
Le vidéoprojecteur Optoma UHZ68LV est un modèle haut de gamme destiné aux amateurs de home cinéma et aux gamers exigeants. Conçu pour être installé en fond de salle, doté d’une technologie de double laser, d’une résolution 4K UHD et d’une compatibilité avec les formats HDR dynamiques tels que Dolby Vision et HDR10+ (rares pour ce type de modèle), il veut répondre aux attentes des utilisateurs en quête d’une expérience immersive et polyvalente.
Avec une luminosité impressionnante de 5000 lumens, selon la marque et dans certaines conditions, et une couverture colorimétrique atteignant 95 % du DCI-P3, d’après le fabricant, ce projecteur veut s’imposer comme une solution performante, même dans des environnements partiellement éclairés.
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Face à une concurrence dominée par des marques comme Hisense, Xgimi ou Formovie (en projection ultra courte focale), qui intègrent déjà des technologies similaires, le UHZ68LV permet à Optoma de rattraper son retard en offrant pour la première fois un projecteur compatible Dolby Vision dans sa gamme.
Avec un prix avoisinant les 4000 euros, il vient aussi se frotter à l’excellent Sony VPL-XW5000ES qui, pour sa part, embarque une vraie matrice Ultra HD et donc une image 4K non simulée comme c’est le cas pour le UHZ68LV. Malheureusement, les vidéoprojecteurs Sony ne sont plus commercialisés qu’à épuisement des stocks. Mais que vaut exactement le UHZ68LV ? Nous l’avons testé afin que vous puissiez vous faire votre propre avis.
Optoma UHZ68LVFiche technique
Modèle | Optoma UHZ68LV |
---|---|
Dimensions | 498 mm x 171 mm x 331 mm |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’écran | 301,1 pouces |
Compatible HDR | HDR10+, Dolby Vision |
Ports HDMI | 3 |
Nombre de haut-parleurs | 2 |
Puissance des haut-parleurs | 10 watts |
Sortie audio | Casques, Haut-parleurs, Optique |
Fiche produit |
Le vidéoprojecteur Optoma UHZ68LV testé nous a été prêté par la marque. Il a été testé en association avec un écran Lumene Movie Palace UHD Platinum 300C, un modèle conçu pour les vidéoprojecteurs. Les mesures ont été réalisées avec du matériel professionnel adapté et en face de l’écran afin de limiter les erreurs et de proposer des valeurs en accord avec ce que le spectateur peut réellement voir.
Optoma UHZ68LVDesign, un modèle relativement imposant
Le vidéoprojecteur Optoma UHZ68LV propose un design sobre et fonctionnel, typique des appareils haut de gamme destinés à une installation fixe.

À l’image des autres modèles à installer en fond de salle, il n’est pas spécialement compact. En effet, il arbore des dimensions imposantes, avec une largeur de 498 mm, une profondeur de 331 mm et une hauteur de 171 mm. Celles-ci le rendent bien visible dans une pièce, mais sa finition discrète en noir permet de s’intégrer harmonieusement dans des environnements dédiés au home cinéma.

Côté poids, si vous souhaitez l’installer au plafond, pensez à un support adéquat et un système de fixation qui supporte au moins ses 12 kg. Dessous, il y a de quoi l’accrocher à un support idoine.

Pour un positionnement sur une surface plane, il dispose de 4 patins dont on peut ajuster la hauteur, le cas échéant.

De profil, le vidéoprojecteur fait bonne figure avec de larges grilles pour aider la chaleur à s’échapper. Il y a deux boutons pour l’allumer et changer de source.

La coque est entièrement noire, avec des lignes classiques et épurées qui donnent une impression de robustesse. Les matériaux utilisés semblent solides, bien que le mécanisme du panneau escamotable sur la partie supérieure qui permet d’accéder aux molettes de réglages de lens shift et de zoom puisse manquer de solidité à long terme.

Toutefois, il faut reconnaître qu’une fois l’image réglée, on ne devrait plus y toucher. Ce panneau en plastique s’ouvre en appuyant dessus. Il abrite donc les commandes pour le lens shift vertical et horizontal, ainsi que la molette de zoom manuel, permettant des ajustements précis et intuitifs lors de l’installation initiale.

Le focus est manuel et s’effectue directement via une bague autour de l’objectif, un choix pratique qui facilite les réglages.

Optoma UHZ68LVConnectiques, il y a largement le choix
Les connectiques sont situées à l’arrière du projecteur, offrant une variété de ports pour répondre à tous les besoins. On y trouve notamment une entrée HDMI 2.1 et deux répondant à la norme HDMI 2.0. On peut compter sur une compatibilité eARC pour renvoyer le signal audio vers un amplificateur home cinéma. Il y a aussi trois ports USB-A pour l’alimentation d’accessoires, une sortie audio mini-jack 3,5 mm et une sortie optique S/PDIF.

De plus, des ports RJ45, RS232 et deux relais 12 V sont disponibles pour le contrôle et l’automatisation, ce qui facilite l’intégration dans des systèmes domotiques ou des installations complexes. Notez qu’un léger débord de la coque peut compliquer l’accès aux prises, notamment pour les câbles rigides, mais cela n’est pas un inconvénient majeur pour un appareil destiné à une installation fixe.
La télécommande
La télécommande qui permet de contrôler le vidéoprojecteur est particulièrement compacte. D’une forme aplatie, elle tient bien en main. Elle est alimentée par une pile bouton. Elle a le mérite d’être rétroéclairée, ce qui est une excellente chose surtout pour un appareil de ce type qui a pour principale vocation à être utilisé dans l’obscurité. On peut gérer le volume, naviguer dans les menus et accéder directement aux différentes sources.
Notez aussi la présence d’un bouton spécifique qui permet de changer rapidement le mode d’image appliqué. Il n’y a pas grand-chose à lui reprocher.

Optoma UHZ68LVL’écran
Le vidéoprojecteur Optoma UHZ68LV est livré sans écran. Cela laisse le choix pour écran, mais votre le budget est limité, vous pouvez aussi être tenté de l’installer sans écran (en se servant d’un mur comme surface de projection) et donc perdre le bénéfice (important) d’avoir une surface optimisée pour la projection. Comptez entre 400 et 2700 euros environ pour des écrans de différentes tailles dont la surface profite d’un traitement spécifique.
Optoma UHZ68LVUne installation plutôt facile et flexible
L’installation de l’Optoma UHZ68LV est relativement flexible grâce à ses nombreuses options de réglage. Elles permettent de l’adapter à divers environnements et configurations. Ainsi, avec son rapport de projection compris entre 1,2:1 et 1,92:1, ce vidéoprojecteur peut être installé à une distance allant de 1 mètre à plus de 10 mètres par rapport à la surface de projection. Cette plage offre une grande liberté pour choisir le positionnement idéal, que ce soit dans une petite pièce ou une salle dédiée au home cinéma. La taille de l’image projetée est également impressionnante, pouvant varier de 78 cm (30 pouces) à 7,65 mètres (301 pouces), selon la distance et le réglage du zoom. La marque propose une page spéciale sur son site qui permet de calculer la distance du projecteur par rapport à l’écran et à la taille de ce dernier.
Le zoom du projecteur est manuel, avec un facteur de grossissement 1.6x. Ce réglage s’effectue facilement via une molette située près de l’objectif, permettant d’ajuster la taille de l’image sans déplacer physiquement l’appareil. En complément, le focus est également manuel et se règle via une bague entourant l’objectif. Ce système est intuitif et permet de garantir une netteté optimale afin d’obtenir des images précises même sur des surfaces très grandes.

Pour faciliter encore davantage l’installation, l’UHZ68LV est équipé d’un lens shift vertical et horizontal. Le lens shift vertical offre une amplitude généreuse allant de -106 % à +126 %, tandis que le lens shift horizontal permet un ajustement de -10 % à +10 %. Ces fonctions sont particulièrement utiles pour corriger le positionnement de l’image sans avoir à incliner ou déplacer le projecteur lui-même. Notez qu’en cas d’installation dans des conditions moins idéales donc pas directement dans l’axe de l’écran, le projecteur propose également une correction trapézoïdale automatique ou manuelle sur les axes vertical (+/-30°) et horizontal (+/-30°).
Enfin, le Optoma UHZ68LV offre la possibilité d’une projection à 360 degrés. Cela signifie qu’il peut être installé dans des configurations atypiques comme sur un plafond ou même derrière l’écran pour des usages spécifiques.
À titre d’exemple, pour nos tests, nous avons installé l’appareil avec un recul de 4,5 mètres par rapport à l’écran qui fait 3 mètres de base et c’est dans ces conditions que nous avons réalisé nos mesures.
Optoma UHZ68LVL’image en mode subjectif, une très belle qualité
Le vidéoprojecteur Optoma UHZ68LV repose sur une technologie DLP 4K XPR, combinée à une source lumineuse double laser. Le cœur de son système est un miroir numérique DMD de 0,65 pouce, qui utilise un procédé de « wobulation » pour simuler une résolution 4K UHD (3840 x 2160 pixels). Concrètement, le DMD déplace physiquement ses micro-miroirs à une vitesse extrême pour afficher successivement deux images décalées d’un demi-pixel, créant l’illusion d’une résolution quadruple par rapport au Full HD.
Si cette approche ne rivalise pas avec les projecteurs à puces 4K natives (comme certains modèles Sony dont le VPL-XW6100ES récemment testé ou JVC), elle offre néanmoins un excellent rapport qualité/prix, typique des projecteurs DLP haut de gamme. Comparé aux projecteurs LCD, D-ILA ou LCoS (ces deux dernières technologies étant des dérivées du LCD), le DLP conserve un avantage en contraste et réactivité, mais peut souffrir de l’effet « arc-en-ciel » chez certains utilisateurs sensibles.

La double source laser se démarque des systèmes à lampe ou LED par sa longévité (30 000 heures en mode éco, selon la marque) et sa stabilité chromatique. Cette technologie, déjà adoptée par des marques comme Hisense ou Formovie, permet à l’UHZ68LV d’afficher une luminosité de 5 000 lumens selon Optoma, bien supérieure à la moyenne des projecteurs domestiques (généralement entre 2 000 et 3 000 lumens).

En outre, pour le traitement et les optimisations de l’image, le projecteur intègre la puce PureEngine Ultra. Ce processeur dédié gère plusieurs aspects clés dont la netteté utilisant un algorithme adaptatif pour renforcer les contours sans surcharge artificielle. Il s’occupe également de la fluidité des scènes via la technologie PureMotion qui interpole les images pour réduire l’effet de flou cinétique.
Toutefois, son absence en 4K HDR 60 Hz limite son efficacité sur certains contenus. Par exemple, avec le film Gemini Man (tourné en 60 fps), l’absence de PureMotion dans ce mode entraîne un judder perceptible lors des travellings rapides, un défaut que ne partagent pas certains concurrents comme le Xgimi Horizon Ultra.

Enfin, ce chipset gère aussi la colorimétrie qui est ici calibrée pour couvrir 95 % du DCI-P3 permettant de profiter de teintes remarquables, notamment après désactivation de l’option BrilliantColor, qui altère légèrement le gamma pour booster la luminosité.
Les formats HDR dynamiques (Dolby Vision, HDR10+) sont gérés via un Dynamic Tone Mapping scène par scène, ajustant luminosité et contraste en temps réel. Contrairement à certains concurrents, le Optoma évite les surexpositions brutales dans les zones claires, tout en préservant les détails dans les ombres. Plusieurs modes d’image sont disponibles : Vif, Cinéma, Jeu, Référence, WCG et Lumineux. Pour des contenus HDR, les modes d’image proposés sont : Dolby Vision Lumineux, Dolby Vision Sombre, Dolby Vision Vivid, HDR10+, AIPQ, 3D, ISF Jour, ISF Nuit et ISF 3D.
Pas de mode d’image Filmmaker sur ce modèle qui désactive tout traitement superflu pour respecter l’intention artistique originale.
En outre, on peut également compter sur 3 modes de contraste : Dynamique Black 1, 2 ou 3.

La puissance lumineuse peut être ajustée de 50 à 100 % par palier de 5%. Notez qu’il est possible de régler le projecteur en fonction de la couleur du mur (jaune léger, bleu léger, vert léger, rose ou gris), ce qui est loin d’être courant, surtout sur ce type d’appareil haut de gamme. Un mode Tableau noir est aussi proposé. Enfin, la balance RGB peut être réglée sur 11 points, ce qui laisse une grande flexibilité pour une calibration des plus précises.

D’après nos tests et à la suite de visionnage de nos séquences habituelles, nous pouvons dire que le UHZ68LV délivre une image vibrante et immersive, notamment en SDR ou HDR statique. Les scènes de Alpha révèlent une profondeur de champ exceptionnelle, avec des détails texturaux précis sur les costumes des personnages ou les paysages désertiques. Les noirs, bien que moins profonds que sur un projecteur LCoS, restent crédibles grâce au contraste dynamique particulièrement élevé. En outre, la luminosité permet de l’utiliser dans une pièce partiellement éclairée sans délavage excessif.
Enfin, notez que le vidéoprojecteur est compatible avec les contenus 3D, ce que certains utilisateurs apprécieront.
L’effet Arc-en-ciel
Comme évoqué un peu plus haut, s’agissant d’une technologie de projection DLP, il y a un léger effet d’arc-en-ciel surtout sur les zones de sous-titres, par exemple.
Optoma UHZ68LVL’image mesurée
Pour nos mesures, nous avons utilisé le mode d’image Référence. Le vidéoprojecteur a été placé à 4,5 m de recul par rapport à l’écran qui fait 3 mètres de base, pour des raisons de configuration de notre salle de test. Ce sont les mêmes conditions que pour tous les autres vidéoprojecteurs de « fond de salle ».
Le gamma moyen a été mesuré à 2,1, ce qui est extrêmement proche de la valeur cible qui est de 2,4 dans de telles conditions. On remarque que la courbe n’est pas parfaitement suivie mais relativement proche des mesures de référence.
Concernant la température moyenne des couleurs, celle-ci a été mesurée, en moyenne à 6492 K, et donc extrêmement proche de la valeur idéale qui est de 6500 K. Les dérives chromatiques sont extrêmement légères surtout après la valeur de 30. Elles sont plus marquées avant. Pour ce qui est de la fidélité des couleurs, nous avons relevé un Delta E moyen de 2,29, ce qui est très correct mais qui peut être optimisé après une phase de calibrage. En effet, le seuil est de 3 (moyen), en dessous duquel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur demandée et celle affichée.

Avec des contenus HDR, c’est le mode HDR qui permet de produire l’image la plus intéressante pour un rendu cinéma. Concernant la fidélité des couleurs, avec le mode Dynamic Black 1, nous avons mesuré un Delta E moyen de 3,64, légèrement supérieur au seuil de 3. Quelques petits réglages sont donc à faire si on est exigeant et à ce niveau de prix, on peut l’être. Avec le mode Dynamic Black 2, nous avons relevé un Delta E moyen de 3,77, encore supérieur au seuil conseillé.
Concernant la luminosité maximale, dans les conditions du test et de notre salle, nous avons mesuré 107 cd/m² en mode HDR. Attention, rappelons qu’il ne faut pas comparer cette valeur avec celle que nous donnons pour les autres vidéoprojecteurs à focale classique car ceux-ci sont mesurés avec un recul qui permet d’obtenir une image de 100 pouces en diagonale. Ici, le Optoma UHZ68LV est nettement plus lumineux pour la même distance. La gestion du Tone Mapping n’est pas idéale étant donné que l’on peut voir des mesures qui ne sont pas si cohérentes avec la courbe de référence.

Ce qui est remarquable, c’est que l’appareil peut produire une forte luminosité aussi bien sur une mire qui occupe seulement 1% de la surface de l’écran ou 100%.

Enfin, concernant les couvertures des espaces colorimétriques DCI-P3 et BT2020, nous avons obtenu des valeurs respectives de 96,42 % et 76,93 %, ce qui est très bon.

Optoma UHZ68LVGaming, d’excellentes prestations
Outre ses bonnes qualités pour les films ou les séries, Optoma n’a pas négligé la partie gaming. En effet, pour les jeux vidéo, ce modèle propose plusieurs technologies et fonctionnalités pensées pour améliorer l’expérience des gamers.
Notez que le projecteur prend en charge des fréquences de rafraîchissement élevées, allant jusqu’à 240 Hz en Full HD et 120 Hz en Ultra HD, offrant une fluidité remarquable pour les jeux rapides. Cependant, contrairement à certains concurrents comme BenQ ou Xgimi qui intègrent des technologies comme MEMC (Motion Estimation Motion Compensation) pour lisser les mouvements, l’UHZ68LV n’offre pas d’interpolation d’images en mode jeu ou en 4K HDR. Cela peut entraîner un léger manque de fluidité dans certaines scènes très rapides.

Toutefois, son mode « ultra faible latence » réduit l’input lag à seulement 8,5 ms en Full HD 240 Hz, ce qui est exceptionnel pour un vidéoprojecteur. Ce temps de réponse garantit une réactivité quasi instantanée, essentielle pour les jeux compétitifs comme les FPS ou les jeux de combat. En résolution Ultra HD, le temps de retard à l’affichage reste tout à fait compétitif avec environ 17,7 ms à 60 Hz. Concrètement, cela correspond à un tout petit peu plus qu’une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran.

En mode Jeu, le UHZ68LV propose une qualité d’image assez impressionnante grâce à sa technologie DLP et sa source lumineuse laser. Il offre ainsi des images claires et détaillées même dans des pièces partiellement éclairées.
Optoma UHZ68LVAudio, une configuration anecdotique
Le vidéoprojecteur est doté d’un système audio s’appuyant sur la présence de 2 haut-parleurs délivrant chacun 5W. Au regard de la position de l’appareil et de sa qualité d’image, inutile de dire que la configuration est anecdotique. On aura très vite fait de lui associer un amplificateur home cinéma digne de ce nom pour profiter d’un vrai spectacle immersif visuel et sonore.
Optoma UHZ68LVConsommation et nuisance sonore
Le vidéoprojecteur Optoma UHZ68LV, grâce à sa source lumineuse laser, affiche une consommation énergétique plutôt maîtrisée pour un appareil de cette catégorie. En mode Filmmaker, nous avons relevé une consommation instantanée de 120 watts. Ce chiffre le place dans la moyenne des vidéoprojecteurs laser haut de gamme, bien qu’il reste légèrement plus gourmand que certains modèles LED ou à laser mono-source, qui privilégient une luminosité plus basse. Notez qu’il est possible de réduire cette consommation en utilisant le mode Eco mais au détriment, nécessairement, d’une image moins lumineuse.
En ce qui concerne la nuisance sonore, l’Optoma UHZ68LV dispose d’un système de ventilation efficace, mais audible. En mode Filmmaker, le niveau sonore atteint environ 31 dB, ce qui est perceptible dans des scènes silencieuses ou lorsque l’appareil est placé près des spectateurs. Toutefois, avouons que ce bruit reste cependant contenu et ne gêne pas lors d’une utilisation normale avec un contenu audio immersif.
Optoma UHZ68LVPrix et disponibilité
Le vidéoprojecteur Optoma UHZ68LV est disponible à un prix indicatif de 3 990 euros.
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