Historiquement connu pour ses amplificateurs pour guitares électriques, le fabricant Marshall s’est lancé il y a quelques années dans les produits audio grand public. Le Monitor II ANC est à ce jour le casque le plus haut de gamme proposé par la marque. Cette dernière promet un « son emblématique de qualité supérieure », une fonction de réduction de bruit active ainsi qu’une grosse autonomie.
Sauf que le Monitor II ANC ne manque pas de concurrence, qui est plus que féroce sur ce marché des casques sans-fil à réduction de bruit active. Après trois semaines d’utilisation, voyons si les performances et qualités de ce casque justifient les 300 euros demandés par Marshall.
Fiche technique du Marshall Monitor II ANC
Modèle | Marshall Monitor II A.N.C. |
---|---|
Format | Casque circum-aural |
Réduction de bruit active | Oui |
Autonomie annoncée | 30 heures |
Version du Bluetooth | 5.0 |
Masse | 320 grammes |
Assistant vocal | Google Assistant |
Ce test a été réalisé avec un exemplaire fourni par la marque.
Un casque très stylé, mais qui fait un peu mal à la tête
La première impression lors du déballage du produit est particulièrement bonne : le casque est très bien présenté et la boîte est très soignée. On pourrait qualifier l’apparence du casque en lui-même en un mot : stylé. C’est pour moi l’un de ses principaux avantages par rapport aux casques des leaders du marché que sont Bose et Sony. Le Monitor II ANC a en effet une véritable identité visuelle plutôt pertinente, puisque liée à la marque Marshall et son esprit Rock’n’roll dans l’esprit des consommateurs.
Le look du casque est très sympa et sait rester plutôt discret // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
Le style ne suffit pas, certes, mais sachez que le Monitor II ANC est également très bien fini — on ne pouvait pas en attendre moins pour un casque à 300 euros. Le produit est fait de plastique noir, avec une texture vinyle agrippante au niveau des oreillettes. Ces dernières sont d’ailleurs frappées du fameux logo « Marshall » blanc. Aussi, le câble reliant les deux côtés du casque est en partie visible et son côté torsadé vient compléter ce look rock si propre à la marque. Quant à l’arceau réglable, il bénéficie lui aussi de la texture en simili-cuir.
Bref, le tout donne une impression de durabilité, que j’ai pu vérifier assez rapidement : les quelques chocs et coups portés au casque — en me baissant près d’un mur par exemple — n’auront laissé aucune marque ou griffure.
Les détails font tout // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
Point important dans le choix d’un casque audio, le Monitor II ANC est un casque fermé dit circum-aural : les coussinets viennent complètement englober les oreilles, au lieu de simplement se poser dessus. Ce type de casque est censé privilégier les longues écoutes, ou du moins éviter de trop fortes douleurs. Ce format permet également de réduire naturellement les bruits ambiants. Cette isolation est caractérisée de passive, et c’est un élément indispensable pour profiter pleinement de la réduction de bruit active — rares sont les produits audio qui réussissent à proposer une belle réduction de bruit active avec une mauvaise isolation passive.
Le bouton multidirectionnel et le « M-Button » // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
Là où la majorité des casques sans-fil proposent désormais des surfaces tactiles et des molettes pour contrôler la musique, Marshall a décidé de continuer l’aventure avec les bons vieux boutons cliquables… et je les remercie (très subjectivement) pour ce choix. Eh oui, avec des boutons, pas de problèmes si vos doigts sont mouillés, pas de problème de réactivité des surfaces avec le froid hivernal et, surtout, pas de déclenchement involontaire des commandes. Nous reviendrons sur ces derniers dans la prochaine partie, mais sachez que le Monitor II ANC embarque deux boutons de contrôle à droite, et un seul à gauche. Deux d’entre eux sont noirs et donc plutôt camouflés, mais le troisième, doré, vient se détacher du reste du casque. Ce détail s’inscrit parfaitement dans le style donné au casque. Enfin on trouve en bas de l’oreillette gauche une diode, un port USB-C ainsi qu’une prise mini-jack.
Bonne nouvelle, le Monitor II ANC peut être plié afin de faciliter son rangement et transport. Pour être plus précis, le casque peut se plier dans tous les sens, si bien qu’il faut quelques essais et utilisations pour trouver et maîtriser la bonne manipulation afin de ranger le tout. Les oreillettes peuvent chacune pivoter à un peu plus de 180° degrés, un très bon point.
Dommage que la marque ne fournisse pas de véritable étui de rangement, on se consolera avec la très belle pochette en jean incluse dans la boîte — le style avant tout ! // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
Terminons cette partie sur le confort d’utilisation offert par ce casque, qui représente une certaine déception de mon côté. Si les coussinets sont assez confortables et ne provoquent aucune gêne ou pression significative sur les oreilles, ce n’est pas la même histoire pour l’arceau. Au début de la session d’écoute, pas de problème : on est bien isolé du bruit extérieur et aucune pression ne se fait sentir. Le confort s’arrêtait cependant assez étrangement au bout d’une heure d’écoute : je sentais une forte pression au niveau de l’arceau et j’avais l’impression que le casque essayait de me comprimer le crâne. L’expérience était sans surprise désagréable et je devais retirer le casque pendant quelques minutes avant de reprendre mon écoute ou mon film.
Après trois semaines d’utilisation, la mousse de l’arceau du casque s’est bien adaptée, mais, même amoindrie, la désormais légère gêne continue de se faire soudainement ressentir après une heure à une heure et demie d’écoute. La masse du casque de 320 grammes y est sûrement pour quelque chose, là où les Bose Headphones 700 et Sony WH-1000XM4 affichent respectivement 250 et 254 grammes sur la balance. Attention, c’est là mon expérience personnelle : peut-être que la forme de votre crâne sera plus adaptée à celle du Monitor II ANC.
Une interaction très agréable et de belles surprises
Parlons tout de suite de la belle surprise que j’ai eue en utilisant le Monitor II ANC : la compatibilité connexion multipoint. Là où certains constructeurs ont mis un certain temps à proposer cette fonctionnalité sur leurs casques haut de gamme (c’est le principal reproche du Sony WH-1000xM3), Marshall ne la met même pas en avant sur l’emballage de son Monitor II ANC. Dommage que cette connexion multipoint ne soit pas totalement optimisée : les micro-coupures étaient habituelles lorsque je le connectais à mon téléphone et à mon ordinateur sous Windows 10. L’expérience dans son ensemble reste tout de même bonne.
Enchaînons sur ces fameux boutons de contrôle, vraiment excellents. C’est simple, ils fonctionnent. Le premier est situé sur l’oreillette gauche et est dédié à la réduction de bruit active. Un appui long permet d’activer ou de désactiver cette dernière, et un appui court active le mode transparent. Avec lui, la musique est mise en pause et les sons environnants captés par les micros sont retransmis à l’utilisateur — tout l’inverse de la réduction active donc. Cela permet par exemple d’éviter de retirer le casque lors d’une annonce à l’aéroport. La présence de cette option est une belle nouvelle, surtout qu’elle fonctionne très bien sur le Monitor II ANC.
Le deuxième bouton, appelé « M-Button » et situé à droite, est quant à lui paramétrable. Une option peut lui être attribuée parmi les trois suivantes : changement de profil d’égaliseur, Google Assitant via le téléphone et Google Assistant intégré au casque. Cette dernière option est ici aussi un très bon point pour ce casque, puisque cette intégration native rend l’expérience Google Assistant très agréable : il suffit de rester appuyé sur le bouton puis de le relâcher une fois la requête terminée — un appui court déclenche quant à lui la lecture des notifications.
L’intégration Google Assistant sur le Monitor II ANC
C’est aussi à droite que l’on trouve le troisième et dernier bouton. Il est multidirectionnel et c’est avec lui qu’il faut interagir pour contrôler sa musique : le pousser en haut ou en bas permet de gérer le volume, et le pousser à gauche ou à droite permet de changer de musique. C’est très intuitif.
Les emplacements des boutons sont très bien choisis : ils tombent naturellement sous les doigts. Le bouton multidirectionnel demande un peu plus d’apprentissage, mais on s’habitue rapidement au bon geste, à savoir positionner tous ses doigts autour de l’oreillette pour que le pouce tombe directement sur le bouton.
Le Monitor II ANC sous tous les angles // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
Pour être sûr de bien rappeler ses origines, Marshall n’a pas pu s’empêcher d’ajouter de courts bruitages de guitare électrique à chaque action réalisée : allumage ou extinction du casque, changement de piste, activation de la réduction de bruit active… Effet sympa pour certains, faute de goût pour d’autres… De mon côté, j’ai trouvé cela marrant au début, mais très vite lassant. Il est heureusement possible de désactiver ces bruitages dans l’application.
Disponible sur Android et iOS, cette dernière permet d’étendre un peu plus le contrôle du casque. Elle donne accès au paramétrage de la réduction de bruit active, à celui du bouton personnalisable, à un égaliseur à bandes et à un minuteur qui permet de programmer l’extinction du casque. L’application propose donc les essentiels, sans plus. On ne s’y perd pas, et on est loin des nombreuses fonctionnalités offertes par l’application des casques Sony — le type d’utilisateur visé est différent. Notez que le menu Bluetooth classique du téléphone auquel le casque est connecté affiche son niveau de batterie et permet même de le faire sonner — à condition d’y être connecté évidemment.
L’application proposée par Marshall pour son Monitor II ANC
Le Monitor II ANC est compatible avec l’appairage Google Fast Pair, ce qui rend la première connexion avec un téléphone Android on ne peut plus simple : après l’allumage du casque, une fenêtre apparaît à l’écran du smartphone et il suffit de cliquer dessus. Le casque est également visible dans l’application « Localiser mon appareil ». Seules la position du dernier téléphone auquel il était connecté ainsi que l’heure de cette dernière connexion sont affichées.
L’appairage du casque et l’application « Localiser mon appareil »
Notez que le Monitor II ANC n’embarque pas de capteur de présence ou d’accéléromètre : la musique ne se met pas automatiquement en pause lorsqu’on retire le casque de notre tête. Enfin, la connexion Bluetooth offerte par le casque est très stable : les micro-coupures étaient quasi inexistantes pendant mes trois semaines de test.
Une réduction de bruit active en retrait
Pour faire bref, la réduction de bruit active de Marshall n’est pas au niveau de celle proposée par Bose ou Sony. Elle en est même loin, et ce n’est pas étonnant puisque l’expertise de ces deux fabricants ne date pas d’hier, alors que celle de Marshall est toute récente. La marque a donc sans surprise encore du chemin à parcourir. La réduction de bruit active proposée par le Monitor II ANC n’est cependant pas anecdotique.
J’ai utilisé le casque pendant trois semaines et dans tous types de transports (avion, train, voiture, métro, bus…) et le constat est le suivant : il faut pousser le volume au-dessus de la normale pour être parfaitement isolé des bruits environnants. L’activation de la réduction de bruit active dans chacun des transports cités met bien la musique au premier plan, ce qui est tout de même rassurant pour un casque à 300 euros. On sent alors la transition et le travail effectué par les micros et l’algorithme : le bruit de fond s’estompe plus ou moins et une fois notre esprit inconsciemment concentré sur la musique, on se sent finalement isolé… À condition de mettre le volume autour de 60 ou 70 %. En dessous, les bruits environnants ne sont pas assez couverts par la musique et on ne se sent pas complètement isolé. Eh oui, la réduction de bruit active proposée par le Monitor II ANC ne vous permettra pas de l’utiliser sans musique pour être coupé du monde extérieur. Certaines lignes et rames de métro assez bruyantes sont mal gérées par le casque, même à fort volume. Dans la rue, les vrombissements des scooters sont cependant assez atténués pour ne pas déranger la session d’écoute.
Une chose est sûre, les voix sont trop mal interprétées par le casque.
Les ingénieurs du Monitor II ANC ont forcément travaillé l’algorithme dans différentes situations, mais certains bruits soudains le perdent complètement. Le traitement appliqué au son créé par le croisement de deux trains à grande vitesse fait par exemple mal aux oreilles : on sent que le bruit a été traité tant bien que mal, mais le résultat qui arrive aux oreilles est assez désagréable. Une chose est sûre : les voix sont mal interprétées par le casque. Ces fréquences sont certes les plus compliquées à contrer pour une réduction de bruit active, mais il reste encore beaucoup de travail pour Marshall de ce côté. Cela a au moins le mérite d’éviter de rater une annonce micro importante à l’aéroport par exemple.
L’application permet de gérer la puissance de la réduction de bruit active sur 10 niveaux, mais les différents paliers manquent d’intérêt : la différence entre 10 et 100 % est certes notable, mais pas entre 10 % et 40 %. J’ai donc préféré utiliser la réduction de bruit au maximum de sa capacité dans toutes les situations, sauf dans les endroits très calmes, puisque le traitement appliqué aux imperceptibles bruits environnants provoque un soufflement trop important pour écouter sa musique à faible volume.
La gestion de la réduction de bruit active dans l’application
De très bonnes performances sonores
Avec son Monitor II ANC, Marshall nous offre sans surprise une signature sonore qui colle à son identité et sa réputation. Les guitares et les voix sont en effet mises en avant, et cette gestion des médiums est vraiment agréable sur des morceaux de Rock. Je pense ici à l’entraînant morceau « Highway Tune » de Greta Van Fleet, très bien retranscrit par le casque. Même remarque pour l’énergique « Get up! », qui n’est pourtant pas le plus facile à gérer — la faute à la douce rencontre entre Korn et Skrillex.
Si les aigus ne sont pas des plus précis, les basses sont bien définies et n’empiètent pas sur le reste du spectre sonore. Je m’attendais à ce qu’elles soient plus mises en avant que cela, mais j’ai trouvé les morceaux d’électro particulièrement bien retranscrits, avec une intervention juste et maîtrisée des basses. Le rendu sonore global reste équilibré.
Attention, il est important de comprendre que le Monitor II ANC ne propose pas de rendu « parfaitement défini » ou « ultra précis ». Il ne faut pas s’attendre à un choc dès la première écoute, et cela tombe bien, ce n’est pas le but. Notez d’ailleurs que le casque ne propose ni l’AptX, ni l’AAC : seul le codec SBC est aux commandes, et cela ne va pas plaire à tout le monde.
Du côté de la scène sonore, rien de particulièrement grave n’est à signaler, mais certains morceaux manquent parfois d’énergie : je n’avais pas l’impression que le chanteur était dans le creux de mon oreille. C’est sûrement lié à mon habitude d’écouter la musique à faible volume, puisque j’ai facilement retrouvé le dynamisme attendu en augmentant le volume autour de 60 %. Je pinaille, et retenez que la signature sonore offerte par le Monitor II ANC est très agréable et conviendra à la majorité des utilisateurs.
Ceux qui trouvent les aigus trop imprécis ou les médiums trop mis en avant seront ravis d’apprendre la présence d’un égaliseur à cinq bandes dans l’application. Marshall propose d’ailleurs plusieurs préréglages, qui sont censés s’adapter au mieux à des morceaux de rock, de pop, d’électro… Il faut avoir l’oreille fine pour discerner les différences au niveau de l’écoute, mais il est de toute façon possible de passer outre ces presets et d’ajuster manuellement les bandes.
L’égaliseur et les préréglages de l’application Marshall
Finalement, si la réduction de bruit active n’est pas celle que j’attendais d’un casque à 300 euros, je ne peux pas en dire autant pour la qualité sonore : elle est vraiment agréable, et ce pour tout type de morceaux. Marshall n’a pas à pâlir devant les ténors du marché.
Quant à la qualité d’appel, les performances délivrées par les micros du casque sont plutôt décevantes : mon interlocuteur m’entendait certes dans des lieux calmes, mais l’échange devenait trop vite désagréable une fois exposé aux bruits extérieurs. Bref, ne comptez pas passer des appels dans des rues animées. Dommage.
Une sacrée autonomie
Marshall promet jusqu’à 30 heures d’autonomie en mode Bluetooth et avec la réduction de bruit activée. Pour le vérifier, j’ai utilisé le casque avec le mode ANC réglé sur 100 % (le plus énergivore) avec un volume moyen de 50 %, et j’ai dû attendre quelque trois semaines d’utilisation ponctuelle avant qu’il ne s’éteigne de fatigue. J’écoutais principalement de la musique, mais j’ai également passé quelques appels pendant cette période de test. Résultat : 27 heures et 5 minutes. C’est un excellent résultat, et à titre de comparaison, cette performance est très similaire à celles proposées par le Bose Headphones 700 et le Sony WH-1000XM4. Retenez que même si vous venez au bout de la batterie du Monitor II ANC, vous pourrez toujours utiliser le casque avec son câble mini-jack — sans réduction de bruit active donc.
Le Monitor II ANC est très endurant // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
Et si la réduction de bruit n’est pas activée ? Dans ces conditions, Marshall affirme que son casque peut tenir jusqu’à 45 heures, et il y a de quoi les croire. Aussi, une recharge de 15 minutes est censée nous fournir jusqu’à 5 heures d’autonomie de lecture sans fil. Dans les faits et avec la réduction de bruit active, j’ai atteint 3 heures et 53 minutes. Cela reste très bon. Quant au temps de chargement complet, je suis tombé à la minute près sur le chiffre indiqué par la marque : le casque demande tout pile 2 heures pour passer de 0 % à 100 %.
Une coquette somme
Marshall demande la somme de 299 euros pour son Monitor II ANC. Il est disponible sur le site constructeur, sur Amazon, mais aussi chez d’autres revendeurs tels que la Fnac et Boulanger. La boîte contient le casque, une pochette de transport en jean, un cordon amovible mini-jack ainsi qu’un câble de recharge USB-C.
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À part être seul au monde, à quoi ça sert ce genre de truc énorme sur la tete??
Oh le jeu de mots :)
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