Sony tient une place unique sur le marché de la console de jeu avec son PlayStation VR. En effet, ni Microsoft ni Nintendo ne proposent de solution de réalité virtuelle pour leurs consoles. Après un premier casque conçu pour la PS4 sur le tard, Sony semble avoir tout fait pour concevoir la console et le casque idéal pour la réalité virtuelle avec le PS VR 2 et la PS5. Nous avons pu le tester.
Fiche technique
Modèle | Sony PlayStation VR2 |
---|---|
Définition | 4000 x 2040 pixels |
Fréquence d’affichage | 120 Hz |
Standalone | Oui |
Apparence | Plastique |
Suivi de la position dans l’espace | Oui |
Compatibilité avec des manettes | Oui |
Prix | 599 € |
Fiche produit |
Le PlayStation VR 2 nous a été prêté par Sony dans le cadre de ce test.
Un design bien pensé qui manque encore de finitions
Oubliez le bricolage que représentait le premier PlayStation VR avec son boitier dédié, sa PlayStation Camera ou ses PlayStation Move d’un autre temps. Avec le PS VR 2, Sony a complètement repensé l’expérience pour qu’elle soit harmonieuse avec sa PS5.
Au centre de l’expérience, un casque reprenant les codes de design de la PlayStation 5 et de la manette DualSense avec sa robe noire et blanche. L’extérieur est construit dans un plastique dur et mat plutôt satisfaisant sous le doigt. On peut dire le contraire de l’élément servant de visière devant les lentilles, un plastique mou en accordéon peu plaisant.
On a l’impression de toucher un plastique peu qualitatif, semblable à celui utilisé des produits de l’entrée de gamme. Il s’agit d’un élément visiblement interchangeable, que l’on pourra peut-être faire remplacer par Sony s’il s’use, mais sa conception est en l’état peu convaincant. Les autres casques de réalité virtuelle font très bien sans.
Si l’on met de côté cette visière, qui plaira ou choquera, l’ensemble du casque propose un design bien maitrisé.
Installation du casque
On peut distinguer deux parties essentielles du casque. Une partie correspondant à une couronne, où l’on va pouvoir ajuster l’installation du casque, et une seconde qui comprend le masque lui-même, proche dans l’idée d’un masque de plongée ou d’une visière de périscope.
L’installation du casque se fait donc très logiquement en deux temps. On place d’abord la couronne sur la tête, dans une position où l’arrière va se placer sous le crâne et l’avant va recouvrir le front. Le geste est très simple et une pression sur le bouton à l’arrière permet de desserrer l’ensemble. On place l’objet sur sa tête et il suffit de viser l’arrière d’une main.
Une fois tout cela fait, un bouton sur la visière permet d’ajuster la distance entre les yeux et les lentilles. C’est là où le plastique en accordéon va jouer son rôle pour tenter de boucher la lumière extérieure qui pourrait trouver sa place entre notre visage et les lentilles.
Il ne reste alors qu’à ajuster la distance pupillaire, c’est-à-dire l’écartement entre vos yeux. Pour cela, une molette est placée sur la gauche au-dessus de la visière. L’interface de la PS5 permet de régler rapidement cette distance pour affiner l’affichage.
Le confort
Le critère numéro 1 quand on parle d’un casque de VR est son confort. Il s’agit peut-être du casque le plus confortable que nous ayons testé jusque là sur la longueur d’une session. Nous avons ressenti l’échauffement mental qu’un tel casque peut causer avec ses écrans lumineux devant les yeux et son immersion, mais le poids du casque ne s’est jamais fait ressentir.
Plusieurs points sont à expliquer sur cette partie. Tout d’abord, il faudra prendre soin de bien ajuster le casque. Sur plusieurs sessions, nous avons eu ainsi le front trop près du plastique dur en écrasant la partie en accordéon. Résultat, on pouvait sentir une arête en plastique dur, presque coupant, sur la peau, ce qui était particulièrement désagréable.
Il faut aussi rappeler qu’il ne s’agit pas d’un casque autonome sur batterie, mais d’un casque filaire. Il faudra donc ne pas s’emmêler avec le fil, mais cela a l’avantage de créer un casque plus léger et simple à concevoir pour Sony.
Comme nous allons le voir, cela n’empêche pas le PS VR 2 d’être bourré de petites technologies, ce qui demande une ventilation intégrée. En tendant l’oreille près de l’ouverture, nous avons pu entendre le souffle du ventilateur permettant de refroidir le casque. Il ne s’agit jamais d’un problème à l’utilisation, mais il nous faut indiquer sa présence ici.
Manettes : la grande réussite de ce PS VR 2
Depuis la présentation de la DualSense, nous étions très impatients de découvrir les futures manettes du PS VR 2 tant les technologies de la manette PS5 semblaient pensées pour la réalité virtuelle. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le résultat est au rendez-vous.
Sony propose avec son casque de VR deux manettes PlayStation VR 2 Sense Controller. Chaque manette reprend les technologies de la DualSense : gâchette à retour de force, gyroscope, vibration avancée, batterie intégrée et recharge par USB-C. On mélange ça avec une inspiration claire de l’état de l’art du marché, les deux manettes du Meta Quest, et l’on obtient les contrôleurs de Sony.
Le plastique doux utilisé par les manettes est très agréable, et l’ensemble respire les finitions de qualité. On aime aussi la cohérence esthétique noire et blanche avec la console et le casque. On est sur un look très futuriste comme on pourrait le voir dans des films de science-fiction.
À l’usage, il faut tout de même noter quelques inconvénients. La forme de la manette avec ce grand bracelet de détection et les contrôles au milieu rendent la manette difficile à correctement prendre en main au toucher, c’est-à-dire quand on ne voit pas la manette et que l’on doit se repérer avec les mains. Sony a également fait le choix de modifier l’emplacement de ses boutons et gâchettes L1/L2 et R1/R2. Désormais, votre index tombe sur la gâchette au lieu du bouton. Il faudra donc changer ses habitudes.
Enfin, il y a la question de l’autonomie des manettes. D’après nos tests, elle est plus basse que celle d’une DualSense. Il faudra recharger chaque manette en USB-C toutes les 4 à 5 heures de jeu environ. C’est donc surtout une habitude à prendre que de mettre chaque manette à recharger avec son propre câble pour espérer pouvoir profiter de la session de jeu suivante.
Malgré ces quelques inconvénients, les manettes Sense Controller du PS VR2 sont l’une des réussites de l’offre Sony. Ces manettes foisonnent de technologies contribuant à renforcer l’immersion. On reconnait ici le fabricant qui a su standardiser des technologies avec ses manettes, génération après génération.
C’est indéniablement l’un des points forts du PS VR 2. Les deux manettes sont agréables en main et utilisent bien les technologies de Sony pour vous plonger dans un univers virtuel. On ne voit pas vraiment ce que l’on pourrait demander de plus en l’état pour des manettes de ce type.
Un bel écran Oled et des lentilles ancienne génération
La qualité de l’expérience VR proposée par un casque dépend notamment de l’affichage choisi par le fabricant. Ici, nous avons un écran Oled offrant une définition de 2000 x 2040 pixels par œil avec un rafraichissement de 90 à 120 Hz et un champ de vision de 110 degrés. Le choix de l’Oled est intéressant, il permet grâce aux contrastes de se plonger dans un monde immersif et un excellent vignettage de l’image au besoin.
La projection se fait ensuite à travers des lentilles de Fresnel. Ici, Sony fait sans doute des économies sur la conception et la fabrication de son casque. L’optique en Pancake s’impose sur tous les casques de VR récents. Fresnel oblige, on retrouve ici les aberrations chromatiques causées par la forme des lentilles sur les contours de l’image selon les angles.
Alors qu’est-ce que cela donne sous les yeux ? Un écran particulièrement lumineux qui impressionne par sa précision. C’est la première fois que nous pouvons lire du texte avec autant de netteté. C’est là aussi l’un des points forts du casque de Sony sur lequel nous allons revenir au cours de nos tests de l’expérience utilisateur.
Fonctions
Le PlayStation VR 2 est un casque passif. Il n’est pas autonome comme le Pico 4 ou le Meta Quest 4 et demande une connexion filaire avec une PS5 pour fonctionner. La première configuration est plutôt bien accompagnée par l’interface PlayStation et se fait en quelques étapes. Cela permet notamment d’avoir un premier test du suivi du regard offert par le casque et on peut le dire : c’est bluffant. Le système est très réactif et comprend parfaitement où l’on regarde.
On retrouve aussi la configuration de la zone de jeu que tous les casques de VR proposent. Sur le PS VR 2, un ensemble de caméras sur l’avant du masque permettent de créer une vue 3D en noir et blanc de votre environnement réel. Cela va permettre au casque de se réparer dans l’espace et de vous afficher les obstacles présents dans votre pièce de jeu. Un bouton sous le casque permet à tout moment d’afficher cet environnement réel sans avoir à retirer le casque.
L’interface de la PS5 se retrouve ensuite déportée entièrement dans le casque, ce qui permet de s’éviter des aller-retour pénibles à retirer ou non le casque. Le système de la PS5 apparait sur un faux écran géant 2D situé virtuellement à quelques mètres de l’utilisateur. Il est possible de régler la taille et la distance de cet écran.
C’est le moment de noter qu’il est tout à fait possible de jouer à des jeux pas conçus pour la VR sur ce même écran virtuel. De quoi s’immerger complètement dans un univers sans s’accaparer le téléviseur. Dans ce cas de figure, il faudra jouer avec la DualSense et non les deux contrôleurs. Il est également possible de lancer les applications vidéo comme Netflix ou Disney+. Là encore, on se retrouve face à une belle expérience type cinéma. C’est très plaisant.
Compatible PC ?
Officiellement, le PlayStation VR 2 est entièrement conçu pour la PS5. Il utilise cependant une interface USB-C et nous nous sommes demandé s’il pouvait offrir une compatibilité native avec le PC grâce à cette connexion. On a aussi vu Sony proposer de plus en plus de ses jeux sur PC ce qui légitimise cette question de la compatibilité PC. Notre test est plutôt encourageant.
Le casque VR n’a pas été reconnu par Windows, mais c’est bien le cas des deux manettes Sense Controller. Il était d’ailleurs intéressant de noter que le nombre de boutons et de capteurs détectés par Windows pour chaque manette était assez important. Ainsi, le doigt posé sur la touche R1 et l’appui sur la touche R1 étaient associés à deux contrôles différents du point de vue de Windows.
Ces premières découvertes laissent une porte grande ouverte à une future exploitation par des développeurs indépendants du PlayStation VR 2 pour le rendre compatible SteamVR. On aurait aimé voir Sony entreprendre directement cette démarche, mais il est rassurant de penser que cela sera possible par un développement externe. Si cette question nous semble importante, c’est parce qu’elle nous semble conditionner la durabilité du PS VR 2.
En l’état actuel, si Sony lance demain une PlayStation 6, son casque de VR pourrait vite devenir obsolète et lui assurer une compatibilité PC qui prolongerait sa vie et son support.
Jeux et Applications : la question du contenu
Nous avons pu tester quelques-uns des premiers jeux compatibles PlayStation VR 2.
Horizon : pourtant que la montagne est belle
Le jeu Horizon Call of the Mountain est le fleuron de Sony pour le lancement de casque de VR. Il doit représenter la capacité du constructeur à proposer une expérience AAA en réalité virtuelle. Développé par les studios Guerrilla et Firesprite, ce jeu met à contribution chaque fonction du PlayStation VR 2. Il représente ainsi l’état de l’art de ce que l’on peut proposer avec l’appareil : vibration du casque, son 3D, retour haptique dans les manettes ou encore suivi du regard. Il est commercialisé à 69,99 euros par Sony en France.
Sur le plan technique, le jeu est bien la claque attendue. Impossible de retranscrire ce que l’on ressent à travers des images ou des vidéos affichées sur écran 2D. Comme pour toutes les expériences en VR, il faut la vivre pour la comprendre. L’univers de la série Horizon prend un tout autre sens une fois immergé dans son monde.
Les animaux géants robotisés prennent alors leurs tailles réelles sous nos yeux et deviennent beaucoup plus menaçants du même coup. Le jeu met à contribution le suivi du regard pour un rendu fovéal, c’est-à-dire qu’il concentre la puissance de calcul et la qualité de l’image là où porte votre regard au détriment des éléments dans votre vision périphérique.
Cela permet à la PS5 d’afficher un jeu tout simplement sublime. Les vibrations du casque et des manettes ainsi que les retours de force des gâchettes sont parfaitement pris en charge ici pour maximiser l’immersion. Il s’agit du premier jeu où un déplacement du personnage au stick analogique ne m’a pas immédiatement causé de cinétose. C’est notamment grâce à l’utilisation par le jeu du vignettage : la réduction du champ de vision pendant le déplacement. C’est très perturbant de voir son champ de vision changer de taille régulièrement, mais ça a le mérite d’être efficace.
Malheureusement, passé la découverte, on avoue se confronter très vite aux limites du jeu. Loin du monde ouvert proposé habituellement, ici on se retrouve virtuellement enfermé dans des couloirs où s’enchaineront des phases d’actions bien prévues par les développeurs. Impossible de soulever un obstacle ou prendre une arme avant l’autorisation donné par le jeu. Certains objets ne sont bizarrement pas « physiqués », vous ne pourrez donc pas les attraper comme on le peut habituellement dans un jeu en VR à haut budget.
Après nos quelques heures de jeu, l’expérience se résumait essentiellement à de l’escalade et des phases de tir à l’arc saupoudré d’un peu de crafting. La portée scénaristique de l’œuvre semblait pour le moment limitée, mais ici, il s’agit peut-être d’un manque de progression de notre part.
Reste que l’on garde l’impression de jouer à un spin-off en VR, et non à un nouvel épisode de la série. Nous en voulons pour preuve le déroulement de certaines scènes, que Sony ne se serait pas permis de mettre à l’écran sur un jeu classique sous cette forme d’après nous.
Après un dialogue dans un village, le personnage de Alloy (personnage principal de la série canonique) se propose d’accompagner le protagoniste dans une nouvelle zone. Le dialogue se termine par un fondu noir, un temps de chargement, puis l’apparition de ladite zone. Alloy nous souhaite alors bon courage et disparait rapidement dans un buisson de façon assez abrupte. Un détail, mais c’est sur la réalisation de ce genre de séquence que les jeux PlayStation Studio ont aussi fait leur réputation.
In fine, passé l’effet « whaou », Horizon Call of The Mountain ne nous a pas autant convaincus que nous l’aurions souhaité. Dans son domaine, Half-Life Alyx proposait une expérience beaucoup plus proche de celle d’un « vrai » jeu tout en étant entièrement pensé pour la VR, sans le côté attraction du Futuroscope. Le titre de Valve manque cruellement au lineup de ce PlayStation VR 2.
Moss : le rat Croft
Nous avons également pu tester la série de jeux Moss dont le premier épisode a été adapté au PlayStation VR 2 et dont la suite accompagne le lancement du casque. C’est un titre vraiment très intéressant, car il fait un pas de côté face aux habituels jeux de VR à la première personne si facile à imaginer. Ici, vous prenez la place d’un géant dans un conte, ce qui va vous donner un point de vue en hauteur sur une collection de scènes, façon diorama. Vous contrôlez d’une main la souris Quill, et de l’autre vous l’aiderez à progresser en jouant avec le décor.
Ce jeu se joue entièrement assis et ne demandera donc pas beaucoup d’espace réel. De par sa narration, il s’adresse aux plus jeunes et le fait avec beaucoup de bienveillance. S’il ne mise pas sur la surenchère d’effets, il s’agit vraiment d’un jeu qui prend tout son sens en réalité virtuelle. Vous vous amuserez vite à bouger la tête pour regarder la scène sous ses moindres angles. Ce n’est pas sans rappeler le jeu Captain Toad : Treasure Tracker sur Nintendo Switch, mais avec ici une toute nouvelle dimension.
La dose d’émerveillement était au rendez-vous, et avouons-le, on a du mal à résister à la tentation de chatouiller la souris toutes les quelques secondes. Un jeu qui vous aidera également à apprendre un peu de langage des signes, puisque c’est la façon dont la souris s’adressera au joueur.
Les autres expériences
En tout, c’est un peu plus de 30 jeux qui seront proposés dès le lancement du PlayStation VR 2. Nous avons ainsi pu essayer Kayak VR : Mirage. Comme son nom l’indique, il va s’agir de vous offrir des expériences de canoë-kayak depuis le confort de votre salon. Le titre propose plusieurs environnements comme l’Antarctique, la Norvège ou le Costa Rica. Tout est mis dans la technique pour un rendu très réaliste porté par l’écran Oled du casque. Il s’agit au lancement de l’une des meilleures démonstrations des capacités du PS VR 2.
Sorti en 2020 pour les plateformes Meta, le jeu Jurassic World Aftermath a été adapté au PlayStation VR 2, tout comme le jeu Star Wars: Tales from the Galaxy’s Edge. On touche ici à un problème pour Sony. La popularité et l’investissement de Meta dans la VR est telle, que de nombreux jeux du PlayStation VR 2 sont en fait des jeux disponibles également sur le Meta Quest, un appareil autonome qui coûte quasiment trois fois moins que l’ensemble PS5 et PS VR 2.
Pour le lancement d’une plateforme, 30 jeux disponibles, c’est objectivement beaucoup. Mais dans le lot, il y a de nombreuses adaptations de titre PlayStation VR (PS4) ou Meta Quest. Rappelons ici que le casque n’est pas compatible avec les jeux du premier PlayStation VR pour PS4, ce qui oblige les développeurs à proposer une adaptation de leurs jeux. Le catalogue repart donc à zéro. L’excellent Beat Saber fait ainsi parti des absents de ce lancement, même si les développeurs ont déjà annoncé une future version PS VR 2 de leurs titres.
Si vous comptez faire du PS VR 2 votre premier casque de réalité virtuelle, le fait que ces jeux soient des portages ne sera aucunement un problème. Reste que pour les connaisseurs, tout cela risque de donner un petit goût de réchauffer.
Et les applications
Contrairement au Meta Quest, le PS VR 2 ne propose pas un système d’exploitation complet et autonome ouvert à des applications. Sony propose tout de même une compatibilité avec les services de SVOD comme Netflix, Disney+, Apple TV ou encore Amazon.
L’expérience est plutôt réussie, bien qu’il faudra prendre soin de poser correctement les manettes pour éviter toute manipulation pendant la diffusion. Grâce à l’écran Oled HDR et au son spatialisé 3D, on prend un réel plaisir à découvrir et à redécouvrir des films et séries cultes devant un écran virtuel semblable à ce que pourrait afficher un vidéoprojecteur de salon.
Prix et disponibilités
Le Sony PlayStation VR 2 sera lancé le 22 février 2023 à partir de 599,99 euros. À ce tarif, vous aurez le droit au casque, aux écouteurs audio et à deux manettes PlayStation VR2 Sense Controller, mais aucun jeu. Le pack intégrant Horizon Call of the Mountains est commercialisé à 649,99 euros. Sony commercialise aussi un dock pour recharger les deux manettes pour 49,99 euros.
À ce tarif, Sony prend une place intermédiaire entre les casques autonomes très accessibles comme le Meta Quest 2 ou le Pico 4, et les casques professionnels très très chers comme le Meta Quest Pro. Rappelons que les casques autonomes peuvent également être utilisés avec un PC de jeu pour retrouver le même type d’expérience que ce PS VR 2.
Ce contenu est bloqué car vous n'avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par Disqus.
Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l'usage étant opéré par Disqus avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l'amélioration des produits d'Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l'audience de ce site (en savoir plus)
En cliquant sur « J’accepte tout », vous consentez aux finalités susmentionnées pour l’ensemble des cookies et autres traceurs déposés par Humanoid et ses partenaires.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment. Pour plus d’informations, nous vous invitons à prendre connaissance de notre Politique cookies.
Gérer mes choix