Après de longs mois d’attente, la Xbox Series X est enfin là. Nous avons testé la console next-gen la plus puissante de Microsoft depuis plus d’une semaine, et nous allons partager notre expérience complète avec la machine, à commencer par l’ouverture de la boite.
Comment marche ce test
Une nouvelle génération de console n’arrive que tous les 7 ans. On est loin des sorties de smartphones ou d’ordinateurs qui s’enchainent. Nous avons donc privilégié un test le plus complet possible, qui repasse point par point l’expérience complète proposée par la Xbox Series X. Résultat, nous avons un test assez long ici, alors n’hésitez pas à utiliser le sommaire pour vous rendre vers les parties qui vous intéressent le plus.
Les caractéristiques de la Xbox Series X
Modèle | Microsoft Xbox Series X |
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Dimensions | 15,1 cm x 15,1 cm x 30,1 cm |
Support | Blu-Ray 4K |
Architecture graphique | AMD RDNA 2 |
Définition maximale | 8K |
Wifi | Wi-Fi 5 (ac) |
Bluetooth | Oui |
Poids | 4450 g |
Prix | 499 € |
Fiche produit |
La Xbox Series X testée a été fournie par Microsoft
Tout commence par la boite
On commence donc par cette première étape qui accompagnera tous les futurs propriétaires d’une Series X. Il faut dire que Microsoft a fait des efforts particuliers pour soigner l’expérience utilisateur, on y reviendra à plusieurs reprises, et ce dès le départ.
Présentée comme un coffret, la boite est compacte et présente directement la Series X dans un petit écrin de protection.
En plus de la console et sa manette, il faut mentionner la présence d’un simple câble d’alimentation classique (format C7), aucune trace d’un bloc d’alimentation volumineux, l’alimentation est intégrée à la console. On a aussi droit à un câble HDMI 2.1 « high speed premium ». Cela signifie qu’il sera parfaitement compatible avec les écrans 8K 60 Hz ou 4K 120 Hz, avec le HDR activé.
Le design de la Xbox Series X
On commence à bien connaitre le design de la Xbox Series X. C’est après tout la première console next-gen à avoir été dévoilée en décembre 2019. Elle est aussi très simple à décrire, c’est un pavé droit avec une base carrée de 15 x 15 cm, pour une hauteur de 30 cm.
Est-ce qu’elle rentre dans votre salon ?
Compte tenu de sa fiche technique, c’est donc une console particulièrement compacte. Mais voilà, pour l’intégrer dans un salon, ce n’est pas forcément le volume qui compte, mais aussi la forme. Avec 15 cm de hauteur lorsqu’elle est couchée à l’horizontale, la Xbox Series X ne sera pas compatible avec tous les meubles TV. Il s’agit en fait de la hauteur d’un ampli home cinema grand format.
En réalité, cette Xbox Series X a été conçue avant tout pour être posée à la verticale, comme le montrent le sens du logo en façade et le pied qu’il n’est pas possible de retirer. Dans cette position, elle se fait très facilement oublier avec son petit volume, si tant est que vous puissiez trouver la place pour une « tour » près de votre téléviseur.
L’esthétique est une affaire de goût, mais on ne peut qu’applaudir le tour de force industriel d’intégrer autant de puissance de calcul dans un volume aussi compact.
Un silence absolu et sans problème de températures
Le tour de force est d’autant plus impressionnant que tout cela se fait à la fois en silence et sans excès de chaleur.
D’abord, impossible de mesurer correctement le bruit émis par la console. Dans nos tests, il était à peine perceptible en comparaison du bruit ambiant de la pièce, même en plein jeu et sur une longue session.
Si on sent clairement de l’air chaud être expulsé par le haut de la console, il n’y a là aussi rien d’important à signaler. Il faudra prendre soin de laisser l’air s’évacuer correctement de la console et on peut s’interroger sur le dépôt de poussières sur le long terme, mais pour le moment, le design industriel de la console semble irréprochable.
Vient alors la question des films. Cette console intègre un lecteur Blu-ray 4K UHD permettant évidemment d’installer les jeux physiques, mais aussi de lire des films ou séries sur ce média. C’est à ce moment que la console se fait entendre. Le bruit généré n’est pas très dérangeant, il reste bien inférieur au son du film, que ce soit sur un téléviseur ou avec une installation plus élaborée. On peut tout de même le noter, par contraste avec le silence absolu de la console dans les jeux. Ce bruit vient de deux sources : les vibrations du lecteur de disque qui font légèrement vibrer le châssis de la console, et la ventilation qui porte naturellement le bruit du lecteur depuis le bas de la console vers l’évacuation. Si on peut relever le son de la console dans ce cas précis, il ne gêne en rien la lecture d’un film et ne saurait être retenu comme un point faible de la machine en conséquence.
La connectique de la Series X
En matière de connectique, Microsoft a décidé d’aller à l’essentiel avec la Xbox Series X. On trouve donc un port USB Type-A devant la console, pour connecter rapidement une manette à recharger.
À l’arrière, en plus du port d’alimentation, on a une sortie HDMI 2.1, un port RJ45 Ethernet, deux ports USB 3.1 et un port d’extension de stockage. Ces derniers serviront à connecter des espaces de stockage externe, soit lent, en passant par l’USB, soit rapide et compatible Xbox Velocity Architecture en passant par le port d’extension, on y reviendra. Microsoft a eu la bonne idée de placer de petits points en relief, non sans rappeler le braille, pour aider les personnes avec des problèmes de vision à câbler correctement la console. On retrouve ici dans ce détail la culture d’accessibilité de Microsoft.
Pour les propriétaires de Xbox One, signalons la disparition de l’entrée HDMI qui permettait de contrôler un autre appareil et faisait partie de la promesse all-in-one de la précédente génération, mais aussi du port audio optique. Il faudra désormais obligatoirement passer par la sortie HDMI pour gérer l’audio de sa console.
Un lecteur de disques et des boutons
La Xbox Series X intègre aussi un lecteur Blu-ray 4K UHD à l’avant, à côté duquel on trouve très logiquement le bouton permettant d’éjecter les disques.
Le bouton pour allumer la console est plutôt intuitif, c’est le logo Xbox qui siège en haut de la console. Un dernier bouton, à côté du port USB, permet de gérer l’appairage sans-fil avec la manette.
La nouvelle manette Xbox Wireless Controller
Pour cette nouvelle génération de consoles Xbox, Microsoft a décidé de rester sur ses acquis pour concevoir la nouvelle manette. On retrouve donc pour l’essentiel le design d’une manette de Xbox One, avec quelques améliorations. La volonté assumée de Microsoft avec ce Xbox Wireless Controller est d’en faire une manette universelle, comme le montre son nouveau nom, qui n’est plus rattaché à un modèle de console précis.
Comme la nouvelle manette est commune à la Xbox Series S et X, et comme il s’agit d’une manette ayant pour vocation d’être utilisée sur une multitude d’appareils, nous lui avons accordé un test dédié.
Compatibilité des accessoires Xbox One
Par ailleurs, si vous aviez déjà investi dans des manettes ou des accessoires pour la Xbox One, sachez qu’ils sont parfaitement compatibles avec la nouvelle Xbox Series X. Les seules exceptions sont les accessoires utilisant le port audio optique et la caméra Kinect. Les manettes Xbox One, et notamment la Elite Series 2, sont donc utilisables sans aucun problème ni inconvénient.
Clavier, souris et audio
Le clavier et la souris sont gérés par la console, exactement comme sur Xbox One, mais il faut que les développeurs intègrent volontairement ce support. Cela se fait donc au cas par cas. En revanche, l’audio en USB ne semble pas géré par la console. Nous avons branché un casque Logitech en USB, et aucun paramètre ne semblait correspondre à un passage de l’audio sur ce périphérique. Il faudra donc utiliser le port jack de la manette pour brancher un casque. Le Bluetooth audio n’est pas géré non plus.
Branchement et installation
La simplification de la connectique à l’arrière de la console a ça de positif qu’il est beaucoup plus simple pour tout un chacun d’installer une Xbox désormais. Tous les câbles nécessaires sont fournis et d’excellente qualité. On branche l’alimentation, le câble HDMI et l’optionnel câble RJ45 et on est prêt à jouer.
Initialisation et configuration de la console
Le premier allumage de la console prend un peu de temps, puis on découvre le premier écran de configuration. C’est ici que Microsoft va nous proposer deux façons de configurer la console. On peut faire la configuration à la manette sur la console, ou plutôt, et c’est le moyen privilégié par Microsoft, passer par l’application Xbox sur smartphone Android et iOS.
Elle permet de s’occuper facilement de toutes les étapes de configurations avec l’ergonomie d’un écran tactile, plutôt que d’une manette. Cela permet aussi de configurer en parallèle du téléchargement et de l’installation des mises à jour. Comme l’application est connectée avec votre compte Microsoft, vous n’aurez pas besoin de vous identifier sur la console ou de taper votre mot de passe pour inscrire votre compte sur la machine.
Tout se fait extrêmement facilement et rapidement avec cette méthode. Les différentes options sont bien expliquées.
Mode d’alimentation : permets de choisir si la console reste en veille plutôt que de s’éteindre complètement, ce qui consommera du courant, mais permettra d’installer les mises à jour et d’allumer la console à distance.
Mode de connexion : est-ce que votre profil sera accessible à n’importe quel utilisateur de la console ou bloqué derrière un code PIN ou le mot de passe du compte ?
Mises à jour automatiques : pour les connexions limitées, cela permet d’éviter de télécharger automatiquement les mises à jour de jeux ou d’applications.
Options de confidentialités : la configuration se termine par plusieurs explications sur le partage de données entre Microsoft et les éditeurs, et la possibilité d’activer ou non l’envoi de données facultatives à Microsoft (performances de la console, utilisation des applications, activité de la console, etc.).
Une fois le réglage de ces options terminé, et la mise à jour initiale de la console (moins d’un gigaoctet), qui n’a pris que quelques minutes avec une très bonne connexion, Microsoft nous propose de nous abonner au Xbox Game Pass Ultimate, son service le plus haut de gamme, et on arrive enfin au menu principal de la console.
La console s’adapte automatiquement à l’écran connecté et elle sait adapter sa définition d’affichage. Nous avons pu tester les réglages 4K UHD 2160p, 1440p et Full HD 1080p. En revanche, le format 21:9 ne semble pas géré par la console, l’écran refusait de s’allumer.
Compte Microsoft obligatoire et récupération des sauvegardes
La configuration de la console est donc très simple. Il faut noter qu’un compte Microsoft ou Xbox Live est obligatoire pour utiliser la console. Il faut dire que Microsoft propose la synchronisation complète et gratuite des sauvegardes dans le cloud.
C’est particulièrement pratique si vous aviez une Xbox One sur la génération précédente, puisque la synchronisation des sauvegardes se fait complètement automatiquement. On reprend nos jeux là où l’on s’était arrêté. À l’époque de la Xbox 360, cette sauvegarde demandait un abonnement, mais Microsoft promet qu’une mise à jour pour sa première console HD permettra de sauvegarder ses jeux gratuitement.
Par ailleurs, si vous aviez des jeux Xbox One ou rétrocompatibles stockés sur un disque dur externe, il suffit de connecter ce dernier à la Xbox Series X pour récupérer tous ces jeux.
On peut réellement applaudir Microsoft sur ce point. La firme a fait un excellent travail pour permettre à toutes les joueuses et tous les joueurs de conserver facilement leurs sauvegardes. Notez que la console propose également de réimporter la configuration d’une Xbox One à l’identique depuis le cloud pour récupérer facilement tous les réglages que l’on avait modifiés sur sa précédente console.
Interface : enfin la fluidité sur Xbox
Déjà présentée depuis plusieurs mois, la nouvelle interface de la Xbox est en réalité d’ores et déjà disponible sur Xbox One. Les fans ne seront pas dépaysés. Alors que Microsoft a l’habitude depuis les débuts de la Xbox de faire très régulièrement évoluer l’interface de sa console, même au milieu d’une génération, la marque a décidé ici de ne rien chambouler. Pour ceux qui n’ont pas suivi les aventures de la Xbox One, refaisons un tour du propriétaire.
Le dashboard
Au centre de l’expérience, on a d’abord la page d’accueil avec les derniers jeux ou applications lancées, arrangés horizontalement. On accède à la liste complète des jeux et applications installées ou installables directement par un grand bouton impossible à manquer sur la seconde ligne. Cette dernière est complétée par trois contenus de recommandations : cela peut être une pub pour un jeu, une suggestion de succès à débloquer ou encore une suggestion de titre Game Pass.
Le reste de l’interface, à la verticale, est entièrement personnalisable par l’utilisateur. On peut sélectionner des applications, services ou jeux qui prendront alors une large ligne pour afficher leur contenu. Cela peut être un post ou une option de recherche de groupe pour Forza Horizon 4, les récents ajouts pour l’application Xbox Game Pass, ou encore des suggestions de films et séries à acheter ou louer en VOD.
Le menu guide
L’autre élément particulièrement important de l’interface Xbox est le menu guide, accessible depuis n’importe où en appuyant sur le bouton Xbox.
Il permet d’accéder aux fonctions principales de la console en quelques clics : ses amis, ses succès, les captures, les jeux récemment lancés ou encore la liste des jeux installés.
Chaque utilisateur peut librement réorganiser ce menu selon ses préférences. Vous préférez chasser les succès ? Placez cet onglet en deuxième position pour y accéder rapidement.
Le Microsoft Store
Historiquement, la boutique en ligne de jeux Xbox, remplacée depuis quelques années par le Microsoft Store, a toujours été lente et mal organisée. Si l’ergonomie était vraiment mauvaise, elle avait le point fort de présenter des fiches de jeux bien renseignées, exposants clairement les fonctionnalités (jeu solo, coop ou multijoueur, disponible en 4K ou non, etc.), avec des captures d’écran, les trailers et même des extraits de jeu partagés par la communauté.
Avec la Xbox Series X, Microsoft a retravaillé complètement l’interface du store en conservant ce point fort. La navigation est fluide, simple et tout est vraiment bien pensé, en plus d’être esthétiquement très attrayant. On prend plaisir à naviguer à travers les différents jeux proposés sur le store, à rechercher un titre précis ou à filtrer les catégories avec ses préférences. On apprécie également la possibilité de comparer en un coup d’œil les différentes éditions d’un jeu proposées. On comprend immédiatement ce que propose une édition « deluxe » ou « ultimate » dont on a aujourd’hui l’habitude.
Sans avoir autant de fonctionnalités qu’un Steam sur PC, le Microsoft Store est désormais d’après nous l’une des meilleures boutiques de jeux et d’applications du secteur, à la fois sur l’ergonomie, les fonctions et la présentation.
Multimédia et SVOD
La Xbox One avait fait du multimédia le centre de son expérience, avec la possibilité de prendre le contrôle de son téléviseur. La plupart de ces éléments ont disparu et la Xbox Series X est de nouveau avant tout une console de jeu, avec en supplément quelques options multimédias. Ces dernières passent surtout par les applications officielles des services les plus connus : Spotify, Prime Video, Netflix, Disney+, Deezer, MyCanal, ou encore ADN. Même RMC Sport et la TV d’Orange sont proposés. Ces applications ne sont pas aussi pratiques à manipuler avec la manette de la console, mais elles sont toutes extrêmement fluides, ce qui manque souvent sur les applications intégrées des Box Internet ou des téléviseurs.
Autre bon point pour le multimédia : la Xbox Series X gère parfaitement les technologies Dolby Vision et Dolby Atmos pour les services de SVOD. On peut donc profiter pleinement des contenus en 4K HDR et la console est même prête pour la 8K sur ce plan. En revanche, le Dolby Vision n’est pas géré pour la lecture de Blu-ray. C’est dommage, car c’était déjà un souci sur la Xbox One X.
En revanche, si vous avez l’habitude d’utiliser un navigateur web sur votre console. Celui fourni avec la console est toujours l’ancien Microsoft Edge, dans sa version d’octobre 2018, avant le passage à Chromium. Il propose donc la même expérience que sur Xbox One, et notamment des difficultés pour parfois lire certains contenus en 4K.
La nouveauté : Quick Resume
On l’a vu, Microsoft n’a pas changé d’interface pour sa Series X. En revanche, elle propose bien une grande nouveauté logicielle grâce à son SSD, la fonction Quick Resume.
Cette fonction permet de mettre en pause, puis en arrière-plan, plusieurs jeux pour, par la suite, reprendre la partie exactement où elle s’était arrêtée. Sur le plan technique, la console fait une copie de la RAM vers le SSD lorsque l’on appuie sur le bouton Xbox, puis une copie inverse quand on retourne dans le jeu pour le reprendre dans son état. Cette méthode a l’avantage de rendre Quick Resume résistant à une coupure de courant, l’extinction de la console ou une mise à jour système. Elle est également compatible avec tous les jeux Xbox, même en rétrocompatibilité. On passe ainsi de Red Dead Redemption à Dirt 5 ou SpiritFarer en quelques secondes.
Quand elle fonctionne, Quick Resume peut réellement changer l’expérience de jeu selon vos habitudes. Si vous avez l’habitude de jouer à plusieurs jeux selon les circonstances — un jeu solo quand vous êtes seul, et un jeu en coop avec votre conjoint·e par exemple — et passer rapidement d’un jeu à l’autre sans retourner au menu principal, avec la longue succession de logo des éditeurs et développeurs que cela engendre, Quick Resume est fait pour vous. C’est un peu comme si on pouvait soudainement faire un ALT+TAB entre ses jeux, ou accéder au même genre de multitâche que l’on connait sur smartphone.
Quick Resume est également pratique si vous partagez votre console. Il devient très simple de passer la main et la manette à un autre utilisateur du foyer, qui n’aura qu’à se connecter sur son compte et relancer son jeu pour reprendre où il en était.
En pratique malheureusement, cette fonction semble encore manquer de finitions. D’abord, si elle fonctionne la plupart du temps, il arrive régulièrement que les jeux ne parviennent pas à « reprendre » avec Quick Resume et redémarrent complètement. Dans ce cas, il faudra donc charger la dernière sauvegarde du jeu. Quick Resume ne remplace donc pas le système de sauvegarde de jeu, et peut même donner un faux sentiment de sécurité. Vous pouvez également voir dans la vidéo de démonstration un petit bug d’affichage avec la reprise de Mass Effect, qui se termine bien malgré tout.
L’autre problème est que cette fonction n’est jamais vraiment expliquée par le système et qu’aucun réglage n’est proposé dans les paramètres. On aimerait par exemple pouvoir « épingler » un jeu pour le garder sauvegardé en Quick Resume quoiqu’il arrive, définir le nombre de jeux à sauvegarder ou désactiver complètement la fonction pour économiser de l’espace de stockage.
Notez que les applications multimédia et le lecteur Blu-ray ne sont pas concernés par Quick Resume. On ne peut pas reprendre un film où l’on en était après avoir été interrompu par une partie dans un jeu.
Installation des jeux
L’installation des jeux se fait très simplement, en accédant à sa bibliothèque dans « Mes jeux et applications », en cherchant un jeu sur le Microsoft Store, ou évidemment simplement en insérant le disque dans le cas des jeux physiques.
Où sont les options ?
Nous avons été toutefois surpris de ne jamais trouver de paramètres pour installer seulement certains éléments d’un jeu. Le système semble bien prévu pour, Doom Eternal est par exemple proposé avec une extension « campagne », mais elle pèse seulement 10 Mo. On est loin de l’idée de pouvoir couper en deux le poids d’un jeu en se séparant de son mode multijoueur ou de sa campagne solo.
Espérons que ces fonctionnalités seront correctement adoptées par les développeurs par la suite.
Où sont installé les jeux : disque dur, SSD ou Xbox Velocity Architecture ?
C’est le bon moment pour aborder la question de la Xbox Velocity Architecture (XVA). Derrière ce nom se cache le nouveau système de stockage de la Xbox Series X basé sur un SSD NVMe avec une vitesse certifiée et la décompression à la volée des données par une puce dédiée.
Les nouveaux jeux développés pour Xbox Series S ou Xbox Series X, ou ceux qui sont mis à jour pour ces consoles, demandent donc absolument à être installés sur un stockage Xbox Velocity Architecture pour être lancés. Cela veut dire le stockage interne de la console, ou le fameux port d’extension de stockage présenté plus haut, dans lequel il faudra insérer une carte d’extension commercialisée par Microsoft. Pour le moment, seul Seagate en propose une de 1 To pour 270 euros.
Pour les jeux Xbox, Xbox 360 ou Xbox One, il est toujours possible de copier et lancer les jeux depuis un disque dur ou un SSD externe en USB. Il est également possible de copier un jeu « optimisé Xbox Series X » sur ces stockages, même si l’on ne pourra pas le lancer depuis cet emplacement. Cela permet d’éviter de retélécharger un jeu, pratique pour les petites connexions.
Dommage tout de même de ne pas proposer au joueur de choisir de lancer la version « next-gen » ou non du jeu. Une fois patché, il faudra absolument le lancer depuis un stockage XVA et il ne sera plus possible de le lancer depuis un disque dur en version Xbox One par exemple.
La place pour une bonne quinzaine de jeux
Avec un SSD de 1 To, qui se traduit par un espace de stockage libre de 802 Go une fois le système installé et le formatage fait, il y a tout de même de quoi installer quelques jeux. Nous avons installé très exactement 22 jeux avant d’arriver à 99 % et 8,3 Go d’espace libre sur la console. Parmi ces 22 jeux, il y en a trois au-dessus des 70 Go, douze qui pèsent de 20 à 70 Go, et les sept derniers qui sont sous les 8 Go. Cela semble suffisant pour facilement jongler entre plusieurs jeux sans en passer par les désinstallations, d’autant qu’il reste la possibilité de les copier sur les stockages externes.
On peut légitimement être effrayé par l’arrivée de certains jeux qui pèsent plus de 100 Go, surtout quand ils ne proposent pas d’options d’installation à la carte, mais dans cette première expérience de la console nous n’avons pas rencontré de problème.
Une interface simple, cohérente et fluide
Microsoft n’a donc pas réinventé la roue pour l’interface de sa Xbox, mais propose désormais une expérience cohérente et surtout fluide. Ceux qui ont connu la Xbox One comprendront où je veux en venir : finis les latences, les temps de chargement, ou autres petits moments frustrants en utilisant l’interface de la Xbox.
Les menus sont bien organisés et placent le jeu au centre de l’expérience, contrairement à ce qui s’était produit en 2013. On passe d’un élément à l’autre en quelques actions et tout ce dont on a besoin semble accessible facilement et rapidement.
Si elle n’est pas particulièrement innovante, l’interface de la Xbox a le mérite d’être performante.
La fonction partage n’est pas encore au niveau
Le partage de ses moments de jeux est devenu aujourd’hui un élément essentiel dans l’industrie du jeu vidéo. Pour beaucoup, il est devenu naturel de partager des captures d’écran ou des extraits vidéo de ses parties sur les réseaux sociaux. Sans parler des streamers, ce genre de partage permet de contribuer à la hype autour d’un jeu, ce qui est bénéfique pour les éditeurs et la console.
C’est là tout le génie du bouton share de la DualShock 4 sur PS4, qui a depuis été reprise sur la manette de la Nintendo Switch, et maintenant sur les manettes Xbox. Malheureusement, si le bouton share de la manette est bien là et pratique à utiliser, la fonction de partage de la Xbox laisse encore à désirer.
D’abord, en matière d’options de partage, la Xbox Series X ne sait enregistrer que les 30 dernières secondes en 4K, et jusqu’à 3 minutes en arrière pour un enregistrement HD 720p. Impossible donc de s’enregistrer un match complet de son jeu préféré après qu’il soit terminé. Il faudra absolument lancer l’enregistrement à chaque début de partie pour dépasser cette limite.
Par ailleurs, les fonctions de partage sur la console sont assez limitées et peu pratiques à utiliser. Heureusement, il est possible de partager facilement les contenus depuis l’application Xbox sur smartphone. Chaque capture d’écran ou extrait vidéo est uploadé sur l’espace de stockage dans le cloud accessible depuis l’application mobile.
Nos reproches sur l’interface
Outre les petits soucis rencontrés avec Quick Resume et l’absence de grandes innovations, nous avons quelques reproches à faire concernant l’interface de la Xbox.
D’abord, Microsoft n’a pas touché aux menus des paramètres de la console. On retrouve donc les codes de l’ancienne interface et une organisation assez obscure. Par exemple, les réglages réseau ne se trouvent ni dans « Système » ni dans « Appareils et connexions », mais dans « général ». L’interface ne présente pas de moteur de recherche pour ces menus et je n’ai jamais réussi à mémoriser où se trouvent les différentes options sans chercher dans les menus.
Par ailleurs, l’interface de la Xbox Series X est affichée en Full HD, même sur un écran 4K. Résultat : les écritures sont un peu pixelisées, et les images sont parfois floues. C’est dommage pour une console qui met autant en avant la définition 4K dans sa communication.
Enfin, l’interface ne présente pas de façon évidente un moyen de différencier les jeux Xbox Series X des anciens jeux Xbox One. Impossible de savoir en démarrant la version next-gen de Forza Horizon 4, que l’on démarre bien cette version et non une version Xbox One en rétrocompatibilité. Deux méthodes existent : trier sa bibliothèque de jeu par génération, ou farfouiller dans les informations de fichiers pour chaque jeu et regarder s’il s’agit d’une version « Durango », nom de code de la Xbox One, ou « Scarlett », nom de code de la nouvelle génération.
L’écosystème Xbox : la démonstration de force de Microsoft
Une nouvelle génération de consoles est le moment idéal pour faire le point sur la stratégie d’un fabricant et son écosystème. Et c’est justement sur son écosystème que Microsoft et Phil Spencer, le boss de Xbox, misent pour prendre la main sur le marché du jeu vidéo.
Le Xbox Game Pass au centre de l’équation
Dans toutes ses présentations, et on l’a vu jusque dans l’initialisation de la console, Microsoft n’a qu’un service à la bouche : le Xbox Game Pass. Pour rappel, ce service d’abonnement permet à partir de 9,99 euros par mois d’accéder à un catalogue de plus de 100 jeux à télécharger, dont les nouveaux jeux des studios internes de Microsoft dès leurs sorties.
Pour 12,99 euros par mois (ou pour beaucoup moins cher), le Xbox Game Pass Ultimate intègre le catalogue EA Play, l’abonnement Xbox Live Gold et la possibilité de jouer en cloud gaming à certains jeux depuis un autre appareil, sous Android uniquement au moment où l’on écrit ces lignes.
Xbox : l’application compagnon
Microsoft propose aussi une application officielle Xbox pour Android et l’App Store d’Apple. Cette application permet de gérer à distance sa console et partager des moments de jeux sur les réseaux sociaux.
L’application n’intègre pas le Microsoft Store, c’est dommage, car cela aurait été pratique pour faire des achats à distance. En revanche, on peut rechercher n’importe quel jeu et l’installer sur la console, que l’on en soit le propriétaire ou non. C’est pratique si vous souhaitez commencer à télécharger la dernière version du jeu avant de recevoir le disque physique par exemple.
C’est aussi par cette application que l’on pourra jouer à distance sur sa console Xbox depuis des appareils sous Android ou iOS. L’opération se fait très facilement et c’est assez pratique de pouvoir jouer depuis n’importe où à sa console.
On ne comprend pas en revanche pourquoi cette application n’est pas proposée sur Windows 10, dans le propre écosystème de Microsoft. Il est donc impossible de jouer à distance sur sa Xbox depuis un ordinateur, comme c’était pourtant possible sur Xbox One avec l’application « Compagnon Xbox ». Cette dernière, abandonnée par Microsoft, n’est pas compatible avec la Xbox Series X.
Family Settings et contrôle parental
Microsoft propose depuis longtemps une solution de contrôle parental sur Xbox, mais la firme a grandement simplifié la gestion vidéoludique de sa famille avec l’application Xbox Family Settings lancée pour l’arrivée de la Xbox Series X. Cette application permet de très simplement restreindre l’accès au contenu pour les enfants en fonction de leur âge. Pour cela, Microsoft se base sur les classements utilisés en France avec PEGI pour les jeux vidéo et les classiques logos -18 ou -12 par exemple pour la télévision, les films et la musique.
La gestion du contrôle parental sur Xbox permet en fait de laisser une certaine autonomie aux enfants qui pourront à loisir jouer à des jeux autorisés pour leur classe d’âge ou demander une autorisation pour jouer à un jeu normalement interdit. Le parent reçoit alors immédiatement une notification pour accepter ou non. En conjonction avec le Xbox Game Pass, on a là quelque chose de plutôt pratique où les enfants d’un foyer peuvent librement choisir les jeux auxquels ils souhaitent jouer, tant qu’ils sont conçus pour leur âge.
Par ailleurs, la console intègre un système permettant de restreindre le temps d’écran et de définir des plages horaires où l’on peut jouer dans la semaine. Enfin, le système permet aussi de définir des restrictions sur le jeu en ligne, pour éviter que des enfants en bas âge puissent jouer avec n’importe qui ou être exposés à la toxicité de certaines communautés en ligne.
Xbox Live Gold : l’abonnement de trop
Reliquat de l’époque Xbox 360, l’abonnement Xbox Live Gold est toujours là. Il est obligatoire pour jouer aux jeux en ligne, même quand ils sont gratuits. Microsoft est seule à exiger un tel abonnement pour les jeux free to play malgré le succès de certains titres comme Fortnite ou Rocket League dans cette catégorie.
L’abonnement permet aussi d’ajouter chaque mois des jeux à sa bibliothèque Xbox, qui seront accessibles tant que l’abonnement est actif. Malheureusement, mois après mois, Microsoft démontre que ce n’est plus dans ce catalogue que les investissements se font.
Un compte bien synchronisé
L’écosystème Xbox est aujourd’hui l’un des points forts de la marque. L’abonnement Xbox Game Pass semble incontournable tant il offre un catalogue riche et de qualité. Surtout, on a vraiment l’impression de se retrouver dans un écosystème cohérent et bien pensé, où l’on retrouve son profil et ses paramètres d’un appareil à l’autre.
Tout cela tient notamment à la synchronisation totale et gratuite des sauvegardes dans le jeu dans le cloud pour chaque compte Microsoft. C’est ce qui permet de retrouver la même sauvegarde en jouant en cloud gaming sur les serveurs de Microsoft ou de passer d’une console à une autre. Cela explique pourquoi un compte Microsoft est obligatoire pour chaque utilisateur de la console, même pour les enfants. Notez que Microsoft a levé les restrictions sur le nombre de machines où votre compte peut être configuré, du moment que vous ne jouez qu’à un seul endroit à la fois. Par ailleurs, tous les comptes sur votre console peuvent partager les jeux entre eux sans racheter les jeux ni multiplier les abonnements.
Les jeux Xbox
Une console de jeu, c’est évidemment un matériel et une interface, au centre aujourd’hui d’un écosystème, mais c’est bien sûr surtout des jeux. Et c’est là où l’on commence à déchanter.
Pas de vitrine technologique exclusive
Le retard de Halo Infinite, à l’origine prévu pour être un jeu de lancement, a été fatal pour le line-up de la console. C’est simple, la Xbox Series X n’a le droit à aucune exclusivité forte au lancement.
À la place, il faudra compter sur des jeux majeurs développés par les partenaires de Microsoft comme Assassin’s Creed Valhalla ou Dirt 5 dans une moindre mesure. Mais même ces jeux n’ont pas été uniquement prévus pour les nouvelles consoles et ne sont pas forcément très ambitieux.
Il faudra probablement attendre 2021, voire 2022, avant de voir arriver les premiers gros titres des studios de Microsoft. Avec 15 à 23 studios internes, on sait que la firme en proposera, mais il est dommage de ne pas s’être gardé une autre cartouche pour le lancement.
Rétrocompatibilité : Microsoft prend soin de son histoire
Heureusement, Microsoft a su, année après année, se créer une vraie force dans l’industrie avec son soin apporté à la rétrocompatibilité. Aujourd’hui, la Xbox est la seule à gérer aussi bien des jeux remontant à la génération de la première Xbox ou de la Xbox 360.
L’intégralité des jeux compatibles Xbox One, sont compatibles Xbox Series X, à l’exception des jeux Kinect. Et ils tournent tous dans de meilleures conditions grâce à la puissance supplémentaire de la console, en définition maximale et avec le framerate le plus haut possible. De plus, Microsoft travaille à améliorer « à la main » certains titres, comme la firme le faisait déjà avec la Xbox One X. Ainsi, un jeu comme Final Fantasy 13 ou Red Dead Redemption sortis à l’origine sur Xbox 360, profitent d’effets graphiques supplémentaires sur les consoles modernes.
Cette force permet d’investir sereinement dans l’écosystème Microsoft, que ce soit pour ses propres jeux ou les jeux des autres éditeurs. La firme a démontré qu’en achetant les jeux chez elle, on pouvait continuer dans profiter sur la prochaine Xbox, ou celle qui viendra encore après.
Notons que cette rétrocompatibilité est totalement gratuite : il ne faut pas repayer ses jeux. Insérer un disque Xbox ou Xbox 360 compatible permet de lancer l’installation du jeu sur la console.
Performances : la Xbox Series X en a dans le ventre
Performances en jeu
Forza Horizon 4 est sortie sur Xbox One en 2018 et a été mise à jour pour tirer parti des nouvelles Xbox. On a désormais un rendu natif en 4K UHD avec des performances à 60 images par seconde. De plus, comparé à la version Xbox One du jeu, le titre améliore le niveau d’affiche avec plus d’effets et de détails graphiques à l’écran, des ombres mieux travaillées et plus d’effets de particules.
Sur The Witcher 3, la Xbox Series X charge la version Xbox One X du jeu, qui laisse le choix entre un mode 4K ou un mode performance. Malheureusement, on est dans le cas d’un jeu qui ne sera pas techniquement beaucoup plus évolué en passant à la Xbox Series X, sans patch. En effet, le mode 4K est bloqué à 30 images par seconde et le mode performance permet de monter à 60 images par seconde jusqu’en 4K, mais avec des effets graphiques désactivés. Il faudra attendre une nouvelle version de la part de CD Projekt Red pour que le jeu puisse tirer parti de la puissance supplémentaire de la console.
Nous avons pu tester la nouvelle version de Gears 5, retravaillée pour la Xbox Series X. Cette version reprend le niveau de détails « ultra » de la version PC et pousse le rendu à 60 images par seconde, que ce soit dans les séquences de gameplay ou pour les scènes cinématiques. Il ne s’agit toutefois pas d’un rendu en 4K natif, mais en 4K dynamique. Cela signifie que le jeu pourra à tout moment baisser la définition du rendu pour toujours maintenir le bon niveau de performances, et l’image sera ensuite améliorée pour s’afficher en 4K. Sans atteindre le niveau de réalisme d’un The Last Of Us Part 2, ce Gears 5 est sans aucun doute le meilleur titre technique de Microsoft sur un jeu d’aventure à ce jour et il se retrouve sublimé avec cette nouvelle version.
Des temps de chargements raccourcis
Aucun des jeux que nous avons testés n’exploite réellement la nouvelle Xbox Velocity Architecture pour changer son game design. Si on reprend Gears 5 par exemple, nous avons toujours le droit à ces séquences où un personnage ouvre difficilement une porte pour laisser le temps de charger des données depuis un disque dur.
Malgré l’absence d’optimisation, on a quand même des temps de chargement plus courts, simplement par vertu de la vitesse du SSD intégré. Cela affecte tous les écrans de chargements, par exemple quand vous utilisez le voyage rapide dans un jeu. Le chargement initial de Gears 5 ou de SpiritFarer ne prend que quelques secondes, là où sur Xbox One cela pouvait approcher la minute.
On n’est pas au point d’avoir des écrans de chargements instantanés, mais on aura désormais beaucoup moins de temps pour trainer sur son smartphone pendant ces moments-là.
C’est sur Forza Horizon 4 que le raccourcissement de ces temps de chargement impressionne le plus. Sur une Xbox Series X, il suffit de seulement 4 secondes pour voyager d’un bout à l’autre de la carte.
Un gap technologique mal illustré
La Xbox Series X est incomparable avec les précédentes Xbox. La console est à la fois très puissante, rapide et silencieuse. Pourtant, l’absence de vitrine technologique exploitant pleinement les nouveautés comme le ray tracing ou l’architecture de stockage empêche d’avoir cette baffe tant attendue avec une console next-gen.
Disponibilité, prix et Xbox All Access
La Xbox Series X est lancée le 10 novembre 2020 à partir de 499,99 euros, ou à partir de 32,99 euros pendant 24 mois par mois avec l’offre Xbox All Access (intègre également 24 mois de Xbox Game Pass Ultimate).
J'ai finalement pu la récupérer et j'en suis très content. Je l'avais précommandé mais comme c'était à 60 km de chez moi j'étais pas sûr de pouvoir. Merci pour les informations, j'espère que ça pourra servir à d'autres.
Personnellement, j'y vois plus de défauts que de qualités. Du moins pour le moment... 😏
il y a quelques fois du restock La semaine derniere par exemple: 2x chez la fnac 1x chez Micromania 1x chez Cultura Mais... Il faut être réactif
il y a eu plusieurs restock le plus récent, cette nuit sur micromania.fr... mais ca part tellement vite
Normalement il y en aura au mois de décembre d'après Microsoft France.
Très bon article, très complet, très instructif, rien ne semble avoir été oublié. Merci, j'ai l'intention de l'acheter, elle semble fabuleuse et votre article, me conforte dans cette idée. Mais par-contre, il manque une petite précision assez subtile. "mais Microsoft promet qu’une mise à jour pour sa première console HD permettra de sauvegarder ses jeux gratuitement" En fait la première console HD de Microsoft, c'est la première XBOX, Microsoft l'avait annoncé pour son lancement, elle faisait du 480p, 720p et 1080i et c'est vrai que pour la France, c'est un peu plus complexe, elle ne l'était pas et que donc forcément, pour pouvoir avoir du HD, donc du 720P sur quelques titres, il fallait la modifier (puce ou softmode). Je l'avoue, il faut peut-être un passionnés de la première XBOX, pour le savoir. Je suis encore un grand fan de la première XBOX.
S'il vous plaît, arrêtez de préciser qu'elle est disponible dans les différents magasins, la console ne l'est plus du tout !!! Impossible de la précommander depuis des jours et des jours ; je regarde chaque jour et les stocks n'ont toujours pas été renouvelés. C'est hyper rageant/frustrant!
Au contraire c'et un bon point, c'est un bon test je trouve. ( idem pour la series S) Sinon aucun jeu first party pour le lancement d'une console next gen je crois que c'est une première. . .
Dans ce cas ne vient pas ici pour faire des commentaires inutiles
Test trop long
Il y a un narrateur intégré pour le système. Pour les jeux c'est au cas par cas.
"Microsoft a eu la bonne idée de placer de petits points en relief, non sans rappeler le braille, pour aider les personnes avec des problèmes de vision à câbler correctement la console." Est-ce qu'il y a aussi l'audio description pendant les jeux ? 🙂
Normalement je la reçois mardi, donc j'ai hâte de tester, et me faire jeux que j'ai abandonné sur One X car la fluidité n'était pas au rdv.
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