Le constructeur coréen Samsung a profité du mois de décembre 2020 pour lancer en France un nouveau smartphone milieu de gamme répondant au nom de Galaxy M51. Un téléphone qui impressionne par sa gargantuesque batterie de 7000 mAh, soit l’un des plus grands accumulateurs, si ce n’est le plus grand, actuellement en circulation sur le marché.
L’appareil mobile a d’autres atouts à faire valoir au niveau de son écran et de ses quatre capteurs photo. Mais aussi quelques petits défauts que nous allons mettre en exergue au sein de ce test.
Fiche technique du Samsung Galaxy M51
Modèle | Samsung Galaxy M51 |
---|---|
Dimensions | 76,3 mm x 163,9 mm x 9,5 mm |
Interface constructeur | One UI |
Taille de l’écran | 6,7 pouces |
Définition | 2400 x 1080 pixels |
Densité de pixels | 393 ppp |
Technologie | Super AMOLED |
SoC | Qualcomm Snapdragon 730G |
Puce graphique | Qualcomm Adreno 618 |
Stockage interne | 128 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 64 Mp Capteur 2 : 12 Mp Capteur 3 : 5 Mp Capteur 4 : 5 Mp |
Capteur photo frontal | 32 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K |
Wi-fi | Wi-Fi 5 (ac) |
Bluetooth | 5.0 |
5G | Non |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Oui |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 7000 mAh |
Poids | 213 g |
Couleurs | Noir, Blanc, Bleu |
Prix | 399 |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé à partir d’un exemplaire prêté par Samsung.
Un téléphone imposant en main
Le Samsung Galaxy M51 ne fait pas dans la demi-mesure : son gabarit en impose de par ses dimensions d’un côté, et son poids de l’autre. Sur la balance, le terminal grimpe à 213 grammes. C’est relativement élevé comparé à une moyenne tournant autour des 200 grammes. Son épaisseur de 9,5 mm accentue l’effet massif, lorsque sa longueur et sa largeur atteignent les 163,9 et 76,3 mm, respectivement.
Vous l’aurez compris : le Galaxy M51 n’est pas vraiment adapté pour les petites mains, comme les miennes par exemple. Son côté mastoc est néanmoins atténué grâce aux angles bien arrondis qui ne viennent pas martyriser le creux de votre menotte. À l’avant, le produit joue la carte de la simplicité : une bulle centrale accueille la caméra frontale et des bordures homogènes encadrent la dalle. Le résultat final est équilibré et cohérent.
La façade arrière se nippe d’un revêtement en plastique. Un matériau certes moins noble que le verre, mais qui a l’avantage d’être plus léger que ce dernier. Samsung a donc fait preuve de logique, puisque son téléphone dépasse déjà les 200 grammes à cause de son imposante batterie. Le dos attrape beaucoup de traces de doigts : ce n’est pas très esthétique, mais il faut faire avec.
En haut à gauche s’invite un module rectangulaire (aux bords arrondis) accueillant quatre capteurs photo et un flash. Grâce à l’épaisseur du téléphone, ledit module s’insère parfaitement dans le châssis et ne dépasse absolument pas du produit. En clair : le M51 n’est pas du tout bancal une fois posé à plat.
Le produit n’est définitivement pas adapté aux petites mains au regard de ses boutons de volume placés trop haut sur la tranche droite. Il m’a été très compliqué de les atteindre. En revanche, le bouton d’alimentation tombe plutôt bien sous votre pouce : un bon point pour déverrouiller le téléphone, puisque le capteur d’empreintes digitales se place juste en dessous.
La tranche inférieure accueille quant à elle une prise jack 3,5 mm, la sortie USB-C et la seule et unique grille de haut-parleur. Sur la tranche gauche se trouve l’emplacement pour la double SIM et la carte MicroSD capable d’étendre le stockage interne. Le site officiel de Samsung ne mentionne aucune étanchéité ni protection contre les rayures et les chocs. Manipulez donc le téléphone avec précaution.
Un écran au top
Le savoir-faire de Samsung en matière d’écran n’est plus à prouver. Et la marque le montre une nouvelle fois avec ce Galaxy M51 et sa dalle de 6,7 pouces d’une définition FHD+ (2400 x 1080). Le Super AMOLED a été choisi par le groupe en guise de technologie d’affichage. Et au quotidien, le téléphone devrait largement combler les mirettes du plus grand nombre.
Certes, la luminosité maximale de 603 cd/m² est légèrement en dessous de la moyenne (650 cd/m²) pour un écran OLED, mais cette technologie a l’avantage d’afficher des contrastes infinis. Me concernant, je n’ai jamais rencontré de difficultés particulières à lire du contenu, même en plein soleil. Je considère même sa luminosité comme très bonne.
Paramétré en mode vif, l’écran atteint une température de 6920 K, tirant donc légèrement vers le bleu. Vous pouvez néanmoins réchauffer un peu la température dans les paramètres pour équilibrer le tout. Notre sonde et le logiciel CalMan de Portrait Displays ont également mesuré une très bonne variété des couleurs affichées : on observe une couverture de l’espace sRGB à hauteur de 207 %.
L’écran couvre aussi à 139 % le DCI-P3 pourtant plus difficile à gérer. En clair, le Galaxy M51 est excellent pour afficher une profusion de couleurs. Vous ne serez clairement pas déçu. Seul petit point noir : le Delta E de 5,75, lorsque l’indice de référence tourne davantage autour de 3.
Autrement dit, l’authenticité des couleurs n’est pas totalement respectée. On peut notamment l’observer au niveau des teintes marron, du rouge, du vert et du rose. Quant au taux de rafraîchissement, Samsung se contente du minimum : 60 Hz. Il aurait été intéressant de monter à 90 Hz pour profiter d’une meilleure fluidité.
Pour les habitués aux fréquences de 120 Hz ou 90 Hz, vous remarquerez une petite différence tout de même à l’usage. Pour les autres, rien ne devrait être très choquant.
Android 11 (One UI 3.0) attendra
Si Android 11 (One UI 3.0) a d’ores et déjà commencé à s’inviter sur plusieurs smartphones de Samsung, le M51, lui, devra attendre. À vrai dire, le modèle n’apparaît même pas dans la liste Samsung Members France : nous n’avons donc aucune idée du moment où le modèle profitera de cette prochaine mouture logicielle.
Pas de quoi s’inquiéter non plus, puisque One UI 2.5 basé sur Android 10 s’occupe de tout. Et à ce petit jeu-là, l’interface s’en sort très bien, comme à son habitude. L’une des surcouches préférées des utilisateurs apporte un excellent degré de personnalisation avec son mode sombre natif et les deux options de navigation par gestes, pour ne citer qu’eux.
Le panneau des paramètres rapides est toujours aussi ultra complet, avec une pléthore de fonctionnalités (filtre lumière bleue, smart view, NFC, enregistreur d’écran, mode concentration) généralement accessibles à une main. La navigation dans les paramètres est claire, bien qu’il faille parfois fouiller dans ses entrailles pour trouver votre fonction.
Lors du premier démarrage du téléphone, plusieurs applications sont préinstallées : Spotify et Facebook en l’occurrence, qui peuvent heureusement être désinstallées, a contrario de Netflix ou de Game Launcher. Mais globalement, les bloatwares ne pullulent pas sur l’interface.
Quelques doublons d’applications regrettables pourraient être évités, mais Samsung dispose de ses applications maison chères à ses yeux : notons par exemple sa boutique d’applications qui ne rivalise pas vraiment avec le Google PlayStore, ou encore son propre navigateur généralement délaissé au profit de Chrome. À ce propos, Chrome n’est pas activé par défaut : pensez, si vous le souhaitez, à modifier cet élément dans les paramètres.
Les smartphones Samsung milieu de gamme ont la fâcheuse réputation d’embarquer de mauvais lecteurs d’empreintes digitales, qui rencontrent des difficultés à rapidement reconnaître votre doigt.
Le Galaxy M51, lui, n’appartient pas à cette catégorie de téléphones : le groupe coréen a visiblement corrigé le tir avec un capteur à la réactivité très correcte. Le système placé sous le bouton d’alimentation s’est aussi montré fluide. Bref : je n’ai pas vraiment de remarque négative à émettre à ce sujet.
Visionner des contenus HD sur les plateformes SVOD (Netflix, Disney+) est tout à fait envisageable grâce au DRM Widevine au niveau L1.
Photo : du très bon et du moins bon
Au chapitre de la photo, Samsung n’a pas fait dans la demi-mesure en installant pas moins de quatre capteurs arrière, dont voici les caractéristiques :
- Capteur principal de 64 mégapixels (f/1,8) ;
- Ultra grand-angle de 12 mégapixels (f/2,2) ;
- Capteur macro de 5 mégapixels (f/2,4) ;
- Capteur de profondeur de 5 mégapixels (f/2,4).
À l’avant, une caméra frontale de 32 mégapixels (f/2,2) s’invite dans une petite bulle. Et pour débuter, sachez que la capture d’une photo n’est pas totalement fluide : en appuyant sur le déclencheur, une petite demi-seconde peut s’écouler avant que l’appareil ne prenne votre scène. Il faut, durant ce laps de temps, rester immobile le plus possible pour éviter les clichés flous.
Aussi, la photo capturée traîne elle aussi la patte à s’afficher dans la bulle (située en bas à gauche) correspondant à votre galerie. Bref, l’expérience utilisateur n’est pas parfaite. À noter enfin l’absence de téléobjectif pour le zoom optique.
C’est avec un plaisir non dissimulé que j’ai manipulé l’appareil photo du Galaxy M51 durant un week-end à la campagne. Dans de bonnes conditions et avec un agréable ciel bleu, les images capturées se sont avérées très belles. Le niveau de netteté est suffisamment élevé pour apercevoir un bon nombre de détails, lorsque sa gestion de la dynamique et de la colorimétrie n’a pas grand-chose à envier à la concurrence.
Sur l’image avec les chèvres, le tracteur au second plan aurait pu se retrouver complètement « cramé » à cause du puissant soleil couchant. Mais le système l’a bien compris, et a ajusté le tir. Réputé pour pousser le niveau de contraste de ses appareils, Samsung a semble-t-il calmé ses ardeurs pour le Galaxy M51. Je ne trouve pas les images ultra saturées, comme on a pu déjà l’observer dans le passé.
La saturation des images, justement, se fait bien plus ressentir en ultra grand-angle. L’appareil photo augmente d’une manière considérable le contraste et s’éloigne alors de la réalité, d’après mes observations sur une même scène capturée en grand-angle et ultra grand-angle. Le téléphone tombe dans le piège de la distorsion optique, comme beaucoup de ses homologues. Le cliché se montre enfin moins net.
Un constat mi-figue mi-raisin pour les photos de nuit. D’un côté, la gestion lumineuse de certains lampadaires tourne au vinaigre avec un effet lens flare très prononcé. Comme d’habitude, cela gâche votre photo. De l’autre, le téléphone parvient à conserver un bon niveau de détails et propose une dynamique intéressante selon la complexité des situations. À ce petit jeu-là, le Google Pixel 4a semble encore dominer les débats.
La vraie belle surprise du Samsung Galaxy M51 au chapitre de la photo n’est autre que son mode nuit. Le système parvient très bien à transformer la scène nocturne en un cliché tout à fait exploitable, qui retranscrit plus que correctement l’atmosphère ambiante. Le premier exemple l’illustre bien, le second encore mieux. Aucun filtre jaunâtre ne vient détériorer le tout.
Les modes 48 ou 64 mégapixels ont la fâcheuse tendance d’être complètement inutiles sur un nombre non négligeable de téléphones portables. Qu’en est-il pour le Galaxy M51 ? Un résultat là aussi mitigé. Le mode 64 mégapixels n’a pas d’énorme impact sur la pancarte du restaurant, si ce n’est un niveau de netteté très légèrement amélioré. Sur la partie droite de la photo, les buissons et le mur sont néanmoins moins brouillons. Mais cela ne casse pas trois pattes à un canard non plus.
Le capteur macro n’est pas parfait, mais il apporte tout de même une valeur ajoutée intéressante aux clichés. Ces derniers manquent peut-être un poil de netteté à certains moments, mais on a déjà vu bien pire sur d’autres smartphones.
Au premier abord, le mode portrait du Galaxy M51 s’en sort très bien. Mais en zoomant sur certaines parties des clichés, on remarque quelques petites imprécisions : au niveau de la barbe (à droite et à gauche) et de l’épaule qui aurait pu mieux être définie sur la photo n° 1 ; sur la photo n° 2, le résultat est convaincant ; et sur la photo n° 3, quelques mèches de cheveux ont profité de l’effet bokeh.
Dans l’ensemble, le téléphone propose tout de même une belle partition. Mais une fois de plus, il n’arrive pas à la hauteur de l’excellent Google Pixel 4a.
En selfie, le mode portrait manque aussi de justesse, tout particulièrement au niveau des cheveux : soit un flou est appliqué sans que l’on n’ait rien demandé, soit la précision de l’effet bokeh manque de finesse pour parfaitement définir le sujet. J’apprécie tout de même le niveau de flou apposé en arrière-plan, qui parvient à bien faire ressortir le personnage mis en valeur.
Le selfie en mode classique est propulsé par une caméra frontale de 32 mégapixels… classique, mais pas flamboyante non plus. Les images manquent de piqué et ont tendance à être un poil lissées.
Enfin, sachez que le Samsung Galaxy M51 est capable de filmer en 4K à 30 FPS.
Des performances faites pour le quotidien
Pour son Galaxy M51, Samsung a opté pour un processeur Qualcomm Snapdragon 730G un poil vieillissant, car introduit en avril 2019. Cette puce est épaulée par 6 Go de RAM et 128 Go de stockage interne extensible jusqu’à 512 Go. Au quotidien, le SoC tire parfaitement son épingle du jeu pour des tâches simples (navigation internet, ouverture d’application, multitâches), même si de très légers ralentissements se font parfois ressentir.
Pour aller plus loin
Qualcomm Snapdragon 665, 730, 730G : IA et jeux vidéo en ligne de mire
Les utilisateurs cherchant un portable capable de répondre à ce type de besoins ne seront donc pas déçus au regard du résultat observé. Si le Qualcomm Snapdragon 730G a déjà fait ses preuves, il n’a jamais excellé en la matière non plus. Entendez par-là qu’il n’est pas vraiment taillé pour supporter des jeux 3D gourmands faisant appel à beaucoup de ressources.
Modèle | Samsung Galaxy M51 | Google Pixel 4a | Xiaomi Poco X3 | OnePlus Nord |
---|---|---|---|---|
AnTuTu 8 | 272498 | 250872 | 274096 | 322107 |
AnTuTu CPU | 95633 | 80922 | 94042 | N/C |
AnTuTu GPU | 70959 | 71899 | 76691 | N/C |
AnTuTu MEM | 51283 | 50654 | 52113 | N/C |
AnTuTu UX | 54623 | 47397 | 51250 | N/C |
PC Mark 2.0 | 7791 | 8192 | 8894 | 9270 |
3DMark Slingshot Extreme | 2464 | 1876 | 2695 | 3324 |
3DMark Slingshot Extreme Graphics | 2298 | 1673 | 2546 | 3292 |
3DMark Slingshot Extreme Physics | 3299 | 3267 | 3391 | 3441 |
3DMark Wild Life | 726 | N/C | N/C | N/C |
3DMark Wild Life framerate moyen | 4.30 FPS | N/C | N/C | N/C |
GFXBench Aztec Vulkan/Metal high (onscreen / offscreen) | 9.1 / 6.8 FPS | 9.7 / 6.9 FPS | 11 / 8 FPS | 13 / 8.5 FPS |
GFXBench Car Chase (onscreen / offscreen) | 15 / 17 FPS | 16 / 17 FPS | 17 / 19 FPS | 19 / 21 FPS |
GFXBench Manhattan 3.0 (onscreen / offscreen) | 36 / 41 FPS | 28 / 28 FPS | 34 / 44 FPS | 50 / 56 FPS |
Lecture / écriture séquentielle | 504.7 / 187.7 Mo/s | 505 / 246 Mo/s | 507 / 269 Mo/s | 960 / 475 Mo/s |
Lecture / écriture aléatoire | 33571 / 30657 IOPS | 42510 / 45014 IOPS | 38942 / 35071 IOPS | 36400 / 33900 IOPS |
Sur Fortnite par exemple, une partie peut être lancée en qualité moyenne à 30 images par seconde et la résolution 3D à 100 % avec une belle stabilité. C’est donc correct, mais pas non plus excellent, puisque vous ne pouvez profiter d’un niveau de graphisme plus élevé. Après 20 minutes de session, l’arrière a tendance à bien chauffer. Vous n’aurez en revanche aucun problème pour jouer à Among Us, si cela peut vous rassurer.
Pour aller plus loin
AnTuTu, PCMark, Geekbench et consorts : quelles sont les différences entre les benchmarks ?
Au jeu des benchmarks, le Galaxy M51 se place tout de même devant le Google Pixel 4a qui partage pourtant le même processeur. Son score Antutu talonne même celui du Xiaomi Poco X3 équipé du Qualcomm Snapdragon 732G. Le modèle n’est certes pas une bête de course, mais il se défend tout de même avec panache et réussite.
Le maître de l’autonomie
Si les téléphones entrée de gamme Poco M3 et Realme 7i ont fait sensation avec leur batterie de 6000 mAh, le Samsung Galaxy M51 tape du poing sur la table avec son accumulateur de 7000 mAh. C’est juste gargantuesque. Et croyez-moi, l’autonomie sera à la hauteur de vos attentes.
J’ai commencé à utiliser le téléphone durant un week-end entier uniquement pour des sessions photo — de 100 à 90 % — avant de le configurer avec l’ensemble de mes comptes Instagram, Slack, Google, etc. J’ai ainsi pu m’en servir sans aucune difficulté jusqu’au mercredi midi, soit trois jours d’utilisation modérée, dont une très intensive.
L’ensemble des benchmarks effectués ne lui a fait perdre que 8 %, lorsqu’une session de 20 minutes de Fornite lui a retiré seulement 5 %. C’est peu, comparé à d’autres téléphones qui se délaissent de 7 voire 8 % sur un même laps de temps. Durant une nuit de neuf heures, seuls 2 % de batterie se sont volatilisés.
Il m’a fallu faire tourner YouTube durant 5h et Netflix pendant 1h45 pour faire chuter son autonomie de 49 % à 25 %. Et d’enchaîner le lendemain avec 2h15 de Netflix, puis 1h de YouTube pour passer sous la barre des 15 %. Bref, vous l’avez compris : le Galaxy M51 est un monstre d’autonomie capable de tenir, selon mes estimations, quatre jours en utilisation modérée.
Une aussi grosse batterie met forcément du temps à se recharger, et ce même avec un chargeur rapide de 25 W. Ci-dessous, veuillez trouver les différents temps de charge par palier :
- 5 % à 30 % : 23 minutes ;
- 5 % à 50 % : 45 minutes ;
- 5 % à 80 % : 1h20 ;
- 5 % à 100 % : 1h50.
Dernier bon point : la charge inversée est de mise pour transférer quelques pourcentages d’autonomie à un autre téléphone, mais uniquement avec un câble USB-C.
Réseau et communication du Samsung Galaxy M51
Samsung a bel et bien commencé à rendre compatibles ses smartphones milieu de gamme avec la 5G, comme en témoigne le Galaxy A515G. Mais il faudra se contenter de la 4G pour le Galaxy M51, qui supporte toutes les bandes de fréquences françaises en la matière. C’est déjà ça, et c’est même très bien.
Le Galaxy M51 embarque aussi un attirail technologique très complet et généralement apprécié. Citons la microSD pour étendre le stockage, la double SIM, le NFC pour les paiements sans contact et les titres de transport dématérialisés et la prise en charge de la géolocalisation par satellites GPS, Glonass, Beidou, Galileo. Sans oublier le Bluetooth 5.0.
Concernant la qualité des appels téléphoniques, l’appareil mobile répond présent : votre voix se montre intelligible et non compressée, bien qu’un petit bruit de fond s’invite à la fête sans pour autant gêner l’expérience. Le téléphone a aussi tendance à accentuer votre souffle sans raison apparente : mais encore une fois, ce n’est rien de bien méchant. Les sirènes et klaxons ont du mal à être filtrés, comme sur la majorité des mobiles du marché.
Prix et disponibilité du Samsung Galaxy M51
Le Samsung Galaxy M51 est disponible en France sur le site officiel de la marque au prix conseillé de 399 euros, en configuration 128 Go de stockage (extensible jusqu’à 512 Go) et 6 Go de RAM. Deux coloris composent le choix final : noir ou blanc.
[…] Samsung Galaxy M52 5G fait ses débuts sur le marché indien. Pour rappel, son prédécesseur, le Galaxy M51 avait été lancé en France en décembre 2020. C’est donc l’occasion de découvrir le […]
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Je viens de l'acheter et j'ai eu la bonne surprise qu'il se mette à jour avec Android 11 et OneUI Core 3.1
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Bien dit, je suis totalement d'accord avec toi.
[…] 17 janvier 2021 valentin10 Uncategorized Test du Samsung Galaxy M51 : irréprochable, à quelques détails près […]
je ne dirais que la photo en mode 64 Mpixels est plus nette mais plutôt moins pixelisée et au final lissée, on perd donc en détails.
7000 mAh ! J'étais déjà comblé par les 5500 mAh de mon Xiaomi Mi Max 3, alors je n'ose pas imaginer l'autonomie de malade avec celle du M51. Je suis totalement "pour" ce genre de smartphones avec grosses batteries, c'est toujours le truc le plus agaçant à l'usage de devoir faire gaffe au niveau de la batterie. Sans compter qu'étant donné que l'on recharge moins souvent ces grosses batteries, elles ont un nombre de cycles de recharges moins élevé que les autres smartphones, leur durée de vie en est donc fortement rallongée.
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