Test du Hisense 48A85H : une TV OLED avec beaucoup d’atouts technologiques

Une dalle intéressante à un prix qui l’est tout autant

Le téléviseur Hisense 48A85H est un modèle Premium doté d’une dalle OLED affichant une définition Ultra HD pouvant monter jusqu’à 120 Hz pour les jeux vidéo. Compatible Dolby Vision IQ et HDR10+ Adaptive, il propose un mode Filmmaker pour un rendu vraiment cinéma. Embarquant quelques prises HDMI 2.1, nous avons souhaité le tester pour voir ce qu’il valait. En voici nos impressions.
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Ce test est valable pour les variantes suivantes :

 

Fort d’une gamme complète de technologies d’affichage, la marque Hisense propose depuis peu quelques modèles de TV embarquant une dalle OLED signée LG Display. La série A85H profite d’un design intéressant, particulièrement fin, mais également pivotant. Elle est animée par le système Vidaa permettant un accès à toutes les plateformes de streaming, via du Wi-Fi 6, s’il vous plaît, et compatible avec les assistants vocaux.

En parfait accord avec son temps, ce téléviseur supporte les formats vidéo HDR, HDR10+ Adaptive, HLG et Dolby Vision IQ pour ne pas faire de jaloux et profiter des meilleurs rendus selon les services utilisés. Comptez sur la présence de deux prises HDMI 2.1 et de la compatibilité avec les technologies d’optimisation pour les consoles de dernières générations et les PC gaming tout en proposant un temps de retard à l’affichage des plus réduits via le Mode Jeu ; le tout en gardant une colorimétrie aussi fidèle que possible grâce au mode d’images Filmmaker.

Le Hisense A85H est disponible en 48, 55 et 65 pouces ; nous avons pu tester le modèle de 48 pouces. Voici notre avis complet.

Fiche technique

Modèle Hisense 48A85H
Dimensions 1068 mm x 660 mm x 291 mm
Définition maximale 3840 x 2160 pixels
Taille de l’écran 48 pouces
Compatible HDR HDR10, HDR10+, Dolby Vision
Ports HDMI 4
Compatible Surround DTS-X
Nombre de haut-parleurs 2
Puissance des haut-parleurs 60 watts
Sortie audio Haut-parleurs, Optique
Assistant vocal Google Assistant, Amazon Alexa, Vidaa Voice
Efficacité énergétique G
Indice de réparabilité ?
6,5/10
Prix 999
Fiche produit

Ce test a été réalisé avec un Hisense 48A85H prêté par la marque.

Design : un pied creux qui permet de faire pivoter l’écran

Le téléviseur Hisense 48A85H profite d’un design assez réussi, mais surtout très ergonomique.

À vrai dire, il reprend exactement celui de la série A85G de l’année précédente. L’écran est maintenu à environ 3,5 cm au-dessus du meuble sur lequel il est posé, par un pied assez large pour le tenir en parfait équilibre. Celui-ci mesure 56 cm de large pour 29 cm de profondeur en plus d’être rotatif, ce qui permet de faire pivoter l’écran de 20 degrés vers la droite ou vers la gauche pour trouver l’angle de vision idéal en fonction de la position du téléspectateur. C’est bien pensé et peut s’avérer utile.

Le pied est constitué d’une barre à l’avant qui s’avance de 12 cm approximativement, laissant peu d’espace pour placer une barre de son. L’écran est souligné par une barre assez fine qui contient les capteurs de luminosité et infrarouge en son centre.

Pour l’image, comptez sur un cadre noir de 5 mm auxquels il faut ajouter 2 mm de bordure sur les côtés et en haut, la partie basse étant très légèrement plus épaisse. Lorsqu’on fait le tour du téléviseur, on remarque immédiatement la texture appliquée sur la coque en plastique qui recouvre la partie contenant l’électronique. Celle-ci mesure environ 6,5 cm d’épaisseur alors que la dalle elle-même, à son point le plus haut, ne fait que 4 mm d’épaisseur, une caractéristique des écrans OLED, plus fins que les modèles LCD (quelle que soit la technologie de rétroéclairage utilisée). Un petit cache en plastique masque la visserie du pied et, juste derrière, un guide-fil permet de concentrer tous les câbles afin d’organiser leur fuite vers l’arrière du meuble.

Le téléviseur prêté par la marque proposait de très bonnes finitions, sans défaut de fabrication apparent, même après un examen minutieux de l’échantillon. Notez qu’il peut être accroché à un mur via un support à la norme VESA300.

Connectiques

Comme bien souvent, les connectiques sont reparties en deux pôles. Orientés horizontalement, il y a le port Ethernet, la sortie optique numérique et une prise USB-A. Dirigés vers le côté, donc plus facilement atteignables, on trouve les 4 prises HDMI dont deux sont à la norme 2.1 et une compatible eARC parmi celles-ci. Les deux autres prises HDMI sont à la norme 2.0. Certains peuvent regretter que toutes les prises HDMI ne soient pas 2.1, mais la faute est à rejeter sur le chipset intégré qui ne peut pas gérer 4 HDMI 2.1 comme celui des TV LG qui le supporte depuis plusieurs années maintenant.

On trouve également l’emplacement pour une carte PCMCIA, un port USB-A, une prise Antenne, une prise Satellite, une entrée analogique AV et une sortie casque.

Notez que le téléviseur est compatible Bluetooth et qu’il supporte la norme Wi-Fi 6, soit l’une des plus rapides actuellement pour profiter de très hauts débits. Les assistants vocaux Google, Alexa d’Amazon et Vidaa Voice sont accessibles. Un microphone est intégré au téléviseur pour les commandes vocales ainsi que sur la télécommande.

Image : un bon traitement pour la fluidité et une bonne calibration

Le téléviseur Hisense 48A85H utilise une dalle de type White-OLED fournie par LG Display comme les autres marques à l’exception de Samsung (S95B et S95C) et certaines gammes chez Sony (A95K) qui utilisent une dalle QD-OLED. Celle-ci peut afficher une définition Ultra HD avec une fréquence maximale de 120 Hz.

Elle supporte les technologies HLG, HDR10, HDR10+, HDR10+ Adaptive ainsi que le Dolby Vision IQ. Un capteur de luminosité adapte automatiquement le mode Dolby Vision Sombre (visionnage dans l’obscurité) ou Dolby Vision Personnalisé (visionnage en pleine journée).
Le téléviseur propose plusieurs modes d’image : Cinéma, Sport, Jeu et Filmmaker.

Pour des programmes de la TNT, le téléviseur propose une mise à l’échelle plutôt satisfaisante. L’image profite d’un bon piqué et d’un grand nombre de détails tout en assurant une bonne fluidité dans les scènes. Le meilleur rendu est obtenu avec le mode Filmmaker qui limite les traitements numériques de l’image.

Avec des contenus issus des plateformes de streaming, le téléviseur produit des séquences plus sombres que sur le modèle LG E9 (2019), mais propose un meilleur contraste entre les parties les plus éclairées de la scène et celles qui sont beaucoup plus sombres. Dans la série Le Seigneur des Anneaux : Les Anneaux de Pouvoir diffusée sur Prime Video, on peut voir de belles ombres, avec des détails ainsi qu’une excellente gestion des images HDR. Les couleurs sont très belles, mais pas assez vibrantes malgré tout. Le rendu « Cinéma » semble bien calibré, ce que nous vérifierons dans les mesures un peu plus bas. Les scènes d’action sont plutôt bien rendues avec des contours qui ne décrochent quasiment pas, même sur des mouvements extrêmement rapides.

Dans la série documentaire La Terre, La Nuit, diffusée sur Netflix, la Lune est magnifique et extrêmement détaillée lorsqu’elle apparait dans l’obscurité totale.

La Terre, la Nuit

La lecture de médias partagés sur le réseau est possible, via un lecteur intégré qui est parfaitement capable de jouer les films les plus exigeants comme notre film étalon Gemini Man en Ultra HD avec un débit de 80 Mbit/s. Les scènes d’action sont très bien reproduites avec une excellente fluidité et aucun décrochage autour des objets assurant un suivi quasi parfait. Nous pouvons seulement regretter un léger manque de punch dans les couleurs.

Avec des contenus SDR, c’est le mode Filmmaker qui permet d’obtenir les meilleurs résultats, du moins, un rendu « cinéma ». Nous avons pu mesurer une très bonne fidélité des couleurs puisque nous avons relevé un Delta E moyen de 1,88, soit une valeur inférieure au seuil de 3, en dessous duquel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur affichée et celle demandée. Le gamma moyen a été mesuré à 2,38, soit très proche de la valeur cible qui est de 2,4. La ligne de référence est relativement bien suivie jusqu’à 70 % de l’échelle de gris, puis le téléviseur a tendance à proposer une image sous-exposée pour revenir « dans les clous » pour les valeurs les plus claires.

La température moyenne des couleurs a été relevée à 6227 K, soit assez proche de la valeur cible qui est de 6500 K. Cela donne une image légèrement plus chaude que ce qu’elle devrait être. Étant donné qu’il s’agit d’une dalle OLED, on peut considérer que le contraste est ici infini.

Avec des contenus HDR, là encore, c’est le mode Filmmaker qui propose le meilleur calibrage en sortie de carton. Le téléviseur conserve sa fidélité des couleurs puisque nous avons mesuré un Delta E moyen de 1,61, ce qui est nettement inférieur au seuil de 3. Concernant le pic de luminosité, nous avons pu relever une mesure de 730 cd/m² ce qui est plutôt satisfaisant pour une dalle OLED. À titre de comparaison, c’est mieux que la Hisense 55A85G (510 cd/m²) et que le téléviseur Philips 55OLED807 (691 cd/m²), par exemple, mais moins bien que le LG 55C2 (782 cd/m²), le Philips 65OLED937 (840 cd/m²), le LG 65G2 (946 cd/m²), le Sony 55A95K (970 cd/m²), le Panasonic 65LZ2000E (995 cd/m²) ou que le modèle le plus lumineux à ce jour, le Samsung S95B (1066 cd/m²) en attendant le test de la série Samsung S95C qui promet un pic de luminosité encore plus élevé.

Enfin, concernant les espaces colorimétriques, le téléviseur couvre 100 % du rec709 et propose 77 % pour la couverture de l’espace BT2020, le plus exigeant. Il impressionne surtout avec 99,60 % pour l’espace DCI-P3 (60 % sur le BT2020 et 80 % sur le DCI-P3 pour la TV Hisense 55A85G). Rappelons que le téléviseur Panasonic 65LZ2000E avec sa dalle White-OLED, notre référence à l’heure de l’écriture de ces lignes sur cette technologie, propose des scores respectifs de 75 % et 99 %. Ce sont les modèles QD-OLED de Samsung et de Sony qui détiennent le record à ce jour dans ce domaine, couvrant l’espace colorimétrique BT2020 à 89 % et à 99 % pour le DCI-P3.

Le téléviseur n’est pas équipé de filtre antireflet, raison pour laquelle il peine vraiment à lutter contre les sources de lumière qui peuvent être présentes dans la pièce. Il faut donc privilégier des environnements les plus sombres possibles pour en profiter au maximum.

Gaming : peu de retard à l’affichage et extrêmement bien calibré

Comme précisé dans l’introduction, ce téléviseur est équipé pour faire face aux dernières technologies des consoles de nouvelle génération et des PC gaming. Il supporte le VRR (Variable Refresh Rate) pour éviter les déchirures d’image, l’ALLM (Auto Low Latency Mode) pour optimiser le retard à l’affichage et le mode FreeSync Premium pour les cartes graphiques. L’input lag est effectivement bas puisque nous l’avons mesuré à 14 ms, ce qui représente moins d’une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran.

Cela peut tout à fait satisfaire les joueurs les plus exigeants. Ce n’est pas le meilleur input lag du marché, mais les autres, plus performants, sont à 9,5 ms, ce qui n’est pas si loin. Rappelons que la mesure a été réalisée pour une image Ultra HD à 60 images par seconde.

Les deux prises HDMI 2.1 peuvent supporter des séquences Ultra HD jusqu’à 120 images par seconde. L’option Dolby Vision est également supportée.

La grande différence avec les autres marques, c’est ici l’absence d’une barre de jeu qui permet d’afficher certains paramètres pour les régler plus rapidement et obtenir certaines informations sur les caractéristiques techniques du signal vidéo. La bonne nouvelle, c’est qu’en activant le mode Jeu, on a droit à une excellente fidélité des couleurs que nous avons pu mesurer à 1,36, soit nettement inférieure à 3 avec le mode Filmmaker activé. Le pic de luminosité en mode Jeu est de 730 cd/m², ce qui est loin d’être ridicule.

Audio : son seul point faible ?

Si jusqu’ici nous avons été plutôt conquis par l’image offerte par ce téléviseur, l’audio est la partie sur laquelle il pêche le plus. Dans l’épaisseur de la dalle sont intégrés deux haut-parleurs orientés vers le bas. Ceux-ci délivrent une puissance de 60 watts, selon Hisense. Dans les faits, le téléviseur est compatible avec les formats Dolby Atmos et DTS:X.

Dans la réalité, le son sonne plat, sans aucun effet de hauteur ou de latéralité. Le rendu est sans relief bien que les dialogues soient très bien reproduits et il peine à remplir un salon moyen sans se distordre. Le tout manque sérieusement de chaleur. Cela peut passer pour regarder des programmes de la TNT, mais pour profiter d’un spectacle aussi complet que possible, en accord avec la belle image renvoyée par la dalle, il vaut mieux lui associer une barre de son, a minima.

Interface : réactif et complet

Comme les autres téléviseurs et vidéoprojecteurs de la marque, le Hisense 48A85H est animé par le système Vidaa U ici dans sa version 6.0. Celui-ci propose une page d’accueil en plein écran avec des suggestions de contenus tout en haut avec les applications médias installées en dessous puis des contenus poussés par les différentes plateformes de streaming. Il y a plusieurs options accessibles directement depuis la page d’accueil : Recherches, Sources, Paramètres, Notifications, Profil de l’utilisateur et les assistants vocaux.

L’interface est toujours aussi claire et intuitive et les applications de streaming les plus populaires sont présentes.

Les paramètres sont accessibles depuis une touche de la télécommande et il faut se rendre dans le menu Réglages pour configurer, le cas échéant, le téléviseur. Toutefois, Hisense n’a toujours pas corrigé l’affichage des menus : lors du visionnage de programmes sur la TNT, le menu Réglages est situé tout en bas de la liste des fonctions, invisible si l’on ne prend pas la peine de descendre le curseur de sélection.

Autre problème que nous avions déjà souligné sur les précédents modèles : le mode d’image Filmmaker est le dernier de la liste, tout à droite lorsqu’on affiche les options, ce qui fait que l’on peut passer à côté si l’on ne va pas assez loin dans le bandeau. C’est tout de même très regrettable pour le meilleur mode d’image…

Malgré cela, les paramètres sont assez bien organisés même si l’on peut regretter que le mode de détection des images Sport soit proposé dans le menu Paramètres Généraux plutôt que dans celui qui correspond aux images, par exemple.

Comptez sur un temps de démarrage d’environ 6 à 7 secondes avec le mode démarrage rapide activé. La navigation dans les menus est très fluide et on apprécie de trouver une application de lecture de médias qui soit à la hauteur des vidéos les plus exigeantes puisque nous avons réussi à lui faire lire le film Gemini Man HEVC H265 Ultra HD HDR10 avec un débit de 80 Mbit/s à travers le réseau. Les médias associés à un débit moindre peuvent donc être lus sans saccade, ce qui est appréciable.

La télécommande est grande et toujours pas rétroéclairée

La télécommande livrée avec le téléviseur 48A85H est strictement identique à celle proposée avec le modèle Hisense 55A85G que nous avons déjà testé. Elle est assez grande avec une grande partie métallique. L’ergonomie générale est assez bonne et les touches tombent assez naturellement sous les doigts afin de compenser l’absence d’un système de rétroéclairage.

Plusieurs boutons sont dédiés à un accès direct à certaines plateformes de streaming : Netflix, YouTube, Prime Vidéo, Rakuten TV et Facebook Watch. Notez aussi la présence d’une touche personnalisable permettant de lancer une application en particulier. Rappelons la présence d’un microphone sur la télécommande qui permet d’interagir avec les assistants vocaux. Si vous préférez utiliser une application pour piloter le téléviseur, c’est aussi possible puisque Hisense propose une application idoine, gratuite pour les smartphones sous Android ou iOS.

Un petit mot sur le marquage de l’écran qui peut arriver sur certaines télévisions OLED. Pour pallier cela, le constructeur propose une maintenance régulière de la dalle, lorsque celle-ci est en veille et le téléviseur déclenche automatiquement une image de veille au bout de 4 minutes 30 d’inactivité. À titre de comparaison, chez LG, le principe est identique, mais avec un délai de seulement 2 minutes avant le déclenchement de l’écran de veille, ce qui peut paraître plus rassurant. Depuis les paramètres, on peut lancer une opération de maintenance de la dalle. Le fabricant recommande de ne pas le faire plus d’une fois par an.

Consommation

Pour la consommation électrique, nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, « Les 100 » sur Netflix (HD 5.1) pendant 4 heures avec le son et les paramètres de l’image réglée sur le mode Filmmaker. Dans ces conditions, reproduites pour tous les tests de téléviseurs, le Hisense 48A85H consommait 36 Wh. Cette consommation est extrêmement raisonnable lorsque l’on sait que la Sony XR-48A90K consomme 52 Wh dans les mêmes conditions avec la même diagonale de 48 pouces. La consommation de la TV Hisense 55A85G était aussi de 52 Wh, mais avec une taille de 55 pouces.

Pour la série en HDR (Dolby Vision Sombre plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne de 46 Wh. La consommation en veille est de 0,5 Watt sauf si on laisse le mode réseau activé dans les paramètres, le téléviseur se tenant prêt à obéir à vos ordres vocaux et consommant alors 2 Watts.

Prix et date de sortie

La série Hisense 48A85H est déclinée en 48, 55 et 65 pouces pour des prix respectifs de 999 euros, 1190 euros et 1890 euros.

Note finale du test
8 /10
Comme son prédécesseur, le téléviseur Hisense 48A85H est proposé à un tarif très attractif : moins de 1000 euros pour cette petite diagonale qui peut tout à fait satisfaire des espaces restreints. Tout est meilleur sur ce téléviseur par rapport au précédent, s’appuyant sur le même design et la même partie audio.

Il propose une large compatibilité avec les contenus HDR, un mode Filmmaker exempt de reproche sur la calibration en sortie de carton et avec un pic de luminosité en progression, même si ce n’est pas le plus élevé du marché et qu’il sera plus appréciable dans des ambiances aussi sombres que possible. Pour le prix, il peut tout à fait faire l’affaire, d’autant que le produit propose également de bonnes aptitudes pour les jeux vidéo, notamment avec ses entrées HDMI 2.1 et pour le Home Cinéma avec la prise eARC. L’offre applicative est là aussi satisfaisante même si l'on peut reprocher à l’interface la position de certaines fonctions dans les menus qui mériteraient d’être plus visibles par défaut.

Points positifs du Hisense 48A85H

  • Rapport qualité/prix

  • Mode Filmmaker

  • Calibrage en sortie de carton et couverture colorimétrique

  • HDMI 2.1

  • Interface réactive et complète

  • Pied pivotant

Points négatifs du Hisense 48A85H

  • Positions de certains paramètres dans les menus

  • Audio en retrait

  • Télécommande non rétro éclairée

  • Seulement deux HDMI 2.1

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