
Si le Galaxy S25 Ultra fait tourner les têtes, il ne sera pas le plus gros vendeur en terme de volume. Sur les tablettes de Samsung, ce chiffre est laissé aux gammes inférieures, plus abordables, les J et les A.
Aujourd’hui, nous nous intéressons au plus cher de ces smartphones pas trop chers, le Galaxy A56. A 479 euros en prix de lancement, il demande déjà de bonnes concessions financières.
Mais contrairement à l’an dernier où l’on ne pouvait que ronger notre frein, de ne pas y voir de fonctions de Galaxy AI, cette année Samsung daigne distiller quelques mouvements de sa symphonie IA aux modèles non S, le Galaxy A56 en fait partie.
Cela suffit-il à couronner ce smartphone parmi ses coreligionnaires ? Pas si sûr, puisqu’il faut aussi qu’il prouve sa valeur sur toute sa partie technique, notamment en photo où son prédécesseur n’excellait pas.
Samsung Galaxy A56Fiche technique
Modèle | Samsung Galaxy A56 |
---|---|
Dimensions | 77,5 mm x 162,2 mm x 7,4 mm |
Interface constructeur | Samsung One UI |
Taille de l’écran | 6,7 pouces |
Définition | 2340 x 1080 pixels |
Densité de pixels | 385 ppp |
Technologie | Super AMOLED |
SoC | Samsung Exynos 1580 |
Puce graphique | Xclipse 540 |
Stockage interne | 128, 256 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 50 Capteur 2 : 12 Capteur 3 : 5 Mp |
Capteur photo frontal | 12 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K @ 30 fps |
Wi-fi | Wi-Fi 6 (ax) |
Bluetooth | 5.3 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Sous l’écran |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 5000 mAh |
Poids | 198 g |
Couleurs | Noir, Blanc |
Fiche produit |
Samsung Galaxy A56Design
Le Galaxy A56 change-t-il radicalement la formule des Galaxy A ? Non, pas du tout. Comme chaque année, on navigue dans la continuité. Est-ce un problème ? Pour ceux qui veulent du neuf oui, de notre côté on voit surtout qu’il y a tout de même quelques améliorations bienvenues et d’autres plus discutables.
Commençons par le positif. Avec ce nouveau Galaxy A56, on gagne un poil en diagonale, passant de 6,6 pouces à 6,7 pouces. Surtout, les dimensions ne bougent quasiment pas. Le travail a donc été effectué sur le cadre noir de l’écran qui s’est un peu aminci. Il reste présent avec toujours ce menton plus épais et assez disgracieux.
Néanmoins, en main ce qui me plaît énormément c’est la perte de poids de l’appareil et sa finesse. On passe sous les 200 grammes pour une finesse de 7,4 mm contre 8,2 mm sur l’A55. On s’approche furieusement des côtes du Galaxy S25 Plus qui est très plaisant à utiliser au quotidien.
Côté matériaux, rien de neuf sous le soleil. Samsung continue d’utiliser sa recette verre+aluminium. La marque aurait tort de s’en priver parce que ça fonctionne très bien.

Les deux faces sont couvertes par des dalles en Gorilla Glass Victus+ qui assure une belle résistance quand le contour est en aluminium brossé qui lui donne cet aspect premium que l’on recherche quand on taquine les 500 euros.
Au dos, la triplette de capteurs photo est redessinée. Toujours verticaux, ils ne sont plus séparés, mais intégrés dans une pilule noire. Son contour en aluminium rappelle le châssis. Le rendu global est plutôt visible, les objectifs ne se fondant plus, mais étant beaucoup mis en avant. À chacun de se faire son avis.
La signature des Galaxy A initiée l’an dernier est toujours présente sur la tranche droite avec cet îlot qui accueille les trois boutons de l’appareil.
Dernier atout physique que je veux souligner sur ce Galaxy A56 : les couleurs disponibles. Oui, c’est rafraîchissant de voir des coloris un peu pimpants sur ce modèle. Il est disponible en graphite, gris clair, rose et olive, la teinte de notre modèle de test qui lui va vraiment à ravir. Discret, chic et différenciant.

Mais Samsung ne signe pas une copie sans erreurs, oublis ou omissions. Rassurez-vous, il reste des points d’améliorations pour le Galaxy A57.
Commençons par le module photo dont l’habillage n’affleure pas. Même problème que sur les S25, il pourrait se détacher s’il est forcé et surtout, l’interstice laissé libre va rapidement accueillir saletés et poussières.
Il y a ensuite la résistance du A56. Il est certifié IP67, comme son prédécesseur et celui d’avant encore. Avec la législation européenne qui demandera au 20 juin 2025 que tous les smartphones soient IP68, Samsung aurait pu se montrer proactif sur ce coup.
Il y a aussi un point caché. Le tiroir SIM ne renferme qu’un double emplacement nanoSIM. Discrètement, Samsung a ôté le support des cartes microSD, supprimant ainsi la possibilité d’extension de stockage.
Enfin, si vous aimez avoir un smartphone unique, le Galaxy A56 ressemble comme deux gouttes d’eau au Galaxy A36. Il faut avoir l’oeil aguerri pour faire la différence. Elle est unique et subtile : le module photo arrière. Une plaque de verre complète sur l’A36, mais des objectifs séparément protégés sur l’A56.
Samsung Galaxy A56Écran
Amoled, 6,7 pouces, HDR10+, 120 Hz, Full HD+, jusque-là rien de bien nouveau sous le soleil. L’écran du A56 ressemblerait à s’y méprendre à celui de son prédécesseur.
C’est sur ses compétences qu’il faut se pencher pour voir la lumière. Samsung promet 1900 nits de luminosité en pic. Ce serait un joli gain par rapport à l’an dernier. Et sous notre sonde, il parvient en effet à grimper assez haut pour un milieu de gamme. En SDR, on atteint 1130 nits et jusqu’à près de 1800 nits en HDR. La promesse est presque tenue, on lui accorde.

De fait, le Galaxy A56 est un smartphone qui se comportera aussi bien en intérieur qu’à la terrasse d’un café, sans gêner son utilisateur par un manque d’éclairage.
Passons à la calibration avec notre sonde et le logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Displays. Samsung offre toujours deux modes d’affichage : couleurs naturelles ou vives.
Contrairement à l’an dernier, ce sont les couleurs vives qui ont notre préférence. Cela colle aussi avec les S25 et S25 Plus pour lesquels il en va de même.
Tatillons, nous ne parvenons pas à une température totalement satisfaisante sans modifier également le curseur associé. En plaçant un cran sur le côté plus chaud, on arrive à 6482 Kelvins pour 6500 K visé (lumière du soleil à midi).
Concernant la fidélité des couleurs, elle reste à peu près inchangée. On a des Delta E moyen supérieurs aux valeurs cibles : 4,26 en SDR et 6,31 en HDR. Pour rappel au-delà 3 en SDR et 6 en HDR, l’oeil humain n’est plus trompé et perçoit la dérive colorimétrique. Les couleurs ne sont plus fidèles à celles prédéfinies. Cela reste léger, mais d’autres smartphones y parviennent pour moins cher (Redmi Note 14 Pro 5G, Nothing Phone (3a) Pro).
Enfin, la couverture des espaces colorimétrique est complète sur le sRGB et à 89% sur le DCI-P3, plus difficile à remplir. Surtout, c’est beaucoup mieux que l’an dernier.
Au global, Samsung a largement amélioré la dalle de son flagship de milieu de gamme, lui donnant de nouvelles armes pour reconquérir ses lauriers.
Samsung Galaxy A56Performances
Le changement de crèmerie, c’est uniquement valable pour les Galaxy S25. Pas de SoC Qualcomm sur le milieu de gamme de Samsung qui doit se contenter des puces maison, l’Exynos 1580 en ce qui concerne notre Galaxy A56. Même processus de gravure en 4 nm que le 1480 du A55.

Néanmoins, le 1580 adopte une architecture différente à trois clusters contre deux pour le 1480. En premier, on a un Cortex-A720 à 2,9 GHz qui délivre de très hautes performances sur les tâches single-core.

La partie graphique bénéficie aussi d’un petit coup de fouet. Néanmoins, cela ne lui permet pas du tout de tenir le 60 fps sur Genshin Impact en graphismes très élevés. Il faut être beaucoup moins gourmande
Mais si l’on compare les scores globaux des benchmarks, la différence avec le Galaxy A55 n’est pas flagrante. Pour autant, on sent un nouveau souffle à l’usage. Tout est fluide et à aucun moment je n’ai été bridé dans mes usages.
Et quant à savoir si les performances sont durables, la réponse est oui. Nous avons confronté l’appareil de Samsung à un stress test qui vient titiller à 100% sa puce durant une heure. Au bilan, il n’a subi que quelques chutes de performances, mais toujours dans la limite haute. Surtout, pointée avec notre capteur FLIR, la température à la surface du A56 ne dépasse jamais les 38°C. Autant dire que son refroidissement est très bien optimisé. On peut dire merci à la chambre à vapeur agrandie.
Ce qui paraît moins sur notre graphique, c’est le gain de performances de la puce neuronale. Elles ont été triplées entre les deux générations : de 4,9 Tops sur le A55, on passe à 14,7 Tops ici. Un vrai bon en avant qui permet au Galaxy A56 d’accueillir sereinement des fonctionnalités de Galaxy AI et le prépare aux futures mises à jour de One UI.
Samsung Galaxy A56Logiciel
Le Galaxy A56 a la chance d’exploiter One UI 7, le tout nouveau logiciel de Samsung basé sur Android 15.
Celui-ci souffre un vent de fraîcheur avec des petites touches de modernisation. Il offre des icônes redessinées, mais aussi des fonctions plus ergonomiques comme le tiroir d’application qui n’est plus nécessairement scindé en différents panneaux, mais peut être infini comme sur les autres smartphones Android.
Idem pour le menu déroulant qui peut être divisé en deux parties, l’une avec les notifications et l’autre avec les paramètres rapides. La Now Bar fait aussi son entrée. Centre de notification dynamique installé sur l’écran de verrouillage, elle permet de suivre les évènements en cours comme un minuteur, un parcours Google Maps ou la chanson lue sur Spotify.
Il y a cependant quelques bizarreries comme les icônes de notifications ridiculement petites sur l’écran always-on à la place des cartes plus lisibles sur les Galaxy S notamment.
Mais comme évoqué à la partie performances, le Galaxy A56 c’est aussi l’occasion de s’essayer à quelques fonctions d’intelligence artificielle sur un milieu de gamme de Samsung.
Bon, il y a quelques fonctionnalités préexistantes sur le A55 et que Samsung vient ranger sous la bannière IA. C’est le cas par exemple de la gomme magique qui fait le même job que l’an dernier.
Sur la partie photo, on croise aussi Best Face qui, sur les clichés animés, permet de sélectionner a posteriori la meilleure photo. Sur une prise de vue de groupe, on peut ainsi avoir une photo où tout le monde sourit et personne ne ferme les yeux. C’est sympa, mais Google propose ça sur ses Pixel depuis 2020 avec la fonction Top Shot.
Du côté système, on a Entourer pour rechercher, Google Gemini et AI Select. Ce dernier pousse des actions contextuelles en rapport avec le contenu affiché à l’écran.
Sur le navigateur Samsung, on a un outil de lecture automatique de la page affichée et on trouve dans l’application dictaphone un outil de transcription qui marche comme il peut. Pas de fonction résumé ou assistant d’écriture dans Samsung Notes.
Samsung prend de l’avance sur la loi européenne du 20 juin prochain et offre six ans de mises à jour tant majeures que de sécurité. Un sacré atout pour ce A56 qui est armé pour batailler avec le Pixel 9a sur ce point.
Samsung Galaxy A56Photo
Si vous cherchez de la nouveauté en photo sur le A56, ce n’est pas du côté du matériel qu’il faudra se tourner. C’est strictement le même que celui de l’an dernier :
- un grand-angle de 50 Mpx (f/1.8, stabilisation optique),
- un ultra grand-angle de 12 Mpx (f/2.2, 123˚),
- un capteur macro de 5 Mpx (f/2.4).

Toujours pas de zoom optique et toujours de capteur macro plutôt dispensable au quotidien.
Etrangement la seule différence se situe à l’avant avec un capteur selfie amondri puisque l’on passe de 32 Mpx à 12 Mpx.
Ce que l’on repère rapidement, en revanche, c’est le gain de rapidité des prises de vue. Bien plus rapide que les générations précédentes et l’on s’approche du déclenchement d’un Galaxy S24 si l’on veut comparer.
Il en va de même pour la bascule entre le grand-angle et l’ultra grand-angle. Ici, on réduit le temps demandé par deux.
Capteur principal
Le capteur principal du Galaxy A56 donne une bonne exposition dans toutes les situations. Ses couleurs sont riches et naturelles avec une balance des blancs fiable.
Les détails sont présents, mais peuvent être gommés par un peu trop de lissage par endroit. On note aussi un léger bruit sur les zones uniformes ou sombres.
Malgré tout, le rendu est convaincant et très flatteur pour la rétine.
De nuit, le constat est plus amère. Le bruit numérique fait s’effondrer les espoirs de qualité quand la scène est trop sombre. De plus, un petit mouvement peut créer un flou automatique.
Les couleurs et les contrastes ont du mal à s’exprimer. L’algorithme essaye de deviner, mais n’éclaire pas du tout la scène. De fait, on a tout de même une exposition correcte et réaliste, mais les photos sont ternes.
Portrait
Le mode Portrait est plutôt convaincant avec un joli détourage, surtout en plein jour. En mode nuit, cela reste bien. Le bokeh est bien présent, mais manque de naturel, la transition entre net et flou étant souvent assez abrupte.
Notons qu’en mode nuit, on perd en netteté et en colorimétrie et l’on gagne un peu trop en bruit. Assez classique.
Zoom
Non le Galaxy A56 n’est pas doté d’un zoom optique, mais il peut monter jusqu’en x10 en numérique. J’ai ici shooté en x2, x4 et x10 pour des résultats inégaux.
En x2, on vient croper dans le capteur 50 Mpx. Une légère perte de détails est perceptible par rapport à une photo sans zoom, mais ça reste très bien. On a peu de bruit et un très léger lissage pour compenser ce bruit. C’est fait avec finesse et ne dénature en rien les prises de vue.
En x4, le bruit déborde plus et on sent que l’on perd en lisibilité. Le lissage est aussi plus présent et quelques artefacts de compression commencent à apparaître.
Enfin, il faut éviter le zoom x10, sauf cas exceptionnel. La qualité d’image est très dégradée, avec une perte de détails massive, un bruit important et un lissage excessif. Les photos sont difficilement exploitables, même pour un usage sur les réseaux sociaux. Sur la photo de l’oiseau, on voit bien que c’est un volatile, mais la faible qualité ne permet pas de l’identifier clairement.
De nuit, les résultats sont bruités sur les différents niveaux de zoom. La netteté est affectée. La colorimétrie est aussi délavée et un léger flou de bougé se fait sentir. Surtout, à la prise de la photo, on se rend compte du post-traitement qui vient reconstruire les zones mal vues et donc interprétées.
Ultra grand-angle
Il fallait s’y attendre, le Galaxy A56 ne brille pas par son objectif ultra grand-angle. Ses 12 Mpx ne parviennent pas à vraiment convaincre.
Il hérite de tous les poncifs de son type : distorsion importante, perte de netteté sur les bords, aberrations chromatiques aux transitions zones sombres zones claires et mauvaises performances en basse lumière avec peu de netteté, des couleurs délavées et un bruit excessif.
Bref, cet ultra grand-angle est plus aisément utilisable en extérieur par beau temps. Là, il produit des clichés acceptables. En intérieur, c’est plus compliqué et quand la lumière manque, on s’abstiendra.
Macro
Le capteur macro produit des résultats intéressants, mais il ne faut pas en attendre des miracles. Ses 5 Mpx sont au moins utilisés à bon escient bien qu’ils ne puissent rivaliser avec des smartphones haut de gamme qui posent leur mode macro sur un objectif bien mieux défini. Il est utile pour s’amuser et explorer la macrophotographie, mais il montre vite ses limites. C’est un « plus », mais pas un argument d’achat.
Selfie
Samsung a réduit la définition de son capteur avant. Il passe de 32 Mpx à 12 Mpx. Est-ce pour le pire ? Et bien ce n’est pas si simple.
Oui, en comparant avec mes clichés du Galaxy A55, on perd des détails et en netteté, c’est indéniable. En revanche, on y gagne en fidélité des couleurs et le rendu est plus naturel sur le Galaxy A56. Le traitement a été soigné malgré une définition moindre. Un partout, la balle au centre, dirais-je.




Samsung Galaxy A56Autonomie
Samsung ne dope pas la batterie de son Galaxy A56. Une batterie de 5000 mAh est toujours embarquée. Les optimisations apportées lui permettent de dépasser sans trop de souci la journée d’utilisation.
Il perd 10% de batterie en 2h30 de streaming sur Netflix en Wi-Fi (audio à 50% et luminosité à 250 nits).

En jeu, Genshin Impact se révèle plus énergivore avec 23% de capacité grignotée en une seule heure de jeu. On fera attention avec les usages gourmands en ressources processeur.
Ajoutons qu’en veille, on note une consommation non négligeable, de l’ordre de 7% en une nuit.
Quant à la charge, toujours pas de sans-fil, mais une charge filaire qui évolue dans le bon sens. De 25 Watts, on passe à 45 Watts. On passe de 0 à 100% en 1h16 et surtout de 0 à 30% en 15 minutes. En 30 minutes, on a plus de 50% en poche.

Samsung Galaxy A56Réseaux et communications
Le Galaxy A56 est compatible 5G, Wi-Fi 6, Bluetooth 5.3 et intègre les systèmes de navigation communs.
En appel, il se comporte bien. Dans un environnement bruyant, il baisse le fond sonore sans pour autant l’anihiler. Ce n’est pas problématique puisque l’on entend toujours disctinctement son interlocuteur et surtout sans trop de compression. Un choix de réduction de bruit intermédiaire qui nous convainct.
Concernant la stabilité de la connexion, avec une carte SIM Orange en région parisienne, nous n’avons rencontré aucun souci. Idem pour l’utilisation du GPS.
Samsung Galaxy A56Prix et disponibilité
Le Galaxy A56 est disponible en deux versions :
- Galaxy A56 avec 128 Go de stockage à 499 euros,
- Galaxy A56 avec 256 Go de stockage à 549 euros.
Si Samsung est parvenu à maintenir les prix de l’an dernier pour sa gamme S, il n’a pas la même réussite avec les Galaxy A. Le A56 est donc 20 euros plus chers que le Galaxy A55.
Surtout, on va le mesurer à la concurrence :
- Google Pixel 9a à 549 euros avec 128 Go de stockage,
- Nothing Phone (3a) Pro à 479 euros avec 256 Go de stockage,
- Xiaomi Redmi Note 14 Pro+ 5G à 469 euros avec 256 Go de stockage,
- Realme 14 Pro Plus à 529 euros avec 256 Go de stockage,
- Apple iPhone 16e à 719 euros avec 128 Go de stockage.
Parmi ceux-là, Realme et Nothing proposent des téléobjectifs périscopiques avec de beaux résultats jusqu’en x10.
Samsung a pour lui son écosystème et OneUI 7 qui est particulièrement bien balancé.
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