Comme son nom l’indique, le Nothing Phone (3a) succède aux Nothing Phone (2a) et Nothing Phone (2a) Plus, lancés l’année dernière. Cette année, le constructeur joue encore une fois à fond la carte de l’originalité, grâce à un design particulièrement audacieux, qui le démarque des autres constructeurs, qui ont une approche stylistique plus sobre et conventionnelle. Autre élément différenciant : le système d’exploitation Nothing OS, qui offre lui aussi une interface et des fonctions particulièrement originales.
Autre originalité, la principale différence technique qui existe entre ce Nothing Phone (3a) et son grand frère, le Nothing Phone (3a) Pro, réside dans l’intégration d’un téléobjectif (un peu) plus puissant sur ce dernier (3x au lieu de 2x) et dans la définition du capteur associé à l’objectif frontal.
Outre ce dispositif photographique, assez rare sur un smartphone commercialisé à 349 / 399 €, seul leur design est légèrement différent. Car pour le reste, la plupart des caractéristiques (processeur, écran, batterie) des deux modèles sont strictement identiques. Voyons comment cette petite modification influe sur la qualité et la polyvalence photographique du modèle le plus abordable des deux.
Fiche technique
Modèle | Nothing Phone (3a) |
---|---|
Dimensions | 77,5 mm x 163,52 mm x 8,35 mm |
Interface constructeur | Nothing OS |
Taille de l’écran | 6,77 pouces |
Définition | 2392 x 1080 pixels |
Densité de pixels | 387 ppp |
Technologie | AMOLED |
SoC | Qualcomm Snapdragon 7s Gen 3 |
Puce graphique | Adreno 710 |
Stockage interne | 128, 256 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 50 Capteur 2 : 50 Capteur 3 : 8 Mp |
Capteur photo frontal | 32 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K @ 30 fps |
Wi-fi | Wi-Fi 6 (ax) |
Bluetooth | 5.4 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Sous l’écran |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 5000 mAh |
Poids | 201 g |
Couleurs | Noir |
Fiche produit |
Design : un smartphone qui ne ressemble à aucun autre
Dès son premier smartphone, Nothing a voulu se distinguer de la masse des autres appareils par un design particulièrement original. Il plait, ou pas, mais ne laisse pas indifférent. Pour son Nothing Phone (3a), le constructeur persiste et signe, avec un dos arborant un motif futuriste, qui a quelque peu évolué par rapport au Nothing Phone (2a) Plus. Ce dernier est disponible en trois coloris : blanc, noir ou bleu.
D’autre part, alors que son grand frère, le Nothing Phone (3a) Pro, se démarque avec un (imposant) bloc optique rond, le Nothing Phone (3a) ressemble plus à son prédécesseur, le Nothing Phone (2a) Plus, avec son bloc optique rectangulaire (qui comporte désormais trois objectifs).
Le smartphone arbore deux faces entièrement plates, avec un dos en verre (brillant), qui – malgré les motifs de différentes couleurs – retient assez bien les traces de doigts. De son côté, l’écran est habillé d’un revêtement de type Panda Glass. Il s’agit d’une alternative économique aux revêtements proposés par le fabricant Corning.
La question est : est-il aussi résistant (voire plus résistant ?) que le verre Corning Gorilla Glass 5 qui protège des rayures l’écran du Nothing Phone (2a) Plus ? Malheureusement, il est impossible de répondre à cette question sans prendre le risque d’endommager l’écran du smartphone. Risque que nous n’avons pas pris.

Le Nothing Phone (3a) pèse 201 grammes et mesure 16,35 x 7,75 x 0,83 cm. Contrairement aux smartphones haut de gamme, il n’est pas étanche et cessera donc de fonctionner à la moindre immersion. En effet, sa certification IP64 ne le protège que de la poussière et des projections d’eau. On peut donc l’utiliser sous la pluie sans risque.
Le lecteur d’empreintes digitales est placé au bas de l’écran. Si on le préfère, la reconnaissance du visage peut aussi être utilisée pour déverrouiller le smartphone.

Bien sur, le Nothing Phone (3a) ne serait pas fidèle à la marque s’il n’était pas doté de Glyphs, ces bandes de LED (trois en l’occurrence) placées autour du bloc optique et qui délivrent des effets lumineux. S’agit il d’un gadget ? Pour certains, surement ! D’autres seront séduits par ces jeux de lumière. En effet, les LEDs peuvent clignoter en fonction de certains évènements, comme une alarme ou une notification (plus de détail sur le fonctionnement du dispositif Glyph dans la section Logiciel).
D’autre part, le smartphone inaugure une disposition atypique des touches. En effet, alors que sur la plupart des smartphones Android, la touche de réglage du volume est placée sur la tranche droite, avec la touche de démarrage placée juste en dessous, il en va différemment sur le Nothing Phone (3a) Pro. En effet, les deux touches du réglage du volume sont placées sur la gauche, alors qu’à droite on trouve la touche de démarrage et – en dessous – une toute nouvelle touche, appelée Essential Key.
Celle-ci permet de réaliser différentes opérations :
- Une double pression permet d’accéder à l’application Essential Space (voir la section Logiciel).
- Une simple pression réalise une capture d’écran et la stocke dans l’Essential Space (avec ou sans note vocale associée). La même manipulation peut être réalisée depuis le module photo.
- Un pression longue permet d’enregistrer une note vocale, qui est conservée dans l’Essential Space.

Affichage : un écran OLED lumineux et bien calibré
Les caractéristiques techniques de l’écran OLED du Nothing Phone (3a) sont des plus classiques. Sa diagonale est de 6,77 pouces et il affiche des images avec une définition de 2392 x 1080 pixels.
Comme cela est devenu la norme de nos jours, la fréquence maximale est de 120 Hz. Toutefois, l’écran n’étant pas compatible LTPO, il est juste possible de fixer la fréquence à 60 Hz ou 120 Hz ou de laisser le système d’exploitation déterminer lequel de ces deux taux de rafraichissement est le mieux adapté à l’applications en cours d’utilisation (mode Dynamique).

La luminosité de l’écran, annoncée par Nothing, s’élève à 800 nits, voire à 1300 nits (avec la luminosité automatique, en mode dynamique), avec un pic HDR pouvant atteindre 3000 nits. Le constructeur a donc fait un petit effort de ce côté, puisque la luminosité maximale est plus élevée que celle de l’écran du Nothing Phone (2a) Plus.
Selon les mesures que nous avons réalisées avec notre sonde et le logiciel le logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Displays, la luminosité maximale de l’écran, par défaut, s’élève à 755 nits. Et, dans le mode Luminosité adaptative, celle-ci peut effectivement grimper jusqu’à environ 1300 nits, aussi bien en SDR qu’en HDR.
D’autre part, dans les paramètres d’affichage, deux profils d’affichage peuvent être activés : Couleurs normales et mode Actif. Les meilleurs résultats sont obtenus dans ce dernier. En effet, le Delta E moyen y a été mesuré à seulement 2,18 (rappelons que toute valeur inférieure à 3 signifie que la fidélité des couleurs affichées est parfaitement respectée).

De plus, la température moyenne des couleurs est de 6670 K, ce qui indique que la colorimétrie n’est que très légèrement froide. Elle demeure toutefois très proche de la valeur 6500 K, qui représente une colorimétrie parfaitement neutre.
Enfin, la couverture des différents espaces colorimétriques s’avère plutôt bonne, puisque l’écran est en mesure de reproduire 142 % du gamut BT 709, 95 % du DCI P3 et 64 % du BT 2020.

Logiciel : Nothing OS
Comme Nothing ne fait rien comme les autres, le système d’exploitation Nothing OS 3.1, qui s’appuie sur Android 15, dispose lui aussi d’une interface des plus originales. Ainsi, par défaut, elle est en noir et blanc, avec différents widgets déjà installés (horloge, temps passé devant l’écran, météo, Ne pas déranger). Bien sur, il est possible de leur redonner aux icônes leurs couleurs normales.
Et, bon point, cette interface particulière ne contient aucun pourriciel. En fait, toutes les principales applications sont regroupées sur l’écran principal. En revanche, certains pourront déplorer le fait que le constructeur n’assure les mises à jour de l’OS que pendant trois ans (alors que bon nombre de constructeurs garantissent de nos jours des mises à jour pendant 4 à 7 années !). Les patchs de sécurité devraient pour leur part être mis à jour pendant 4 ans.

L’interface de Nothing OS 3.1 propose quelques originalités, comme la vue contextuelle, qui permet de garder à l’œil une application dans une petite fenêtre flottante, ou encore la possibilité de réaliser des screenshots en faisant glisser trois doigts sur l’écran. De plus, le bouton de démarrage du smartphone peut également être utilisé pour lancer une application, suite à une double pression. Pratique pour accéder très rapidement à l’appareil photo, la lampe torche ou son jeu préféré.
Mais la principale originalité du Nothing OS 3.1 réside dans l’arrivée de l’application Essential Space (et de la touche associée dont nous avons déjà parlé). Il s’agit d’un espace où on peut stocker ses idées, sous différentes formes (photo, capture d’écran, note vocale).
Le fait intéressant est que ces éléments sont analysés par l’IA, afin de structurer les idées ou de fournir des recommandations complémentaires. Ainsi, les notes vocales sont transcrites automatiquement et les objets photographiés sont reconnus afin d’apporter diverses informations.
En créant différentes « collections », il est possible de classer ses idées.
L’IA est également mise à profit pour générer de fonds d’écran originaux, en mélangeant deux images de votre choix (Wallpaper Studio).
Pour le reste, l’IA brille par son absence. En particulier, certains pourront déplorer l’absence de fonctions de productivité ou de retouche graphique originales, comme la gomme magique et la traduction ou le résumé des notes, vocales ou écrites. Le constructeur est clairement à la traîne par rapport à de nombreux autres acteurs du marché dans ce domaine.
En revanche, les options liées au dispositif Glyph sont nombreuses. Rappelons que ces effets visuels peuvent être utilisés pour donner certaines indications, accompagnés ou non d’éléments sonores, très atypiques eux aussi (sonneries et notifications très robotisées). Par exemple, il est possible d’assigner un effet lumineux spécifique à certains de vos contacts. On peut ainsi savoir qui appelle juste en regardant le Nothing Phone (3a). D’autre part, en activant l’option Glyph mobile, il suffit de poser le smartphone pour que ce dernier passe en mode silencieux et que seules les alertes visuelles subsistent lorsqu’on reçoit un message.
D’autres fonctions nous semblent plus anecdotiques, comme le Chronomètre Glyph (le signal lumineux indique la fin d’un décompte de temps), l’indicateur de volume ou encore la « visualisation de la musique » (les LEDs pulsent selon le rythme de vos chansons préférées).
Bon point, toutes les fonctions originales du système du Nothing Phone (3a) sont particulièrement bien expliquées, dans les paramètres du smartphone, dans la section Conseils et Feedback.
Performances : une puce de milieu de gamme efficace
Comme son grand frère, le Nothing Phone (3a) est doté du processeur Qualcomm Snapdragon 7s Gen 3 (contre Mediatek Dimensity 7350 Pro pour le Nothing Phone (2a) Plus). C’est la puce que l’on retrouve également dans le Xiaomi Redmi Note 14 Pro Plus 5G. Il est complété par 12 Go de mémoire et 512 Go d’espace de stockage.
Les résultats obtenus par la puce sont plutôt à ceux du processeur Mediatek Dimensity 7350 Pro, qui équipe le Nothing Phone (3a) Plus, et à ceux du Dimensity 7300 Ultra que l’on trouve dans le Xiaomi Rrdmi Note 14 Pro 5G. C’est du moins ce qu’indique les scores réalisés avec différents benchmarks, comme Antutu et Geekbench.
Sans être un processeur haut de gamme, le Mediatek Dimensity s’en sort donc très honorablement, grâce à ses 8 cœurs, à son NPU et à son GPU. D’ailleurs, ce dernier permet d’exploiter tous les jeux dans d’excellentes conditions. Par exemple, Fornite peut fonctionner en mode Epique et offrir des animations très fluides (60 images par seconde), ou avec une qualité graphique minimale, pour délivrer des animations hyper fluides, comportant jusqu’à 90 images par seconde, ce qui permet d’obtenir une réactivité susceptible de vous donner un avantage certain sur vos adversaires en ligne.

Photo : un petit téléobjectif, mais un téléobjectif quand même !
Pour son nouveau smartphone, Nothing a apporté trois nouveautés par rapport au Nothing Phone (2a) Plus :
- L’apparition d’un troisième objectif. En l’occurrence, il s’agit d’un téléobjectif.
- Le capteur ultra grand angle qui passe de 50 mégapixels, sur le Nothing Phone (2a) Plus, à seulement 8 mégapixels.
- Le tout est complété par un objectif frontal, qui a désormais une ouverture de f/2,2 et un capteur Samsung de 32 mégapixels, ce qui constitue une petite régression par rapport au capteur 50 mégapixels des Nothing Phone (2a) Plus et Nothing Phone (3a) Pro.

Au final, les trois objectifs dorsaux du Nothing Phone (3a) sont les suivants :
- Le principal est un grand angle stabilisé (OIS et EIS), qui a une ouverture de f/1,88 et un capteur Samsung de 50 mégapixels.
- L’ultra grand angle, associé à un capteur Sony de 8 mégapixels (ouverture de f/2,2).
- Le nouveau téléobjectif, qui permet d’effectuer un zoom optique 2x (voire même 4x « sans perte de qualité » selon le constructeur). Il permet également d’utiliser un facteur de grossissement maximum de 30x. De plus, il est stabilisé (OIS et EIS), a une ouverture de f/2,0 et envoie ses images vers un capteur Samsung de 50 mégapixels. C’est d’ailleurs la principale différence avec le Nothing Phone (3a) Pro, dont le téléobjectif offre un zoom optique 3x.
De plus, contrairement à son grand frère, le Nothing Phone (3a) n’est pas en mesure d’utiliser son téléobjectif pour capturer des images en mode macro. Si cela ne devrait pas être une grosse perte pour une très grande majorité d’utilisateurs, c’est tout de même dommage.
Ultra grand angle
De jour, la qualité des images est plutôt convaincantes si on les regarde sur le petit écran d’un smartphone. Toutefois, si on les affiche sur un écran de plus grande taille, une TV ou un moniteur, on remarque que leur précision est loin d’être bouleversante et que les bords de celles-ci sont souvent flous.
De nuit, les photos prises avec l’objectif ultra grand angle ne sont pas satisfaisantes, en raison d’une trop grande imprécision.
Grand angle
De jour, les clichés sont bien meilleurs que ceux pris en ultra grand angle. Ils fourmillent de détails et leurs couleurs s’avèrent fidèles à la réalité.
De nuit, la quasi totalité des photos que nous prises se sont avérées de bonne qualité. Les sources lumineuses sont plutôt bien gérées, avec des effets de lentille très limités.
Téléobjectif
Le zoom optique 2x et le zoom numérique 4x produisent des clichés satisfaisants, avec encore un piqué assez précis.
Mais, bien sur, plus on va pousser le zoom numérique, moins les images vont devenir détaillées. Toutefois, certains résultats peuvent encore faire illusion, grâce à un lissage plutôt bien réalisé.
De nuit, si les conditions d’éclairage sont limitées, autant se contenter du zoom 2x, qui génère des images correctes. Au-delà, les résultats sont souvent flous dans le cas contraire.
Selfies
Bon point, les selfies ne souffrent pas vraiment du passage de 50 mégapixels à 32 mégapixels, puisque les moindres détails du visage sont capturés.
Toutefois, comme souvent, lorsqu’on active le mode Portrait, les cheveux récalcitrants sont quelque peu gommés par l’effet de flou appliqué à l’arrière plan (effet Bokeh).
Vidéo
Lorsqu’il s’agit de réaliser des séquences vidéo, les possibilités du Nothing Phone (3a) sont limitées. En effet, il ne propose que les modes 4K en 30 images par secondes, ou Full HD (1080p) en 60 images par seconde.
Audio
Sans surprise, deux haut-parleurs se chargent de restituer un son stéréo, lorsqu’on regarde des vidéos ou quand on regarde un film ou une série. Le bon point, c’est qu’ils délivrent une qualité audio plutôt satisfaisante, malgré – comme toujours – une prédominance des médiums.
Toutefois, l’équilibre général entre les différents plages de fréquences est plutôt bon, et le son n’est pas agressif à fort volume.
Réseau et communication
Le Nothing Phone (3a) peut accueillir deux cartes nano SIM 5G. Il est également compatible avec la technologie eSIM (c’est une nouveauté par rapport à son prédécesseur).
Pour le reste, il supporte également les standards Wi-Fi 6, Bluetooth 5.4 et NFC.

Batterie : une autonomie plutôt moyenne
La capacité de la batterie du Nothing Phone (3a) n’a rien d’exceptionnelle, puisqu’elle est de 5000 mAh. Certains smartphones récents intègrent des batteries de plus forte capacité (de 5800 mAh pour le Oppo Reno 13 Pro à 6600 mAh pour le Honor Magic 7 Lite).
En ajustant la luminosité de l’affichage à 250 nits et en utilisant une fréquence d’affichage adaptative, le test d’autonomie de l’application PC Mark a fonctionné pendant 14 h 51 min, ce qui est un bon résultat, sans plus (dans la moyenne).
De la même façon, l’autonomie en streaming vidéo n’est pas renversante. Ainsi, le niveau de la batterie a baissé de 9 % après avoir lu un film de 2 heures, en Wi-Fi. Puis, la baisse du niveau de la batterie a été de 19 %, après avoir renouvelé l’opération une fois (4 heures de lecture donc), puis de 29 % au bout de 6 heures de lecture vidéo. L’autonomie totale en streaming vidéo peut donc être estimée à un peu plus d’une vingtaine d’heures.

Faute de supporter la recharge sans fil, le Nothing Phone doit faire appel à un adaptateur pour faire le plein d’énergie. Celui-ci peut délivrer une puissance de 50 W. Selon Nothing, un tel adaptateur permet de regonfler la batterie à bloc en 56 minutes (19 minutes pour qu’elle soit rechargée à hauteur de 50 %).
Selon nos mesures, réalisées à l’aide d’un adaptateur secteur de 65 W, la recharge s’est effectuée à hauteur de 19 % en 10 minutes. Puis 39 % au bout de 20 minutes, et 58 % après une demi-heure. Il a enfin fallu attendre une heure pour que la batterie soit rechargée à 95 %.
Prix et date de sortie
Le Nothing Phone (3a) sera disponible dès le 11 mars, aux prix suivants :
- 349 €, avec 8 Go de mémoire et 128 Go de stockage
- 399 €, avec 12 Go de mémoire et 256 Go de stockage
C’est une baisse de prix sensible par rapport au Nothing Phone (2a) Plus, qui a été lancé à 449 €.

Parmi ses concurrents potentiels, vendus moins de 400 € et équipés d’un téléobjectif, on peut citer les modèles suivants :
- Le Motorola Edge 50 Neo.
- Le Xiaomi 13T, lancé fin 2023 et que l’on peut encore trouver aujourd’hui aux environ de 350 €.
- Le Realme 12 Pro+.
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