Si entre l’année 2022 et 2023, un cap certain a été franchi par la technologie OLED avec un niveau de luminosité dépassant les 1000 cd/m², la course au plus haut pic n’est pas terminée. Chaque nouvelle génération met la barre un peu plus haut grâce à des technologies toujours plus innovantes imaginées et mises en œuvre par les ingénieurs. En 2024, chez LG, c’est la série G4 qui avance officiellement le pic de luminosité le plus élevé (ainsi que la série M4, embarquant exactement la même dalle). Dotée de la technologie Brightness Booster Max, elle associe un panneau de microlentilles optimisées par rapport à l’année dernière et un algorithme plus poussé généré par le nouveau processeur Alpha 11 développé par LG.
On peut aussi compter sur la présence d’un mode Filmmaker pour afficher les films et les séries au plus proche de la vision du réalisateur, la nouvelle version du système WebOS proposant finalement très peu de changements et une très large compatibilité pour les jeux vidéo qu’il s’agisse de jouer sur console ou PC notamment avec le support du 144 Hz pour des séquences parfaitement fluides. Cette série LG G4 est déclinée en 55, 65, 77, 83 pouces et un très grand 97 pouces qui accuse quelques restrictions. Nous verrons lesquelles.
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Fiche technique
Modèle | LG OLED65G4 |
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Dimensions | 1441 mm x 910 mm x 263 mm |
DĂ©finition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’Ă©cran | 65 pouces |
Compatible HDR | HDR10, Dolby Vision |
Ports HDMI | 4 |
Compatible Surround | DTS-X |
Nombre de haut-parleurs | 5 |
Puissance des haut-parleurs | 60 watts |
Sortie audio | Haut-parleurs, Optique |
Système d’exploitation (OS) | webOS |
Assistant vocal | Google Assistant, Amazon Alexa |
Efficacité énergétique | F |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec un modèle OLED65G4 prêté à la rédaction par LG.
Design : accroché ou sur un pied
Comme le design du téléviseur LG 65G3 était identique à celui du LG 65G2, celui du 65G4 est exactement le même. On a donc droit aux mêmes dimensions et le même aspect parfaitement rectangulaire avec des finitions parfaites et une qualité d’assemblage exemplaire. Rappelons que les séries G de LG ont pour vocation à être accrochées au mur. C’est pour cette raison que le fabricant ne livre pas de pied dans le carton de l’appareil, mais propose, à la place, une accroche murale. Toutefois, cette année et exclusivement sur son site Internet, la marque donne la possibilité d’acheter l’écran avec un pied (modèle testé). Dans les autres enseignes, le pied est vendu à part. Il s’agit du même pied que pour la série G3.
Le pied fourni avec l’écran, si le TV est acheté sur le site LG, est différent. En effet, il s’agit d’un support composé de trois éléments, dont un socle métallique, un tube et un cache en plastique. Le tube est creux de manière à y faire passer les câbles et organiser leur fuite vers l’arrière du téléviseur. De plus, au niveau du dos de l’écran, le chemin est légèrement enfoncé avec des guide-fils permettant de faire du cable management particulièrement satisfaisant.
Bien évidemment, comme les autres séries G, celle-ci propose des fixations spécifiques situées dans la partie haute, pour l’accroche murale. Une fixation avec un support VESA est toutefois possible pour les personnes qui disposent déjà d’un support à cette norme. En outre, notez que la marque fournit plusieurs plaques en plastique pour assurer une finition parfaitement plate de l’arrière du téléviseur.
Le pied « tube » permet d’installer l’écran Ă deux hauteurs distinctes avec une Ă©lĂ©vation diffĂ©rente, selon que l’on veuille placer une barre de son devant ou pas. C’est bien pensĂ©. Pour la base mĂ©tallique, comptez sur une largeur de 48,5 cm et une profondeur de 26 cm. Pour les autres mesures, notez toujours l’épaisseur de 2,3 cm au maximum et un cadre qui ne fait que 2 mm auxquels il faut ajouter 5 mm de bordures noires sur les contours de l’image, en façade.
Connectiques du LG 65G4 : tout le nécessaire
Par rapport à la précédente série, rien n’a changé de ce côté. On retrouve donc exactement les mêmes connectiques qui étaient disponibles sur les séries G2 et G3. Elles sont toujours organisées en deux pôles avec une partie dirigée vers le sol tandis que l’autre est orientée vers le côté du téléviseur, à droite lorsqu’on le regarde de dos. Le câble d’alimentation vient de la gauche. Il y a donc 4 entrées HDMI 2.1 (48 Gbits/s dont une compatible eARC HDMI 2), une sortie optique numérique, une prise antenne et une autre pour un satellite.
Il y a aussi trois ports USB-A, un port Ethernet et un port PCMCIA. En cas de besoin, LG fournit toujours un câble de report infrarouge qu’il faut brancher sur l’entrée correspondante, à l’arrière, tout en installant le récepteur à l’autre bout du fil, là où le signal peut être capté.
Le tĂ©lĂ©viseur est compatible Bluetooth et Wi-Fi 6 (802.11 ax) permettant de profiter d’une connexion très haut dĂ©bit.
Un petit mot sur le marquage de l’écran qui peut arriver sur certains téléviseurs OLED. Pour pallier cela, LG propose des fonctionnalités de maintenance de la dalle. On les trouve dans les paramètres de l’appareil. Un écran de veille est déclenché automatiquement après deux minutes d’inactivité. C’est le même principe qui est utilisé chez les autres marques avec des délais plus ou moins longs.
De plus, un décalage de l’image de quelques pixels peut être activé, là aussi pour limiter les risques de brûlures de l’écran. Parallèlement, le processeur est capable de détecter l’affichage de logo à l’image et d’y réduire localement l’intensité lumineuse pour protéger la dalle.
Image : une luminosité accrue par rapport à la génération précédente
Le LG OLED65G4 est donc équipé de la dalle White OLED de type Evo développée et fabriquée par LG Display et profitant d’un système de dissipation de la chaleur. Les diagonales de 55, 65, 77, et 83 pouces bénéficient de la technologie Brightness Booster Max composée de la dalle MLA (Micro Lens Array) avec des microlentilles pour augmenter la luminosité associée à un algorithme optimisé généré par la nouvelle puce Alpha 11 développée par LG.
Officiellement, LG annonce un pic de luminosité supérieur à celui de l’année passée. Notez toutefois que le téléviseur de 97 pouces de cette série ne propose pas cette technologie.
En outre, il s’agit d’une dalle 10 bits capable d’afficher une définition Ultra HD 120 Hz et même jusqu’à 144 Hz (sauf pour la diagonale de 97 pouces) en cas de liaison avec une carte graphique depuis un PC Gaming. Le filtre antireflet est identique à celui de la série G3. Il arrive à gommer quelques petites sources de lumière, mais il est très loin de pouvoir rivaliser avec celui du S95D de Samsung qui est vraiment exceptionnel dans ce domaine et permet de regarder des programmes en plein après-midi même avec de larges baies vitrées.
En outre, on peut compter sur des angles de vision très larges, mais pas autant que ceux proposés par les modèles de TV embarquant la technologie QD-OLED (certaines séries Samsung et Sony).
Avec son nouveau chipset, la série G4 profite d’une puissance de calcul bien supérieure au modèle Alpha 9 de 6e génération installé dans la précédente série G3. Concrètement, au-delà d’une luminosité accrue, on peut également compter sur une mise à l’échelle réalisée avec brio et justesse.
La compensation des mouvements est tout aussi satisfaisante. Le téléviseur s’harmonise parfaitement avec les signaux 24p pour la lecture de films. La fluidité des images est véritablement excellente.
Nous avons soumis le téléviseur à de très nombreuses séquences de test et pu constater qu’il procure une qualité d’image exceptionnelle. Les détails sont bien présents, parfaitement visibles. Les scènes sont extrêmement lumineuses. On a droit à un réalisme particulièrement poussé. On apprécie pareillement la profondeur de champ.
Nous n’avions plus le S95D à disposition pour comparer, mais nous avons ressenti le même effet de forte luminosité et d’une très grande justesse des tons ainsi que de la colorimétrie. Toutes les scènes que nous avons passées sur ce téléviseur sont magnifiques, et ce, qu’il s’agisse de contenus en streaming, lus depuis des disques Blu-ray, des programmes TNT ou des mires spécifiques. Attention toutefois : nous avons constaté une légère postérisation de certains fonds affichant des dégradés qui auraient pu être plus doux.
Le téléviseur propose les modes d’image Image personnalisée, Vif, Standard, Économique, Cinéma, Sport, Filmmaker, Optimiseur de jeu, lumineux ou sombre.
Rappelons que le TV propose le mode Image personnalisĂ© introduit l’annĂ©e dernière. Celui-ci permet de configurer l’image selon les prĂ©fĂ©rences visuelles de l’utilisateur dĂ©terminĂ©es Ă partir d’une sĂ©lection d’Ă©chantillons d’image.
Comme sur les autres TV, c’est le mode Filmmaker qui permet d’obtenir les meilleurs résultats pour un rendu « Cinéma ». Avec des images standards, non HDR, nous avons mesuré un Delta E moyen de 1,25, soit une valeur nettement inférieure au seuil de 3, sous lequel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur demandée et celle affichée à l’écran.
Nous avons relevé une température des couleurs moyenne de 6327 K, ce qui est très satisfaisant, car très proche de la valeur recherchée qui est de 6500 K. La courbe est un modèle du genre, déviant extrêmement peu. La courbe du gamma est assez bien suivie sur toute l’échelle de gris pour une moyenne idéale mesurée à 2,33 pour une valeur attendue de 2,4. L’espace colorimétrique rec.709 est couvert en totalité (99,6 %), ce qui n’est pas réellement une surprise et permet ainsi de profiter des couleurs les plus étendues dans ce registre.
Le téléviseur supporte les modes HLG, HDR10, Dolby Vision et Dolby Vision IQ. Il fait toujours l’impasse sur le format HDR10+ supporté chez Philips, Hisense, Samsung, TCL et Panasonic, par exemple. Avec des contenus Dolby Vision, on peut choisir entre les modes d’image Vif, Standard, Accueil Cinéma, Filmmaker et Optimiseur de jeu (Gaming).
Pour des contenus HDR, en mode Filmmaker, nous avons pu mesurer une parfaite fidélité des couleurs avec un Delta E moyen de 1,03, ce qui est parfait. Toujours avec le mode Filmmaker activé, nous avons mesuré un pic de luminosité de 1618 cd/m² pour une fenêtre de 10 %.
À l’heure de l’écriture de ces lignes, ce téléviseur se positionne juste derrière le modèle 65S95D de Samsung qui affiche, selon nos tests et protocoles, un pic de luminosité de 1671 cd/m². Toutefois, à l’œil, la différence est imperceptible. Pour LG, il s’agit d’une progression non négligeable entre le pic de la série G3 et celui de la série G4, passant de 1430 à 1618 cd/m². Définitivement, ces modèles n’ont plus grand-chose à envier aux modèles LCD. Notez qu’en mode Cinéma, nous avons relevé un pic de luminosité de 1658 cd/m².
En plein écran, le G4 de 65 pouces propose une luminosité de 257 cd/m² donc supérieure aux 226 cd/m² de la précédente série (G3), tandis que la série G2 avait été mesurée à 179 cd/m² dans les mêmes conditions.
Au regard des mesures réalisées et des résultats obtenus, il faut tout de même noter que la courbe EOTF du mode Filmmaker n’est pas aussi bien suivie que ce à quoi nous nous attendions. En effet, les mesures s’écartent légèrement de la courbe de référence, ce qui signifie qu’il y a un léger décalage entre les valeurs du signal vidéo et de la luminance proposée. Enfin, le téléviseur couvre l’espace colorimétrique DCI-P3 à 95 % et le BT2020 à 73 % ce qui est très satisfaisant, mais pas autant qu’avec des TV QD-OLED qui proposent des valeurs respectives de plus de 99 % et de 88 %.
Gaming : 4 entrées HDMI 2.1 plein pot et du 144 Hz
On ne change pas une équipe qui gagne et chez LG, ce dicton est appliqué à la lettre. Ainsi, sans surprise, la série G4 reprend exactement les mêmes fonctionnalités et caractéristiques pour le gaming que la précédente G3. Notez cependant que, cette année, la fréquence de 144 Hz est supportée notamment avec la technologie VRR (Variable Refresh Rate). Sinon, on trouve toujours quatre entrées HDMI 2.1 à 48 Gbits/s, la compatibilité FreeSync Premium, G-Sync de Nvidia et le support de la technologie de réduction du temps de latence ALLM (Auto Low Latency Mode).
Le temps de retard à l’affichage est toujours aussi faible. Nous avons pu mesurer un input lag de 12,9 ms avec le mode Optimiseur de jeu activé. On peut toutefois descendre plus bas encore en activant, dans les paramètres de l’Optimiseur de jeu, la fonction Renforçateur pour atteindre 9,2 ms, exactement comme l’année dernière. C’est l’input lag le plus bas du marché, surclassant les 9,3 ms de la série MZ2000E de Panasonic. Cela représente moins d’une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran ; parfait pour ne rien louper !
La série G4, comme les précédentes, dispose d’un accès aux plateformes de jeu GeForce Now et Utomik. Pour y accéder, il suffit de choisir la vignette Jeux depuis la page d’accueil.
Le téléviseur accepte les signaux Ultra HD et le Dolby Vision à 120 images par seconde. Bien souvent, la fidélité des couleurs du mode Jeu n’est pas optimale en sortie de carton. Avec un Delta E moyen de 4,1, c’est équivalent à l’année passée. Nous avons mesuré un pic de luminosité légèrement inférieur au rendu Filmmaker (1461 cd/m²), mais supérieur aux 1282 cd/m² de la série G3. La barre de jeu, personnalisable, permet de régler quelques paramètres de l’image. C’est exactement la même que l’année précédente.
Audio : du virtuel qui ne fait pas tout
Pour la partie audio, on peut compter sur une gestion de 11.1.2 canaux virtuels Ă partir de 4.2 canaux rĂ©els. Il y a donc quatre haut-parleurs de 10 watts chacun et un woofer de 20 watts, qu’il est possible de calibrer via un processus dĂ©diĂ©. Le tĂ©lĂ©viseur est compatible Dolby Audio et Dolby Atmos, mais mauvaise nouvelle : cette annĂ©e, le DTS:X est disponible seulement avec une barre de son compatible (bypass).
Un peu comme sur son prédécesseur, le son du LG 65G4 est relativement chaud, notamment pour les programmes TNT. Il manque cependant de punch et les explosions dans les films ont bien du mal à nous transporter tellement elles font l’effet d’un pétard mouillé. Il y a quelques tentatives de spatialisation, mais elles sont trop limitées pour être réellement convaincantes. L’équilibre général est assez bon avec une bonne tonalité des voix, et on apprécie les effets de position ainsi que l’écoute à faible volume qui reste agréable. Sans effet de plafond, latéraux et manquant toujours de punch, nous conseillons de lui associer une barre de son, à minima.
Comme la série G3, celle-ci propose la fonction WOW Orchestra qui permet d’utiliser les haut-parleurs du téléviseur en synchronisation avec ceux d’une barre de son compatible de la marque, comme la technologie Q-Symphony chez Samsung, Hi-Concerto chez Hisense ou Tutti Choral chez TCL. En outre, le téléviseur peut envoyer le signal audio HD (Dolby Atmos ou DTS:X, par exemple) vers une barre de son compatible via la technologie WOW Cast.
Interface : WebOS 24, pas de révolution à en attendre
L’interface WebOS 23 avait introduit une refonte graphique importante, mais celle de 2024 ne révolutionne pas le genre.
Elle se présente de la même manière avec plusieurs vignettes selon les univers que l’on peut exploiter avec, en dessous, les sources consultées les plus récentes. Un peu plus bas, on trouve des raccourcis pour les contenus proposés par la nouvelle plateforme Sony One. Rappelons qu’il s’agit d’un service de streaming récemment proposé par Sony permettant d’accéder à une cinquantaine de chaînes gratuites (via Internet). Celles-ci viennent s’ajouter aux programmes déjà disponibles via LG Channels, comme pour les services Samsung TV Plus, TCL Channels, par exemple.
Bonne nouvelle, le système est promis à quatre mises à jour pendant les cinq prochaines années.
Parmi les vignettes accessibles sur la page d’accueil, on trouve Télétravail, Tableau de bord maison, Sports, Jeu, Musique et, c’est nouveau, Accessibilité. Cette dernière option permet de régler les paramètres d’accessibilité du téléviseur et d’interroger un chatbot pour utiliser l’appareil, sorte de manuel interactif.
Le tableau de bord est toujours disponible permettant d’accéder aux différents objets connectés présents dans la maison. On peut donc directement gérer les fonctions de ces appareils depuis le téléviseur, sans avoir à bouger de son canapé.
Le système est compatible Chromecast. L’assistant Google est disponible avec une enceinte connectée à proximité et Alexa est intégré. Le protocole Matter est aussi supporté.
Ă€ date, contrairement Ă Samsung qui propose au sein de Tizen, les quatre applications « Box TV » des opĂ©rateurs tĂ©lĂ©com, le système de LG ne propose toujours pas d’application de ce type. LG nous a toutefois confirmĂ© que certaines Ă©taient en cours de dĂ©veloppement pour, Ă terme, pouvoir se passer d’une box TV Orange, SFR, Bouygues Telecom ou Free. Il semblerait que d’ici Ă la fin de l’annĂ©e, au moins l’une d’entre elles soit disponible. Reste Ă savoir laquelle…
À l’usage, l’interface est agréable à parcourir. Le système propose une bonne fluidité et une réactivité satisfaisante.
La télécommande, identique à la précédente et toujours pas rétroéclairée
Pour la télécommande livrée avec la série G4, sachez qu’il s’agit exactement de la même que celle fournie avec les téléviseurs de la série G3. Elle est infrarouge et Bluetooth, intégrant un microphone. De plus, le système de gyroscope permet de promener un pointeur à l’écran comme avec une Wiimote pour cliquer sur les différents menus et paramètres.
On peut immĂ©diatement accĂ©der Ă quatre services de streaming depuis des boutons dĂ©diĂ©s : Netflix, Prime Video, Rakuten TV, Disney+, LG Channels ainsi que pour l’assistant Alexa.
La télécommande est très ergonomique, mais on regrette toujours qu’elle ne soit pas rétroéclairée.
Consommation
Pour la consommation électrique, nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, « Les 100 » sur Netflix (HD 5.1) pendant quatre heures avec le son et les paramètres de l’image réglée sur le mode Cinéma. Dans ces conditions, reproduites pour tous les tests de téléviseurs, le LG 65G4 consomme 58 Wh. Cette consommation est tout à fait raisonnable lorsqu’on sait que la série précédente, le LG G3 en 65 pouces aussi, consomme 61 Wh dans les mêmes conditions (avec une luminosité moindre).
Pour la série en HDR (Dolby Vision plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne impressionnante de 61,5 Wh, ce qui est sensiblement la même mesure que le téléviseur LG G3 de 65 pouces (60 Wh exactement), mais moins lumineux.
La consommation en veille est de 0,5 Watt, sauf si on laisse le mode Toujours prêt activé dans les paramètres, le téléviseur se tenant prêt à obéir à vos ordres vocaux.
Prix et date de sortie
La série LG G4 est déclinée en 55, 65, 77, 83 et 97 pouces pour des prix respectifs de 2799 euros, 3599 euros, 4999 euros, 6999 euros et 24 999 euros.
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