Human Mobile Devices (HMD) a décidé au printemps dernier de jouer son va-tout avec une nouvelle stratégie.
Celle-ci passe tout d’abord par l’abandon de la marque Nokia et par le développement d’une nouvelle ligne de smartphones plutôt d’entrée de gamme qui misent sur leur capacité à être facilement réparés par les consommateurs.
Pour cela, un partenariat a été signé avec iFixit qui commercialise des pièces détachées et propose en ligne des tutoriels complets.
Une nouvelle batterie et les outils nécessaires pour son remplacement vous coûteront ainsi 24,95 €. Un écran est facturé quant à lui 40 € environ et rajoutez 5 € de plus pour l’outillage. Vous trouverez aussi la coque arrière (19,95 €) et le port de charge (14,95 €).
Premier produit de cette nouvelle ère, le Pulse Pro débarque donc à la rédaction pour un test complet. Découvrons ensemble ce smartphone 4G d’entrée de gamme qui trouve sur sa route le TCL 50 SE, le Xiaomi Redmi 13c ou encore le Samsung A05s.
Design : une couleur originale et une allure premium
Le HMD Pulse Pro présente bien pour un smartphone abordable. S’il faut faire l’impasse sur des matériaux premium pour sa coque, ses finitions sont convaincantes.
La coque est en polycarbonate, du plastique pour aller droit au but, qui arbore sur notre exemplaire une originale teinte violette. HMD a opté pour une finition glossy.
La partie arrière est en partie occupée par le bloc photo. Au menu deux caméras bien intégrées : elles dépassent peu de la coque.
En retournant le smartphone, nous voilà face à un écran de 6,65 pouces au format 20/9e, une belle surface d’affichage. La dalle occupe quasiment 87 % de la façade du smartphone. Un excellent chiffre que l’on retrouve habituellement plutôt sur des mobiles plus onéreux.
La caméra frontale apparaît dans un poinçon central plutôt discret tandis que le lecteur d’empreinte intègre lui le bouton de mise sous tension.
HMD a conservé la prise casque analogique dans la tranche inférieure du smartphone ainsi qu’un emplacement pour glisser une carte mémoire de type microSD.
Le HMD Pulse Pro n’est pas étanche, une qualité introuvable sur les smartphones de ce prix, mais tout n’est pas perdu puisqu’il répond à la norme IP52 qui correspond à une résistance à l’eau pulvérisée à moins de 15° de la verticale et à une résistance légère aux poussières. En clair, son propriétaire devra se montrer prudent.
Logiquement, avec un écran de belle taille, le HMD Pulse Pro est un grand smartphone. Il mesure 163,2 x 75 x 8,6 mm pour un poids de 196 g.
Prise en main du HMD Pulse Pro
Le smartphone de HMD profite d’un écran 20/9e, un ratio plutôt allongé donc. Cette caractéristique rend sa prise en main sûre puisqu’une main d’adulte peut bien l’enserrer.
On note également que HMD Pulse Pro est moins haut que le TCL 50 5G testé ici. Il est en revanche sensiblement plus lourd. Les commandes physiques sont rassemblées sur la droite du smartphone.
Le bouton de mise sous tension est parfaitement placé puisque notre pouce vient très naturellement se positionner dessus. Un vrai plus, car ce bouton intègre le lecteur d’empreinte digitale.
Celui-ci est convaincant et permet de déverrouiller très facilement le smartphone. Il est possible de le combiner à la reconnaissance faciale pour une efficacité totale.
Le long bouton dévolu au réglage du volume sonore vient un peu plus haut, mais là aussi nous avons pu le manipuler aisément, sans avoir à étendre particulièrement nos doigts. En revanche, lorsque le mobile est tenu en main gauche, c’est un peu plus difficile.
Le dos est séduisant de prime abord, mais très vite la surface est envahie par les traces de doigts. Les maniaques devront donc jouer de la chiffonnette très régulièrement.
Le bloc photo peu proéminent évoqué plus haut présente deux atouts. Tout d’abord, il permet aux optiques de deux caméras d’être peu exposées aux aléas du quotidien et, d’autre part, il ne vient pas perturber la stabilité du smartphone lorsqu’il est posé sur une surface plane.
Écran : qui a éteint la lumière ?
L’écran du HMD Pulse Pro s’appuie sur une dalle IPS, une technologie d’affichage qui n’est plus présente aujourd’hui que sur l’entrée de gamme.
De même, point de Full HD comme pour le TCL 50 5G, mais simplement du HD soit dans le cas présent 720 x 1612 pixels. Cela se traduit par une densité de 265 ppp. Nous sommes en-deçà des 300 ppp et en y regardant de plus près, on voit des bordures de police de caractères légèrement crénelées.
L’écran du HMD Pulse Pro offre une fréquence de rafraîchissement maximale de 90 Hz, pas mal pour un smartphone vendu actuellement moins de 150 €. Voilà qui pourrait inspirer Sony dont le Xperia 10 VI, deux fois plus cher, se cantonne au 60 Hz traditionnel, ou pire, Apple et son iPhone 16 Plus à plus de 1000 euros qui chante le même refrain.
L’utilisateur a deux possibilités : un mode dynamique où la fréquence peut basculer automatiquement de 60 à 90 Hz et vice-versa, et un mode fixe à 60 Hz.
La marque annonce une luminosité maximale de 480 nits et 600 nits en HBM. Nous avons soumis l’écran du HMD Pulse Pro à notre sonde Calibrite Display Pro HL combinée au logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Displays. Nous avons obtenu une luminosité maximale très proche de celle annoncée par HMD avec 491 nits.
Un chiffre correct dans cette gamme de prix, mais largement inférieur à celui obtenu par des smartphones OLED notamment. Cela se ressent à l’extérieur où la lisibilité de la dalle est limitée.
La couverture des espaces colorimétriques nous ramène également à la réalité : c’est moyen avec 70 % du DCI-P3, mais bon sur le sRGB avec 107% couvert.
Le Delta E s’établit quant à lui à 5,94 en SDR, un chiffre décevant, car l’œil perçoit la différence entre la couleur réelle et celle affichée à l’écran au-delà de 3.
La température colorimétrique est de 7438K, un rendu donc franchement froid et c’est d’autant plus gênant que HMD est plutôt avare en matière de réglages.
En revanche, le contraste se montre plutôt convaincant avec 2630:1, un bon chiffre pour une dalle IPS.
Vous l’aurez compris, l’écran du HMD Pulse Pro ne peut pas rivaliser avec les dalles AMOLED présentes sur des modèles plus onéreux.
Logiciel : un look original pour des fonctionnalités très classiques
Le HMD Pulse Pro s’appuie sur Android 14 et sur une surcouche maison qui se distingue par ses icônes. En effet, HMD joue la carte du monochrome pour les icônes placées d’emblée sur l’écran d’accueil.
Il s’agit des applications système, Google et de quelques apps préinstallées comme Facebook. Les applications que vous installerez par la suite reprennent leur traditionnelle icône colorée à quelques exceptions. C’est par exemple le cas du benchmark Geekbench.
Pour le reste, très peu de particularités à se mettre sous la dent sur ce smartphone. Comme souvent, vous serez invité à créer un compte utilisateur HMD, mais cela n’apporte pas vraiment de véritable plus à notre sens.
Le HMD Pulse Pro propose une application nommée My Device qui combine un accès au service client de la marque et un centre vous informant de la bonne forme du mobile (pourcentage d’occupation de la RAM et du stockage interne, état du signal radio…).
Du côté perspectives de mise à jour, c’est décevant surtout pour un smartphone prévu pour durer. En effet, le Pulse Pro ne pourra bénéficier que des deux prochaines versions d’Android, soit Android 15 et 16.
Est-ce lié à la présence d’une mécanique peu puissante qui pourrait ne pas suffire à animer correctement les futures versions de l’OS mobile de Google ? Pour les correctifs de sécurité, c’est à peine mieux avec seulement trois ans de support.
Performances : le strict minimum et en-deçà
Pour animer son nouveau smartphone, HMD a opté pour une puce issue du catalogue d’Unisoc. Ce fondeur chinois n’est pas le plus connu tant s’en faut et peine à trouver sa place dans l’esprit des consommateurs, en tout cas entre les géants Qualcomm et Mediatek.
Unisoc brille surtout par sa capacité à produire des plateformes mobiles vraiment pas chères. Nous trouvons donc un T606 qui fait plutôt pâle figure sur le papier, dans un premier temps.
En effet, cette puce est gravée en 12 Nm contre 6 Nm par exemple pour le Mediatek Dimensity 6100+ du TCL 50 5G ou le Snapdragon 680 du Samsung Galaxy A05s.
Ce procédé de fabrication archaïque en 2024 — l’Exynos 8895 du Samsung Galaxy S8 lancé en 2017 était gravé en 10 Nm… — empêche notamment une forte montée en fréquence sous risque de chauffe excessive. Ainsi les deux cœurs Cortex-A75 de l’Unisoc T606 ne sont cadencés qu’à 1,6 GHz tout comme ses six autres cœurs Cortex-A55.
Modèle | HMD Pulse Pro | TCL 50 5G | Samsung Galaxy A05s |
---|---|---|---|
AnTuTu 10 | 265959 | 365424 | 306185 |
AnTuTu CPU | 79194 | 126731 | 108887 |
AnTuTu GPU | 23161 | 62417 | 41003 |
AnTuTu MEM | 102449 | 82471 | 86097 |
AnTuTu UX | 61155 | 93805 | 70198 |
PC Mark 3.0 | 8024 | 8631 | 7580 |
3DMark Slingshot Extreme | N/C | 2575 | 1472 |
3DMark Slingshot Extreme Graphics | N/C | 2418 | 1300 |
3DMark Slingshot Extreme Physics | N/C | 3334 | 2748 |
3DMark Wild Life | 424 | 1235 | N/C |
3DMark Wild Life framerate moyen | 2.54 FPS | 7.4 FPS | N/C |
3DMark Wild Life Extreme | 116 | 328 | 124 |
3DMark Wild Life Extreme framerate moyen | 0.7 FPS | 1.97 FPS | N/C |
GFXBench Aztec Vulkan/Metal high (onscreen / offscreen) | 6.3 / 1.9 FPS | 17 / 2.3 FPS | 5.1 / 1.4 FPS |
GFXBench Car Chase (onscreen / offscreen) | 9.6 / 5.4 FPS | 25 / 14 FPS | 7.1 / 8.1 FPS |
GFXBench Manhattan 3.0 (onscreen / offscreen) | 14 | 23 FPS | 20 / 22 FPS |
Geekbench 6 Single-core | 371 | 691 | 417 |
Geekbench 6 Multi-core | 1362 | 1729 | 1459 |
Geekbench 6 Compute (Vulkan) | N/C | 1256 | N/C |
Lecture / écriture séquentielle | N/C | N/C | 412.74 / 241.54 Mo/s |
Lecture / écriture aléatoire | N/C | N/C | 10.95 / 25.51 IOPS |
Sans surprise, on ne peut pas dire que cette mécanique brille face à nos différents benchmarks. Pour AnTuTu par exemple, son score est inférieur de 27 % à celui du TCL 50 5G. L’écart se creuse encore davantage pour les benchmarks mettant surtout à contribution le circuit graphique. Ainsi, pour 3DMark Wild Life la différence atteint quasiment 66 % !
En pratique, les limites de ce processeur se font rapidement sentir malgré la présence de 6 Go de RAM. Les jeux ont du mal à tourner, mais ce n’est pas vraiment surprenant.
Ce qui l’est plus, ce sont les ralentissements dans des opérations plus banales comme le téléchargement et l’installation d’applications. Les traitements numériques appliqués lors de certaines prises de vues prennent plus de temps que d’ordinaire.
Vous l’aurez compris, le HMD Pulse Pro n’est pas un smartphone très puissant. C’est dans la logique des choses avec un prix aussi bas, mais il est possible de trouver plus fluide sans dépenser beaucoup plus. C’est un peu décevant à vrai dire. On notera cependant que cette mécanique ne chauffe pas du tout et affiche donc une grande stabilité de performances.
Photo : un peu limité
Le HMD Pulse Pro est équipé de deux caméras dorsales, une dotation plutôt classique sur un smartphone à moins de 150 €. En revanche, la marque semble beaucoup miser sur les capacités en matière de selfie de son nouveau modèle. Voici l’équipement présent :
- Un capteur principal grand-angle de 50 mégapixels f/1,8,
- Un capteur de profondeur de champ de 2 mégapixels,
- Un capteur selfie de 50 mégapixels.
HMD est peu dissert sur les composants mis en œuvre pour le système photographique de son smartphone. Difficile de connaître avec certitude les caractéristiques précises des capteurs et des optiques utilisés.
La caméra principale
La caméra principale active par défaut le pixel binning avec par conséquent des photos de 12,5 mégapixels. Il est possible de basculer en quelques manipulations en 50 mégapixels.
En extérieur, les photos sont plutôt détaillées, mais elles offrent un rendu plutôt fade avec peu de contraste et des couleurs fades voire délavées. La netteté est satisfaisante au centre de l’image, mais cela se dégrade en périphérie.
Face à une scène lumineuse, le mode portrait est plutôt efficace, grâce en partie tout du moins, à l’apport de la seconde caméra dite caméra de profondeur de champ. On remarque en revanche là le manque de peps du smartphone avec un traitement qui prendra plus de temps qu’avec un smartphone véloce.
C’est encore plus flagrant la nuit si vous utilisez le mode idoine.
Profitant de la présence d’un capteur de 50 mégapixels, le smartphone propose un zoom numérique x2 qui, en journée, se montre plutôt convaincant ou en tout cas quasiment au niveau de celui du grand-angle.
Ne tentez pas l’aventure au-delà du x2 (il est possible d’aller jusqu’à un grossissement x6), la dégradation du résultat est très marquée.
Le smartphone filme au mieux en 1080p à 30 FPS. Les couleurs conservent la fadeur des photos et la fluidité moyenne montre un mobile à réserver aux scènes peu mouvementées.
La caméra selfie
HMD semble miser beaucoup sur la caméra avant de son Pulse Pro. En effet, celui-ci dispose d’un capteur de 50 mégapixels. Malheureusement, ce module frontal se montre plutôt décevant lui aussi.
Les selfies réalisés manquent cruellement de détails et la balance des blancs établie automatiquement est souvent dans les choux. De plus, l’ensemble révèle une nouvelle fois la puissance limitée de la mécanique du smartphone avec à la clé des temps de traitement à rallonge.
Le mode portrait
Armé d’une caméra dédiée à la mesure de la profondeur de champ, le HMD Pulse Pro surprend son monde. En effet, son mode portrait est convaincant. Le flou d’arrière-plan est bien marqué, mais conserve un certain naturel. Le détourage est à la peine face à des sujets à la chevelure fournie, mais c’est aussi le cas avec de très nombreux smartphones, y compris des modèles bien plus onéreux.
Audio et son : un seul HP et de la saturation
Le HMD Pulse Pro se contente d’un seul haut-parleur qui prend place dans sa tranche inférieure. Il se montre relativement puissant, mais clairement axé sur les médiums et les hauts médiums. Les basses fréquences sont aux abonnés absents et les plus hautes ne sont pas franchement agréables.
En poussant le volume, l’unique HP sature un peu. La prise casque nous ramène quelques années en arrière puisque le câble du casque qui y sera connecté fera office d’antenne au tuner FM intégré.
Le smartphone se passe du Dolby Atmos ou du DTS. En lieu et place, sans doute pour une raison de coûts, nous retrouvons la technologie OZO développée par Nokia il y a des années maintenant.
Un ensemble logiciel que l’on a aussi vu sur des modèles signés Oppo, OnePlus ou Asus. L’idée est ici d’accorder les réglages du rendu sonore au type de contenu diffusé. Comme souvent, difficile de se rendre compte de l’apport réel de ce genre de procédé.
Réseau et communication
La plateforme technique utilisée ne propose pas le support de la 5G. Il faut donc se contenter de la 4G, une limite certes, mais qui dans les faits ne devraient véritablement gâcher le quotidien des consommateurs se tournant vers de l’entrée de gamme.
En fouillant sur le site d’Unisoc, nous avons pu apprendre que le modem du T606 supporte la norme LTE Cat 7 qui correspond donc à un débit maximal théorique de 300 Mbits en download et 100 Mbits en upload.
Le HMD Pulse Pro dispose du Wi-Fi 5 (802.11 ac) et du Bluetooth 5.0. Le NFC est également présent. Voici donc des caractéristiques sans surprise dans cette gamme de prix.
Les appels dans un environnement calme se passent sans problème avec une bonne intelligibilité. Dans les rues bruyantes de Paris, c’est une autre histoire. Le HMD Pulse Pro ne dispose que d’un micro et sans doute pas de technologie spécifique pour réduire les bruits environnants.
Le Wi-Fi ne nous a pas semblé particulièrement véloce sur notre réseau Wi-Fi connecté à une fibre 8 Gbps.
Une excellente autonomie
Le Pulse Pro dispose d’une grosse batterie de 5000 mAh. Traditionnellement, une batterie de grosse capacité alliée à une mécanique modeste est gage d’autonomie très solide.
Cela semble bien le cas ici puisque nous avons pu utiliser le smartphone deux jours sans recharger dans le cadre d’une utilisation moyenne, celle à laquelle se destinent habituellement les modèles d’entrée de gamme.
Bien entendu, une utilisation plus intensive fera rapidement fondre la batterie, car dans ce cas le processeur et le circuit graphique seront utilisés au maximum de leur capacité.
Recharge
HMD a choisi de ne pas fournir de bloc secteur. Dommage, même si la puissance de 20 W, qui peut être acceptée au maximum par le Pulse Pro, ne réclame pas un chargeur particulier aujourd’hui.
HMD fournit simplement un câble USB-C que nous avons pour notre test branché à un bloc secteur Sony de 25 W. Dans ces conditions, nous avons retrouvé 50 % de charge en 45 minutes environ.
Les débuts de la charge ne sont pas particulièrement rapides donc et cela ne s’arrange bien entendu pas vraiment par suite puisque les 100 % sont attendus en un peu moins de deux heures. La recharge sans-fil est absente, logiquement sur un modèle de ce prix.
Prix et disponibilité
Lancé au prix de 179,99 €, le HMD Pulse Pro est aujourd’hui vendu 149,99 € en 6/128 Go, seule configuration commercialisée.
Trois couleurs sont au menu : noir, vert et violet comme le modèle que la marque nous a prêté pour notre test.
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