trimestre de l’année, Alphabet – qui est donc à la tête de Google – publie des résultats financiers en hausse. Pour le deuxième trimestre donc, Alphabet a engrangé des bénéfices nets de 4,877 milliards de dollars, contre 3,931 milliards de dollars à la même période un an plus tôt. Le chiffre d’affaires de l’entreprise a quant a lui crû de 21 % sur un an, passant de 17,727 milliards à 21,5 milliards de dollars.
La publicité, la clé du succès
Alphabet détaille également les résultats financiers de Google, à la tête d’Android, qu’il sépare de ses « autres activités » (Google X, par exemple). C’est évidemment de là que l’entreprise américaine tire l’essentiel de ses revenus, avec 21,315 milliards d’euros de revenus, contre 185 millions de dollars de chiffre d’affaires. Des revenus issus pour une large part de la publicité, puisqu’elle a généré 19,143 milliards de dollars au deuxième trimestre 2016, contre 16,023 milliards l’année précédente (+19 %).
« Nos magnifiques résultats pour le deuxième trimestre, avec 21 % de croissance des revenus sur un an, et 25 % sur une base constante, reflètent les investissements judicieux que nous avons réalisés ces dernières années, en misant sur des secteurs en croissance tels que le mobile et la vidéo », commente Ruth Porat, la responsable financière d’Alphabet. Alphabet ne détaille toutefois pas la part de la publicité mobile dans les revenus de Google et donc, pas extension, d’Alphabet.
Notre émission Twitch SURVOLTÉS, c’est un mercredi sur deux de 17h à 19h : retrouvez-vous nous pour parler voiture électrique ou vélo électrique, autour de débats, d’interviews, d’analyses et de jeux !
Parce que tu crois que les plus grandes entreprises du CAC40 paient l'intégralité de leurs impôts au gouvernement français ? C'te blague... Entre les optimisations fiscales douteuses, les exiles bancaires et les sociétés écrans...il n'y a plus grand chose à reverser. "Plus les entreprises ont des activités à l'étranger et plus le taux baissera mathématiquement", explique Gianmarco Monsellato, avocat chez Taj, dans Les Echos. Ainsi en France, le taux marginal d'impôt sur les sociétés est de 34,4%. Or selon une étude de la Banque mondiale et de PwC, le taux d'imposition réel ne serait que de 8,7%. Comprendra qui pourra...
Et, pendant ce temps, certains , ici,crachent sur les politiques français et européens qui essaient de limiter le nouveau monopole mondial de Google.... Tout comme le gouvernement américain, pourtant pas spécialement classé interventionniste, et qui, tous, tentent de leur faire payer leur quote part d'impôts pour nos routes, écoles, hôpitaux, justice, défense..... Comme n'importe quel autre acteur économique. Ca doit bien faire rigoler les dirigeants de Google, tous ces supporters pour défendre leurs bénéfices. Sinon, bien sûr, ils contribuent à la marche du monde. Il ne s'agit pas de les faire tomber, mais de protéger la libre concurrence (qui n'est plus possible en cas de monopole ou de duo pole) et de leur faire payer leur dû ?, comme nos entreprises françaises
Ce contenu est bloqué car vous n'avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par Disqus.
Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l'usage étant opéré par Disqus avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l'amélioration des produits d'Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l'audience de ce site (en savoir plus)
En cliquant sur « J’accepte tout », vous consentez aux finalités susmentionnées pour l’ensemble des cookies et autres traceurs déposés par Humanoid et ses partenaires.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment. Pour plus d’informations, nous vous invitons à prendre connaissance de notre Politique cookies.
Gérer mes choix