Le constructeur Oppo est revenu en France après quelques années d’absence. Il a donc voulu marquer le coup en lançant l’Oppo Find X8 en 2024, un haut de gamme apprécié par la rédaction lors de son test. Pour nous faire patienter avant son son premier smartphone plant l’Oppo N, et le prochain Find X9, la marque se concentre sur l’entrée et le milieu de gamme avec la treizième itération de sa famille Reno.
Cette famille de produit se décline en quatre modèles, du Reno 13 Pro déjà testé par la rédaction, au Reno 13 et bien sur le Reno 13 FS, qui se veut la meilleure configuration à moins de 400 euros. Un segment de marché où la concurrence est très rude et où il faut vraiment avoir des atouts solides pour espérer rivaliser avec la famille des Redmi Note 14, par exemple. Voyons donc ensemble ce qu’il a dans le ventre.
Fiche technique :
Modèle | Oppo Reno 13 F/FS |
---|---|
Dimensions | 75,05 mm x 162,2 mm x 7,76 mm |
Interface constructeur | ColorOS |
Taille de l’écran | 6,67 pouces |
Définition | 2400 x 1080 pixels |
Densité de pixels | 394 ppp |
Technologie | AMOLED |
SoC | Qualcomm Snapdragon 6 Gen 1 |
Puce graphique | Adreno 710 |
Stockage interne | 256, 512 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 50 Capteur 2 : 8 Capteur 3 : 2 Mp |
Capteur photo frontal | 32 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K @ 30 fps |
Wi-fi | Wi-Fi 5 (ac) |
Bluetooth | 5.1 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Sous l’écran |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 5800 mAh |
Poids | 192 g |
Couleurs | Violet, Bleu, Gris |
Fiche produit |
Design : Une élégance très classique
Nous retrouvons ici les codes design commun à cette gamme, avec une conception épurée, des tranches plates et des angles joliment arrondis. Seule l’absence d’un écran incurvé le distingue des modèles les plus haut de gamme.

La face avant est des plus classiques, avec un poinçon central en haut de l’écran de 6,67 pouces, surmonté d’une petite barre percée indiquant la présence d’un hautparleur. Les bordures latérales et supérieures sont assez fines, mais celle du bas est un peu plus épaisse. Ce qui crée un léger menton disgracieux, pas trop marqué, mais tout de même perceptible. Malgré cela, l’affichage occupe 92,2 % de la face avant.

Si le Reno 13 dispose d’un dos en verre et de tranches en métal, ici, le plastique est roi. Cela n’empêche pas le dos d’être très réussi, avec un noir mat plaisant et un violet tout aussi agréable. Le toucher est doux, pas trop glissant, mais la surface a tendance à garder facilement les traces de doigts.
Le bloc optique est assez discret, rectangulaire et pas trop épais. Il est entouré d’un liseré qui donne une impression de rétroéclairage lorsqu’on joue avec la lumière ambiante. Posé à plat, le smartphone présente un léger déséquilibre, insuffisant pour gêner la saisie d’un message, mais qui devient plus perceptible lorsqu’on dépasse le premier tiers bas de l’écran.

Avec ses dimensions de 162,2 x 75,05 x 7,76 mm, il affiche un encombrement dans la bonne moyenne. Les boutons physiques situés sur la tranche droite tombent naturellement sous les doigts. À moins d’avoir de très grandes mains, il est possible de passer du volume à la mise en marche sans trop étirer ou plier son pouce. Au quotidien, ses 192 g ne se ressentent pas trop, grâce à une répartition équilibrée du poids. La tranche inférieure réunit le port de charge USB-C ainsi que le port double SIM.

La conception est de bonne facture, nous sommes face à un produit bien fabriqué et assez solide. L’écran est protégé par du verre AGC Dragontrail Star2 et l’appareil est certifié IP69. Il devrait donc résister à une immersion prolongée dans l’eau et aux jets sous pression.
Affichage : Un beau panel de couleur
L’écran de 6,67 pouces embarqué par le Reno 13 FS est une dalle AMOLED en 2400 x 1080 pixels. Avec une densité de 394 ppp, nous constatons une jolie finesse d’affichage. Le taux de rafraîchissement est dynamique jusqu’à 120 Hz, avec un palier inférieur à 60 Hz.
Nous avons testé les deux modes d’affichage proposés par le Reno 13 FS (Vive et Naturel) et nous nous sommes concentrés sur le mode Vive avec température de couleur Chaud, qui offre le rendu le plus naturel. Ainsi, avec notre sonde et le logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Displays, nous avons mesuré un Delta E de 2,2, contre 3 pour la valeur de référence.
En ce qui concerne la température des couleurs, nous obtenons 6886 K, contre 6500 K pour la norme. Si nous notons une légère dérive vers le bleu sur les fonds blancs, la colorimétrie reste pourtant assez fidèle.

Ce smartphone à moins de 400 euros se paye même le luxe d’offrir un espace colorimétrique supérieur à la moyenne avec 159 % du sRGB, 107 % du DCI-P3 et 72 % du BT.2020. Nous profitons ainsi d’une palette de nuances très étendue et de dégradés subtils.
En termes de luminosité, nous mesurons un maximum de 1168 nits en SDR. L’utilisation en plein soleil est donc un peu difficile, mais reste confortable dans d’autres environnements. En HDR, la luminosité atteint 1214 nits, ce qui permet de profiter des contenus HDR dans l’obscurité ou la pénombre. Si la luminosité ambiante est plus forte, nous perdons immédiatement en précision.
Logiciel : Une interface agréable, de l’IA, mais pas toujours en Français
Le Reno 13 FS met à l’honneur le couple Android 15 et la surcouche graphique maison ColorOS 15. L’interface est maintenant bien connue et offre de nombreuses possibilités de personnalisation. Il est vraiment possible d’obtenir un smartphone à son image, à condition de prendre le temps d’ajuster les thèmes et le rendu des icônes.
Nous avons droit à de nombreuses fonctionnalités maison, comme un widget dédié au « nettoyage » du mobile ou encore une barre latérale intégrant des outils IA. Parmi eux, on retrouve un assistant de rédaction de résumés, une lecture à haute voix des pages web, ainsi qu’un outil de traduction vocale et écrite. Toutefois, les fonctionnalités Parole IA, Résumé IA, Rédacteur IA et Réponse IA ne sont toujours pas disponibles en français. Leur intérêt est donc plus que limité…
L’IA se retrouve également dans les outils intégrés à la galerie. Il est ainsi possible d’utiliser des fonctions comme AI Eraser (gomme magique), AI Unblur (défloutage), AI Reflection Remover (suppression des reflets), ou encore AI Enhance qui améliore la netteté et augmente la résolution des images.
Oppo aurait pu avoir la main moins lourde sur les applications préinstallées (pourriciels). Quelques minutes suffisent pour s’en débarrasser, mais cela reste toujours désagréable.
Nous avons beaucoup joué avec l’application AI Studio. Elle permet, à partir de vos clichés, de transformer vos selfies en y ajoutant des animations, en leur appliquant un style graphique unique ou en les intégrant à un univers totalement différent du réel. Il est même possible de redessiner une photo en s’inspirant de grands peintres, ou encore d’animer une photo fixe de votre chat adoré. Un outil amusant, qui donne un aperçu des capacités de l’IA.
La politique de mise à jour logicielle est dans la moyenne haute avec 5 ans de suivi Android et 6 ans de patchs de sécurité. En ce sens, Oppo est déjà en conformité avec les exigences européennes applicables au 20 juin 2025.
Performances : Equilibrées pour des usages polyvalents
Le Snapdragon 6 Gen 1 est au cœur du Oppo Reno 13 FS. Même s’il n’est plus de première jeunesse, ce SoC fait totalement le job. Associé ici à 12 Go de mémoire vive LPDDR4 et 512 Go d’espace de stockage UFS 3.1, nous obtenons des résultats très acceptables dans nos benchmarks.
Cela se ressent encore plus à l’usage, avec un Android fluide et des applications qui répondent instantanément. Seules les plus lourdes pourront lui donner du fil à retordre, mais tout le monde n’encode pas de vidéos 4K sur son mobile. Nous avons toutefois noté de rares à-coups lorsque la mémoire est très encombrée.
Notez que le Reno 13 F est une déclinaison identique au 13 FS, à l’exception de sa RAM qui passe à 8 Go et de son espace de stockage réduit à 256 Go, pour un prix de 329 euros, contre 399 euros pour le 13 FS.
En ce qui concerne le gaming, nous avons ici un smartphone performant, sans pour autant être une machine de guerre. Dans Fortnite, en mode Épique, nous atteignons 35 à 49 FPS. Cela se traduit par quelques saccades qui gêneront les joueurs les plus compétitifs.

Pour une fluidité optimale, mieux vaut passer en mode Moyen ou Faible, où nous obtenons une stabilité entre 45 et 50 FPS. Le mode 90 FPS en qualité graphique faible dépasse difficilement les 60 FPS, avec une moyenne plus proche de 45 à 48 FPS.

Dans Call of Duty, avec la même configuration graphique, les 120 FPS sont une formalité, tandis que les 60 FPS en mode graphique maximum restent très stables.

Dans Genshin Impact, les 60 FPS restent stables en mode graphique moyen, avec quelques saccades en mode graphique élevé le framerate oscillant alors entre 48 et 58 fps au mieux.
Ici, le Snapdragon 6 Gen 1 réussit à ne jamais trop chauffer. Les températures sont maîtrisées, même après une longue période d’usage intensif. Il ne dépasse jamais les 37 °C au point le plus chaud et ne se révèle pas trop désagréable à l’usage.
En revanche, nous observons un bridage pouvant atteindre 22 %. Toutefois, à l’usage, l’impact réussit à être assez bien réparti et, dans les jeux vidéo 3D, cela se traduit par une baisse de framerate de 10 à 15 %.
Photo : Il fait le job mais sans plus
Le Reno 13 FS dispose d’un bloc optique compact intégrant trois capteurs. Notez que, face aux Reno 13, 13 FS ou Pro de la même couleur, seule la configuration du bloc optique, et surtout la position du flash, permet de les distinguer d’un simple coup d’œil. Nous avons donc à notre disposition :

- Un capteur principal grand-angle de 50 Mpx, avec une ouverture de f/1,8.
- Un capteur ultra grand-angle de 8 Mpx, avec une ouverture de f/2,2.
- Un objectif macro de 2 Mpx, avec une ouverture de f/2,4.
- La caméra frontale est de 32 Mpx, avec une ouverture de f/2,4.
Nous sommes face à un bloc optique assez classique dans cette gamme de prix, avec l’absence de téléobjectif et la présence, toujours discutable, d’un objectif macro.
Capteur principal
Globalement, le capteur de 50 Mpx du Reno 13 FS offre des clichés agréables. Nous avons une colorimétrie assez naturelle, avec une tendance à devenir un peu trop sombre lorsque la luminosité baisse. La gestion de la luminosité est de bon niveau et, associée à une gestion des contrastes assez fine, elle permet par exemple de bien restituer les ciels nuageux. La surexposition est rare, et nous sommes face à des clichés offrant une belle cohérence.
La lisibilité des photos est bonne, mais c’est plus au niveau de la définition et du niveau de détail que nous pouvons tiquer un peu. En effet, dans un souci d’offrir des clichés nets et des contours bien définis, le traitement numérique tend à les accentuer. Cela se fait au détriment des détails les plus fins, qui sont trop lissés, et un léger bruit numérique est perceptible, surtout sur les plans secondaires.
Capteur ultra grand-angle
Avec seulement 8 Mpx, nous n’attendions pas grand-chose de l’objectif ultra grand-angle. Pourtant, il fait de son mieux en proposant des photos avec des effets de distorsion bien gérés. La gestion de la luminosité est du même niveau que celle du capteur principal, tout comme la gestion des contrastes.
Toutefois, avec une définition inférieure, le niveau de détail est bien moindre. Le traitement numérique, ici aussi, a tendance à générer du bruit numérique dans sa volonté d’accentuer les contours et les contrastes. Cela reste acceptable lorsque la luminosité est bonne, mais le rendu des textures reste en retrait.


L’ultra grand-angle est donc un bon outil d’appoint, mais ne comptez pas trop dessus pour des clichés inoubliables.
Téléobjectif
Pas de téléobjectif ici, mais un zoom numérique allant de 2x à 10x. Le niveau de perte n’est pas excessif, Oppo restant dans sa logique d’accentuer les gros détails au détriment des plus fins.


En zoom 2x, cela reste encore acceptable avec une cohérence maintenue, mais les zones foisonnantes deviennent plus brouillonnes avec l’augmentation du bruit numérique. Autre remarque, le rendu des textures reste très plat.


En passant au zoom x5, le rendu devient plus artificiel. Les principaux détails sont grossièrement présents, mais la finesse disparaît. Le niveau de perte est plus important et la gestion des hautes lumières devient plus perfectible. Le bruit numérique est plus présent, ce qui fait encore perdre en finesse.


Le zoom 10x donne des clichés lisibles, mais sans plus. Trop de lissage, plus aucun relief et toute finesse disparaît. Cela devient trop grossier pour espérer exploiter réellement ce niveau d’agrandissement.
Mode nuit
De nuit, le capteur principal du Reno 13 FS parvient assez bien à capturer la lumière, sans excès non plus. Cela permet d’obtenir des clichés lisibles, mais dont le piqué est assez défaillant. Le bruit numérique est très présent et gomme les plus beaux détails.
La colorimétrie manque un peu de naturel, elle semble légèrement boostée et le ciel est presque forcé à être bleu, même en pleine nuit… Les contrastes sont un peu grossiers, ce qui réduit la lisibilité des micro-détails et donne des textures peu réalistes.


En zone urbaine, dans un environnement offrant un bon renfort lumineux, nous obtenons des clichés très exploitables. Mais plus ce renfort diminue, plus le rendu perd en qualité.


L’ultra grand-angle est décevant, avec une colorimétrie trop pâle et des ciels toujours trop boostés vers le bleu. Mais surtout, c’est le niveau de détail très en retrait qui gâche le plaisir. Les textures sont plates, les contours flous, et cela manque de précision sur de trop nombreux points.


Sans grande surprise, le zoom x2 est dans la continuité du grand-angle, avec beaucoup moins de précision dans la restitution des détails. Le bruit numérique est fort et les contours fins deviennent très approximatifs. De plus, la colorimétrie dérive nettement vers l’orange.
Le zoom x5 peut permettre des clichés acceptable, voir esthétiques, si vous jouez sur des scènes très contrastées. Mais sinon, le résultat manquera définitivement de précision. Quant au zoom 10x, le niveau de perte explose et le rend peu intéressant.
Mode portrait
Le mode portrait du Reno 13 FS réussit de très bons détourages. Il faut vraiment avoir une chevelure foisonnante, longue et sauvage pour le tromper. La colorimétrie est assez proche du naturel, même si la carnation reste imparfaite.

Nous constatons surtout un léger lissage, qui va atténuer la précision des détails, comme la barbe ou les imperfections de la peau. Cela reste lisible et visible, mais l’atténuation des reliefs se remarque.
Capteur selfie
La caméra selfie de 32 Mpx propose une jolie gestion de la colorimétrie et de la luminosité. Les clichés sont agréables au premier regard, même si la carnation est un peu pâle. L’effet bokeh manque un peu de progressivité, mais cela reste plaisant à l’œil.

En revanche, le lissage est bien présent, ce qui réduit fortement le niveau de détail. Les poils de la barbe manquent de relief et de précision, tout comme les textures de la casquette, du casque et même du cuir.De plus, la peau subit le même traitement, donnant une carnation plus lisse qu’elle ne le devrait. Cela reste acceptable, mais manque de naturel.
Audio : un son enveloppant
Oppo nous propose ici de belles prestations audio. Les deux haut-parleurs offrent un rendu stéréo équilibré, avec une jolie scène sonore. Nous notons toutefois un brin plus de puissance sur le coté droit. Le son est assez enveloppant, et nous profitons de médiums particulièrement bien définis. Cela permet d’apprécier des voix très audibles, aussi bien dans un podcast, un film que dans une chanson.

Les basses sont plus discrètes, mais les bas médiums prennent assez bien le relais. Les aigus sont clairs et bien définis. Ils perdent légèrement en précision à haut volume, mais rien d’excessif.
Réseau et communication
Le Oppo Reno 13 FS est compatible avec les réseaux 4G et 5G. Il prend en charge toutes les bandes de fréquences utilisées en France. En plus de cela, il offre une connectivité Wi-Fi 6E, ainsi que la technologie NFC, le Bluetooth 5.1 et le GPS (Beidou, GPS, Galileo, Glonass, QZSS). Notez l’absence de eSIM comme sur le Reno 13 Pro.
Lors de nos tests, nous n’avons pas constaté de problèmes particuliers lors des appels, aussi bien en émission qu’en réception.
Autonomie : Smartphone longue durée
Le Reno 13 FS embarque une généreuse batterie de 5800 mAh. En usage classique, mêlant réseaux sociaux, mails, consultation de textes, visionnage de vidéos, écoute musicale et un peu de jeu vidéo, le mobile a tenu presque 22 heures. En usage intensif, nous descendons sous les 16 heures.

Le visionnage des 2 h 30 du film Inglourious Basterds, avec un volume à 50 % et une luminosité à 250 nits, consomme 11 % de batterie. Trente minutes de Genshin Impact, dans les mêmes conditions que le long-métrage, retire 9 % de batterie.
Nous avons donc une autonomie très satisfaisante et, en cas de besoin, la charge rapide 80 W saura lui redonner de l’énergie très rapidement. Ainsi, en partant de zéro, nous récupérons :
- 19 % de batterie en 5 minutes
- 40 % en 10 minutes
- 100 % en moins de 50 minutes
Attention : pour respecter la législation européenne, le bloc de charge n’est pas inclus. Il faudra donc l’acheter séparément.
Prix et disponibilité
Le Reno 13 FS est disponible à partir du 14 mars en trois coloris (Noir, Violet Papillon et Bleu) et uniquement en 12 Go + 512 Go pour 399 euros.
Le Reno 13 F est identique au FS, à l’exception de sa mémoire vive réduite à 8 Go et de son espace de stockage limité à 256 Go, pour 329 euros.
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