Pour son modèle haut de gamme, Samsung propose le QE65QN95B de 65 pouces — qui existe également en version 55, 75 et 85 pouces. Capable d’afficher une image Ultra HD sur sa dalle VA NeoQLED avec un système de rétroéclairage Mini-LED, il promet de réduire les effets de blooming.
Avec son boîtier One Connect qui contient toute l’électronique et les connectiques, dont 4 entrées HDMI 2.1 supportant les dernières technologies d’optimisation pour les jeux vidéo, il se présente comme étant particulièrement polyvalent aussi bien pour regarder des films ou des séries que pour les jeux vidéo. C’est ce que nous avons voulu vérifier dans ce test complet afin de vous livrer nos impressions à son sujet.
Fiche technique
Modèle | Samsung QE65QN95B (2022) |
---|---|
Dimensions | 1446,9 mm x 900,2 mm x 298,4 mm |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’écran | 65 pouces |
Compatible HDR | HDR10+ |
Ports HDMI | 4 |
Compatible Surround | Dolby Atmos |
Nombre de haut-parleurs | 8 |
Puissance des haut-parleurs | 70 watts |
Sortie audio | Haut-parleurs, Optique |
Assistant vocal | Google Assistant, Amazon Alexa, Samsung Bixby |
Efficacité énergétique | G |
Prix | 2993.36 |
Fiche produit |
L’exemplaire de test nous a été prêté par la marque.
Design : l’image en avant
Le téléviseur Samsung QE65QN95B profite d’un design qui met l’image à l’honneur.
L’écran est maintenu par un pied particulièrement sobre, en aluminium gris clair d’un certain poids qui fait 36 cm de large pour 31 cm de profondeur. Il permet de surélever l’écran de 7,5 cm au-dessus du meuble sur lequel il est posé. Notez que si vous souhaitez placer une barre de son dessus, c’est tout à fait possible, l’espace étant alors de 6,6 cm.
Le pied sert également de support pour le boîtier One Connect qui contient toute l’électronique et les connectiques. Le téléviseur est livré avec deux câbles qu’il s’agit de relier entre le boîtier One Connect et la prise propriétaire au dos de l’écran. L’un mesure seulement quelques centimètres pour une position du boîtier à l’arrière du pied, en position inclinée, alors que l’autre mesure 2 mètres permettant de déporter le boîtier.
Pour en revenir à l’écran, notez une épaisseur constante de 1,8 cm seulement. Il est aussi plat devant que derrière ce qui peut faciliter une accroche au mur, avec un support de fixation VESA300 qui va bien. Les bordures noires de l’écran mesurent toutes 5 mm, qu’elles soient latérales, inférieures ou supérieures. Ajoutez tout de même un bord de 1 cm environ, en partie basse. Tout autour, il y a un cadre en aluminium gris clair, dans le même ton que le pied qui « finit l’écran » d’une très belle manière avec des bordures biseautées. Le modèle prêté par la marque pour réaliser ce test ne souffrait d’aucun défaut de fabrication.
Connectiques
Le boîtier One Connect ici en version « slim » qui accompagne la TV Samsung QE65QN95B est plutôt compact et assez fin. On peut donc l’installer derrière le pied à l’emplacement prévu à cet effet ou un peu plus loin, en utilisant le câble idoine. C’est là que l’on va trouver toutes les connectiques. Il y a 4 entrées HDMI 2.1, trois ports USB, un emplacement PCMCIA, une entrée Antenne TNT, une autre pour le câble et une troisième pour le satellite. Il y a également une sortie optique numérique et un port Ethernet. Les entrées HDMI proposées ici supportent les signaux Ultra HD à 120 Hz ainsi que les technologies eARC pour renvoyer le son vers une barre de son ou un amplificateur compatible, VRR (Variable Refresh Rate) et ALLM (Auto Low Latency Mode) que les joueurs apprécieront.
Le téléviseur est compatible AirPlay 2 ainsi que Bluetooth et WiFi. Il fonctionne avec l’assistant vocal Alexa et Bixby. On regrette toujours un peu l’absence d’une sortie casque, pratique pour beaucoup d’utilisateurs. Toutefois, une liaison Bluetooth est possible, ou via l’application Samsung SmartThings disponible pour les mobiles sous Android ou iOS. Il n’y a pas d’entrée audio/vidéo analogique ici, ce qui est de plus en plus rare, mais peut tout de même avoir une certaine utilité pour des usages spécifiques.
Des images contrastées grâce aux Mini-LED
Le téléviseur Samsung QE65QN95B représente le haut de gamme de la marque avec une dalle Neo QLED de type LCD VA 100/120 Hz et un système de rétroéclairage Mini LED capable d’afficher une image Ultra HD. On peut également compter sur la présence d’un panneau de Quantum Dot pour les couleurs.
Il y a plus de 860 zones sur l’intégralité de la dalle permettant ainsi de contrôler les pixels aussi précisément que possible et de limiter les effets de blooming. Ceux-ci sont particulièrement visibles malgré tout sur les menus, mais l’effet est très limité dans les séquences vidéo, ce qui reste un bon point. La dalle VA permet d’obtenir un contraste correct, mais propose des angles de vision bien moins larges que ceux offerts par une dalle IPS qui, pour sa part, affiche des contrastes moins intéressants. Le téléviseur est équipé d’un filtre antireflet assez performant qui limite les sources lumineuses sur l’écran de manière plutôt efficace. Il ne pourra toutefois rien faire contre une baie vitrée placée devant.
L’image produite par le téléviseur Samsung QE65QN95B est très agréable à l’œil avec une mise à l’échelle qui se montre extrêmement performante afin d’apprécier des sources ayant une définition plus faible que l’Ultra HD. Dans ce dernier cas, les séquences affichées sont de toute beauté avec un excellent piqué et un certain dynamisme. Toutefois, il faut avouer que l’image se montre moins « vivante » que sur le S95B qui profite d’une dalle QD-OLED. On a parfois l’impression que les scènes sont peu trop plates, manquant de profondeur sur certaines séquences, là où, sur le S95B, il y a plus de relief. Cela se remarque nettement sur des documentaires, par exemple, avec des décors paysagés. Les zones d’ombre sont très bien traitées et le système se montre efficace dans la gestion des parties claires par rapport à celles qui sont plus sombres. Cela se vérifie très bien lors du visionnage de séquences dans Gemini Man, par exemple lorsque les deux protagonistes se bagarrent dans les bas-fonds de la ville. Les scènes en extérieur dans la ville lors de la course poursuite sont sublimes.
Le grain sur l’image reste limité, ce qui est une bonne chose notamment sur les quelques scènes d’intérieur de Top Gun : Maverick où le spectacle est total. La fluidité des images est véritablement excellente avec un très bon traitement, particulièrement pour les scènes rapides et les événements sportifs, par exemple.
Les dégradés de couleurs sont également très bien rendus, doux et agréables. Les très bonnes sources sont exceptionnellement bien traitées, alors que les moins bonnes sont aussi appréciables.
Le téléviseur propose plusieurs modes d’image : Dynamique, Standard, Cinéma et Filmmaker. C’est ce dernier qui permet d’obtenir les meilleurs résultats.
Le test du téléviseur a été réalisé avec la version 1304 du firmware. En mode Filmmaker, nous avons pu mesurer un Delta E moyen de 2,06 ce qui est très bon, correspondant à des couleurs dites fidèles puisqu’il faut être en dessous du seuil de 3 afin que l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur demandée et celle affichée à l’écran. La température de couleurs moyenne est de 6551 K, ce qui est excellent, car très proche de la valeur cible qui est de 6500 K.
Le gamma moyen a pu être mesuré, toujours en mode Filmmaker en sortie de carton, à 2,1 ce qui est légèrement plus faible que la valeur attendue, de 2,4 dans des conditions sombres de visionnage. Si la courbe est bien suivie pour les valeurs de gris les plus intenses, les plus clairs sont plus surexposées qu’elles ne devraient l’être.
Concernant le contraste, nous avons pu mesurer un taux moyen de 4350:1. Comme évoqué un peu plus haut, l’effet de blooming est surtout visible autour des menus et parfois des sous-titrages dans les films et les séries, mais beaucoup plus limité dans les séquences vidéo elles-mêmes.
Pour les contenus les plus lumineux, le téléviseur supporte les formats HLG, HDR10, HDR10+ faisant toujours l’impasse sur le Dolby Vision. Là encore, c’est en mode Filmmaker que nous avons pu obtenir les meilleurs résultats pour nos mesures. Ainsi, le Delta E moyen a été relevé à 1,31, soit bien inférieur au seuil de 3. On peut donc considérer que les couleurs renvoyées par le téléviseur sont fidèles, même si les plus exigeants tenteront d’atteindre un résultat encore meilleur après une phase de calibration.
Si certains confrères ont pu trouver des différences très significatives entre les pics de luminosité obtenus avec des mires de différentes tailles, après la mise à jour de Samsung, nous n’avons pas constaté ce phénomène sur notre modèle de test. Nous avons essayé avec des mires à 5 %, 7 %, 8 %, 9 %, 12 % et 15 % en plus de notre mire standard de 10 %. Les différences de pic de luminosité variaient de quelques cd/m² seulement. Ainsi, en mode Filmmaker sur une mire à 10 %, nous avons mesuré un pic de luminosité de 1880 cd/m². Ce chiffre est bien supérieur aux pics de luminosité offerts par les meilleures télévisions OLED qui plafonnent à 1000 cd/m² et nous fait dire que le Samsung QN95B est recommandé pour un usage en pleine journée ou dans une pièce éclairée. Les courbes sont bien suivies, même si celle de l’EOTF décroche légèrement à partir de 40 % pour suivre tout de même la ligne de référence. Idem pour la courbe de luminance.
Enfin, concernant la couverture de l’espace colorimétrique rec709 pour les programmes TV, le téléviseur obtient 99,7 %. Pour les espaces colorimétriques DCI-P3 et BT 2020, la série QN95B de Samsung propose des valeurs respectives de 93,3 % et 70 %, ce qui est tout à fait correct, même si les TV OLED proposent des chiffres supérieurs.
Gaming : 4 HDMI 2.1, VRR, ALLM, faible input lag, …
Nous l’avons brièvement évoqué un peu plus haut, mais le téléviseur QN95B est un allié de choix pour les joueurs. Il embarque notamment 4 entrées HDMI 2.1 supportant les dernières technologies pour les PC musclés et les consoles de jeux, dont le VRR et l’ALLM.
Il accepte également les signaux Ultra HD jusqu’à 120 Hz et affiche la barre de jeu inaugurée l’an passé pour permet de modifier quelques réglages, selon le jeu auquel on joue. Cette barre de jeu est disponible en appuyant pendant 3 secondes sur le bouton Lecture/pause de la télécommande.
Concernant le temps de retard à l’affichage ou input lag, nous avons relevé un délai de 9,8 ms ce qui est très bon, correspondant à moins d’une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran. C’est presque aussi bon que les dernières TV LG C1, G1, C2, G2 et Samsung S95B, Q80A, mais aussi que les Panasonic LZ2000 (9,3 ms). Enfin, notez que la colorimétrie en mode Jeu n’est pas très fidèle, mais un peu plus que les précédentes années puisque nous avons pu mesurer un Delta E moyen de 7,24.
Audio : un ensemble qui sonne plat
Le système audio du téléviseur Samsung QE65QN95B est composé de plusieurs haut-parleurs répartis à l’arrière de l’écran. Il y a quatre unités placées en partie supérieure, ainsi que deux woofers et deux tweeters pour une puissance totale de 70 watts. C’est bien moins que le dernier téléviseur Panasonic 65LZ2000 qui propose une puissance de 160 watts et des haut-parleurs parfaitement orientés pour les différents effets. Ici, la spatialisation n’est pas vraiment au rendez-vous. Les effets sont beaucoup trop timides pour être appréciés. L’ensemble sonne trop plat pour une telle configuration qui demande beaucoup de chaleur et d’ampleur. Il peut même arriver que le panneau arrière entre en vibration, ce qui n’est pas très bon et cause des perturbations importantes dans l’harmonique de l’ensemble. On profite de la technologie Q-Symphony, malgré tout, ce qui permet de se servir du téléviseur comme d’une enceinte centrale en cas de connexion avec un système audio Samsung compatible. Notez également qu’il peut envoyer un signal Dolby Atmos sans fil à une barre de son le supportant. En somme, l’ajout d’une barre de son ne sera pas de trop.
L’interface façon Samsung avec des menus un peu dans tous les sens
Le téléviseur Samsung QE65QN95B est animé par le système Tizen en version 7. La configuration de la TV peut entièrement s’effectuer depuis un smartphone avec l’application SmartThings installé dessus. Cette étape est vraiment très bien pensée, car elle est très facile. Il suffit de se laisser guider. Au démarrage, Tizen est un peu lent à se réveiller, ce qui fait qu’il faut parfois attendre quelques dizaines de secondes avant d’avoir réellement la main. Tizen 7 propose une interface dont l’aspect graphique a été totalement repensé par rapport aux précédentes versions.
Une page d’accueil s’affiche en premier, mettant en avant le service Samsung TV Plus qui permet de profiter de plusieurs chaînes gratuites, diffusées via Internet. Une bande horizontale contient les applications les plus souvent utilisées. L’ordre est toutefois personnalisable. Dessous, plusieurs contenus sont proposés et au fil de l’utilisation des différentes plateformes, des titres sont suggérés, selon ce que l’on regarde. Tizen 7 propose une nouvelle colonne, à gauche. Celle-ci permet d’accéder à un module de recherche, au mode Ambient qui sert à afficher des fonds d’écran et à la rubrique Jeu. Cette dernière section renvoie aux plateformes Microsoft Xbox, Google Stadia et Nvidia GeForce Now pour des jeux en mode cloud.
Il y a aussi la rubrique Médias (pas forcément bien nommée) qui renvoie à la page d’accueil et la dernière rubrique intitulée Menu permet d’accéder aux différents périphériques connectés comme une caméra USB, le cas échéant, Samsung TV Plus et les disques durs partagés sur le réseau domestique. La fonction Multiview qui permet de partager l’écran pour afficher plusieurs sources simultanément est aussi disponible dans cette rubrique que nous trouvons également mal nommée. Le lecteur de médias intégré permet de lire des contenus particulièrement exigeants puisque nous avons pu visionner notre film test Gemini Man au format MKV avec un débit de 80 Mbits/s sans saccade. Seule l’avance à un point dans le film (ou la série) est un peu délicate, car l’affichage n’apparait plus après quelques secondes et impossible de reprendre le contrôle de la lecture.
Le système Tizen n’a pas vraiment à rougir des autres interfaces en termes de fourniture d’applications puisque les plus populaires y sont disponibles. En outre, notez que les abonnés Orange et Bouygues Telecom profitent des applications préinstallées, respectives, Orange TV et Bouygues TV ce qui permet de se passer d’une box. Outre sa lenteur à sortir de veille, nous avons trop souvent peiné à savoir où nous en étions dans l’interface parmi les nombreuses vignettes. La sélection des différents éléments graphiques à l’écran est, selon nous, pas assez marquée, ce qui fait que l’on peut parfois être un peu perdus.
Les paramètres du téléviseur s’affichent dans un premier temps sous la forme d’un bandeau, en bas de l’écran et peuvent prendre une forme plus complète pour entrer dans les détails. Ce dernier menu est également accessible en restant appuyé sur le bouton contenant une icône représentant une roue crantée sur la télécommande.
Une petite télécommande très ergonomique et écolo
La télécommande livrée avec le téléviseur est identique à la précédente. Elle est extrêmement compacte, toute noire avec des boutons positionnés idéalement pour les trouver facilement sous les doigts. Malheureusement, elle n’est pas rétroéclairée ce que nous regrettons toujours un peu, mais il faut tout de même avouer qu’on s’en sort bien sans la regarder grâce, justement, à des touches dont les emplacements ont bien été pensés. Il y a quatre touches d’accès direct aux plateformes Netflix, Disney+, Prime Video et Samsung TV Plus.
La télécommande intègre un microphone pour les ordres vocaux. Elle est Bluetooth, mais a tout de même besoin de pointer vers le téléviseur pour l’éteindre via un signal infrarouge. Elle est alimentée par une batterie qui se recharge à l’énergie solaire, avec les ondes WiFi et si cela ne suffit pas, dispose d’un port micro-USB pour la brancher quelques instants. C’est très bien pensé encore une fois et cela permet de supprimer les piles habituellement utilisées pour ce type d’accessoire.
Consommation
Pour la consommation électrique, nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, « Les 100 » sur Netflix (HD 5.1) durant 4 heures avec le son et les paramètres de l’image réglée sur le mode Cinéma. Dans ces conditions, reproduites pour tous les tests de téléviseurs, le Samsung QE65QN95B consommait 50 Wh. Cette consommation est extrêmement raisonnable lorsque l’on sait que nous avons pu relever une consommation moyenne de 54 Wh pour le LG OLED65G2 (OLED) aussi de 65 pouces.
Pour la série en HDR The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne de 122 Wh, ce qui est assez important. La consommation en veille est de 0,5 Watt sauf si on laisse le mode réseau activé dans les paramètres, le téléviseur se tenant prêt à obéir à vos ordres vocaux et consommant alors 2 Watts.
Prix et date de sortie
La série Samsung QN95B est déclinée en 55, 65, 75 et 85 pouces pour des prix respectifs de 1990 euros, 2590 euros, 2990 euros et 3990 euros.
[…] de 87 % et 64 %) et même très légèrement supérieur aux valeurs mesurées sur le QN95B de Samsung (respectivement 93,3 % et 70 %). Ces mesures restent toutefois bien en dessous de celles que nous […]
[…] très haut également. Ce modèle dépasse donc le niveau de luminosité que nous avons relevé sur le Samsung QN95B qui est de 1880 cd/m² dans des conditions comparables. Enfin, l’espace colorimétrique DCI-P3 […]
[…] très haut également. Ce modèle dépasse donc le niveau de luminosité que nous avons relevé sur le Samsung QN95B qui est de 1880 cd/m² dans des conditions comparables. Enfin, l’espace colorimétrique DCI-P3 […]
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