La série Panasonic LZ1000E représente ce que l’on pourrait appeler le segment Premium de la marque. Déclinée en 55 et 65 pouces, elle est équipée d’une dalle Master OLED prometteuse d’un haut pic de luminosité pour tenter d’en profiter en toutes circonstances, même en journée.
Empreinte du traitement d’image Panasonic comme les autres modèles plus haut de gamme de la marque, cette série bénéficie de la nouvelle puce PRO HCX pour la mise à l’échelle des contenus non Ultra HD et une gestion optimale des images HDR. On profite par ailleurs d’une compatibilité avec les formats HDR10+ Adaptive et Dolby Vision.
On peut bien entendu compter sur la présence d’un mode Filmmaker et la promesse d’un calibrage idéal, sans oublier la présence de deux entrées HDMI 2.1, des aptitudes pour le gaming avec la prise en charge de toutes les technologies d’optimisation ainsi qu’un retard à l’affichage particulièrement réduit, le tout est animé par le système maison My Home Screen 7.0.
Nous avons pu tester le Panasonic LZ1000E de 55 pouces et en voici notre avis complet.
Fiche technique
Modèle | Panasonic TX-55LZ1000E |
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Dimensions | 1227 mm x 771 mm x 348 mm |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’écran | 55 pouces |
Compatible HDR | HDR10, HDR10+, Dolby Vision |
Ports HDMI | 4 |
Compatible Surround | Dolby Atmos |
Nombre de haut-parleurs | 2 |
Puissance des haut-parleurs | 30 watts |
Sortie audio | Casques, Haut-parleurs, Optique |
Système d’exploitation (OS) | my Home Screen |
Assistant vocal | Google Assistant, Amazon Alexa |
Efficacité énergétique | G |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec un téléviseur Panasonic TX-55LZ1000E prêté par la marque.
Design : on ne change pas une équipe qui gagne
Le design de la série LZ1000E est identique à celui de la précédente JZ1000E proposée par la marque. Les deux modèles mis côte à côte se ressemblent comme deux gouttes d’eau.
L’écran repose sur un pied dont la base est ronde avec une découpe à l’arrière pour placer le téléviseur assez proche d’un mur. Comptez sur une circonférence de 39 cm et une profondeur de 35 cm environ. Le centre du pied permet de faire pivoter la dalle de 15 degrés vers la droite ou vers la gauche, ce qui est très bien pensé, comme sur les modèles plus haut de gamme, à l’image de la série LZ2000E de Panasonic.
Sur son pied, l’écran est surélevé d’approximativement 6 cm, ce qui laisse tout juste de quoi placer une barre de son relativement fine devant, sans gêner les capteurs et récepteurs infrarouges placés à la base.
En passant derrière l’écran, on peut apprécier l’incroyable finesse de la dalle qui ne fait que 4 mm au niveau de sa partie supérieure. On y trouve un large bloc contenant toute l’électronique pour une épaisseur d’environ 6 cm sur la partie inférieure.
La partie audio est beaucoup moins élaborée que sur les séries LZ1500E et LZ2000E (qui peut se passer d’une barre de son), une configuration sur laquelle nous reviendrons dans le chapitre consacré au rendu sonore. Ici, il n’est malheureusement pas question de cheminée et de couloirs audio orientés vers les côtés pour les effets de plafond et latéraux. Les haut-parleurs sont intégrés dans l’épaisseur.
Toujours derrière, le fabricant fournit un accessoire en plastique qui se fixe au centre, au niveau du pied et permettant de concentrer les câbles pour organiser leur fuite vers l’arrière du meuble. C’est très bien pensé et très efficace.
Comme toutes les télévisions, ou presque, le Panasonic TX-55LZ1000E peut s’accrocher à un mur en utilisant un support de fixation idoine.
Le cadre de l’écran est très fin avec une bordure noire qui ne fait que 5 mm en façade laissant ainsi une très large place à l’image. Le téléviseur prêté par la marque nous a paru bien fini avec une excellente qualité de fabrication et ne souffrant d’aucun souci d’assemblage après un examen assez minutieux.
Connectiques : comme sur le haut de gamme
Comme sur la plupart des télévisions, les connectiques sont organisées en deux pôles. Il y a une sortie optique numérique, une prise Ethernet, une entrée Audio/Vidéo analogique, deux entrées HDMI 2.1 dont une est compatible eARC, une entrée HDMI 2.0, un port USB, deux entrées Satellite et une prise pour l’antenne.
Dirigés vers le côté se trouvent une autre entrée HDMI 2.0, deux prises USB-A, une sortie casque commutable en sortie pour un caisson de basses et l’emplacement pour la carte PCMCIA. On trouve ici exactement les mêmes connectiques que celles des séries plus haut de gamme LZ1500E et LZ2000E.
Les joueurs les plus exigeants et surtout les mieux équipés peuvent regretter qu’il n’y ait que deux entrées HDMI à la norme 2.1, dont une qui peut être occupée pour envoyer le son vers une barre de son (eARC). Le téléviseur est compatible Bluetooth et Wi-Fi. Comme sur les précédents modèles, il est toujours possible d’envoyer le flux d’un signal TNT vers un autre téléviseur de la marque via le réseau domestique. La technologie AirPlay 2 et HomeKit d’Apple ne sont pas de la partie.
Un petit mot sur le marquage de l’écran qui peut arriver sur certaines télévisions OLED. Pour pallier cela, le constructeur propose une maintenance régulière de la dalle, lorsque celle-ci est en veille et le téléviseur déclenche automatiquement une image de veille au bout de cinq minutes d’inactivité. À titre de comparaison, chez LG, le principe est identique, mais avec un délai de seulement une minute avant le déclenchement de l’écran de veille, ce qui peut paraître plus rassurant.
On peut lancer une opération de maintenance de la dalle depuis les paramètres du téléviseur soit en mode immédiat, soit après l’extinction de la télévision. En outre, sachez également que Panasonic propose une option (activable ou non) qui permet de décaler les pixels à l’écran. Si la fonction est activée, l’image se trouve légèrement décalée par rapport aux bords. Il manque alors quelques colonnes de pixels à l’image générale, ce qui ne se voit pas lorsqu’on est assis à une distance raisonnable.
Image : un calibrage parfait et une image très cinéma
Le téléviseur Panasonic LZ1000E utilise donc une dalle Master OLED (Master OLED Pro avec dissipateur thermique pour les séries LZ1500E et LZ2000E). Il s’agit d’une structure de quatre sous-pixels dont un blanc, d’où l’appellation White OLED que l’on peut désormais opposer au QD-OLED disponible sur les modèles Sony A95K, A95L et Samsung S95B, S90C et S95C.
Le 55LZ1000E de Panasonic supporte le HLG, le HDR10, le HDR10+ Adaptive ainsi que le Dolby Vision IQ avec un capteur de luminosité ambiante permettant d’optimiser en version Éclatant pour un usage en plein jour ou Sombre pour un visionnage dans l’obscurité. Notez que le mode Filmmaker peut aussi profiter de ce capteur pour ajuster au mieux l’image selon les conditions de lumière dans la pièce.
S’adressant principalement aux passionnés de cinéma et à ceux qui ne souhaitent aucun compromis sur la qualité, la marque propose cinq modes : Cinéma, Filmmaker, Vrai Cinéma, Professionnel1 et Professionnel2. Le mode calibré pour Netflix est également de la partie. Le choix est donc extrêmement large. Toutefois, c’est comme d’habitude le mode Filmmaker qui propose les meilleurs résultats selon nos mesures pour des images SDR (voir les résultats plus bas).
Attention : par défaut, la touche de la télécommande qui permet de changer le mode d’image affiche un menu Picture qui n’est pas complet. Seuls les modes Dynamique, Normal, Sport, Jeux et Filmmaker sont présents. Pour afficher tous les autres (depuis ce bouton Picture sur la télécommande), il faut aller dans le menu Paramètres puis Image → Param. du bouton PICTURE afin de cocher ceux qui vous paraissent les plus pertinents et, le cas échéant, d’afficher ceux qui n’étaient pas disponibles.
Le procédé de mise à l’échelle est réalisé avec brio sur cette série. La compensation des mouvements est véritablement excellente et les images produites sont extrêmement détaillées et fluides.
Quels que soient les contenus que nous avons testés sur ce téléviseur, les images sont d’une réelle beauté. Les contrastes sont saisissants, notamment lors du visionnage du documentaire La Terre, la Nuit diffusé sur la plateforme Netflix ou pour les séquences de la chaine National Geographic, par exemple. Les détails sont extrêmement nombreux et on apprécie la gestion des images HDR.
Les scènes du film Gemini Man à Carthagène proposent des couleurs vives et qui semblent extrêmement fidèles. Les séquences filmées de nuit sont magnifiques, détaillées et peu bruitées, comme avec le film 1917 lorsque le héros traverse la ville en ruine de nuit.
En gros, attendez-vous à des images aussi bien traitées que sur les séries LZ1500E et LZ2000E, mais en moins lumineuses. Cela signifie que l’usage de cette série est plutôt convenable dans les conditions les plus sombres.
En mode SDR, c’est donc avec le mode Filmmaker que l’on obtient les meilleurs résultats. Nous avons pu mesurer une excellente fidélité des couleurs avec un Delta E moyen relevé à 1,24, une valeur nettement inférieure à 3, seuil en dessous duquel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur demandée et celle affichée à l’écran.
Le gamma moyen a été relevé à 2,34 avec une courbe qui montre une tendance à produire des images légèrement trop claires pour des valeurs de gris faibles pour se rapprocher de la ligne de référence ensuite.
La température moyenne des couleurs peut être considérée comme parfaite, car mesurée à 6494 K, une valeur extrêmement proche de la cible qui est de 6500 K. Le contraste peut être qualifié d’infini puisque les pixels peuvent tous s’éteindre individuellement pour créer des noirs parfaits.
Avec des images HDR, là aussi, c’est avec le mode Filmmaker que l’on obtient les meilleurs résultats. Nous avons ainsi pu mesurer un Delta E moyen de 0,85, ce qui est parfait et ne nécessite aucun réglage supplémentaire en sortie de carton. Dans ce cas, le pic de luminosité a été relevé à 793 cd/m², ce qui représente une valeur moyenne-haute pour une dalle White OLED. Rappelons que la série LZ2000E permet d’obtenir un pic de luminosité de 995 cd/m² dans les mêmes conditions. Actuellement, seules les TV Samsung S95B et Sony A95K peuvent faire (un peu) mieux, utilisant une technologie d’affichage QD-OLED.
Le pic de luminosité proposé par la série LZ1000E est seulement un peu inférieur à celui mesuré sur la Philips 55OLED937, la version la plus haut de gamme de la marque (840 cd/m² en mode Filmmaker). En plein écran, nous avons mesuré un pic de luminosité de 143 cd/m² (mode Filmmaker). Enfin, concernant la couverture de l’espace colorimétrique rec709 pour les programmes TV, le téléviseur obtient 100 %.
Pour les espaces colorimétriques DCI-P3 et BT 2020, la série LZ1000 propose des valeurs respectives de 99,40 % et 76,70 %, des valeurs semblables aux autres TV White OLED du marché.
Gaming : tout ce qu’il faut ou presque
Depuis deux ans maintenant, Panasonic a rattrapé son retard sur les fonctions gaming par rapport à la concurrence, offrant désormais le plus faible temps de retard à l’affichage du marché. Comme sur les séries LZ1500E et LZ2000E, nous avons pu mesurer un input lag de 9,4 ms, correspondant à moins d’une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran.
À titre de comparaison, les LG C1, G1, C2, G2 et Samsung S95B et Q80A descendent à 9,5 ms. Ce chiffre a été obtenu avec une définition Ultra HD à 60 images par seconde avec le mode Jeu activé, l’option VRR désactivée et la fonction Rafraîchissement du mode 60 Hz activée dans les paramètres.
Comme sur les séries LZ1500E et LZ2000E, il est possible d’afficher une barre de jeu qui donne des informations pour savoir quels sont les paramètres de l’image affichée et, le cas échéant, pouvoir modifier certains réglages. Notez qu’il est possible d’activer le mode Jeu et de jouer avec les réglages d’images d’autres modes, bien plus respectueux des couleurs, comme le mode Filmmaker, bien plus fidèle.
En laissant le mode Jeu, nous avons obtenu un Delta E moyen de 5,37 ce qui est très élevé. Concernant le pic de luminosité, il est monté jusqu’à 733 cd/m² (840 cd/m² pour la série LZ2000E dans les mêmes conditions).
Le tableau de bord n’est pas disponible par défaut dans les applications affichées lorsqu’on appuie sur le bouton Home de la télécommande. Il faut aller le chercher dans la liste des applications (rubrique Apps). Pour y accéder plus rapidement, on peut l’épingler sur le menu d’accueil (Home) en utilisant la fonction Options sur la page des applications.
Rappelons que le téléviseur dispose de deux entrées HDMI 2.1 sur les 4 disponibles. Elles supportent les technologies VRR, ALLM et FreeSync Premium. Les normes HFR et VRR à 120 images par seconde avec une définition Ultra HD sont acceptées.
Audio : le point faible
Si l’écran du téléviseur propose une superbe image, le son est la partie la moins bien lotie sur cette série qui embarque deux haut-parleurs de 15 watts chacun pour une puissance totale de 30 watts. Les haut-parleurs sont intégrés dans la partie épaisse de l’écran et orientés vers le sol.
Le rendu audio est donc ici très plat, sans relief et sonne un peu monocorde… on sent le manque de punch dû à l’absence de woofer. D’un point de vue général, on a droit à des dialogues très clairs et parfaitement intelligibles, même à faible volume, mais pour le reste, cela sonne très creux. On est très loin des effets spatialisés et immersifs du système audio de la série LZ2000E qui est la seule à pouvoir se passer d’une barre de son pour profiter d’un vrai spectacle audio.
Ici, si le son peut faire l’affaire pour regarder des programmes de la TNT, il est bien trop faible pour sonoriser convenablement un petit salon lorsqu’il s’agit de jouer des bandes sonores de films ou de séries. Comme les autres séries, celle-ci propose une compatibilité avec le format Dolby Atmos, mais pas avec le DTS.
Interface : propriétaire, mais complet pour le divertissement
Le téléviseur Panasonic TX-55LZ1000E est animé par le système My Home Screen qui affiche en guise de menu d’accueil une barre en bas de l’écran pour présenter les principales applications installées. L’accès aux sources se fait par ce menu. Le système est fluide et plutôt réactif avec notamment la possibilité de passer d’une chaine à une autre sur la TNT en deux secondes, soit un délai de zapping tout à fait satisfaisant.
Le lecteur multimédia intégré est plutôt performant et permet notamment de lire des contenus Ultra HD via le réseau domestique, par exemple ou directement depuis une clé USB. Nous avons ainsi pu lire avec une fluidité parfaite et sans saccade notre film étalon en Ultra HD à 80 Mbit/s.
Une nouvelle application est désormais disponible : le tableau de bord de jeu que nous conseillons d’épingler sur le menu principal si vous vous en servez régulièrement plutôt que d’aller le chercher dans la liste des applications.
Les menus de configuration sont toujours aussi complets et permettent de gérer les paramètres du téléviseur en profondeur. Attention aux modes d’images qui ne sont pas tous visibles par défaut. Au sein de My Home Screen, des optimisations ont été réalisées pour les malvoyants afin de les aider à naviguer dans les menus du téléviseur. De nouvelles images fixes sont intégrées pour la plateforme My Scenery qui permet d’afficher des photos par exemple lorsque le téléviseur n’est pas utilisé.
Les deux assistants Google et Alexa d’Amazon sont toujours disponibles, et ce, de manière totalement intégrée, sans avoir recours à une enceinte connectée. La télécommande intègre un microphone pour communiquer vos ordres. L’extinction du téléviseur est immédiate et il faut compter un peu moins de 15 secondes pour avoir une image à l’écran lorsque l’appareil est éteint.
La grande télécommande très ergonomique, mais pas rétroéclairée
La télécommande livrée avec le téléviseur TX-55LZ1000E est strictement identique à celle proposée avec la série LZ2000 et la JZ2000 avant elle et se montre donc tout aussi grande. Elle intègre un microphone pour communiquer avec les assistants vocaux, mais également pour le système de calibration du son.
Elle profite par ailleurs de plusieurs touches d’accès directs aux plateformes de streaming. La touche My App, personnalisable, permet d’associer une application de son choix. Sinon, on trouve des touches pour Netflix, YouTube, Prime Video, Disney+ et Rakuten TV. Le bouton Scenery permet de lancer la galerie d’images en mode veille.
En revanche, on regrette toujours l’absence de rétroéclairage de la télécommande. Heureusement, on a toujours droit à la touche (Picture) qui permet de sélectionner immédiatement un mode d’image sans avoir à passer par des menus et des sous-menus. Il faut juste penser à activer tous les modes d’image dans les paramètres, comme expliqué plus haut, au risque de passer à côté de certains.
Consommation
Pour la consommation électrique, nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, « Les 100 » sur Netflix (HD 5.1) pendant quatre heures avec le son et les paramètres de l’image réglée sur le mode Cinéma. Dans ces conditions, le Panasonic TX-55LZ1000E consommait 36,5 Wh, ce qui est extrêmement raisonnable lorsqu’on sait que la Hisense 48A85H (OLED) consomme 36 Wh dans les mêmes conditions avec sa plus petite diagonale de 48 pouces.
Pour la série en HDR (Dolby Vision plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne de 52 Wh. La consommation en veille est de 0,5 Watt sauf si on laisse le mode réseau activé dans les paramètres, le téléviseur se tenant prêt à obéir à vos ordres vocaux et consommant alors 2 Watts.
Prix et date de sortie
La série Panasonic LZ1000E est déclinée en 55 et 65 pouces pour des prix respectifs de 1099 euros et 1799 euros.
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