Sony est déjà un constructeur connu et reconnu dans le domaine de l’audio et, en particulier, de l’audio nomade. La firme propose ainsi son casque WH-1000XM4 et ses écouteurs sans fil à réduction de bruit, les WF-1000XM4, les références du marché. Le constructeur japonais n’est pas non plus avare en produits plus accessibles avec ses WF-C500, particulièrement convaincants. Mais il lui manquait encore une référence d’écouteurs sans fil avec un format ouvert. C’est désormais chose faite avec les Sony LinkBuds et, cette fois encore, Sony n’a pas fait les choses à moitié.
Fiche technique
Modèle | Sony LinkBuds |
---|---|
Format | Ecouteurs sans fil |
Batterie amovible | Non |
Microphone | Oui |
Réduction de bruit active | Non |
Autonomie annoncée | 17,5 heures |
Type de connecteur | USB Type-C |
Poids | 8,2 g |
Prix | 131 € |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec des écouteurs fournis par le constructeur.
Design
La première chose qui frappe avec les Sony LinkBuds est également leur principale caractéristique : un design original, très original. En fait, Sony propose ici non seulement des écouteurs qui ne sont pas intra-auriculaires, mais qui ne proposent pas non plus un format ouvert standard, à la manière des AirPods 3, des Huawei FreeBuds 4 ou même des Samsung Galaxy Buds Live. Ici les écouteurs sont… troués.
Dans l’esprit global, les écouteurs de Sony se rapprochent cependant de ceux de Samsung. On n’a pas une forme de haricot, mais les écouteurs s’insèrent dans le pavillon auriculaire de la même manière, avec les transducteurs vers le bas. Mais où sont les transducteurs ? C’est là que les LinkBuds se démarquent. Contrairement à tous les autres écouteurs du marché, les transducteurs ne sont pas en forme de disque, mais d’anneaux. Les haut-parleurs sont donc intégrés dans la partie la plus fine des écouteurs, au niveau des anneaux en métal.
Principal intérêt de ce format original, les Sony LinkBuds sont des écouteurs légers, très légers. Ils ne pèsent en effet que 4,1 grammes sur la balance et s’affichent comme 51 % plus compacts que les WF-1000XM4. Certes, les écouteurs à réduction de bruit de Sony sont de beaux bébés, mais force est de constater que les LinkBuds se démarquent par leur compacité.
En revanche, cette compacité n’est pas sans poser de soucis. Déjà, et c’est là le principal problème, les écouteurs ne sont pas dotés d’embouts en silicone et ne profitent donc d’aucune isolation passive. Plus encore, le trou au milieu de l’écouteur laisse volontairement passer les bruits ambiants. Dans le principe, pourquoi pas. Ça permet en effet d’entendre les véhicules à proximité, de ne pas se couper de ses collègues au bureau ou d’être mis au courant des annonces vocales dans une gare. Mais dans les faits, ce manque d’isolation passive entraîne une gêne bien plus importante. Dès que vous n’êtes pas dans un environnement parfaitement calme, il vous faudra monter le volume, parfois au maximum, pour entendre votre musique sans être gêné par la pollution sonore. Dans le métro parisien par exemple, le son des écouteurs est à peine audible, largement couvert par les bruits des wagons. Surtout, cette incitation à pousser le volume est loin d’être optimale pour votre audition. Rappelons également que les écouteurs ne sont pas dotés de réduction active du bruit.
Certes, ce manque d’isolation passive a un intérêt pour les plus sportifs, mais les LinkBuds, vendus à 200 euros, ne sont pas seulement des écouteurs à utiliser pour les séances sportives. À ce prix là, on s’attend à une paire d’écouteurs polyvalente, pas à une paire secondaire.
L’autre souci concerne l’absence de système d’ancrage ferme dans le pavillon auriculaire. Sur des AirPods 3, non seulement la forme permet d’insérer en partie la conque dans le conduit auditif, mais les écouteurs sont également arrimés grâce à la tige. Sur des Sony WF-1000XM4, les embouts permettent d’assurer un bon maintien des écouteurs dans le canal auriculaire. Rien de tout ça sur les Sony LinkBuds… ou presque. Sony fournit en fait ses écouteurs avec différents arcs de stabilisation en silicone qui permettent, en théorie, d’assurer le maintien des écouteurs dans l’oreille. Ce sont ainsi cinq paires d’arcs qui sont proposés par Sony dans le but d’adapter au mieux les écouteurs à votre morphologie. Mais dans les faits, ces arcs souples en silicone peinent à convaincre. Même à la taille maximale, la finesse des arcs les rend trop peu résistants aux déplacements et les écouteurs n’auront aucun mal à bouger. C’est particulièrement dommage pour des oreillettes destinées à être utilisées dans un cadre sportif. On aurait aimé de véritables ailettes, plus larges, mais assurant un meilleur maintien, plutôt que ces arcs bien trop souples.
Le boîtier des Sony LinkBuds
Du côté du boîtier aussi, Sony a joué la carte de la compacité. L’étui des Sony LinkBuds est ainsi particulièrement compact, 26 % moins volumineux que celui des WF-1000XM4 et avec un poids de 34 grammes seulement.
Autant dire que le boîtier tiendra facilement non seulement dans la main, mais également dans un sac à main ou dans une poche de jean sans jamais vous gêner. L’étui est par ailleurs doté d’un bouton à presser pour ouvrir le couvercle. De quoi aider la manipulation à une main même si on est loin de la préhension très simple, presque ludique, des AirPods d’Apple.
Outre le bouton permettant l’ouverture du couvercle en façade, on va retrouver une LED indiquant l’état de la batterie ou l’appairage à l’avant, ainsi qu’une prise USB-C et le bouton d’appairage au dos.
Étanchéité et utilisation sportive
Comme on l’a vu, les Sony LinkBuds sont particulièrement indiqués pour une utilisation sportive. Néanmoins, en raison de leur arrimage plutôt léger à l’oreille, ils peinent à convaincre pour cet usage et ont en effet tendance à se déplacer fortement.
Du côté de l’étanchéité, Sony a fait certifier ses écouteurs IPX4. Concrètement, ils sont donc résistants aux éclaboussures et donc à la pluie ou la transpiration. Ils ne pourront cependant pas survivre à une immersion en profondeur.
Usage et application
Les écouteurs de Sony sont compatibles à la fois avec Google Fast Pair et avec Microsoft Swift Pair pour l’appairage Bluetooth. Concrètement, il vous suffit donc d’ouvrir le boîtier pour voir apparaître, sur l’écran de votre PC ou de votre smartphone, une invitation à vous connecter les écouteurs.
Le bouton d’appairage est par ailleurs présent au dos du boîtier pour lancer la connexion sur un second appareil ou pour vous connecter à une source compatible ni avec Fast Pair ni avec Swift Pair — comme un iPhone par exemple.
Les contrôles tactiles
Les écouteurs de Sony ne sont pas dotés de boutons physiques. Ils ne sont pas non plus équipés de surfaces tactiles. Et pourtant, cela ne les empêche pas de comprendre vos gestes pour contrôler votre musique.
En fait, les écouteurs sont dotés de capteurs de vibration qui vont détecter lorsque vous tapez sur tempe, votre pommette ou même à l’arrière de votre oreille. C’est donc la zone proche de votre oreille qui se transforme en surface tactile. Sur le papier, c’est très utile puisque vous n’avez pas besoin de viser précisément telle ou telle partie de l’écouteur, pas plus que de l’enfoncer dans l’oreille à chaque commande gestuelle.
Dans les faits, tous les endroits du visage ne se valent pas et il vaut mieux utiliser une zone de votre visage plutôt osseuse pour que le geste soit bien compris par les écouteurs. Sur l’arrière de la joue par exemple, les Sony LinkBuds n’ont réussi à comprendre, en moyenne, qu’une interaction sur deux alors que la tempe fonctionne bien mieux.
Pour les contrôles en eux-mêmes, voici ceux proposés par défaut par Sony :
- Double appui à gauche : Lecture/pause
- Double appui à droite : Lecture/pause
- Triple appui à gauche : Morceau suivant
- Triple appui à droite : Morceau suivant
Malheureusement, compte tenu de la nature de la détection des gestes — par détection des vibrations — les écouteurs ne permettent pas l’appui simple ou l’appui long. On n’a donc droit qu’à deux types d’interaction par écouteur.
Heureusement, l’application Sony Headphones va permettre d’augmenter les interactions proposées. On peut ainsi choisir, pour chaque côté, si les gestes effectués vont permettre de contrôler la lecture (lecture/pause et morceau suivant), de contrôler le volume, de changer de morceau (morceau suivant et précédent), de lancer l’assistant vocal ou de lancer automatiquement Spotify. Malheureusement, puisque les attributions se font pour chaque écouteur et non pas pour chaque geste, on ne va donc pas pouvoir contrôler à la fois la lecture, le changement de piste en avant et en arrière et le volume sonore, à moins de passer par l’assistant vocal.
L’application Sony Headphones
Logiquement, c’est via l’application Sony Headphones que l’on va pouvoir gérer les contrôles tactiles des écouteurs, mais pas seulement. Comme la plupart des applications du genre, elle va également afficher le niveau de batterie des écouteurs et permettre de mettre à jour son firmware. C’est là également que vous pourrez désactiver la mise en pause automatique en retirant les écouteurs des oreilles — fonction activée par défaut. Mais Sony, fidèle à son habitude, a rempli son application de petites fonctions bien senties.
C’est le cas notamment de la fonction « parler pour chatter ». Déjà proposée avec les WF-1000XM4, cette fonction va automatiquement mettre la musique en pause lorsque les écouteurs repèrent que vous parlez, pour vous permettre d’avoir une conversation plus simple. L’application intègre également un égaliseur pour modifier la signature sonore des écouteurs, ainsi que le mode DSEE, sur lequel on reviendra dans la partie audio. On pourra également choisir entre privilégier une connexion Bluetooth stable ou une meilleure qualité sonore.
Enfin, l’option de contrôle adaptatif du volume va permettre en principe d’augmenter automatiquement le volume sonore des écouteurs si vous êtes dans un lieu bruyant et de le réduire dans un cadre plus calme. Dans les faits cependant, comme on l’a vu plus tôt, le volume des écouteurs et, surtout, leur absence d’isolation, rend tout essai de couvrir les bruits ambiants particulièrement vains.
La connexion Bluetooth
Du côté de la connexion Bluetooth, les Sony LinkBuds peuvent être utilisés indépendamment l’un de l’autre. Il est donc possible de ranger l’un des deux écouteurs dans le boîtier et de continuer à recevoir les deux canaux stéréo — transformés en un son mono — dans l’écouteur gardé à l’oreille.
Les écouteurs proposent une stabilité correcte de la connexion et peuvent être portés alors que le smartphone connecté est laissé dans une autre pièce. Attention néanmoins, passé cinq à dix mètres ou plus d’un mur d’écart, la connexion se perd assez rapidement. Néanmoins, avec le smartphone rangé dans ma poche, je n’ai souffert d’aucun saut de connexion.
Les écouteurs de Sony proposent une latence Bluetooth bel et bien perceptible, mais dans la moyenne des casques et écouteurs Bluetooth du marché. Avec une transmission audio en SBC, j’ai ainsi pu mesurer une latence de 247 ms entre le son joué dans le smartphone et sa transmission par l’écouteur. En AAC, le délai est un peu plus court, à 239 ms. Heureusement, la plupart des applications vidéo sur Android permettent désormais de compenser cette latence audio en décalant légèrement la vidéo. C’est surtout sur les jeux mobiles que cet aspect pourra faire défaut aux écouteurs de Sony.
Audio
On vous l’expliquait dans un dossier dédié, traditionnellement les transducteurs de casques ou d’écouteurs ont une forme de disque. C’est pour cela qu’on parle de diamètre de ces transducteurs, exprimé en mm. Pour ses LinkBuds, Sony a eu l’idée pour le moins originale de proposer des transducteurs en forme d’anneau. Concrètement, on va donc avoir toujours un diamètre, de 12 mm dans ce cas, mais qui n’est pas rempli complètement. Il s’agit là d’une première pour des écouteurs sans fil et d’un format qui a pour principal avantage de permettre un son ouvert et aéré, à défaut d’être isolé.
En plus de ce nouveau transducteur, le constructeur japonais indiqué avoir intégré un nouveau DAC et un nouvel ampli à ses écouteurs. Les LinkBuds récupèrent néanmoins le processeur Sony V1, déjà utilisé sur les précédents WF-1000XM4. Enfin, pour les codecs audio Bluetooth, les Sony LinkBuds profitent seulement de l’AAC et du SBC. Malheureusement, le LDAC n’est en effet pas disponible.
Pour tester les Sony LinkBuds, je les ai connectés en AAC à un Google Pixel 6 Pro. J’ai ensuite écouté différents titres sur Spotify en qualité très élevée, soit de l’ogg vorbis à 320 kbps. Par ailleurs, j’ai choisi, dans l’application Sony Headphones, la priorité à la qualité audio plutôt que la stabilité à la connexion.
D’emblée, on est heurté par l’absence de basses proposée par les écouteurs de Sony. Il faut dire qu’il s’agit déjà d’un défaut prégnant sur les écouteurs ouverts — Apple a mis le paquet dessus pour compenser le format des AirPods 3 — mais le fait qu’il s’agisse d’un anneau, et non pas d’un disque, semble renforcer cette lacune. Plus un transducteur est large, plus il aura de facilité à gérer les basses fréquences. Or, si les LinkBuds proposent bien des transducteurs de 12 mm, ils sont en partie creux et leur amplitude est donc plus limitée, réduisant donc la quantité de basses fréquences émises.
Sur le titre Bad Guy de Billie Eilish, cette lacune se fait tout particulièrement ressentir. La nappe de synthé en fond du morceau apparaît particulièrement sèche alors que la plupart des écouteurs intra-auriculaires offrent un rendu plus profond et surtout bien plus rond. Cet aspect sec des écouteurs se ressent d’ailleurs sur la plupart des titres écoutés. Il faut dire que la signature sonore des écouteurs a tendance à largement mettre en avant le registre des médiums et haut-médiums comme on peut le voir sur la courbe de réponse en fréquence ci-dessous.
Alors que le volume de référence est censé être à 84 dB SPL, on peut voir que les graves, sous les 200 Hz, sont bien en dessous, et que les infra-graves, entre 20 et 80 Hz, sont largement dans les choux. C’est mieux sur les fréquences médiums, mais le pic à 2500 Hz vient clairement gêner l’écoute. En effet, c’est ce pic dans les hauts-médiums qui rend le son des Sony LinkBuds particulièrement secs à l’écoute. Rappelons que ces fréquences sont déjà naturellement amplifiées par le conduit auditif et que nombre de casque et d’écouteurs ont tendance à les diminuer. Ce n’est pas le cas de Sony ici qui propose malheureusement une amplification de ces signaux quitte à rendre l’écoute désagréable.
Bien évidemment, les instruments aigus et les voix seront naturellement mises en avant sur les Sony LinkBuds. Mais cela se fera au détriment des graves qui passeront complètement à la trappe.
C’est bien simple, les écouteurs de Sony rappellent en fait ces vieux écouteurs boutons que l’on trouvait encore dans le commerce ou fournis avec des téléphones portables il y a quinze ans. On peut améliorer légèrement les choses en repositionnant les écouteurs dans les oreilles, en enfonçant la partie avec le transducteur, mais cette solution ne produit pas de miracle et c’est alors le confort qui pêche.
Notons également la présence de l’algorithme DSEE de Sony, accessible depuis l’application Sony Headphones. Cette fonction, disponible sur de nombreux casques et écouteurs de la marque, va permettre d’upscaler des titres fortement compressés pour en améliorer le rendu. Néanmoins, je n’ai pas senti de différence notable avec et sans l’algorithme.
Du côté de la dynamique, les Sony LinkBuds s’en sortent bien mieux. Ils permettent de réellement entendre la différence de volume entre une note jouée doucement et un son bien plus élevé, du moins à condition d’être dans un environnement favorable et de ne pas avoir à augmenter le volume au maximum pour profiter convenablement de sa musique.
Micro
Pour les appels vocaux, Sony utilise ici un algorithme baptisé Precise Voice Pick Up. Concrètement, il s’agit du même système déjà mis à profit sur les Sony WF-1000XM4 qui va permettre de rendre la voix plus claire durant les appels en concentrant les microphones sur votre voix plutôt que sur les bruits alentour.
À l’usage, dans un environnement calme, les écouteurs de Sony parviennent à bien filtrer votre voix pour votre interlocuteur. Il pourra entendre un son légèrement compressé, mais rien de gênant, la conversation sera agréable de son côté avec un bon rendu sonore. En extérieur, les écouteurs parviennent admirablement à réduire les sons ambiants, que ce soit les bruits de véhicules, voitures comme moto, les sons du vent ou les gazouillis des oiseaux. Seules les conversations proches de vous filtreront légèrement et seront audibles de la personne au bout du fil.
Mais le plus impressionnant est la qualité, l’efficacité et la réactivité de la réduction de bruit dans un cadre de bruit continu. Si vous faites couler de l’eau et que vous passez un appel en faisant la vaisselle par exemple, les Sony LinkBuds parviendront très efficacement à réduire le bruit de l’eau, et ce dès les premières secondes. Votre interlocuteur ne remarquera même pas que vous êtes en pleine corvée ménagère et seule une légère suppression des médiums de votre voix trahira la réduction de bruit. Impressionnant.
Autonomie
Sony annonce une autonomie pouvant aller jusqu’à 5h30 pour ses LinkBuds, avec 12 heures supplémentaires grâce au boîtier de recharge, pour un total de 17h30 d’utilisation d’après le constructeur.
De mon côté, en lançant les écouteurs en SBC avec le volume à 80 %, j’ai pu utiliser les Sony LinkBuds pendant tout juste 4h45 avant qu’ils ne tombent à court de batterie. Une autonomie plutôt faible non seulement compte tenu des ambitions de Sony, mais aussi en raison de l’absence de réduction de bruit active. Surtout, sur le marché actuel des écouteurs sans fil, de plus en plus de modèles parviennent à atteindre les 6 à 7 heures d’autonomie. Néanmoins, cette autonomie moyenne peut s’expliquer par le format relativement compact des écouteurs.
Pour recharger les écouteurs, il suffit de les positionner dans leur boîtier et d’appuyer légèrement jusqu’à entendre un léger clic. Pour la recharge, les Sony LinkBuds sont cependant plus efficaces que pour le test d’autonomie. Il faut en effet tout juste 48 minutes pour les faire passer de 0 à 100 % de batterie. En d’autres termes, certes les écouteurs se rechargent rapidement, mais ils sont assez rapides à récupérer leur boîtier.
Le boîtier se recharge quant à lui à l’aide de la prise USB-C à l’arrière — Sony fournit un court câble, mais pas de chargeur secteur. Il n’est cependant pas compatible avec la charge par induction Qi.
Prix et date de sortie
Les Sony LinkBuds sont proposés en deux coloris : blanc ou noir. Ils s’affichent au prix de 200 euros.
Tout le test sent la mauvaise foi. Ces écouteurs ne devraient être comparés aux Airpods 3 que sur le prix. Ce sont des produits radicalement différents qui ne visent clairement pas le même public... Pas convaincu sur la partie audio, c'est toujours la mise en avant des basses qui m'agace au fil des années chez les produits Sony. Et l'EQ est tellement simple et efficace que c'est un non problème pour tuner les hauts medium. Parler que de fréquences audio est très insuffisant pour juger de la qualité de celle-ci. Je ne compte pas le nombre de tests aillant appréciés le confort des écouteurs. Mais bref, qu'est ce que j'attendais de frandroid ?
Merci d'avoir partagé tes réglages, mais soyons honnête, ça dépendra des goûts de chacun !
4/10, c'est dur quand même ! Mais c'est sûr que le prix est trop élevé...
Franchement pas convaincu de votre test de la partie audio, sont aime bien vendre des produits avec un son brut de décoffrage c'est à dire que l'on entend directement le son du driver reglé sur "neutre" interprêté dans ce cas par une manque de basse et un surplus de medium et aigus. Si vous voulez avoir un son correct voir très bon je vous conseillé de baisser les 6khz de 5 ou 6 points (je crois que c'est équivalent à 12 dB mais pas sûr) et augmentez les clear basses de plus 5 et les basses normales de 2 ou 3 points chacune, pour les médiums baissez de 1. Normalement vous devrez apprécier le son. Sur mes wf1000xm4 le son était très bon mais une fois avoir baisse les 6khz et légèrement retouché mes basses j'ai redécouvert ces écouteurs.
Merci. Je me suis arrêté à la qualité sonore "médiocre". L'innovation est toujours à saluer, mais si le résultat de la fonction essentielle de ce produit n'est pas à la hauteur...
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