Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la série A90K ne succède pas à la série A90J de l’année dernière chez Sony. Il s’agit d’une nouvelle gamme OLED qui comprend les séries A90K et A80K dotées d’une dalle White OLED. Elles sont positionnées en dessous du nouveau flagship de la marque, la série A95K qui profite d’une dalle différente, dite QD-OLED.
Compatibles Dolby Vision et Dolby Atmos, les TV Sony A90K sont déclinées en 42 et 48 pouces seulement et viennent concurrencer la série C2 de LG qui propose les mêmes diagonales, et plus encore. L’idée est de proposer une télévision OLED « relativement abordable » pour les petits espaces et les joueurs de jeux vidéo à la recherche d’un écran offrant un maximum de réactivité, une certaine fidélité des couleurs et des noirs extrêmement profonds. Animée par Google TV, dotée de deux entrées HDMI 2.1 et largement connectée, la version 48 pouces est passée entre nos mains pour un test complet et en voici nos impressions.
Fiche technique
Modèle | Sony 48A90K |
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Technologie d’affichage | OLED |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’écran | 48 pouces |
Compatible HDR | Dolby Vision |
Compatible Surround | Dolby Atmos |
Sortie audio | Haut-parleurs |
Assistant vocal | Google Assistant, Amazon Alexa |
Prix | 1 439 € |
Fiche produit |
L’exemplaire de test nous a été prêté par la marque.
Design
Le design des téléviseurs Sony est toujours très recherché et la série A90K en profite directement. Elle bénéficie d’un cadre particulièrement épuré avec un écran qui peut s’installer selon deux positions.
Le téléviseur est livré avec un pied ovale extrêmement plat. Assez lourd pour assurer un bon maintien et fabriqué en métal, il ne fait que 3 mm d’épaisseur pour une largeur de 49 cm et une profondeur de 19 cm ce qui permet de l’installer sur un meuble relativement compact. La position par défaut consiste à avoir l’écran qui est directement posé sur le pied, ne laissant que 4 mm entre le meuble et sa base.
Sinon, il y a deux pattes « de surélévation » que l’on peut ajouter. Elles mesurent 7 cm de haut ce qui permet, une fois installé sur le pied, d’avoir un écran surélevé d’environ 7 cm par rapport au meuble, ce qui permet de placer une barre de son devant sans gêner le récepteur infrarouge en façade ni les capteurs de luminosité qui s’y trouvent.
Le téléviseur Sony XR-48A90K n’est pas un modèle de finesse, contrairement aux TV OLED de la marque LG et Philips ou au Samsung QE55S95B qui sont extrêmement fin au moins sur une bonne partie de la dalle. Ici, on a droit à des coins biseautés pour donner une impression de moindre épaisseur, mais en vain. L’écran fait ainsi 5,6 cm d’épaisseur au maximum.
Le dos est totalement plat, ce qui facilite une installation au mur possible grâce à des supports de fixation pour un dispositif à la norme VESA300. Le dos du téléviseur est conçu en matériaux recyclés « SORPLAS », ce qui est appréciable. On y retrouve la structure utilisée sur les autres gammes de TV Sony, remplie de petits carrés. On peut y voir un haut-parleur à l’arrière.
Comptez sur un poids de 16,5 kg avec le pied. Rappelons que la TV LG C2 en 55 pouces fait seulement 14,6 kg avec son pied, mais bizarrement la version 48 pouces du C2 de LG est plus lourde, accusant un poids de 18 kg.
Le téléviseur prêté par la marque pour réaliser ce test ne souffrait d’aucun problème de fabrication et présentait des finitions parfaites. Le cadre est extrêmement fin pour laisser une grande place à l’image sur l’écran. Comptez sur des bordures noires de seulement 6 mm et un cadre pour finir de 2 mm.
À l’arrière, il n’y a pas de guide-fils en tant que tel, mais Sony livre deux plaques en plastique recyclé pour cacher les connectiques et tenter d’orienter les câbles. Si l’écran est en position basse, on ne voit rien de ce qui se passe derrière, comme sur le Sony A95K. Toutefois, avec les pieds supplémentaires, ils pendent.
Connectique du Sony XR-48A90K
Comme la plupart du temps, les connectiques sont réparties en deux pôles avec certaines orientées vers le sol alors que d’autres sont dirigées vers l’un des côtés. On a droit ici à une entrée antenne, deux pour les satellites, 4 entrées HDMI, dont deux sont au format 2.1, comme sur le TV Sony A95K. Une seule propose la fonction eARC pour le retour audio vers une barre de son ou un amplificateur compatible. Cela réduit les possibilités de branchement de plusieurs consoles ou PC puissants pour jouer, par exemple. Les entrées HDMI 3 et 4 supportent les signaux Ultra HD à 120 images par seconde ainsi que les technologies ALLM et VRR avec un débit maximum de 48 Gbit/s. Il y a également une sortie optique numérique, deux ports USB et un port PCMCIA.
Notez l’absence de prise pour brancher un casque, chère à certains utilisateurs qui doivent alors passer par le Bluetooth pour obtenir satisfaction et bénéficier d’une écoute plus intime. À ce sujet, il est possible d’utiliser deux canaux, pour deux casques, par exemple. Notez la possibilité d’utiliser la TV comme une enceinte centrale avec une barre de son ou un système Sony compatible, via la connectique S-Center Speaker In qui sert également d’entrée audio/vidéo analogique.
Le téléviseur est compatible Wi-Fi 802.11ac, à privilégier pour la liaison réseau vu que le port Ethernet présent est limité à 100 Mbit/s, bloquant pour les personnes qui ont la fibre à la maison et qui souhaitent profiter des contenus Pure Stream de la plateforme Bravia Core proposée par Sony et pouvant atteindre des débits de 80 Mbit/s. La TV est compatible Chromecast et AirPlay 2. Elle intègre l’Assistant Google et elle fonctionne avec Alexa si une enceinte connectée est située à proximité. Le téléviseur est équipé d’un microphone que l’on peut couper à l’aide d’un bouton au niveau des connectiques.
Pour la petite histoire, cette série peut supporter la nouvelle caméra Bravia Cam livrée avec la série A95K, mais ici proposée en option. Elle permet d’ajuster automatiquement la luminosité de la TV, de moduler le son selon la position du téléspectateur, de faire afficher un message d’avertissement si l’on s’approche trop près de l’écran, d’activer la mise en veille lorsque l’on n’est plus devant le téléviseur et aussi de contrôler par gestes certaines fonctions de la TV comme le volume, les chaînes, etc. Rappelons que toutes ces fonctionnalités ne sont pas encore actives au moment de l’écriture de ces lignes, mais le seront après une mise à jour du système à venir et promis par Sony. Actuellement, seule l’application de conversations vidéo Google Duo fonctionne avec.
Image
Comme évoqué en introduction, la série TV Sony A90K utilise une dalle White OLED fabriquée par LG Display capable d’afficher une définition Ultra HD. Elle diffère de la technologie QD-OLED développée par Samsung et utilisée sur la série A95K par sa structure de sous-pixels et la présence d’un filtre de couleurs. Pourtant, il s’agit de Quantum Dots employés sur le flagship de la marque japonaise proposant des angles de vue supérieurs, une plus large palette de couleurs et une forte luminosité. Vous pouvez voir que la structure des sous-pixels est identique à celle que l’on trouve sur les modèles de TV LG.
La série A90K embarque la technologie OLED Contrast Pro gérée par le processeur Cognitive Processor XR (aussi disponible sur la série A80K) pour des niveaux de contraste extrêmement élevés. Ce chipset permet de profiter d’images réellement sublimes puisqu’il est capable de proposer des couleurs le plus naturel possible grâce à sa fonction d’analyse précise des séquences lui permettant de distinguer les objets par rapport à un arrière-plan et de demander des ajustements plus justes plutôt que sur une image complète. La luminosité et la saturation sont mieux contrôlées que les précédentes générations. Les couleurs sont traitées par la technologie XR Triluminos Pro.
La mise à l’échelle est ici très précise et la compensation des mouvements est, comme d’habitude chez Sony, un modèle du genre permettant d’apprécier chaque scène à juste valeur et avec tous les éléments de l’image originelle. Les textures des animaux de documentaires animaliers diffusés sur Netflix sont magnifiques et la nature parait splendide avec parfois une réelle impression de profondeur.
Le téléviseur propose les mêmes modes d’image que sur la série A95K : Standard, Intense, Graphiques, Jeu, IMAX Enhanced, Cinéma, Photo et Expert. C’est le mode Expert qui permet d’obtenir les meilleurs résultats pour les mesures, et donc pour regarder des films ou des séries. Nous avons pu apprécier une bonne fidélité des couleurs puisque nous avons pu relever un Delta E moyen de 2,15, soit un niveau inférieur à 3, seuil sous lequel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre les couleurs affichées et celles demandées.
Le mode Cinéma nous a permis de mesurer un Delta E moyen de 2,95, soit juste en dessous du seuil de 3. En mode Expert, le gamma a été mesuré à 2,4, soit exactement la valeur recherchée avec des niveaux extrêmement proches de la ligne de référence. La température des couleurs est un peu supérieure à la valeur attendue de 6500 K, car nous avons mesuré une température moyenne de 6687 K produisant des images un peu plus froides qu’elles ne devraient l’être. Le taux de contraste peut être considéré comme infini grâce à la technologie Oled. La couverture de l’espace colorimétrique rec709 utilisé pour les programmes TV est de 100 %, ce qui est excellent.
Le téléviseur supporte les modes HLG, HDR10 et Dolby Vision. Il fait l’impasse sur le format HDR10+ qui est accepté sur les modèles Panasonic, Hisense ou Philips, par exemple. Il n’y a pas de mode Filmmaker sur ce téléviseur, mode dans lequel tous les traitements sont désactivés. On doit donc choisir le mode Expert qui permet d’obtenir les plus belles images. Avec ce mode, nous avons pu constater une excellente fidélité des couleurs en HDR avec un Delta E moyen excellent mesuré à 1,65.
Le mode Cinéma n’est pas mal non plus avec un Delta E moyen de 1,8 et le mode IMAX Enhanced (avec les contenus adaptés) propose aussi une fidélité des couleurs équivalente puisque nous avons mesuré un Delta E moyen de 1,82.
Si le Sony A95K propose l’une des luminosités les plus importantes du marché avec un pic à 970 cd/m², battu par le Samsung S95B qui offre jusqu’à 1066 cd/m² (sur une mire à 10 %), la série A90K de Sony n’est absolument pas à ce niveau. Nous avons mesuré un pic de luminosité de seulement 528 cd/m² en mode Expert. Le mode Cinéma donne un pic de luminosité de 532 cd/m². C’est faible surtout lorsque l’on sait que la série A90J de l’année dernière nous avait permis de mesurer un pic de luminosité de 760 cd/m² en mode Cinéma.
L’image est toutefois mieux calibrée en sortie de carton et l’on peut aussi se « rassurer » en se disant que la couverture de l’espace colorimétrique BT2020 est, sur la série A90K, plus large que sur la série A90J puisque nous avons relevé respectivement 75 % contre 70 %. Cependant, cela reste en deçà de la couverture proposée par les séries premium Sony A95K et Samsung S95B qui est de 89 %. La couverture de l’espace colorimétrique DCI-P3 est de 99 %, ce qui est excellent.
Gaming
Les fabricants de télévisions font de plus en plus les yeux doux aux joueurs. C’est notamment pour eux qu’a été pensée cette série A90K avec ses diagonales de 42 et 48 pouces. Sony évoque même le fait de pouvoir les installer sur un bureau, comme on pourrait le faire pour un moniteur. Pourquoi pas ? Mais dans ce cas, il est extrêmement proche de l’utilisateur. Est-ce pour cette raison que la luminosité n’est pas si élevée que cela ?
Il y a deux prises HDMI 2.1 supportant les technologies ALLM, pour la réduction de temps de retard à l’affichage, et VRR pour s’adapter à la variation des fréquences de rafraîchissement. Toutefois, petit hic : le téléviseur est compatible avec le format Dolby Vision, mais il faut choisir entre la fonction VRR ou le Dolby Vision (au niveau des paramètres de la prise HDMI sélectionnée). En outre, le format Dolby Vision est supporté jusqu’à 60 Hz, mais pas à 120 images par seconde.
Le téléviseur est capable de passer automatiquement en mode Jeu lorsqu’il est relié à une console Sony PS5. Dans ce cas, il active également la fonction HDR Tone Mapping pour gérer la luminosité. En revanche, nous avons essayé avec une Xbox Series X et le téléviseur n’a pas basculé automatiquement pour changer le mode d’image lorsque nous sommes passés d’un jeu à la lecture d’un film sur Blu-ray, obligeant à basculer manuellement sur le mode Expert.
Pour prétendre à être un bon, voire un excellent téléviseur pour les jeux, il faut avoir un retard à l’affichage qui soit le plus court possible pour ne perdre aucune image. Sur ce modèle, nous avons mesuré un input lag de 16,3 ms en Ultra HD à 60 images par seconde. Cela correspond à tout juste une image de retard entre le moment où l’on appuie sur la touche de la manette et où l’action se déroule à l’écran. C’est très bien, mais il existe mieux, notamment chez LG avec les C1, C2, mais aussi G1 et G2 ou chez Samsung avec le S95B qui propose un input lag de 9,5 ms. Les Panasonic JZ1500 et JZ2000 de l’année dernière affichent un temps de retard à l’affichage de 14,4 ms.
Sinon, nous avons mesuré un pic de luminosité de 526 cd/m² en mode Jeu. Cette valeur est cohérente avec celle que nous avons obtenue avec les autres modes d’image, mais reste faible. Excellente nouvelle, et c’est assez rare pour être souligné, le mode Jeu est très bien calibré en sortie de carton. Il offre une très bonne fidélité des couleurs avec un Delta E moyen mesuré à 1,72 (en dessous de 3, l’œil humain ne perçoit plus la différence).
Audio
Le téléviseur Sony XR-48A90K dispose de deux haut-parleurs et d’un subwoofer. Ce dernier est installé à l’arrière et l’on peut l’apercevoir derrière la structure en plastique. Le tout délivre une puissance de 10+10+5 watts. En outre, on profite de la technologie Acoustic Surface Audio+, comme la série A95K, mais en moins complet puisque cette dernière bénéficie de 2 haut-parleurs de 20 watts chacun et de deux subwoofers de 10 watts chacun. Notez la possibilité d’utiliser le téléviseur comme enceinte centrale avec un système audio Sony, via la fonction Acoustic Center Sync et l’entrée disponible sur le côté de la TV.
L’A90K est la moins puissante des TV 2022 chez Sony. Il propose un son cohérent, bénéficiant d’une localisation dans l’espace satisfaisante et extrêmement bien équilibré. Il manque cependant de punch et l’on aura vite fait d’associer ce téléviseur à une barre de son ou à un casque pour en profiter pleinement, notamment pour des scènes à grand spectacle ou pour un concert, par exemple. On apprécie la compatibilité Dolby Atmos ainsi que le support du format DTS.
Interface
Le Sony A90K est animé par Google TV. Par conséquent, on a donc droit à une pléthore d’applications et la possibilité d’en télécharger depuis la plateforme Google Play Store.
Les services les plus populaires sont installés par défaut et on profite de suggestions selon les contenus regardés. L’interface est très fluide. On peut immédiatement regarder des programmes TV ou aller dans les différentes applications disponibles. De plus, il est également possible de lire des contenus multimédia partagés sur le réseau domestique. Le lecteur est parfaitement capable de lire des médias exigeants puisque nous avons pu lui soumettre le film Gemini Man en qualité Ultra HD à 80 Mbits/s sans aucune saccade. Qui peut le plus peut le moins : les autres médias passent avec succès, qu’il s’agisse de films, de musique ou de photos.
En outre, on peut également compter sur la disponibilité de la plateforme Sony Bravia Core. Celle-ci permet d’accéder à des contenus de Sony Pictures avec une qualité maximale et un débit jusqu’à 80 Mbits/s. Il ne faut surtout pas oublier d’activer la fonction Pure Stream dans les paramètres de l’application pour en profiter et utiliser la liaison Wi-Fi, plus performante que la prise Ethernet.
Les paramètres sont organisés en trois niveaux. Le premier permet d’afficher un bandeau en bas de l’écran pour régler les principaux modes d’images, de son, d’économie d’énergie, etc. Ensuite, si l’on veut aller plus loin, il est possible de rentrer dans les détails des réglages avec des menus clairs et qui affichent quelques instructions sur les paramètres sélectionnés. Le menu Android est le troisième niveau depuis lequel il est possible de régler certains détails comme le son du système, les mises à jour du firmware et d’autres paramètres. C’est plutôt bien organisé et assez complet pour avoir le sentiment d’un haut niveau de personnalisation et de contrôle.
Deux télécommandes, dont une rétroéclairée et finalement suffisante
Le Sony A90K est livré avec deux télécommandes, comme la série A95K. Elles sont plutôt compactes. La première profite d’un revêtement en aluminium prévu pour un nettoyage facile. Elle est dite connectée, alors que la deuxième est plus classique, tout en plastique. La première possède un rétroéclairage qui se déclenche dès qu’on la saisit et elle suffit largement à toutes les opérations du quotidien, on aura donc tendance à la préférer. Pratique, un bouton TV permet de lancer immédiatement les programmes de la TNT et, juste en dessous, on peut choisir d’autres sources. Une touche dédiée permet de déclencher l’assistant Google avec lequel on interagit via le microphone intégré dans la télécommande. On apprécie également de trouver une touche Lecture et une autre pour la Pause, ce qui est plus ergonomique que d’ouvrir le menu de l’application en cours de lecture.
Les plateformes de streaming Bravia Core, Netflix, Disney+ et Prime Video d’Amazon sont directement disponibles à la faveur de touches dédiées.
Pas aussi écolo que chez Samsung où les télécommandes des TV 2022 disposent d’une batterie rechargeable à l’énergie solaire, avec des ondes ou via un port USB-C, celles livrées ici sont alimentées par deux piles AAA. Très pratique, la télécommande « connectée » dispose d’un petit haut-parleur qui se fait remarquer, émettant un son lorsque l’on déclenche la fonction Remote Finder depuis l’Assistant Google. Il suffit de dire à la télévision (microphone activé) : « Ok Google, trouve la télécommande ».
Consommation
Pour la consommation électrique, nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, « Les 100 » sur Netflix (HD 5.1) durant 4 heures avec le son et l’image réglée sur le mode Cinéma. Dans ces conditions, reproduites pour tous les tests de téléviseurs, le Sony XR-48A90K consommait 52 Wh. Cette consommation est moindre que celle proposée par les TV dotées d’une dalle QD-OLED. À titre de comparaison, nous avons pu relever une consommation moyenne de 47 Wh pour la TV LG OLED55C2 dans les mêmes conditions.
Pour la série en HDR (Dolby Vision plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne de 66,75 Wh en Dolby lumineux et seulement 55 Wh en Dolby sombre. La consommation en veille est de 0,5 Watt, sauf si on laisse le mode réseau activé dans les paramètres. Le téléviseur reste alors prêt à obéir à vos ordres vocaux et consomme 2 Watts.
Prix et date de sortie
La série Sony A90K est déclinée en 42 et 48 pouces pour des prix respectifs de 1999 euros et 2099 euros.
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