Test du Nikon Zf : le boîtier néo retro tant attendu

Appareils photo • 2023

Après un Zfc au succès incontestable et un Z8 ayant raflé tous les lauriers, Nikon revient une fois encore en force avec l'arrivée tant attendu de son boîtier néo-rétro plein format. Misant sur une association de performances haut de gamme couplé au plaisir de l'expérience, ce petit Zf a de quoi nous séduire.

Le Nikon Zf©Théo Toyer pour Frandroïd
Le Nikon Zf©Théo Toyer pour Frandroïd
Nikon Zf au meilleur prix

En bref
Nikon Zf

8 /10
Points positifs du Nikon Zf
  • un look d'enfer
  • un viseur large et agréable
  • un capteur plein format excellent
  • un autofocus bluffant reprit de ses ainés
  • son écran sur rotule (enfin !)
  • des performances globales remarquables
  • une qualité de fabrication toujours au rendez-vous (au prix du poids)
Points négatifs du Nikon Zf
  • un poids (trop) important
  • une ergonomie qui ne conviendra pas à tous
  • un bruit de déclenchement qui aurait pu être meilleur
  • l'absence de chargeur dans la boite ?
 

Successeur plein format tant attendu du Nikon Zfc, l’arrivée du Nikon Zf vient récompenser la patience des nombreux photographes désireux de retrouver le plaisir du rétro, en plein format. Dix ans après la sortie du Nikon Df, Nikon arrive cette fois avec une subtile recette mélangeant processeur de dernière génération et capteur aux performances éprouvées, le tout dans un boîtier très séduisant. Une seule question subsiste, le Zf performera-t-il à la hauteur de sa beauté ? Réponse à découvrir dans notre test du nouveau Nikon Zf.

 

Nikon Zf Fiche technique 

Modèle Nikon Zf
Type d'appareil Hybride
Format du capteur Full Frame
Résolution capteur 24,5 Mpx
Stabilisateur d'image Mécanique
Définition enregistrement vidéo 4K@60fps
AF-S 30 FPS
Écran orientable Oui
Poids 630 g
Fiche produit

Ce test a été réalisé à l’aide d’un appareil photo prêté par le constructeur.

Nikon Zf Design et ergonomie : sublime, mais pas parfait 

Parmi la pléthore d’appareils photo plus performants les uns que les autres, on peine parfois à distinguer quel boîtier pourrait être notre coup de cœur. Excluant Leica de l’équation, on oublie souvent le plaisir de l’expérience au profit des performances et de la compacité. Bien que cette philosophie se défende, l’arrivée du Nikon Zf souffle comme un vent rafraîchissant et annonciateur de nombreuses heures de sessions photos, centrées sur le plaisir d’avoir en main un appareil qu’on aura à cœur de garder près de soi et bonheur à regarder.

Avec des dimensions de 144 x 103 x 49 mm, ce « petit » Zf est moins menue qu’il n’y parait. Si sa prise en main est assez confortable, y compris pour des mains assez grandes, l’usage d’un grip supplémentaire est fortement recommandé pour sécuriser la prise en main (encore plus avec certaines couleurs de boîtiers à la texture lisses) , au prix d’un peu d’esthétisme. Ce faisant, Nikon s’est associé à la célèbre marque Smallrig pour concevoir une poignée spécialement dédiée à son nouveau boîtier.

Le Nikon Zf est disponible en plusieurs coloris comme ce rouge

Reprenant l’iconique forme des boîtiers argentiques d’autrefois comme le célèbre Nikon FE ou le plus récent Nikon Df, son esthétique le place à part sur son segment, faisant face à une concurrence qui ne s’est pas encore occupée de sortir des boîtiers néo-rétro mis à jour. Mais si les charmes du Zf ont vite fait de nous faire tourner la tête, la prise en main et la découverte de son poids nous ramènent rapidement à la réalité. Avec 710 grammes (batterie et carte mémoire incluses), la masse dénote avec l’aspect. Bien que très équilibrée et peu gênante à l’usage, elle tranche avec la philosophie des poids plumes que sont les boîtiers hybrides face à leurs prédécesseurs numériques ou argentiques. De quoi ajouter une touche de nostalgie supplémentaire dira-t-on.

Pour ce qui est de sa prise en main plus globale, celle-ci s’avère particulièrement bonne pour tout ce qui concerne l’accessibilité des boutons, du repose pouce ou de la navigation. Les molettes sur la face supérieure sont particulièrement réussies, avec des crans suffisamment souples sans pouvoir être tournées par mégarde. Les sélecteurs PSAM et photo/vidéo/B&W se placent naturellement sous les pouces tout en possédant les mêmes qualités que les molettes supérieures. Les molettes avant et arrière sont quant à elles un peu plus rigides, évitant un changement de paramètres involontaire. Le bouton Fn sur la face avant du boîtier se place naturellement sous l’annulaire, assurant son usage sans quitter le viseur des yeux. Enfin, le déclencheur possède un pas de vis pour y ajouter un déclencheur souple. Un bilan excellent donc, qu’on nuancera par l’encart plus haut concernant le grip.


Face à ces belles qualités, quelques détails négatifs plus subtils subsistent. Si la prise en main pour les plus grandes mains se sera pas gênante, le système d’accroche de la courroie vient malheureusement se placer pile sous l’index, venant quelque peu gêner la prise de vue. Un tout petit détail qui peut avoir son importance si vous avez tendance à utiliser de larges courroies. Ajouté à cela, le bruit de déclenchement est assez sec.

Les connectiques du Nikon Zf sur la partie gauche du boitier

Résistant à l’eau et à la poussière, la coque du Zf en alliage de magnésium apporte une sensation sécurisante de résistance et de robustesse.

Sur celle-ci, on retrouve sur sa partie gauche une entrée casque, micro-HDMI et micro ainsi qu’une prise USB-C pouvant servir à la recharge comme à la transmission de fichiers. Côté stockage, on retrouve sous le boîtier un slot SD UHS-II ainsi qu’un slot microSD aux côtés de la batterie EN-EL15c. Cette batterie peut donc être rechargée via un câble USB-C fourni dans la boite ou un chargeur externe non fourni (compatible avec les anciens chargeurs pour les batteries EN-EL15 ).

Nikon Zf Visée : le haut de gamme à 60 Hz.

Reprenant le Quad VGA OLED tactile de 3,69 Mdp, avec un grossissement 0,8x, ce nouveau Zf est équipé du même viseur que le Nikon Z8 et Nikon Z9, mais aussi Z6 II. Aussi bon que sur ses ainés, il est cependant limité à 60 Hz contre 120 sur le Z8 et Z9. Comme nous avons pu le dire pour les tests du Z8 ou Z9, ce viseur est à la fois très défini et lumineux ; des caractéristiques le rendant très agréable à utiliser qu’importent les conditions d’éclairage ou le style photographique. Bien que moins bien rafraichies que ses ainés, les performances restent excellentes.

Du côté de l’écran, on retrouve un écran tactile sur rotule de 3,2 pouces avec la possibilité de le retourner contre le boîtier pour protéger l’écran lors du transport. Pouvant pivoter sur deux axes à 180 degrés, l’écran peut servir pour le vlog et s’avère très lumineux même sous le soleil.

Ajouté à cela, l’écran peut servir de bouton tactile personnalisable pour déplacer la zone de mise au point en regardant dans le viseur par exemple. Il permettra évidemment la navigation tactile dans les menus ainsi que les prises de vues directes.

Nikon Zf Contrôle et navigation : on ne change pas une équipe qui gagne..

Amis nikonnistes, vous êtes ici toujours chez vous. Bien connus depuis longtemps, on retrouve sur ce Zf les menus aussi complets que rigides chers à Nikon.

Si les options de personnalisation n’ont jamais été aussi importantes avec l’avènement des appareils photo hybrides, Nikon a fait une nouvelle fois le choix de la tradition en conservant ses menus qu’on pourrait considérer encore et toujours comme un peu archaïques. Maintenant son cap, la firme nippone ne met pas à jour sa navigation, avec peu de nouveautés, de quoi ravir les adeptes de la marque qui s’y sentiront comme à la maison. Pour ce qui est des néophytes cependant, la chose sera toujours quelque peu austère, bien que la complexité des menus cache en fait une pléthore de choix octroyant une personnalisation tout à fait exemplaire de son boîtier comme sur ses ainés, notamment via sa touche « I », sur l’écran de navigation.

Les menus toujours très efficaces de Nikon

Du côté de l’interface, on retrouve encore et toujours une touche de Z8 ou Z9 avec une façon d’interagir identique, que ce soit via l’écran tactile ou le trèfle pour les irréductibles. L’absence de stick est néanmoins à spécifier bien que l’usage de l’écran comme pavé (ou Fn) tactile permette la navigation ou le déplacement du commutateur lors de la visée à l’œil.

Ajouté à cela, un bouton personnalisable est toujours de mise sur la face avant de ce Nikon Zf, conjugué à une possibilité de réassigner l’ensemble des touches du boîtier, permettant toujours une bonne personnalisation de son boîtier.

Nikon Zf Qualité d’images : le point d’équilibre

Reprenant son éprouvé capteur photo de 24 Mpx déjà présent sur son Z6 et Z6 II, Nikon fait le choix de l’équilibre. Pour rappel, ce capteur CMOS plein format rétro éclairé de 24,5 Mpx, stabilisé sur 5 axes, avait déjà fait ses preuves, offrant toujours de belles performances. Il en résulte des fichiers de 6048 x 4032 px avec fichiers RAW (compressés sans perte) pesant environ 35 Mo. En usant du mode de compression RAW maison de Nikon, on descend à environ 18 Mo avec une compression « efficacité élevée ». Couplé à son dernier processeur Expeed 7, présent sur les Z8 et Z9, les performances offertes font un vrai bon en avant, qui plus est sur ce segment tarifaire. L’absence de nouveautés du côté du capteur n’est pas ici quelque chose de rédhibitoire compte tenue de la montée de performance associée à l’Expeed 7, et un tarif qui reste contenu malgré la hausse généralisée des prix du marché.

Disponible nu ou en kit avec le Nikkor Z 24-70 f/4 ou encore avec le Nikkor Z 40 mm f/2 SE (avec lequel nous avons fait ce test), on retrouve une qualité globale très satisfaisante et un vrai plaisir à l’usage.

Associé à un objectif 40 mm f/2, le Zf propose un ensemble compact et centré sur le plaisir de l’utilisateur sans trop de concessions techniques. Très lumineux et bénéficiant d’un piqué précis, le petit objectif parvient à satisfaire la très grande majorité des usages avec des couleurs très précises, au prix d’un petit vignettage occasionnel et d’un bokeh logiquement moins performant que sur les optiques S de la gamme. Côté poids, l’association du Zf avec ce petit 40 mm s’avère très équilibrée et plaisante à l’usage; le poids modeste de l’optique compensant quelque peu l’embonpoint du boîtier.

exemple de léger vignettage du Nikkor Z 40 mm f/2

En situation, le bruit numérique ne commence à se faire sentir timidement qu’à partir de 6400 ISO et  reste très acceptable jusqu’à 12 800 ISO. Passé ce cap une perte assez importante d’informations émerge dans l’image en restant exploitable. Cependant, passé les 51 200 ISO, un graduel bruit de chrominance apparait, surtout dans les environnements sombres. Des performances qui sont donc assez bluffantes et au-dessus d’un Z6 II grâce à la présence de l’Expeed 7.

Nikon Zf Un mode Noir & Blanc dédié : encore un atout plaisir

Faisant écho au retour en force du noir et blanc, Nikon propose sur ce Zf une alternative aux capteurs noir & blanc avec un mode monochrome actionnable via le sélecteur photo/vidéo. Faisant office de bouton raccourci, cet ajout permet de passer instantanément de l’expérience de prise de vue classique à celle du noir et blanc, directement dans le viseur. Associé au « picture control » bien connu de Nikon, ce mode monochrome est divisé en trois modes : un mode monochrome classique ( équilibré entre contraste et qualité des détails, tant dans les ombres que dans les hautes lumières ) ; ce mode ne nécessitera pas forcément un passage par le banc de retouche, mais s’y prêtera tout de même sans souci. Un mode monochrome mois contrasté, aussi appelé flat monochrome ( comme on s’en doute, ce mode « plat » permet une plus grande flexibilité à la retouche et est fortement destiné à ceux souhaitant obtenir une image neutre qu’il caractériseront ultérieurement lors du passage en postprod ).

Enfin, c’est le mode monochrome tons profond ou simplement « contrasté » qui clôture cette liste avec un rendu très contrasté et séduisant pour les amateurs de noir et blanc prêt à l’emploi. Moins pertinent selon nous, ce dernier mode permet néanmoins de fournir une expérience complète pour tous les types d’utilisateurs, du plus fervent défenseur de la retouche jusqu’à l’amateur de « clic and share ».

Évidemment moins performant que les capteurs monochromes dédiés comme ceux présents chez Leica ou Pentax, ce mode est un ajout important dans ce Nikon Zf, car il offre un atout supplémentaire dans l’expérience globale excellente proposé par ce boîtier, tout en offrant des performances plus que satisfaisantes. Pour la partie logiciel, il est important de noter que les fichiers RAW utilisés pour la capture en monochrome conservent leurs données colorimétriques. Ils peuvent alors être exploités dans les principaux logiciels de retouches.

Nikon Zf Performances : la grande force du Zf

l’accroche des sujets humains même en conditions difficiles du Nikon Zf + Nikkor Z 40 mm SE f/2

Si ce boîtier se concentre sur l’expérience et le plaisir de shoot, ce n’est pas aux dépens de ses performances. Doté d’un autofocus hybride déjà présent sur le Nikon Z8 et le Z9, il en conserve toutes les capacités techniques, dont son excellent suivi 3D à la redoutable efficacité et son AF boosté au Deeplearning. Pourvu de 273 collimateurs (autant que sur le Z6 II) l’autofocus peut être géré directement sur l’écran en prise de vue à l’écran, mais aussi en prise de vue via le viseur avec la fonction de Fn tactile personnalisable via les menus — l’écran fait office de touche de fonction personnalisée sur ce Zf avec la possibilité d’assigner à l’écran une fonction de pavé tactile servant à déplacer le point Af lors de l’utilisation du viseur.


Au niveau des options de détections de sujet, le Nikon Zf est capable de reconnaitre aussi bien les humains (œil, torse, corps) que les véhicules (moto, voitures, trains avions, vélos) ou les animaux (chiens, chats, oiseaux). Les performances de cet Af sont assez exceptionnelles et au niveau de ce que l’on retrouve sur les boîtiers de gamme supérieure de la marque tant en termes de fiabilité que de suivi de sujets en mouvement qu’importe les conditions lumineuses — Nikon annonce une sensibilité allant jusqu’à -10 IL grâce aux performances du processeur EXpeed 7. Enfin, on ajoutera que les zones Af disposent de modes personnalisables avec 77 modèles disponibles pour la photo et 66 pour la vidéo.

Du côté de la rafale, le Nikon Zf n’est pas en reste non plus. Avec 14 i/s avec suivi de sujet en obturateur électronique ou mécanique, il est capable de monter jusqu’à 30 i/s (en Jpegs) en obturateur électronique tout en conservant le suivi de sujet. Sur le terrain, les performances de l’autofocus permettent une quantité de perte extrêmement faible et assurent une belle capacité de décomposition du mouvement. Pour ce qui est du débit, la mémoire tampon de ce Zf permet d’engendrer environ 200 images tous formats confondus. Pour être plus représentatif, la rafale tient 14 secondes sans s’arrêter et descend à 6 secondes avec le mode à 30 i/s (C30).

Comme sur ses ainés, le Zf dispose d’un mode de prédéclenchement entre 0,3 et 1 s en gardant le déclencheur à mi-course. Seul point noir au tableau, l’absence de capteur empilé fait subir au Zf des effets de rollig Shutter occasionnels non négligeables et quelques effets de banding. Des points qui permettront de trouver encore quelques différences entre les références haut de gamme de la marque nippone et ce nouveau boîtier.

Nikon Zf Qualité vidéo : On n’oublie pas les vloggeurs

Si les performances en photo sont tout à fait surprenantes, la vidéo n’est pourtant pas en reste. Avec de la 4K à 30 ips suréchantillonnée à partir d’un flux 6K, le Zf propose également de la 4k à 60 p au prix d’un crop APS-C. Pour les ralentis, le 120p est également présent, mais uniquement en Full HD. Pouvant aller jusqu’en 4:2:2 10 bits en interne ou via le port micro HDMI, ce petit Zf propose une large gamme de formats vidéos allant du BT2100 au SDR et HLG en passant par le N-Log pour les fichiers post produits.

Pour les accompagner, les modes de suivis d’autofocus silencieux sont de nouveau de la partie ainsi que les aides classiques pour la vidéo et la stabilisation électronique (qui concède toujours un très léger crop). Quant à la durée d’enregistrement, on obtient une durée maximale de 2h environ sans constater une chauffe trop importante du boîtier. Pour conclure, les vloggeurs retrouveront un mode qui leur est dédié, avec une désactivation de toutes les fonctions sauf le bouton d’enregistrement sur la partie supérieure du boîtier.

Nikon Zf Prix et disponibilité du Nikon Zf

Disponible nu au prix de 2499 euros, le Nikon Zf est également disponible en kit avec le Nikkor Z 40 MM f/2 SE à 2699 euros ainsi qu’avec le Nikkor Z 24-70 MM f/4 S à 2999 euros.

Nikon Zf au meilleur prix

Notre avis sur Le Nikon Zf

Design
9
Un design néo rétro qu'on attendait et qui ne déçoit pas !
Confort / ergonomie
6
Le look catchy à ses tares avec un confort perfectible et une prise en main qui ne conviendra pas à tous. Malgré tout, une poignée SmallRig est disponible, venant améliorer grandement la prise en main et l'ergonomie du boitier à l'usage.
Écran
9
Enfin une rotule permettant la prise vidéo selfie et une meilleure polyvalence ! Toujours très lumineux et réactif, l'écran du Nikon Zf est suffisamment défini pour tous les usages !
Performances
9
Au delà du look, la force de ce Zf réside dans ses performances assez bluffantes venant se placer aux côtés du Z8 et Z9 sans rougir. Son autofocus venant surprendre tant on peine à le discerner de celui du Z8 et Z9.
Photo
9
Des performances de haute qualité qu'on attend de Nikon avec une colorimétrie toujours aussi bonne et un capteur stabilisé qui fait très bon son travail dans toutes les conditions lumineuses.
Vidéo
8
Rien n'est oublié sur ce Zf avec l'essentiel des besoins vidéos 4k que l'on attend sur un boîtier en 2024, qui plus est pour le vlogging.
Note finale du test
8 /10
La patience aura donc porté ses fruits ! Après un Zfc qui nous avais donné envie de plus et un Z8 au top, Nikon parvient à associer plaisir de l'expérience et performances de haut vol avec un boîtier qui à décidément presque tout pour lui. Si on lui regrettera un poids un peu trop important et une ergonomie qui ne conviendra pas à tous, on ne peut que saluer la réussite de Nikon tant sur l'esthétique que la technique .

Points positifs du Nikon Zf

  • un look d'enfer

  • un viseur large et agréable

  • un capteur plein format excellent

  • un autofocus bluffant reprit de ses ainés

  • son écran sur rotule (enfin !)

  • des performances globales remarquables

  • une qualité de fabrication toujours au rendez-vous (au prix du poids)

Points négatifs du Nikon Zf

  • un poids (trop) important

  • une ergonomie qui ne conviendra pas à tous

  • un bruit de déclenchement qui aurait pu être meilleur

  • l'absence de chargeur dans la boite ?

Les derniers articles