Avec le Blade Pro 17, Razer propose un ordinateur portable résolument haut de gamme et luxueux, censé offrir des performances de premier plan au sein d’un châssis léger et compact. « Ultrarapide. Ultramince. Ultrapuissant. », pour reprendre les mots du fabricant californien.
Sur les six variantes qui composent cette série Blade Pro, nous avons eu la chance de pouvoir tester celui qui donne le plus dans la démesure. Il réunit en effet un écran tactile de 17,3 pouces avec une définition 4K UHD et un taux de rafraîchissement de 120 Hz, une RTX 3080 au TGP de 100 W, un processeur Intel Core i7-10875H, ou encore 32 Go de DDR4 et un stockage de 1 To en NVMe.
Les éléments qui séparent le Blade 15 Advanced et ce Blade Pro 17 ne se limitent finalement pas à l’écran, sa taille et sa technologie d’affichage, mais aussi et surtout à la puissance déployée par le GPU, plus généreuse ici en raison d’un châssis logiquement un peu plus spacieux. À côté de cela, il est vrai que les similarités sont nombreuses, à commencer par le choix restreint en matière de processeur puisqu’il faut se contenter d’un « vieillissant » i7-10875H, sans aucune alternative AMD.
Fiche technique du Razer Blade Pro 17
Modèle | Razer Blade Pro 17 (2021) |
---|---|
Dimensions | 395 mm x 19,9 mm |
Définition | 3840 x 2160 pixels |
Technologie d’affichage | LCD |
Écran tactile | Non |
Processeur (CPU) | Core i7-10875H |
Puce graphique (GPU) | NVIDIA GeForce RTX 3080 |
Mémoire vive (RAM) | 16 Go, 32 Go |
Mémoire interne | 1000 Go |
Version du Bluetooth | 5.2 |
Système d’exploitation (OS) | Microsoft Windows 10 |
Poids | 2750 grammes |
Profondeur | 260 mm |
Prix | 2 399 € |
Fiche produit Voir le test |
Le PC a été prêté par Razer pour ce test.
Reconnaissable entre mille
Il y a peu de choses à dire que nous n’avons pas déjà exprimées lors de notre précédent test du Blade 15. La gamme de laptops Razer n’évolue que doucement au fil des années, mais conserve un design et une esthétique sobre, raffinés et fonctionnels, qui continuent de séduire ses utilisateurs.
Sans surprise ce PC est un Blade comme les autres ; simplement plus généreux et volumineux, bien que pour un modèle 17 pouces ses dimensions (19,9 mm x 260 mm x 395 mm) restent effectivement très contenues, tout comme son poids de 2,75 kg sur la balance.
Son châssis en aluminium brossé fait partie des éléments qui font toute la différence. Réalisé à partir d’une unique pièce, celui-ci montre des finitions tout bonnement irréprochables et donne le sentiment d’en avoir pour son argent, chose qui est finalement bien logique lorsque l’on débourse près de 4 000 euros pour une machine de ce genre.
On peut cependant reprocher à son revêtement noir et mat la tendance à conserver les traces de doigts : il est nécessaire de garder un chiffon sec sous la main pour que le PC reste impeccable au fil de la journée.
L’excellence dans la fabrication se retrouve au niveau de l’écran tactile, dont nous reparlerons ensuite. Avec des bordures latérales de seulement 6 mm, cette dalle de 17,3 pouces laisse une place nette à l’image. Le capot est par ailleurs parfaitement maintenu une fois le PC fermé, ce qui n’empêche pas de pouvoir procéder à l’ouverture à l’aide d’une seule main. Sur la seconde photo, nous pouvons voir les évents d’évacuation de l’air chaud, et au passage le comportement de la dalle vis-à-vis des reflets, sans doute l’un des points faibles les plus importants du modèle testé ici.
Clavier et touchpad
À l’ouverture, le Blade Pro 17 donne un drôle de sentiment avec son clavier logé entre les deux haut-parleurs. On dispose en effet de beaucoup plus d’espace par rapport au Blade 15, sans que celui-ci ne soit pour autant vraiment mis à profit. Le clavier est en effet en tout point similaire, seuls les haut-parleurs se paient le luxe d’être plus larges. Le touchpad fait quant à lui toujours aussi bon effet en étant ici particulièrement généreux.
Agréable à utiliser au quotidien, ce clavier et ses contacteurs chiclets est assez loin de que la plupart des joueurs peuvent en attendre. L’accent n’est d’ailleurs pas non plus mis sur la productivité, l’espace dégagé grâce aux dimensions de ce châssis ne profite pas à l’ajout d’un pavé numérique. Pour en revenir aux contacteurs, ceux-ci disposent d’une course totale très courte, et d’un retour rapide. L’accent est clairement mis sur le confort avec ce type de clavier, et on regrette tout de même l’étroitesse de certaines touches, comme les touches fléchées, Ctrl ou Maj.
La connectique
Razer ne fait pas l’impasse sur une connectique relativement exhaustive. On y retrouve ainsi le fameux connecteur HDMI 2,1, mais aussi 3 ports USB-A 3.2, 1 port USB-C avec prise en charge du Thunderbolt 3, un autre port USB-C 3.2, ou encore une prise combo jack, RJ45 et un lecteur de cartes SD.
Du côté de la connectivité sans fil, modernité est également de mise avec la présence du Bluetooth 5.2 et du Wi-Fi 6E.
Webcam et audio
Pas ou peu d’évolution du côté de la caméra, comme de l’audio. Hormis des haut-parleurs un peu plus puissants, et de qualité suffisante pour profiter de quelques contenus multimédias, le Blade Pro 17 n’a pas beaucoup plus à offrir que les autres laptops de cette gamme. Une nouvelle fois on peut se dire que vu le prix c’est bien dommage.
On doit ainsi se contenter d’une webcam au rendu proche d’être médiocre, qui se contente d’une qualité que l’on juge (720p à 60 fps) trop basse pour être utilisée correctement au quotidien, notamment dans le cadre du télétravail. La présence d’un capteur biométrique compatible avec Windows Hello est cependant un petit plus non négligeable, d’autant que ce laptop est dépourvu de capteur d’empreintes.
Écran : une fonction tactile dont on se passerait bien
Encore une fois, le refresh opéré par Razer avec sa gamme 2021 est loin de modifier en profondeur la conception de ce laptop et les éléments employés, hormis la carte graphique. On se retrouve donc avec une dalle IPS signée AU Optronics, celle-là même qui équipait déjà le modèle 4K de la série de l’an passé.
Dans les faits, cette dalle offre de bons atouts pour les joueurs et les créateurs de contenus. Tout d’abord son taux de rafraîchissement de 120 Hz (lorsque l’option Optimus est désactivée), autant que sa définition 4K UHD (3840 x 2160 pixels), une association que l’on retrouve finalement assez rarement dans le monde du laptop. Ensuite, comme nous pouvons le voir avec nos mesures, la dalle se montre assez bien calibrée avec le profil de couleurs « blade » que l’on retrouve au sein du logiciel Synapse et bien sûr dans les options de gestion des couleurs de Windows 10. Les promesses émises par Razer sont tenues, notamment avec une couverture Adobe RGB qui atteint ici 99 %.
La température de couleurs est quant à elle très proche de la valeur de référence avec une mesure à 6 663 K, tandis que le gamma affiche une moyenne à 2,23, un bon résultat malgré une courbe qui montre de légères irrégularités. La précision colorimétrique est également au rendez-vous avec un Delta E moyen de 1,91, bien en dessous du seuil retenu (3) à partir duquel nous percevons des dérives chromatiques, et un Delta E max de 3,89 sur le blanc.
Enfin, cet écran est bien lumineux et c’est la moindre des choses vu son revêtement brillant. Nous mesurons ainsi le pic lumineux à 390 cd/m². La dalle IPS montre également un contraste légèrement supérieur à la moyenne pour ce type de dalles avec un taux de 1 122:1.
Maintenant que nous avons souligné les bons points de cet écran, passons aux choses qui fâchent. Dalle tactile oblige, l’écran se contente d’un revêtement brillant avec une dalle qui agit au final comme un miroir ou presque. Ne s’agissant pas d’une dalle OLED, nous aurions largement préféré nous passer de cette fonction tactile et profité d’un revêtement antireflet plus efficace. À vrai dire, l’utilisation tactile d’un laptop de ce genre nous semble vraiment marginale et on se demande bien à qui et pourquoi cela peut profiter en sachant déjà que ce laptop cible un public très restreint en raison de son tarif. Selon nous, Razer raccourcit encore cette cible en proposant une dalle tactile, heureusement le Blade Pro 17 est proposé avec d’autres options d’écrans !
Alors que la couverture Adobe RGB est idéale pour les créateurs de contenus, on ne peut que regretter le fait que retoucher une photo ou monter une vidéo devra se faire dans la pénombre pour ne pas être dérangé par les reflets. Pour résumer, la dalle 4K à 120 Hz c’est un grand oui, mais l’écran tactile et son revêtement brillant c’est un doublement négatif.
Pour ajouter à cela, notre modèle de test n’est pas dépourvu de backlight bleeding. On constate en effet une fuite de lumière assez importante sur le côté droit de l’écran. Si elle passe inaperçue en visionnant des contenus clairs, impossible de passer à côté en diffusant des contenus plus sombres. Notons qu’il ne s’agit pas ici d’IPS Glow, qui s’estompe suivant la position et l’angle de vision, mais bel et bien d’une fuite de lumière. Rappelons toutefois que si notre modèle de test montre ce défaut, cela ne sera sans doute pas le cas avec d’autres exemplaires.
L’inévitable Synapse
Dépourvu de logiciels tiers superflus, le Blade Pro 17 a recours à l’inévitable Synapse pour nous donner accès à de nombreux réglages et paramètres. L’expérience est globalement bonne avec le logiciel de Razer, même si on peut lui reprocher d’être plus envahissant que certaines solutions d’autres fabricants, et de nous laisser moins de choix en matière de réglages « fins ».
Hormis le paramétrage des éléments esthétiques et du clavier, on retrouve un onglet « performances » qui nous permet de définir un mode personnalisé afin de donner un peu plus de jus au processeur et à la carte graphique, ou de définir un mode équilibré avec lequel nous pouvons choisir la vitesse de rotation des ventilateurs. À côté de cela, il nous est possible de définir directement depuis Synapse si nous souhaitons utiliser uniquement le GPU dédié ou plutôt recourir à Optimus, un bon point pour préserver autant que possible l’autonomie du laptop lors de déplacements.
Performances
Sans alternative AMD, le Blade Pro 17 est simplement décliné avec une seule option de processeur, l’Intel Core i7-10875H. Non que celui-ci ne soit pas suffisamment véloce, on regrette tout de même ce choix limité à un processeur qui, s’il est en vue sur une majorité de laptops gaming, nous laisse sur notre faim compte tenu (encore et toujours) du tarif demandé pour la machine.
On aimerait plus et mieux, mais en attendant ce processeur au TDP de 45 W fait le job. Avec ses 8 cœurs et 16 threads, ses fréquences comprises entre 2,3 et 5,1 GHz et son cache unifié de 16 Mo, ce processeur Intel de 10e génération affiche des performances tout à fait correctes, d’autant qu’il est ici mieux refroidi que ce que nous avions constaté lors du test du Blade 15 Advanced.
Cinebench R23 nous affiche ainsi un score de 1 239 points en single-core et 8 615 points en multi-core. Ces résultats seront logiquement un peu moins hauts si vous choisissez le profil de performances par défaut au sein de Synapse.
Sous PCMark 10, la puissance de cette machine et ses 32 Go de mémoire vive se révèle un peu plus. Avec un score global de 6 726 points, il fait partie des meilleures configurations à base de processeurs Intel que nous avons analysés en 2021 et est à seulement quelques encablures du Gigabyte AERO 15 YC OLED et son i9 10980 HK, une machine qui donne aussi dans la démesure avec un tarif très épicé.
Le Blade Pro 17 est accompagné d’un SSD NVMe de 1 To, et laisse un connecteur M.2 de libre afin de faire évoluer légèrement cette configuration. Les débits sont globalement très bons, comme on peut le constater avec cette capture de Crystal Disk Mark.
Performances en jeu
L’actualisation la plus importante de la gamme est sans surprise à constater au niveau de la carte graphique. Le Blade Pro 17 arrive en effet avec une RTX 3080 mobile au TGP de 100 W, une configuration qui reste légère à côté du seuil maximal que ce GPU peut atteindre (150 W), mais qui offre déjà de très solides performances, surtout au sein d’un châssis aussi mince.
On ne profite cependant pas de l’intégralité des technologies « Max-Q » de Nvidia, le Whisper Mode 2.0 et Optimus Advanced ne sont pas au rendez-vous, cela ne nous empêche cependant pas de profiter de ces deux fonctionnalités dans leur version classique. La technologie Resizable Bar est quant à elle bien activée sur ce laptop.
3D Mark
Dans les faits, notre Blade Pro 17 est légèrement au-dessus du Blade 15 et sa RTX 3080 au TGP de 95 W. Nous obtenons ainsi un score graphique de 5 179 points à l’aide du benchmark Time Spy Extreme de 3D Mark, un résultat qui classe cette carte en dessous d’une RTX 3070 au TGP de 125 W, comme nous l’observons ici avec le MSI GE76 Raider. Quoi qu’il en soit, en matière de performances pures, en reste dans la fourchette qui situe la plupart de ces cartes entre les versions desktop des RTX 3060 FE et 3060 Ti FE. Toujours sous Time Spy Extreme, nous obtenons un score CPU de 3 774 points, pour un score global de 4 905 points.
Nos autres tests à l’aide de 3D Mark se sont déroulés avec succès. Le Blade Pro 17 offre des performances de premier plan pour un laptop et si elles sont supérieures à celles du Blade 15, elles sont également beaucoup moins contraintes pour des températures élevées. Nous y reviendrons.
- Time Spy (Graphics score) : 10 693 points
- Port Royal : 6 542 points / 30,29 fps
- DirectX Ray Tracing feature test : 28,88 fps
- Time Spy Stress Test : 98,7%
Apex Legends
Forcément, la définition 4K UHD est encore un peu trop gourmande en ressources malgré la puissance déployée par cette configuration. On profitera ainsi du taux de rafraîchissement de 120 Hz, en 4K, sur des jeux qui ne demande pas trop de ressources, comme c’est ici le cas avec Apex Legends. En plaçant le curseur sur la qualité, nous mesurons un frame rate moyen de 90 fps, une fois quelques ajustements effectués, nous atteignons la barre des 120 fps tout rond !
Red Dead Redemption 2
Avec des titres comme Red Dead Redemption 2, il faudra faire des concessions, soit sur la qualité graphique du jeu, soit en passant à un rendu de résolution inférieur. Si nous dépassons parfois les 100 fps dans certaines scènes du benchmark intégré au jeu, nous profitons finalement de seulement 41 fps en moyenne, un résultat logique en 4K.
Benchmarks dans les jeux avec Ray Tracing
Control
La situation est similaire avec Control. Le jeu de Remedy Entertainement n’atteint pas plus de 34 fps en moyenne avec le curseur placé sur la qualité. Une fois le ray tracing activé, cette moyenne tombe à 20 fps pour remonter à seulement 38 fps lorsque nous activons le DLSS. Il est nécessaire d’opter pour une résolution de rendu FHD pour dépasser les 60 fps constants tout en profitant du ray tracing.
Watch Dogs Legion
Le constat est légèrement meilleur avec Watch Dogs : Legion. Avec le préréglage de qualité « très élevé », le jeu tourne à 44 fps en moyenne. Bien sûr, le frame rate chute drastiquement, à 20 fps, avec le ray tracing. Le DLSS sauve les meubles en nous offrant 48 fps en moyenne.
Cyberpunk 2077
Cyberpunk 2077 a sûrement encore beaucoup d’efforts et d’optimisations à fournir. En l’état, le jeu ne tourne qu’à 30 fps, sans ray tracing ni DLSS. En réalité, l’activation du ray tracing et du DLSS nous n’offre pas beaucoup plus, avec 32 fps en moyenne. Il faudra une nouvelle fois faire des concessions pour profiter de ce jeu de manière fluide.
Dissipation thermique et bruit
La vraie bonne nouvelle de cette configuration actualisée du Blade Pro 17 concerne la dissipation thermique de la machine. Le système de chambre à vapeur se montre en effet bien plus efficace qu’avec le Blade 15.
Pour rappel, nous constations du thermal throttling sur l’ensemble des cores lors de notre test de ce laptop. Durant nos benchmarks comme nos sessions de jeux, il n’est pas rare de voir la température du processeur monter assez haut, jusqu’à 95 °C. Mais la barre des 100 °C n’est ici atteinte que sur deux cœurs, ce qui réduit considérablement le nombre de fois où le processeur doit abaisser sa cadence en vue de retrouver des températures de fonctionnement raisonnables. À vrai dire, la chauffe s’estompe rapidement, quelques secondes seulement après la mise en marche de la ventilation à son plein régime, là où le Blade 15 est à la peine. Le point de chauffe est cependant similaire, mais pas au point où le clavier devient brûlant.
Selon nous, la différence majeure entre le Blade 15 et ce Blade 17 réside dans la possibilité de tirer pleinement parti de la puissance du processeur avec cette configuration plus généreuse. Là où l’on doit se contenter du mode de performances par défaut avec le Blade 15 (où d’un PC qui chauffe beaucoup trop), le Blade 17 autorise en permanence de conserver le mode de performances personnalisé en ajustant les fréquences du processeur et de la carte graphique au maximum.
Enfin, les nuisances sonores restent contenues, d’autant que la vitesse de rotation des ventilateurs est quasiment inaudible en usage bureautique et multimédia où ils sont soit à l’arrêt, soit très discrets. Évidemment, lors d’un usage intensif les nuisances sont bien perceptibles, mais beaucoup moins dérangeantes qu’avec des appareils comme le MSI GE76 Raider pour ne citer que lui.
Autonomie
Razer rate le coche en matière d’autonomie, en ne plaçant qu’une batterie de 70,5 Wh au sein de cette machine, là où le Blade 15 dispose d’une capacité de 80 Wh. Résultat, notre Blade Pro 17 n’a pas tenu plus de 3 heures et 40 minutes avec le test d’autonomie « Modern Office » de PC Mark 10, pour un indice de performance de 5 360 points. C’est peu, mais finalement logique vu la configuration.
Prix et disponibilité du Razer Blade Pro 17
Le Razer Blade Pro 17 est disponible en 6 variantes dont le prix varie de 2 599 euros à 3 999 euros. Toutes sont équipées du même processeur Intel Core i7-10875H, mais divergent au niveau de l’offre en matière d’écran et de GPU. Vous avez ainsi le choix entre RTX 3060, 3070 ou 3080, et écran FHD, QHD ou 4K UHD avec fonction tactile. Le modèle testé ici est le plus onéreux de la gamme.
Attention le modèle testé est un QWERTY. En AZERTY c’est une catastrophe : non seulement les caractères secondaires ne sont pas rétro éclairés mais en plus ils sont situés sous les caractères principaux. Donc le caractère qui nécessite d’appuyer sur Shift est sous le caractère qui ne le nécessite pas. Et en plus vous ne verrez pas 1 2 3 … la nuit mais une belle série de symboles !!!
3999€ De rien
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