L’Oculus Quest 2 reprend l’héritage du premier modèle et de la lignée des casques de réalité virtuelle de la firme Oculus VR, pionnière en son genre. Mais à la différence des premiers modèles ou de la concurrence actuelle, l’Oculus Quest 2 est un système autonome de réalité virtuelle, comme son aîné. Cela signifie que vous pouvez l’utiliser sans devoir trimballer un ordinateur pour le raccorder ou tout autre appareil (smartphone, console, etc.). Une moindre gêne aussi pour se mouvoir. Cela se fait-il au détriment de l’expérience ou de la puissance ? On vous dit tout.
Fiche technique de l’Oculus Quest 2
Ce casque de réalité virtuelle nous a été prêté par la marque.
Qu’est-ce qu’un casque de réalité virtuelle ?
La première fois, cela fait souvent peur de voir des personnes, casque sur la tête, virevoltant dans tous les sens, armés d’étranges manettes, sans vraiment comprendre ce qu’elles sont en train de faire. Bienvenue dans la réalité virtuelle ! Ce casque est votre passeport vers un Nouveau monde. Il va proposer des expériences de jeu, de découverte, mais aussi de loisir comme des concerts ou des spectacles, vous permettre de visionner vos contenus vidéo ou photo dans un univers qui vous est propre. Il suffit de l’enfiler.
Certes alors coupé du monde extérieur, pris dans une virtualité, mais pas tout à fait. Car certaines expériences permettent aussi d’interagir avec vos amis qui ne sont pas à côté de vous, à travers du jeu en ligne ou pour regarder un film ensemble, discuter…
Plus compact et plus léger, mais avec quelques regrets
Par rapport à la première mouture sortie au printemps 2019, le casque, devenu blanc, a été redessiné pour être optimisé. Même l’emballage du produit a été bouleversé… Il contient toujours le Quest 2, deux contrôleurs Touch, un socle d’espacement pour lunettes à fixer sur le casque, ainsi qu’un câble USB-C d’un mètre pour recharger l’appareil.
Première surprise, le système d’attaches a fortement changé. Le côté un peu plus rigide de la première version, notamment au niveau de la fixation autour de la tête, a laissé sa place à une large bande élastique de trois branches ajustable à l’arrière pour resserrer, avec le scratch sur le dessus pour gérer la profondeur. L’élastique part des deux branches en plastique latérales plus rigides. Ce choix n’est pas forcément pour le mieux.
Si, sur le dessus, cela ne change guère, l’abandon des scratches latéraux rend l’ajustement du casque moins évident en solo. Ce n’est pas forcément facile de trouver les bons réglages de la réglette pour le tour de tête et, mal ajusté à votre crâne, le casque aura tendance à beaucoup peser sur l’avant et à vous fatiguer. C’est l’un des changements induits par le nouveau design qui n’est pas pour le mieux, même si le poids a été revu à la baisse (503 g tout de même, 68 g de moins que le précédent). Il faut plusieurs utilisations pour s’y faire et, aussi, pour que l’élastique s’ajuste à votre tête.
Oculus a tout prévu et, si vous êtes gêné par la nouvelle attache, vous pouvez vous rabattre sur la sangle Elite Strap qui propose tout un système à clipser sur le casque, dont une molette à l’arrière qui ajuste bien mieux les réglages. Mais avec un coût supplémentaire (49 euros).
Côté aspect extérieur, on retrouve une forme similaire et, en effet, un peu plus compacte qui le rend aussi plus élégant, avec une bonne finition des matériaux. L’Oculus Quest 2 affiche 191,5 x 102 x 142,5 mm (sangle repliée) quand la première version était de 193 x 105 x 222 mm avec ses branches.
On trouve quatre capteurs sur l’avant du casque qui vont scanner en permanence l’environnement et vous permettre de vous repérer, tout en évitant les obstacles. Il y a également une prise jack pour brancher vos écouteurs sur le côté gauche, juste à côté du port USB-C repositionné à l’horizontale sous l’attache, ce qui s’avère moins gênant pour connecter le câble Oculus Link (voir plus bas) ou recharger le casque. À droite, on trouve le bouton de mise en marche et, en dessous, deux micros ainsi que la touche pour le volume.
Les accessoires
Les manettes Touch ont été totalement repensées. Elles sont plus ergonomiques et agréables en main. Elles se rapprochent du design des manettes Rift. Les touches et gâchettes tombent plus intuitivement sous les doigts, même pour les petites mains, avec une surface élargie et des boutons ainsi moins resserrés.
Les contrôleurs Touch sont immédiatement reconnus par le casque à sa configuration, ce qui facilite leur usage immédiat. Ils fonctionnent avec une pile AA chacun (fournie) et leur autonomie est plutôt confortable, entre 20 et 30 heures. Surtout, si vous aviez pris les premières versions en main, vous allez apprécier la meilleure finition du cache des piles qui ne se retirent plus aussi facilement pendant que vous êtes en pleine partie de combat virtuel.
Il est aussi possible d’opter pour les contrôles avec les mains dans le menu du casque, ainsi que pour certaines applications grâce à la technologie Hand Tracking. Les interactions se font alors sans les manettes Touch, en pinçant par exemple les doigts pour valider un choix. Le pointeur apparaissant sur les écrans suit ainsi le mouvement de la main.
Audio
Le Quest 2 embarque un système audio amélioré. Il est directement intégré dans les branches du casque. Il est donc possible de se passer d’un casque audio qui viendrait faire peser un peu plus de poids sur votre tête. La qualité est bien présente et on en profite pleinement durant les expériences comme les jeux. Vous entendrez parfaitement les dialogues comme les ennemis dans votre dos.
L’écran abandonne l’Oled pour une meilleure expérience
Le Quest 2 a troqué l’Oled pour le LCD. Mais l’écran affiche désormais une résolution de 1832 x 1920 pixels par œil. C’est une nette amélioration par rapport au Quest 1 (1440 × 1600 par œil), même si l’on perd en qualité sur les noirs et les contrastes. Pour les expériences lumineuses, ce n’est pas gênant. Si vous aimez les jeux d’horreur ou les expériences qui proposent un environnement nocturne, vous allez voir une différence.
Si vous avez déjà testé le premier casque, vous ne constaterez pas un écart visuel dingue, au contraire. Le LCD a l’avantage de réduire les écarts entre chaque pixel (en ajoutant davantage de sous-pixels) et de limiter ainsi l’effet de grille que l’on peut avoir avec un écran si près des yeux. Oculus annonce 50 % de pixels en plus pour plus de clarté. Mais ce qui améliore aussi la qualité visuelle, c’est le passage du taux de rafraîchissement de 72 à 90 Hz avec la mise à jour de novembre 2020.
L’écran, parlons-en. Le Quest 2 a troqué les deux écrans pour une dalle unique. Cela engendre aussi un changement au niveau du réglage interpupillaire. Exit la molette d’ajustement, le casque a réduit cela à trois options fixes (58, 63 ou 68 mm). Et cela n’est pas forcément pratique. Ayant besoin d’un écart entre deux positions, j’ai dû opter pour l’une et réajuster le port du casque en conséquence.
À noter que si vous portez des lunettes, un adaptateur à ajouter à l’intérieur du casque est prévu pour votre confort. Cependant, Oculus a également réduit légèrement la largeur de la zone écran. Si vous portez des lunettes un peu larges, vous pourriez être gênés par le contour en mousse.
Encore plus puissant
C’est désormais la plateforme Snapdragon XR2 de Qualcomm qui équipe l’Oculus Quest 2. ll s’agit d’une version adaptée d’un Snapdragon 865 pour la réalité virtuelle et la réalité augmentée qui remplace le Snapdragon 835 du premier modèle. Il est couplé à 6 Go de RAM. Cela va apporter beaucoup plus de puissance au casque (2 à 3 fois, annonce Oculus), lui permettant de faire tourner davantage de jeux gourmands, mais aussi de proposer une navigation dans le menu principal plus fluide et une définition nettement améliorée. Certains jeux y gagnent en rendu.
L’affichage de votre hub d’arrivée, représentant au choix un paysage ou un intérieur, profite d’ailleurs de cette puissance pour donner une sensation de mouvements plus naturelle lorsque vous tournez la tête pour tout apercevoir, afficher les informations, lancer des vidéos, etc.
L’Oculus Quest 2 est proposé en deux configurations : 64 ou 256 Go. Il n’y a que 100 euros d’écart entre les deux versions. Si la première peut s’avérer amplement suffisante pour la majorité des utilisateurs, vous aurez l’occasion de voir venir avec plus de stockage avec la seconde option.
Une utilisation très simple… mais sous l’égide de Facebook
L’Oculus Quest 2 a un avantage non négligeable : il n’a pas besoin de caméras de détection à installer pour pouvoir fonctionner. Il suffit donc de sortir le casque de sa boîte, de le mettre, l’allumer et le configurer pour s’en servir. Et cela, quel que soit l’endroit où vous vous trouvez.
La configuration du compte
À l’allumage, l’interface va vous demander de connecter votre compte Facebook si vous en avez un ou bien d’en créer un. C’est l’un des nouveaux points un peu polémiques dus au rachat de l’entreprise par le réseau social qui veut maximiser les interactions entre ses services et produits. Si vous aviez préalablement un compte Oculus, vous pouvez toujours vous en servir pour vous connecter. Mais passé le 31 décembre 2022, vous devrez basculer vers votre compte Facebook pour pouvoir continuer à vous en servir avec l’intégralité du support technique.
Il faut avouer que si vous utilisez habituellement votre compte Facebook, tout est simplifié et les réglages sont faits rapidement (identifiants, nom, prénom, services, apps si elles sont existantes, liste de contacts…). Vous n’avez plus qu’à connecter le casque à votre réseau Wi-Fi et à aller ensuite dans le store pour charger les jeux, expériences et applications de votre choix.
Le Guardian : une aire de jeu à votre mesure
Pour bien profiter de votre casque de réalité virtuelle, il vaut mieux avoir de l’espace autour de vous. Oculus conseille un minimum de 2 x 2 m, mais plus votre zone sera restreinte, plus vous pourrez être frustré dans des jeux qui demandent un peu de mouvement. Cela reste néanmoins suffisant pour bon nombre d’expériences.
Grâce à son système de caméras réparties sur l’avant du casque, vous allez pouvoir définir votre aire de jeu grâce à la technologie Roomscale. Elle va ainsi tenir compte des recoins, des meubles et autres objets. Une véritable bénédiction pour profiter pleinement de son Quest 2. Sur votre écran, les capteurs affichent votre environnement, et grâce aux contrôleurs Touch, vous allez pointer le sol pour parfaitement délimiter la zone (ou avec vos mains, mais c’est un peu moins pratique). Un grillage (Guardian) apparaîtra ensuite pour vous afficher à l’écran les limites de sécurité (en rouge, arrêtez-vous !), histoire de ne pas se retrouver à heurter la table ou le mur.
La fonction Passtrough+, qui affiche dans votre casque votre environnement façon caméra de surveillance, permet ainsi de « revenir dans le monde réel » à tout moment. Elle s’utilise lors de la configuration de la zone, mais aussi si vous commencez à sortir du Guardian. Les capteurs repassent automatiquement en mode caméras. Vous pouvez aussi y accéder d’une double tape sur le côté de votre casque. Idéal notamment si votre téléphone se met à sonner ou que vous sentez quelque chose entrer dans votre aire de jeu.
À noter qu’un Roomscale stationnaire est aussi proposé pour définir une aire de jeu autour de vous. Vous vous retrouvez alors au centre d’un cercle. Cela s’appliquera notamment aux expériences qui ne nécessitent pas d’être en mouvement ou durant lesquelles vous pourrez même être assis.
Un suivi des mouvements encore plus parfait
Comme sur le Quest 1, la qualité de suivi des mouvements est excellente et réactive. Sur votre écran, les Touch vont indiquer un pointeur pour valider un choix dans un menu, prendre une direction dans un jeu. Les joysticks et gâchettes viennent à votre secours pour des gestes plus intuitifs et naturels. Nous n’avons quasiment jamais subi de perte de connexion avec les contrôleurs, ou bien cela n’excédait pas la seconde avant qu’ils ne se remettent dans le bon sens de la marche. Vous pouvez être debout, accroupi, assis, vous retourner ou simplement vous baisser pour attraper des objets et les capteurs répercutent virtuellement vos mouvements dans le même timing.
Il en va de même pour le contrôle gestuel, qui n’est pas encore utilisable pour tout, mais assez pratique. C’est peut-être l’exercice qui demande le plus de maîtrise pour que les capteurs saisissent bien vos gestes. Mais c’est en nette amélioration par rapport au Quest 1. Dommage que cela serve pour le moment surtout dans les menus et pour contrôler la lecture vidéo ou lancer des applications. On notera tout de même l’utilisation possible dans Elixir qui utilise le tracking des mains pour composer des potions.
L’application compagnon
Pour accompagner son casque et faciliter notamment les téléchargements ou réglages, Oculus a prévu une application compagnon. Elle centralise tout : le store, les relations sociales et les paramètres.
C’est là que vous pourrez facilement acheter vos jeux et applications depuis le Store pour les télécharger ensuite sur votre casque, avoir un œil sur les programmes proposés par Oculus TV et les plus populaires du moment.
Vous pourrez également accéder à votre bibliothèque et même trier vos applications par Niveau de confort (Oculus Video pour visualiser vos contenus sur un grand écran étant la proposition la plus confortable, tandis qu’Epic Roller Coasters, jeu de montagnes russes en VR, brille par son côté mêlant frissons et effets visuels qui peuvent provoquer une gêne chez beaucoup d’utilisateurs).
Oculus Home : votre chez-vous
Une fois que vous avez tout configuré, vous arrivez dans votre nouvel accueil. C’est là que l’interface va s’afficher à l’écran et vous diriger vers l’Oculus Store ou bien vos applications et jeux déjà possédés, vos contenus multimédia et faire le lien avec Facebook (vos vidéos, votre liste d’amis…).
Vous pouvez également depuis un menu accessible en appuyant sur le bouton Oculus du contrôleur Touch diffuser votre expérience sur le réseau social, faire des captures d’écran…
Diffuser ses contenus
À noter que la fonction miroir de l’Oculus Quest permet de diffuser des images sur son téléviseur avec Chromecast, son PC ou son smartphone. Il suffit de démarrer depuis l’app et de choisir son espace de diffusion. Sur le casque, vous n’avez qu’à valider le streaming et votre entourage pourra voir ce que vous voyez vous aussi.
Oculus Link : et le casque devient un Oculus Rift
À son lancement, le Quest se distinguait de son acolyte, l’Oculus Rift S, par son indépendance. Il était certes légèrement moins puissant que celui-ci, mais il avait l’avantage d’être débarrassé de tout câble pour plus d’autonomie. Et cela, tout en profitant de la majorité des applications et même en jouant à certains jeux avec des possesseurs d’Oculus Rift S.
Depuis quelque temps, l’Oculus Quest (1 comme 2) peut, lui aussi, rouler des mécaniques. Il est désormais possible de le connecter à un PC sous Windows 10 au moyen d’un câble USB-Type C. À vous les jeux des magasins Oculus Rift et SteamVR.
Oculus vante évidemment son câble Oculus Link. À noter que celui-ci est tout de même vendu 100 euros pour 5 mètres de longueur. Mais il permet de profiter de la puissance de votre PC (doté d’un port USB-C !) pour faire tourner des jeux et expériences plus gourmands en ressources et les diffuser sur votre casque.
Vous pouvez néanmoins opter pour n’importe quel câble USB-C/USB-C suffisamment long pour ne pas être gêné. Cela se jouera sur la latence entre le câble officiel et certains câbles de revendeurs en ligne. Mais plusieurs tests ont montré que la différence était faible et qu’au niveau des débits, la différence était également imperceptible. Le tout pour des prix jusqu’à 10 fois inférieurs.
Sache cependant qu’à ce prix, le câble Oculus Link ne permet pas de recharger le casque Oculus Quest 2 pendant que vous jouez. Celui-ci continue de se décharger en session de jeu, même si c’est un peu moins rapide qu’en mode autonome. Et ne comptez pas le raccorder avec le câble USB-C/USB-C inclus dans la boîte pour la recharge. À la différence de celui de 3m environ fourni avec le premier Oculus Quest, le câble du Quest 2 est extrêmement court. Pas de quoi espérer trouver là une alternative…
Il existe une solution pour se passer d’un câble baptisée Virtual Desktop. Il s’agit d’une app de l’Oculus Store qui va permettre de streamer directement l’image dans le casque par le réseau local. L’app fonctionne avec SteamVR. Il suffit d’activer des options du casque. Elle sera particulièrement pratique quand le PC de jeu n’est dans la même pièce que l’aire de jeu.
Une autonomie encore un peu légère
Pas de bond en avant à ce niveau. La batterie chute rapidement dès que vous commencez à jouer. Oculus annonçait entre 2 et 3 heures selon le type d’expérience. Si vous jouez essentiellement, vous tombez facilement sous les 2 heures. C’est encore le prix à payer pour la liberté de mouvement.
Les expériences proposées
À quoi peut donc bien servir un casque de réalité virtuelle Oculus Quest 2 ? À plein de choses, serait-on tenté de répondre tout simplement. Évidemment, la première image qui vient en tête est pour le jeu vidéo. Et en cela, le produit est un atout indéniable.
On ne saurait trop vous recommander l’excellent Beat Saber, un défouloir ultime dans lequel vous devez briser dans le bon sens des blocs colorés qui vous arrivent dessus, à l’aide de vos Touch devenus des sabres laser bleu et rouge. Walking Dead s’adresse aux amateurs de frissons tout comme L’Exorciste VR, inspiré du film du même nom et qui propose une plongée dans un univers assez oppressant. Autre jeu pour se faire un peu peur, The Climb 2 et ses envies d’escalade, même urbaines. Si vous êtes sujet au vertige, passez votre chemin, car la sensation est bien réelle !
OrbusVR : Reborn est un MMORPG à jouer avec ses amis ou en solo. L’utilisation de Roomscale pour avoir l’impression d’évoluer pleinement dans un monde ouvert et de profiter totalement d’un véritable jeu, avec plus de 100 heures de contenus.
Shadow Point (20 euros) est un jeu onirique sous forme de multiples petits puzzles à résoudre pour progresser dans l’histoire. On profite pleinement du suivi de mouvements et des déplacements possibles pour jouer avec les éléments virtuels.
Le Quest 2 est aussi un outil fantastique pour visiter le monde et même l’espace. Wander vous emmène aux quatre coins de la planète, avec en prime des explications sur les différents lieux. L’app Mission : ISS en met plein les yeux avec une expérience au sein de la station spatiale internationale et un œil sur l’univers.
Le casque sera aussi le lien avec vos collègues. De nombreuses applications de productivité et de collaboration sont proposées. Elles s’utilisent aussi facilement que celles liées aux réseaux sociaux. L’app Venues de Facebook est encore en version bêta et connaît quelques bugs fréquents. Mais vous pourrez y retrouver vos amis ou de parfaits inconnus pour discuter, partager une activité, un film… Un drôle de lieu expérimental à découvrir.
Vous allez pouvoir également profiter d’expérience de fitness ou de relaxation. Suivre des programmes sportifs voire des concerts qui sont régulièrement proposés via l’app Facebook Watch. Et oui, une façon de rappeler qu’il faut donner son aval au réseau social pour profiter au maximum de son casque.
On apprécie l’app Oculus Video qui offre une large salle de cinéma pour regarder ses contenus, seuls ou avec ses amis. Ce qui est agréable, c’est le nombre d’expériences et jeux gratuits proposés par le store d’Oculus, avant même d’opter pour la version PC câblée avec les stores dédiés. YouTube, Netflix ou encore Amazon Prime Video ont également leur application. Il vous faudra taper vos codes depuis le clavier intégré pour en profiter dans un environnement virtuel de salon recréé. Et vous pouvez toujours utiliser les navigateurs (et autres réseaux sociaux comme Twitter) pour accéder à des services supplémentaires.
Prix et disponibilités
Le coup de maître de Facebook est d’avoir conservé un prix extrêmement bas pour le seul casque autonome du marché. Le casque Oculus Quest 2 est vendu à partir de 349,99 euros pour 64 Go de stockage ou 449,99 euros pour 256 Go de stockage. C’est tout simplement 100 euros de moins que son prédécesseur pour une montée en gamme.
Il est disponible sur le store Oculus ou auprès des revendeurs en ligne comme Rakuten, Amazon et Cdiscount, ainsi que des enseignes spécialisées comme la Fnac, Boulanger et Darty.
Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.
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Perso je n'ai aucun de tes jeux ^^ Mais je te conseille les suivants : - Moss : un jeu de plateforme où tu diriges une souris que tu aides à avancer - The thrill of the fight : un jeu de boxe - super hot VR : un simulateur de... Matrix (enfin plutôt du combat de Néo en bullet time) - walkabout mini golf : un jeu de... Mini golf ^^ - the walking dead : saint & sinners : une énorme aventure dans le monde de walking dead - the fisherman's tale : un puzzle game avec un concept assez spécial où tu as une marionnette, qui a une marionnette, qui a une marionnette, etc. - The room VR : un escape game dans la vaine des the room sur mobile mais en VR. - I expect you to die : un jeu où tu te retrouves dans des situations où tu dois éviter de mourrir en fouillant un peu et utilisant les objets qui t'entourent. J'en ai d'autres mais je ne les ai pas encore testé : - myst - vader immortal - Down the rabbit hole - tetris effect - job simulator - angry bird VR - tokyo chronos - red matter - path of the warrior - tokyo chronos - cubism - Trover - shadow point - in death unchained (ah bah si je l'ai en fait) Aucun de ces jeux ne nécessite un ordi.
Death unstanding (le jeux d’archer) Fruit ninja ( plutôt cool) Doom 3 ( beurk) Star wars ( rebeurk) 2 Jeux de Ping pong Beat saber ( plutot... sympathique mais sans plus et pourtant j avais tout les dlc ) Un jeux de roller coster. Perso j’ai trouvé vraiment nul l’application Netflix alors que je l avais acheter limite pour ça, je pensais que ça serai comme sur le psvr et que j’aurais un immense écran devant moi... Et sinon toi tu joue à quoi? Tu as des jeux à conseiller qui ne nécessite pas un bon ordi? ( que je n’ai pas hélas.)
Tu as essayé quels jeux exactement ? A part star Wars
Sinon y a le catalogue PCVR dispo si t'as un ordi qui tient la route. Et si tu n'as pas essayé, go essayer Beat Saber, si t'accroche, ce jeu n'as pas de fin (300h à mon compteur)
Pour la puissance j'ai cherché un peu des chiffres, mais au final rien de vraiment probant (un peu comme quand apple dit qu'il a des smartphones 10 fois plus puissants que la concurrence, pour au final faire tourner les mêmes apps et pas forcément mieux). A part que la puce dans le qu'est est spécialement optimisées pour la VR (et ça à l'air de coller avec le fait que sur le Oculus Gear VR store il n'y ai que des jeux infiniment moins ambicieux que sur le Oculus store). Et puis 350 euros, c'est rien mon bon Yelf ^^ Haha, par contre j'ai un peu le même problème que toi vis a vis des jeux, mais avec Stadia plutôt que Steam.
Faut pas dire ça ! Je vais encore plus avoir envie de l'acheter ! ;) Mais bon, j'ai trop de jeux en attente sur Steam pour acheter un casque VR en plus ^^ Pour l'effet périscope, l'Oculus Quest 2 a une FOV de 110°. Pour le Gear VR, c'est entre 96° et 101° selon les versions. C'est donc mieux, oui, car proche des lunettes classiques. Mais c'est encore loin des 220° des personnes sans lunettes. Côté résolution, j'ajouterais aussi que les écrans OLED PenTile trichent un peu. Du coup, même si cela grille plus les yeux, le LCD est moins d'effet grille, je pense, oui. Côté puissance, je ne sais pas ce que cela donne en comparaison du S10.
J’ai craquer moi aussi au vu des tests de partout ces dernières semaines et... je regrette. Je trouve que la technologie est là mais pas le contenu. Tout ressemble bien plus à des mini jeux qu’à de réels jeux vidéos.... alors oui c’est amusant mais uniquement les 3 premiers jours, j’ai pas trouver de jeux suffisamment sympa pour que cela te donne envie d’y jouer de long moment ( et pourtant j’en ai télécharger un wagon...). De plus moi qui ne craint pas les voitures, parc d attraction etc, les déplacements sur par exemple Doom 3 et Star wars m’ont vraiment donné la gerbe, et même le casque enlevé l’envie de vomir reste pendant 1a 2 heures... En résumé c’est sympa, y a un réel effet whaouh mais on s’en lasse extrêmement vite. Ma note? 13/20
J'ai le Gear VR et l'oculus Quest, et je peux t'affirmer que les deux produit sont a des années lumières l'un de l'autre niveau qualité. Deja sur le Gear VR, tu as un sale effet periscope (dans le sens ou tu as systématiquement l'impression de regarder a travers un periscope). Ensuite, il n'y a pas que la résolution de l'appareil a prendre en compte mais aussi leur puissance. Et la puce contenu dans ces casques est optimisée pour la VR, du coup beaucoup plus efficace pour la VR. Pour le roomscale (et "surtout" le tracking), je ne pense pas qu'un seul appareil suffirait. Bref, perso, pas convaincu qu'on aurait moins cher et / ou une qualité equivalente avec ce que tu proposes (plutot meme le contraire : plus cher et moins bien)
Je pense qu'il y aurait moyen de faire équivalent en ajoutant un casque et deux manettes Bluetooth sur un smartphone 4K avec un bon APN 3D pour le Roomscale. Cela permettrait de faire bien baisser le prix, tout comme c'était le cas avec le Gear VR.
"Autre jeu pour se faire un peu peur, The Climb 2 et ses envies d’escalade, même urbaines." => The climb 2 est pas encore sorti par contre. On apprécie l’app Oculus Video qui offre une large salle de cinéma pour regarder ses contenus, seuls ou avec ses amis. => Pas vraiment, elle ne permet rien de tout ça en fait. C'est d'ailleurs l'une des pires applications de l'oculus store et (il me semble) la moins bien notée.
Le système de "gardian" est vraiment ultra pratique, donc pas (ou alors très très peu) de risque de se prendre un mur. Après l'intérêt du casque c'est de rendre la séance fun. Donc si tu enlève le casque pour juste utiliser le tracking tu perd une grande partie (la totalité ?) du fun.
Ah je sais pas. C'est juste absolument pas la même qualité. Je dirai que le bond est équivalent à celui de la VHS au blu-ray pour le coup.
ah oui pour le vélo ou le stepper ou le rameur c'est une idée mais bonjour la transpiration... et pour le simulateur de vol allongé c'est pas du fitness ça sauf si tu dois faire la brasse pour pousser le moteur ;-)
C'est clair que pour la transpiration, ça doit donner chaud à la tête. :/ Pour le vol, d'après le site commercial, c'est pour: "les abdos, les dorsaux et le haut du corps"
ça me tente énormément personnellement. Mais c'est pas donné. J'aimais bien quand c'était juste un accessoire pour mobile, moi.
Pour le fitness, il me semble que c'est surtout pour utiliser avec les vélos d'appartement et les rameurs connectés. https://www.planet-sansfil.com/wp-content/uploads/2020/05/FIT-IMMERSION-Ambiance-777x437.jpg Après vérification, il existe beaucoup d'appareil de fitness connecté pour la VR, des trucs assez originaux d'ailleurs ( ICAROS CLOUD), sans oublier ceux qui sont hors-de-prix (Icaros flying simulator : https://www.wareable.com/media/images/2016/06/icaros-vr-setup-fitness-230-1465216197-vLDQ-column-width-inline.jpg ) Et selon des sites spécialisés, il y a beaucoup d'applications de fitness VR, en particulier des jeux de boxe et des jeux de rythme.
Un séance de fitness ça doit être complet quand même, les pompes/burpees ou les abdos, par exemple les abdos crunch croisés, tu risques pas de te prendre les genoux dans le casque qui a l'air assez "long" mais je me rend pas bien compte. Ensuite il faut se lever se baisser se coucher se relever, ça me semble un peu dangereux "à l'aveugle" sauf si tu as 40m2 sans obstacles autour de toi, mais je suis curieux de voir ça, je vais voir s'il y a pas des démos sur youtube ou si tu en connais déjà je suis preneur. Par contre là ou ça peut être fun c'est d'utiliser les deux poignées en les fixant sur les avant bras, avoir une appli sur le smartphone et faire en sorte que ça guide ou compte les mouvements sans casque, ça peut marcher pour pas mal de mouvements voir même en salle de sport que se soit en poids libres ou machines guidées ça peut aider à en motiver certains.
Si c'est pour faire des burpees ou des pompes, pas besoin de casque. Là ce sont des jeux/applications dédiées et conçues pour la VR ou il faut éviter des objets ou prendre certaines position en fonction de ce qu'on a l'écran. C'est très immersif et bien plus ludique que de faire de simple pompes. En plus il y a un compteur de calories intégré au casque qui permet de savoir ce qu'on a fait et avec un suivi et des objectifs journaliers. Par contre c'est vrai qu'on transpire très rapidement et avec le casque c'est pas génial mais on s'amuse beaucoup plus que sur un tapis par terre a faire du gainage...
Ça va faire un malheur ! Tous les foyers du monde vont s'équiper !!!
[…] Lire la suite […]
Pas de compte Facebook : Qu'ils aillent se faire Oculer.
[…] produit Voir le test Disponible […]
2 précisions : Contrairement à ce qui a été dit dans l'article, le quest ne se décharge pas lors de l'utilisation en mode "link", il faut par contre une carte même avec un port usb-c assez puissant. Et pour Virtual Desktop, il faut noter que pour profiter des jeux SteamVr, il faudra obligatoirement "sideloader" une version modifiée de l'application. Ce qui nécessitera de passer le casque en mode développeur et d'utiliser un outils comme sidequest ou adb ...
"Il est possible de l'utiliser sans fil avec des applications autonomes ainsi que pour des objectifs de fitness" j'ai un doute qu'on puisse faire du Fitness avec un casque sur la tête, en fitness on se déplace sur ses jambes on se baisse on se lève, ça doit pas être pratique de ne rien voir, et ne pas voir ce qu'on a sous les yeux est un handicap (pompes ou burpees par exemple) sans compter le poids de l'appareil son épaisseur, on a aussi la transpiration qui vont venir à bout du maintient et flinguer la mousse rapidement parce qu'une "vrai" séance de fitness ça fait transpirer.
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