Dire que le marché de la réalité virtuelle est porteur serait quelque peu mensonger. S’il faut reconnaître que Meta commence à multiplier les modèles de casques de VR, le reste de l’industrie n’a jamais vraiment décollé, bien qu’on note l’arrivée de Pico (marque de ByteDance, société éditrice de TikTok), avec un très bon Pico 4. De son côté, HTC développe toujours des casques et a récemment sorti son nouveau modèle haut de gamme : le Vive XR Elite. De grandes promesses d’une expérience VR, mais pas que : la marque entend mettre l’accent sur la réalité mixte, mélange de réalité virtuelle et réalité augmentée. Des promesses que nous avons mises à l’épreuve et dont les conclusions sont dans ce test.
Pour aller plus loin
Réalité virtuelle, réalité augmentée, réalité mixte : comprendre les différences entre les trois technologies
Seulement voilà, il y a un obstacle de taille, sans doute le plus grand qu’on trouve chez tous les produits tech : le prix. Alors que Meta a baissé le prix de son Meta Quest Pro (certainement pour des raisons économiques), on peut le trouver à 1200 euros environ. Chez HTC, le Vive XR Elite est à 1400 euros. C’est beaucoup plus que nombre de casques VR qu’on peut acheter à moins de 500 euros parfois. L’expérience apportée par le haut de gamme est-elle suffisante pour justifier cet écart de prix ?
Fiche technique
Modèle | HTC Vive XR Elite |
---|---|
Définition | 3840 x 1920 pixels |
Fréquence d’affichage | 90 Hz |
Standalone | Oui |
Apparence | Plastique |
Suivi de la position dans l’espace | Oui |
Compatibilité avec des manettes | Oui |
Prix | 1 178 € |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec un exemplaire de pré-production du HTC Vive XR Elite prêté par la marque.
Design
Comme le Vive Flow, le Vive XR Elite rompt avec la tradition en matière de design de casques de réalité virtuelle. À l’avant, on n’a pas de grande coque en plastique percée uniquement par des capteurs. Non, le modèle de HTC ressemble davantage à des lunettes grâce à deux formes en plastique transparent sur la façade avant. L’effet est plutôt réussi même si d’un point de vue extérieur, on ne semble pas être le couteau le plus aiguisé du tiroir.
Ce qui est relativement impressionnant avec cet appareil, c’est sa compacité : on est loin des boîtiers relativement imposants, mais on a davantage l’impression d’avoir affaire à des lunettes. Très épaisses, certes, mais pas beaucoup plus que certaines lunettes de réalité augmentée. Les formes sont presque toutes en rondeur et il faut reconnaître que l’aspect global est réussi. C’est le cas pour le boîtier avec la batterie, lui aussi tout en rondeur. Il possède une languette en plastique pour s’appuyer sur la tête, mais il a l’inconvénient de prendre pas mal la poussière.
Juste derrière, on trouve le coussinet en mousse pour le crâne qui est ma foi confortable, avec un revêtement doux à l’intérieur pour pouvoir le supporter plus longtemps. Il a l’avantage d’être détachable pour le nettoyer plus facilement, un bon point pour l’hygiène.
Le casque est entièrement fabriqué dans un plastique mat (sauf pour la face avant) noir ou gris foncé. Les finitions sont assez bonnes sur la partie avant et la partie arrière, mais peuvent laisser à désirer sur les branches. D’ailleurs, ces dernières ne sont pas des plus solides : un petit morceau est coupé au niveau de la branche gauche. Rien de grave, mais c’est quand même à noter.
Côté poids, cela reste contenu : comptez 273 grammes sans le bloc de batterie et 625 grammes après. Si on peut manquer de confort avec le casque, ce n’est pas à cause de son poids qui est supportable.
Prise en main
Pour maintenir le HTC Vive XR Elite sur son crâne, deux solutions sont possibles. La première, c’est d’utiliser le mode « lunettes », sans la batterie. Je ne pense pas avoir une grosse tête (bien que je puisse faire preuve d’orgueil), mais il est difficile de placer les branches sur sa tête. De plus, c’est loin d’être confortable et le casque a du mal à bien se positionner pour nous isoler de la lumière. Si cela tient et que c’est plus léger, ce n’est pas du tout le mode que je préfère.
L’autre option, c’est d’utiliser le bloc de batterie et là, c’est plus commode : à l’arrière, on a le même système que sur les casques de vélo, qui permet de régler la circonférence du casque pour l’adapter à sa tête. Une manière de faire qui fonctionne très bien et qui a l’avantage de s’adapter à toutes les morphologies. Le changement entre ces deux modes de fonctionnement se fait via des clips et est très facile à faire.
Pour parler spécifiquement du confort, oui, il est présent, mais pas totalement. Tout d’abord, heureusement que les sessions peuvent être limitées à cause de la batterie (si vous l’utilisez). Si le poids n’est pas des plus légers du marché, il reste contenu et ça se sent quand on porte le Vive XR Elite. Maintenant, la pression du casque sur le crâne entraîne de l’inconfort au bout d’une heure environ pour ma part. À cela s’ajoute celui de la réalité virtuelle en elle-même : tout le monde n’a pas le même degré de « résistance » à l’expérience.
Ensuite, pour allumer le casque, il n’y a besoin de ne rien faire, juste de le mettre. Le HTC Vive XR Elite s’allume tout seul à l’instant où nos yeux se mettent et l’écran de chargement démarre. Quelques secondes plus tard, on arrive sur l’accueil et on peut commencer à utiliser le casque pour travailler, créer ou jouer.
Pour régler l’écart entre les deux lentilles et avoir une netteté optimale, un petit curseur physique est présent sous le casque sous la lunette droite. En le déplaçant vers la droite ou vers la gauche, on rapproche ou éloigne les lentilles, selon son écart pupillaire (IPD). Pour nous aider, des barres vertes s’affichent sur l’interface : si elles sont nettes, c’est que c’est bon. Un système qui roule bien, mais il a un défaut : il a tendance à s’activer lorsqu’on ne le souhaite pas. Avoir durant un jeu en ligne cette fenêtre qui s’affiche par-dessus, c’est plutôt détestable.
Afin d’avoir une netteté au top, les lentilles sont ajustables pour les personnes myopes (comme moi) grâce au réglage de la dioptrie. C’est évidemment une très bonne chose pour l’accessibilité du produit, d’autant plus qu’il n’y a que très peu de casques qui offrent ce réglage. Cela permet d’éviter d’avoir à porter des lunettes (pour ceux qui ne portent pas de lentilles) et ainsi avoir un meilleur confort.
Les contrôleurs
Pour contrôler le casque, on peut faire cela avec les mains et ça fonctionne globalement très bien, je n’ai eu que quelques bugs durant mes sessions. Pour appuyer sur un bouton de l’interface, il suffit de pincer la main. Ce système de suivi est loin d’être aussi précis que les contrôleurs et on a parfois du mal à les bouger pour aller là où l’on souhaite, mais ça peut s’avérer pratique.
Autre option alors, les contrôleurs : des sortes de manettes avec des joysticks, des boutons AB/XY et des gâchettes. La prise en main est réussie puisqu’on a un grip pour la paume et les doigts tombent naturellement sur les boutons. Si un petit temps d’adaptation est nécessaire pour s’y retrouver (avec le casque, on ne voit pas les contrôleurs), rapidement on arrive à trouver les boutons qu’on veut presser.
La définition de l’espace de jeu
Lorsqu’on joue dans une pièce, il faut déterminer la zone de jeu à ne pas dépasser pour éviter de se prendre les pieds dans le tapis, cogner son orteil contre un meuble (ça fait mal) ou mettre un coup de poing dans le vase de mamie. Pour cela, le casque nous propose de la délimiter à l’aide des contrôleurs ou de la main : on trace au sol une ligne qui forme à la fin une forme. Un mode stationnaire existe aussi si vous ne pouvez pas (ou ne voulez pas) vous déplacer. C’est rapide à faire et ça permet de se rassurer, d’autant plus qu’on ne se rend pas compte à quel point on se déplace ou on peut tourner lorsqu’on joue par exemple.
Dans le casque, la zone ne se voit pas, elle n’est pas affichée, ce qui offre une meilleure immersion. Mais si vous la touchez (si vous ou vos mains traversez la zone verticale), elle se matérialisera par un grillage bleu, peu importe dans quelle application vous êtes. Alors, à aucun moment je n’ai craint de taper dans un objet ou un meuble, d’autant que le système prend une légère marge à la configuration de la zone (mais il ne faut pas en abuser).
HTC recommande une zone de 10 mètres par 10 mètres, mais rares sont les personnes qui peuvent profiter d’autant d’espace. Heureusement, l’aire de jeu minimale recommandée est de 1,5 par 1,5 mètre. Même dans mon studio, j’ai pu trouver la place de jouer convenablement (sans déplacer tout mon mobilier), du moment que je ne fais pas trop de pas.
Écran
Ce casque de VR dispose de deux écrans LCD en définition 4K de 3840 par 1920 pixels (combinée, chaque écran ayant une définition de 1920 par 1920 pixels) avec un taux de rafraîchissement de 90 Hz et un champ de vision de 110° maximum. Les couleurs sont quand même plutôt fades et on a tendance à voir les pixels indépendamment des autres : les noirs aussi apparaissent assez gris.
Des caractéristiques techniques qui suffisent très largement pour se repérer dans son environnement en mode réalité mixte (vous voyez autour de vous à travers les écrans). Mais si HTC assure que la définition est suffisante pour lire son écran d’ordinateur ou celui de son smartphone, ça ne se vérifie malheureusement pas dans la pratique. D’ailleurs, le rendu de réalité augmentée n’est pas totalement convaincant : l’image a du mal à se stabiliser, on a beaucoup de déformation optique sur certains éléments et les couleurs ne sont pas vraiment respectées : plus la lumière ambiante est faible, plus les couleurs « bavent ». Mais au moins, on arrive à se repérer et avec un peu d’habitude, à évaluer les distances pour attraper des objets ou tout simplement éviter de se prendre un meuble.
Performances
Sur la partie hardware, on trouve la puce Snapdragon XR2 de Qualcomm spécialisée dans la réalité virtuelle. Elle est accompagnée de 12 Go de RAM et de 256 Go de stockage. Une puissance nécessaire puisqu’on n’a effectivement pas besoin de la puissance de son ordinateur pour faire fonctionner le casque de HTC. Il faut d’ailleurs reconnaître que les jeux se lancent très rapidement, pareil pour les applications. Globalement le casque ne souffre d’aucun ralentissement, ce qui rend l’expérience d’autant plus immersive. Si à l’allumage le ventilateur se fait vraiment entendre, ça se calme par la suite et ça reste supportable, d’autant qu’il est assez couvert par les haut-parleurs.
Le Vive XR Elite est équipé de quatre caméras de suivi pour « voir » l’environnement (que ce soit vous ou le système), complétées par une caméra avec un capteur photo de 16 Mpx en couleur pour retransmettre ce qu’on devrait voir sans le casque. On a aussi un capteur de profondeur qui permet de traquer l’emplacement du casque dans l’espace, et ce, peu importe la luminosité. Par exemple, c’est ça qui va déterminer si vous dépassez de la zone créée afin d’éviter les accidents. Le tracking du casque est dit 6 DoF, ce qui veut dire six axes, soit trois axes pour la tête et trois autres pour le reste du corps. Enfin, on a un capteur G, un gyroscope et un capteur de proximité.
Expériences et jeux
L’interface du Vive XR Elite est assez simpliste et ressemble à Android stock, avec des menus et des icônes similaires. Si vous êtes habitués à Android, clairement vous ne serez pas perdu dans le casque. On configure le Wi-Fi et les différentes options très simplement, les traductions sont assez réussies. Avec le Viveport, on trouve en vérité beaucoup d’applications et de jeux : il y en a a priori pour tous les goûts et pour tous les usages.
De plus, le Vive XR Elite étant le casque le plus haut de gamme et le plus performant de la gamme Vive, tous les titres sont accessibles. Parler de tous les jeux et logiciels disponibles n’est pas l’objet de ce test, mais gardez en tête que de « vrais jeux » avec une durée de vie similaire aux jeux sur consoles ou sur PC sont bien moins répandus sur le support VR.
À notre disposition, sur le contrôleur droit, on a un bouton pour activer un menu rapide, qui permet de quitter l’application en cours, de prendre une capture d’écran, mais aussi de consulter la batterie restante du casque et des contrôleurs. D’autres paramètres rapides sont disponibles, comme la modification du volume, du réseau Wi-Fi, de la diffusion en direct, etc.
Le catalogue de jeux et d’applications
L’interface est quelque peu scindée en deux au niveau du magasin d’applications disponibles. D’un côté on a le « Magasin » disponible directement dans le menu, de l’autre Viveport, le portail d’applications, de jeux vidéo et de vidéos. D’ailleurs, HTC propose un abonnement nommé « Infinity » permettant d’accéder gratuitement à tout un tas de contenus. C’est dommage d’avoir deux endroits pour télécharger ses contenus.
Parmi les jeux proposés, je me suis beaucoup amusé à jouer à Hyper Dash, un FPS gratuit en ligne plutôt énergique, mais très accessible. Pour se déplacer, on peut emprunter des barres en métal sur lesquelles on glisse, mais on peut aussi se téléporter. Quelques armes, quelques maps et quelques modes : le contenu n’est pas des plus riches, mais on parle d’un titre en VR et gratuit. Attention aux joueurs cependant, puisqu’on a un tchat vocal où l’on peut participer : heureusement, on peut le désactiver.
Dans Loco Dojo Unleashed, on réalise plein de mini-jeux un peu « déjantés », en réalisant une série de défis. Un jeu un peu plus difficile à prendre en main, puisqu’il faut une certaine dextérité. Mais là aussi, c’est plaisant.
Autre expérience d’une tout autre nature, Immersed. Il s’agit tout simplement d’une application pour afficher les écrans de son ordinateur dans le casque. De quoi pouvoir travailler dans l’environnement qu’on souhaite. Malheureusement, la version gratuite ne permet pas d’afficher plus de deux écrans. Comme pour la réalité mixte, on peut rapidement être limité par la définition des écrans : on n’arrive quasiment pas à voir la souris sur ses fenêtres.
Vive propose aussi son propre navigateur web : si la définition n’est pas très grande, ça permet de consulter rapidement une page web, de lire la presse (sur un certain site). Bref, le Vive Browser a le mérite d’exister.
Dans Open Brush, j’ai pu laisser libre cours à ma créativité en réalisant une ?uvre d’art que je prévois de vendre en NFT pour l’intégrer au métavers (rassurez-vous, ce n’est pas dans mes projets). L’application de dessin (voire de sculpture) paraît très complète et j’ai surtout survolé toutes ses fonctionnalités. Mais là encore, c’est très prometteur et la réalité virtuelle y apporte un vrai intérêt.
Tous ces titres évoqués précédemment sont des jeux et applications de réalité virtuelle, alors que le HTC Vive XR Elite permet de faire de la réalité mixte, c’est-à-dire mélanger réalité virtuelle et réalité augmentée. Là-dessus, le catalogue est bien plus pauvre, tant et si bien qu’il est difficile de trouver des titres, encore plus quand ceux-ci utilisent efficacement la réalité mixte. Viveport ne met même pas en avant les applications disponibles : d’ailleurs, le magasin est assez brouillon dans les sections et le rangement des applications, ce qui peut rendre difficile la découverte de jeux/applications.
J’ai pu jouer à Yuki, un shoot ’em up en MR (mixed reality) où les ennemis apparaissent chez soi et il faut leur tirer dessus. Le gameplay est sympathique, mais sans plus. Ce qui est vraiment dommage, c’est que l’intérêt de la réalité mixte est assez pauvre : un décor artificiel aurait presque été plus immersif.
Connectivité
Le casque se connecte à Internet par l’intermédiaire du Wi-Fi puisqu’on a droit à du Wi-Fi 6E, dernière norme à l’heure actuelle. Cela sert pour accéder à Internet depuis le casque, mais aussi pour la connexion sans-fil avec un PC. On peut également brancher le casque en USB-C sur son ordinateur, via le câble Vive Streaming Cable, qui est en option à 99 euros. Le contenu du casque peut aussi être streamé sur un appareil Android compatible, en le connectant en sans-fil au Vive XR Elite.
Un câble utile si l’on veut jouer à SteamVR, même si on peut aussi jouer à ses titres via le Wi-Fi. Une connexion qui fonctionne bien, tout comme la configuration. Il suffit de lancer SteamVR avec le casque allumé pour profiter de ses jeux en VR acquis sur la plateforme. Les boutons des contrôleurs sont automatiquement reconnus.
Si le son sort du casque, on peut aussi utiliser une enceinte, un casque ou des écouteurs. Pas de prise jack, mais du Bluetooth 5.2 BLE pour s’y connecter en sans-fil. On a donc l’obligation de passer par du sans-fil pour utiliser le casque (si on n’utilise pas d’ordinateur à côté).
Audio
Pour pouvoir écouter les vidéos ou vos adversaires dans un jeu, on a droit à des haut-parleurs stéréo. Le rendu est bon : sans être excellent, il est assez équilibré et axé sur les mediums. Il a pour lui le fait qu’on n’ait pas à pousser le volume, puisqu’ils sont placés juste à côté des oreilles. Rassurez-vous, les personnes autour de vous n’entendront pas le son qui sort du casque, sauf si le volume est réglé au maximum et qu’elles sont juste à côté.
La communication avec vos coéquipiers ou en visioconférence est aussi possible, car deux microphones sont présents sur le casque. A priori, ils n’ont posé aucun problème durant mes conversations avec mes coéquipiers d’une partie.
Autonomie
Quant à l’endurance de son produit, HTC annonce deux heures d’autonomie maximum. Dans les faits, c’est peu ou prou ce qu’on retrouve. Si ce n’est pas énorme, gardons en tête que faire plus de deux heures de réalité virtuelle, c’est difficilement supportable, surtout pour certaines personnes. Si on souhaite toutefois prolonger l’expérience, on peut très bien recharger la batterie tout en utilisant le Vive XR Elite. Pour la recharge, on peut remplir la batterie à une puissance maximale de 30 W en USB, mais sans chargeur fourni (c’est dommage pour un casque haut de gamme).
Quant aux contrôleurs, la charge est assez rapide, mais l’autonomie n’est clairement pas là. HTC annonçait quinze heures d’endurance, mais dans la pratique on en est loin, on se rapproche plutôt des huit heures maximums. En fait, ce n’est pas si dérangeant que ça : comme le casque n’a pas une grande autonomie et qu’on doit le recharger régulièrement, on peut prendre le pli en rechargeant en même temps les manettes.
Prix et disponibilité
Le HTC Vive XR Elite est disponible au prix de 1399 euros. Pour tout achat sur le site de Vive, cinq jeux vidéo sont offerts, pour une valeur commerciale de plus de 100 euros : Green Hell VR, Les Mills Bodycombat, Unplugged: Air Guitar, Figmin XR et Glimpse. Des accessoires sont disponibles en option, comme un étui de rangement à 64 euros, un Vive Wrist Tracker pour améliorer le tracking de la main à 129 euros ou le câble de streaming à 99 euros.
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