Test du LG OLED55C2 : une image lumineuse de toute beauté

on monte encore d’un (léger) cran le pic de luminosité

Nous avons testé la nouvelle série C2 de LG embarquant la dalle LG OLED Evo. Celle-ci promet un pic de luminosité supérieur à celui proposé par les modèles de l’année dernière, à l’exception de la série G1 qui en profitait déjà. À bord aussi, la toute dernière version du processeur de traitement d’image, des fonctions gaming avancées et plusieurs nouvelles options pour le système WebOS.
TV LG OLED C2 // Source : LG
TV LG OLED C2 // Source : LG
 

La nouvelle série LG OLED C2 est déclinée en plusieurs tailles : 42, 48, 55, 65, 77 et 83 pouces. Elle vient renouveler l’offre Premium proposée par LG, juste en dessous de la série haut de gamme G2, pensée pour s’accrocher à un mur tel un tableau.

Les téléviseurs LG C2 profitent de la dalle OLED Evo développée par LG Display pour tenter d’offrir un pic de luminosité aussi haut que possible, l’une des faiblesses de cette technologie face aux écrans LCD. Ils embarquent la 5e génération du processeur Alpha9 qui gère les optimisations HDR ainsi que la mise à l’échelle, parmi d’autres éléments. Ils proposent en outre les mêmes fonctions de gaming que les précédents modèles avec 4 entrées HDMI 2.1 et un temps de retard à l’affichage promis comme étant l’un des plus bas du marché. WebOS, le système de contrôle et de divertissement intégré, gagne quelques fonctionnalités pratiques et pertinentes.

Nous avons pu tester la version 55 pouces LG OLED55C2 dont voici notre avis.

Fiche technique

Modèle LG OLED55C2
Technologie d’affichage OLED
Définition maximale 3840 x 2160 pixels
Taille de l’écran 55 pouces
Compatible HDR HDR10, Dolby Vision
Ports HDMI 4
Compatible Surround Dolby Atmos
Sortie audio Haut-parleurs
Assistant vocal Google Assistant, Amazon Alexa
Prix 1 469 €
Fiche produit

L’exemplaire de test nous a été prêté par la marque.

Design

Le design du téléviseur LG 55C2 est assez semblable à celui de la série C1 de l’année dernière. Ce modèle s’installe sur un pied central en aluminium qui est légèrement incliné vers l’avant.

Il dépasse d’environ 8 cm devant l’écran (pour une profondeur totale de 24 cm) et il faut compter sur une largeur de 47 cm pour l’installer confortablement sur un meuble. Une accroche au mur est toutefois possible via un support de fixation à la norme VESA300. Sur son pied qui ne permet malheureusement pas de faire pivoter le téléviseur comme sur le LG OLED65G2, l’écran est surélevé de 6 cm, ce qui laisse tout juste la place pour une barre de son assez fine malgré tout.

Le cadre de l’écran est extrêmement fin. C’est le moins épais que nous ayons pu voir jusqu’ici puisqu’il propose un cadre noir autour de la dalle de seulement 3 mm, auxquels il faut ajouter 2 mm de bordure métallique. Celle-ci fait le tour de l’écran mesurant 7 mm d’épaisseur. Il est parfaitement droit et finit parfaitement le téléviseur. Le modèle testé ne souffrait d’aucun défaut de fabrication.

À l’arrière, une grande partie contient l’électronique. L’ensemble est totalement plat, mesurant un tout petit peu moins de 4 cm d’épaisseur. Notez la légère texture du reste du panneau arrière, très joli à notre goût. Là aussi, les finitions sont parfaites et l’on apprécie le soin du fabricant sur ce point.

Outre ses dimensions, nous parlons trop peu du poids des TV. Pourtant, ici, il y a vraiment quelque chose à dire puisque le modèle de 55 pouces C2 fait seulement 16 kg avec son pied contre un poids de 23 kg pour le 55 pouces C1 ! Même idée sur la version 65 pouces qui passe de 32,6 kg à 18,5 kg !

Pour revenir au pied du téléviseur, celui-ci contient un système de guide-fils qui permet d’organiser la fuite des câbles vers l’arrière. Au dos de la TV elle-même, une plaque de plastique permet de cacher la visserie et de faciliter l’organisation des câbles, sans oublier les deux parties qui se clipsent pour guider tous les fils vers le centre. C’est très bien pensé et très bien organisé. Pratique aussi : toutes les connectiques sont dirigées vers le côté du téléviseur sauf pour le port PCMCIA.

Connectiques du LG OLED55C2

À la différence de la quasi-totalité des connectiques des autres TV, ici, toutes les prises sont orientées vers le côté de l’appareil, ce qui facilite grandement leur accès. On retrouve trois ports USB-A, quatre entrées HDMI 2.1 dont une eARC (HDMI 2), un port Ethernet, une sortie audio optique numérique, une prise antenne, une autre pour la réception satellite. Notez également la présence d’un port pour le câble de report infrarouge (livré avec la TV) qui permet ainsi de déporter l’émetteur situé en façade, et ainsi avoir plus de liberté pour placer une barre de son devant l’écran.

Le téléviseur est compatible Wi-Fi (802.11 ac), une connexion sans fil à privilégier plutôt que d’utiliser la liaison Ethernet, car moins performante. Il y a également du Bluetooth 5.0. Certains peuvent regretter la disparition de la prise casque présente l’année passée, mais aussi absente sur la série G2 du fabricant.

Un petit mot sur le marquage de l’écran qui peut arriver sur certaines télévisions OLED. Pour pallier cela, LG propose des fonctionnalités de maintenance de la dalle. On les trouve dans les paramètres de l’appareil. En outre, on peut toujours compter sur le déclenchement d’un écran de veille (feu d’artifice) qui arrive automatiquement après seulement 1 minute d’inactivité. Chez Philips, l’écran de veille se déclenche après 2 minutes d’inactivité. Chez Panasonic, il faut patienter 5 minutes pour voir l’écran de veille se déclencher. Parallèlement, le processeur intégré est capable de détecter l’affichage de logo à l’image et d’y réduire localement l’intensité lumineuse pour protéger la dalle et limiter les risques de marquage.

Image

Le téléviseur LG OLED55C2 dispose donc d’une dalle OLED Evo 10 bits couvrant 55 pouces en diagonale. Il est capable d’afficher une définition Ultra HD de 3840 × 2160 pixels avec une fréquence de 100/120 Hz. Sur les photos prises au microscope, on peut effectivement voir qu’il y a une différence entre la dalle utilisée l’année dernière sur le C1 et celle qui est intégrée sur le C2. Par rapport à la dalle du G2, ce dernier profite d’un système de refroidissement absent sur la série C2. Techniquement, cela permet au modèle le plus haut de gamme de la marque de proposer une image plus lumineuse.

Les angles de vision sont ici extrêmement larges comme sur les précédents modèles. On profite également d’un bon filtre antireflet, même s’il n’est toujours pas question de gommer une baie vitrée en pleine journée ensoleillée, mais qui peut suffire à supprimer quelques petites sources lumineuses.

L’intégration de la dernière version du processeur de traitement d’image Alpha9 permet d’offrir plus de puissance au téléviseur afin d’obtenir une meilleure réactivité dans les ajustements potentiels des images. La précision est supérieure par rapport à la précédente génération, notamment concernant la mise à l’échelle des contenus. Il en résulte des scènes extrêmement détaillées et proposant un excellent dynamisme. On apprécie par ailleurs le traitement dans la compensation des mouvements qui est vraiment excellent, proposant des contours nets même sur des objets bougeant à toute vitesse, spécialement lors du visionnage de programmes sportifs.

Pour les films et les séries, le téléviseur LG OLED55C2 propose une image réellement sublime. Elle est assez respectueuse de la colorimétrie d’origine pour offrir une excellente qualité et une très bonne fidélité des couleurs. Il y a de multiples détails sur les différentes scènes, et ce même avec des zones sombres et d’autres bien plus claires sur la même image. La TV arrive à moduler pour ne rien cacher et proposer une belle profondeur de champ.

Comme la série G2, celle-ci bénéficie d’une meilleure gestion du Tone Mapping grâce à la fonction Dynamic Tone Mapping Pro qui utilise 5000 zones d’analyses contre 500 l’an passé. Ainsi, les détails sont plus nombreux que sur la précédente génération dans des zones très claires avec un meilleur dégradé des blancs. En outre, la reconnaissance des objets par rapport à l’arrière-plan est également améliorée afin de rendre des scènes plus réalistes.

Le téléviseur propose les mêmes modes d’image que les précédentes générations. C’est le mode Filmmaker qui offre les meilleurs résultats. Avec des images standards, non HDR, nous avons mesuré un Delta E moyen de 1,04, soit un niveau bien inférieur au seuil de 3, sous lequel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur demandée et celle affichée à l’écran.

En mode Cinéma, nous avons obtenu une valeur de 1,81 ce qui est aussi excellent. Pour l’immense majorité des utilisateurs, les paramètres par défaut suffisent, mais peut-être pas pour les plus exigeants. Ceux-ci peuvent d’ailleurs trouver au sein des paramètres, un système de calibrage de l’image, conçu en partenariat avec Display Studio l’éditeur du logiciel Calman que nous utilisons pour effectuer les mesures. À ce sujet, notez pour la petite histoire que comme sur la dalle du G2, le système permet une calibration sur un nombre bien plus élevé de points que toutes les autres marques proposant aussi ce type d’opération, ce qui doit rendre le processus bien plus précis.

Toujours sur des images SDR en mode Filmmaker, nous avons relevé une température des couleurs moyenne de 6416 K, ce qui est vraiment excellent, car extrêmement proche de la valeur recherchée (6500 K). De surcroît, la courbe dévie très peu de la température parfaite. La courbe du gamma est aussi plutôt bien suivie sur toute l’échelle de gris pour une valeur moyenne idéale, puisque mesurée à 2,4, la valeur attendue.

Le mode Cinéma donne un gamma à 2,2 et une courbe de température de couleur qui dérive un peu plus, mais avec, in fine, une très bonne moyenne puisqu’elle a été mesurée à 6394 K. L’espace colorimétrique rec.709 est couvert en totalité, ce qui n’est pas réellement une surprise et permet ainsi de profiter des couleurs les plus étendues dans ce registre.

Le téléviseur supporte les modes HLG, HDR10, Dolby Vision et Dolby Vision IQ. Il fait l’impasse sur le HDR10+ supporté chez Philips, Hisense et Panasonic, par exemple. Pour des contenus HDR, en mode Cinéma, cette fois, nous avons pu mesurer une parfaite fidélité des couleurs puisque nous avons relevé un Delta E moyen de 0,71 soit le plus bas jamais observé avec nos conditions de mesure, comme le 55C1. Le mode Filmmaker n’est pas en reste avec un Delta E moyen mesuré à 0,82 donc aussi nettement en dessous du seuil de 3.

En mode Cinéma, nous avons mesuré un pic de luminosité de 782 cd/m² pour une fenêtre de 10 %, soit une valeur inférieure à celle que nous avons relevée pour le LG OLED65G2 qui était de 946 cd/m² dans les mêmes conditions. Par rapport au modèle précédent, le LG 55C1 mesuré à 725 cd/m², cela représente un gain, mais que nous attendions un peu plus élevé. Le mode qui permet d’obtenir le plus haut pic de luminosité est le mode Vif offrant une valeur de 805 cd/m².

Enfin, le téléviseur couvre l’espace colorimétrique DCI-P3 à 99 % et le BT2020 à 76 % ce qui est satisfaisant. Notez que les modèles de 42 et 48 pouces proposent un pic de luminosité légèrement en retrait par rapport aux autres diagonales disponibles dans cette série. LG indique que ces TV ne peuvent pas être beaucoup plus lumineux que ce qu’ils proposent, notamment en raison de la taille de leurs pixels qui limite la sortie de la lumière de la dalle.

Gaming

Comme les séries C1 et G1 de l’année dernière, la nouvelle gamme C2 propose des fonctionnalités pour le gaming au top afin de tenter les joueurs, même les plus exigeants. Ceux-ci peuvent trouver ici 4 entrées HDMI 2.1 à 48 Gbits/s, ce qui n’est pas si courant, les fonctions d’optimisation VRR pour les fréquences variables, l’ALLM pour le temps de réponse réduit, ainsi que la compatibilité Freesync Premium et G-Sync de Nvidia.

Notez à ce titre que, comme sur la précédente génération, on peut profiter d’un accès aux plateformes de jeux en ligne Nvidia GeForce Now et Google Stadia. Il suffit de connecter une manette Bluetooth pour commencer à jouer.

Le téléviseur accepte les signaux Ultra HD à 120 images par seconde ainsi que le Dolby Vision. Parce que le temps de retard à l’affichage est important, nous avons pu mesurer un input lag de 12,5 ms avec le mode Optimiseur de jeu activé. Comme sur le G2, on peut toutefois descendre plus bas encore en activant, dans les paramètres de l’Optimiseur de jeu, la fonction Game Boost pour atteindre 9,5 ms comme sur les C1 ou G1. C’est l’un des input lag les plus bas du marché et cela représente moins d’une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran. Parfait pour ne rien louper !

Comme souvent, le mode Jeu n’est pas vraiment bien calibré en sortie de carton. Nous avons pu relever un Delta E moyen de 4,48 ce qui est supérieur au seuil de 3. Nous avons mesuré un pic de luminosité quasiment identique à celui observé en mode Cinéma puisque relevé à 780 cd/m². Notez qu’il est possible d’appliquer différents paramètres à l’image lorsque celle-ci est en mode Optimiseur de jeu. LG propose le nouveau mode salle sombre pour limiter la fatigue oculaire.

Audio

Pour la partie audio, le téléviseur utilise un système 2.2 canaux avec 2 haut-parleurs de 10 watts chacun et deux woofers pour un total de 40 watts. Un processus de calibration est disponible pour optimiser le rendu. Le téléviseur est compatible Dolby Audio et Dolby Atmos, faisant l’impasse sur les formats DTS. Le son du téléviseur LG 55C2 est relativement chaud, notamment pour les programmes TNT.

L’équilibre général est bon avec une bonne tonalité et une très bonne intelligibilité des voix. L’audio proposé par ce téléviseur manque toutefois de punch et les explosions dans les films peinent réellement à nous transporter tellement elles font l’effet d’un pétard mouillé. La scène parait légèrement moins large que sur la série C1 qui utilise son pied comme réflecteur. Comme sur le G2, le son est plus progressif que sur les précédentes générations puisqu’il faut monter à un minimum de 20-25 pour commencer à en profiter de manière satisfaisante. L’écoute à faible volume reste tout à fait agréable.

Interface

La série LG C2 est animée par le système WebOS que nous avons testé en version 3.10.75 au moment de nos essais. Elle se présente comme la précédente avec des menus épurés et une page d’accueil en plein écran. Le bouton des paramètres de la télécommande permet d’accéder immédiatement aux principaux réglages sous la forme d’une barre verticale dont l’organisation des menus est toujours personnalisable. Le tableau de bord de WebOS permet de centraliser les entrées du téléviseur et, le cas échéant, de contrôler certains appareils connectés présents à la maison.

Quatre nouvelles fonctions s’invitent cette année sous WebOS. Un nouveau menu Multi-view est disponible par rapport à ceux proposés sur les précédentes séries. Cette fonction permet de fractionner l’écran en deux afin d’y voir deux programmes différents, de différentes sources, soit en image côte à côte, soit en image dans l’image (Picture in Picture).

La deuxième fonction assure la création de profils (après avoir créé un compte LG ou s’être identifié). Des contenus sont ensuite suggérés en fonction de ce que l’on regarde.

La troisième nouvelle fonction concerne les paramètres dits « familiaux ». Un menu spécifique est disponible pour activer une option de protection des yeux pour les plus jeunes, une limite du volume maximal, la possibilité d’encadrer les temps d’utilisation et un rapport sur les temps d’écran.

Enfin, la quatrième nouvelle fonction est baptisée Toujours prêt. Lorsque l’écran n’est pas utilisé pour regarder des programmes, on peut choisir d’y afficher des images de veille, diffuser de la musique et cela permet au téléviseur de rester à l’écoute en cas de commandes vocales. À ce titre, on peut compter sur l’intégration de l’assistant Google et sur Alexa si vous disposez d’une enceinte connectée Amazon.

Le téléviseur supporte aussi le AirPlay 2 ainsi que la technologie HomeKit d’Apple. Sinon, il y a toujours la fonction Sport Alert pour suivre les résultats de votre équipe de sport favorite en football, NBA, NFL ou NHL, par exemple.

La télécommande, identique à la précédente et toujours pas rétroéclairée

La télécommande fournie avec le téléviseur est strictement identique à celle de l’année dernière ou celle livrée avec la série G2. Elle utilise les technologies infrarouge et Bluetooth, et intègre un microphone. Il existe toujours le système de gyroscope qui permet de promener un pointeur à l’écran comme avec une Wiimote pour cliquer sur les différents menus et paramètres.

Quatre services de streaming sont immédiatement accessibles depuis des boutons dédiés : Netflix, Prime Video, Rakuten TV et Disney+ ainsi que pour les assistants Google et Alexa. La télécommande est très ergonomique, mais on regrette toujours qu’elle ne soit pas rétroéclairée.

Consommation

Pour la consommation électrique, nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, « les 100 » sur Netflix (HD 5.1) pendant 4 heures avec le son et les paramètres de l’image réglée sur le mode Cinéma. Dans ces conditions, reproduites pour tous les tests de téléviseurs, le LG 55C2 consommait 47 Wh. Cette consommation est tout à fait raisonnable et en baisse par rapport à l’année dernière puisque nous avions relevé 54 Wh pour le 55C1 dans les mêmes conditions.

Pour la série en HDR (Dolby Vision plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne de 66 Wh. La consommation en veille est de 0,5 watt sauf si on laisse le mode « Toujours prêt » activé dans les paramètres, le téléviseur se tenant prêt à obéir à vos ordres vocaux.

Prix et date de sortie

La série LG C2 est déclinée en 42, 48, 55, 65, 77 et 83 pouces pour des prix respectifs de 1399 euros, 1499 euros, 1999 euros, 2699 euros, 3799 euros et 5999 euros.

Note finale du test
8 /10
Oui, il faut reconnaître que nous avons mesuré une luminosité supérieure à celle proposée sur la série C1 de l’année dernière, mais le gain n’est pas vraiment significatif et reste en deçà de celui proposé par la série G2. Cette dernière est bien plus lumineuse et cela se voit à l’image, tandis que les différences entre C1 et C2 sont plus nuancées.

Les réglages proposés par défaut sont extrêmement satisfaisants, permettant de livrer des images de toute beauté. La mise à l’échelle est légèrement plus performante, mais l’audio perd un peu en largeur par rapport au précédent. Heureusement, on a droit à l’un des tableaux gaming le plus complet du marché avec 4 HDMI 2.1, des fonctions optimisées et un temps de retard à l’affichage parmi les plus bas. Il ne lui manque que le HDR10+, une compatibilité DTS et une télécommande rétroéclairée, mais sinon, pour le reste, ce téléviseur est une vraie réussite.

Points positifs du LG OLED55C2

  • Qualité de l’image et réglages par défaut parfaits

  • Contraste, luminosité, HDR et colorimétrie

  • Mise à l’échelle en progression

  • Nouvelles fonctions de WebOS

  • 4 entrées HDMI 2.1

  • Télécommande ergonomique

  • Fonctions gaming et input lag de seulement 9,5 ms

  • Consommation en baisse

Points négatifs du LG OLED55C2

  • Pas de HDR10+

  • Pas de DTS

  • Télécommande non rétroéclairée

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