En parallèle du Xperia 1 VI qui comble le haut de gamme, Sony a lancé le Xperia 10 VI, plus sobre, plus limité, moins cher, mais peut-être pas autant qu’il devrait l’être pour réussir à se faire une place sur le marché du milieu de gamme.
Avec un prix de lancement autour de 399 euros, il se retrouve face à des rivaux de taille tels que le Samsung Galaxy A55, le Xiaomi Poco F6 et le Honor Magic 6 Lite.
Sony mise sur des caractéristiques distinctives pour se démarquer, notamment son écran au format 21:9, emblématique de la marque, et une conception axée sur la durabilité avec plus de 50 % de matériaux recyclés ou respectueux de l’environnement.
Cependant, dans un marché où les attentes des consommateurs sont élevées, le Xperia 10 VI doit prouver qu’il peut rivaliser en termes de performance, de qualité d’affichage et d’autonomie.
Voyons si le Xperia 10 VI parvient à se distinguer suffisamment pour justifier son choix face à des alternatives bien établies.
Sony Xperia 10 VIFiche technique
Modèle | Sony Xperia 10 VI |
---|---|
Dimensions | 68 mm x 155 mm x 8,3 mm |
Interface constructeur | Android Stock |
Taille de l’écran | 6,1 pouces |
Définition | 2520 x 1080 pixels |
Densité de pixels | 449 ppp |
Technologie | OLED |
SoC | Qualcomm Snapdragon 6 Gen 1 |
Puce graphique | Adreno 710 |
Stockage interne | 128 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 48 Mp Capteur 2 : 8 Mp |
Capteur photo frontal | 8 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K @ 30 fps |
Wi-fi | Wi-Fi 5 (ac) |
Bluetooth | 5.2 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | latéral |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 5000 mAh |
Poids | 164 g |
Couleurs | Noir, Blanc, Bleu |
Fiche produit |
Sony Xperia 10 VIDesign : du plastique qualitatif
Le Sony Xperia 10 VI se distingue par son poids plume de seulement 164 g et ses dimensions compactes de 155 x 68 x 8,3 mm, le rendant très agréable à manipuler. Il est quelques grammes plus lourd que son prédécesseur le Sony Xperia 10 V, mais à l’usage ça ne change rien. Surtout, on a droit au classique écran 21:9 cher à Sony. La dalle de 6,1 pouces s’étend de tout son long. Toujours idéal pour les amateurs de séries et cinéma.
Et côté préhension, on est gâté puisque le smartphone tient particulièrement bien en main. C’est un atout indéniable pour les petites mains. D’un certain côté, on a l’impression de retrouver le gabarit d’un iPhone 5, par exemple.
L’écran est protégé par un verre Gorilla Glass Victus garantissant une bonne résistance aux chocs et aux rayures. C’est d’ailleurs la seule partie en verre du téléphone de Sony puisque tout le reste en est plastique mat.
Une coque unibody qui possède un revêtement légèrement soyeux très confortable et légèrement antidérapant. La finition noire de notre modèle de test marque un peu les traces de doigts.
Du plastique à ce prix alors que l’on peut avoir de l’aluminium chez d’autres ? Oui, mais ce n’est pas forcément un désavantage. Le plastique est ici de bonne facture, tout comme la finition.
Et ce choix de matériau présente plusieurs avantages : il ne se raye pas comme le métal et ne se casse pas comme le verre. De fait, l’ajout d’une coque est moins utile sur le Xperia 10 VI.
Pour les soucieux d’écologie, notons que 50 % des pièces en plastique du téléphone sont fabriquées à partir de matériaux recyclés ou respectueux de l’environnement.
Le cadre du smarpthone de Sony accueille un port USB-C en partie basse, un minijack en haut, des boutons de mise en veille et volume à droite et un tiroir SIM à gauche. Voyons plus en détail cela.
Comme sur tous les mobiles de la marque, le tiroir SIM a la particularité de ne pas s’ouvrir avec une pointe, mais directement avec le plat de l’ongle, par exemple. Assez pratique pour y accéder rapidement, d’autant plus qu’il embarque un logement microSD.
Concernant le bouton de mise en veille, il faut aussi office de sécurité matérielle en logeant le capteur d’empreintes du téléphone. C’est un classique sur les modèles pliants et d’entrée de gamme, mais sur des appareils standard, le capteur sous l’écran est d’usage même à ce niveau de tarif.
Néanmoins, il est réactif et remplit son office. En revanche, c’est lui ou le code/schéma puisque le Xperia 10 VI n’a pas de reconnaissance faciale !
Une caméra selfie est pourtant fixée au-dessus de son écran, dans une énorme bordure qui cerle son affichage. Cette zone noire est une tradition des Xperia. C’est un parti-pris de la marque qui ne souhaite pas que l’affichage soit perturbé par un poinçon.
Suffisamment large, la bordure accueille aussi des haut-parleurs stéréo. Bien que peu puissants, ils offrent un rendu sonore homogène. Le Xperia 10 VI est également compatible avec le codec LDAC.
Même si on trouve une symétrie entre ces bords sombres, ils ne renvoient absolument pas une image de milieu de gamme, mais plutôt de smartphone low-cost.
C’est d’ailleurs le ressenti global de la prise en main de cet Xperia 10 VI. Et son module photo arrière ne change rien à la donne puisque Sony en a ôté le téléobjectif du Xperia 10 V de l’an dernier.
Enfin, le Xperia 10 VI est certifié IP68, à l’image du Samsung Galaxy A35 par exemple, assurant une protection contre l’eau et la poussière. Un point négatif à noter : la boîte du téléphone est désespérément vide, sans adaptateur secteur ni même câble USB.
Sony Xperia 10 VIÉcran : superbement calibré, mais pas fluide
Sony utilise une dalle de 6,1 pouces sur son Xperia 10 VI. Elle est OLED, Full HD+, Triluminos (techno héritée des TV Sony), mais que 60 Hz !
Oui, j’ai été un peu choqué d’avoir entre les mains un smartphone à 400 euros bloqué en 60 Hz alors que même le 120 Hz est devenu commun aujourd’hui sur ce segment tarifaire. Une fréquence de rafraîchissement aussi basse, c’est l’assurance d’une jolie fatigue oculaire si l’on passe son temps à défiler ses réseaux sociaux.
Comme évoqué sur la partie design, Sony conserve le format 21:9. Un ratio d’aspect qui offre une belle prise en main et qui est tout à fait adaptée à la consommation de contenus, spécialement les cinématographiques.
Sony vante les mérites colorimétriques de son écran « équipé d’un processeur de traitement de l’image Triluminos Display for mobile [et dont] le contrôle élevé de la luminance et la gestion avancée des couleurs vous offrent une expérience visuelle à couper le souffle ».
Nous avons voulu vérifier ces dires à travers notre batterie de tests habituels via notre sonde et CalMAN Ultimate de Portrait Displays.
Et force est de constater que Sony n’a pas menti. On a réellement une image superbement calibrée. Deux modes sont disponibles, Naturelle et Standard. Ce dernier est le mode par défaut et est à privilégier.
Le Delta E Moyen en SDR est mesuré à 2,78 soit moins que le 3 visé (seuil sous lequel l’œil ne voit plus les différences de couleurs). Même son de cloche en HDR avec 5,97 quand on doit être en dessous de 6.
La température est aussi juste avec un relevé de 6588 K pour 6500 K en mesure optimale. Et l’écran du Xperia 10 VI affiche aussi un large panel de couleurs avec une couverture à 146% du SRGB et de 98% du DCI-P3. Pour celui-ci, Sony promet 100%, on est tout proche.
Pour la luminosité maximale, on coche la case sans faire de coup d’éclat avec 1000 nits en SDR comme en HDR. Pas de souci pour une utilisation au soleil, mais plus pour de la consultation qu’une toile en plein air.
Au bilan, malgré son 60 Hz incompréhensible, la dalle de ce Xperia 10 VI est une bonne surprise.
Sony Xperia 10 VIPerformances : ce qu’il faut, sans plus
Sony a finalement décidé de se passer du Snapdragon 695, qui était utilisé dans les Xperia 10 IV et Xperia 10 V. Mais le constructeur japonais a troqué cette antiquité pour une vieillerie à peine plus récente, le Snapdragon 6 Gen 1.
Modèle | Sony Xperia 10 VI | Samsung Galaxy A35 | Xiaomi Redmi Note 13 Pro 5G | Honor Magic 6 Lite | Xiaomi Poco F6 |
---|---|---|---|---|---|
AnTuTu 10 | 538440 | 598000 | 576453 | 487337 | 1464888 |
AnTuTu CPU | 190264 | 194824 | 194938 | 167884 | 377280 |
AnTuTu GPU | 95010 | 127730 | 115690 | 47413 | 497272 |
AnTuTu MEM | 120941 | 120739 | 120696 | 140219 | 323924 |
AnTuTu UX | 132225 | 154707 | 145129 | 131821 | 266412 |
PC Mark 3.0 | 9508 | 13266 | 12354 | 11914 | 16219 |
3DMark Slingshot Extreme | N/C | 4667 | 4509 | 4040 | N/C |
3DMark Slingshot Extreme Graphics | N/C | 4866 | 4695 | 3938 | N/C |
3DMark Slingshot Extreme Physics | N/C | 4082 | 3961 | 4443 | N/C |
3DMark Wild Life | 2398 | 2801 | 3004 | 2382 | N/C |
3DMark Wild Life framerate moyen | 14 FPS | 16.77 FPS | 17.99 FPS | 14.27 FPS | N/C |
3DMark Wild Life Extreme | N/C | 806 | 793 | 611 | 3007 |
3DMark Wild Life Extreme framerate moyen | N/C | 4.83 FPS | 4.75 FPS | 3.66 FPS | 18 FPS |
GFXBench Aztec Vulkan/Metal high (onscreen / offscreen) | 14 / 11 FPS | 19 / 13 FPS | 16 / 14 FPS | 12 / 11 FPS | N/C |
GFXBench Car Chase (onscreen / offscreen) | 18 / 23 FPS | 25 / 30 FPS | 18 / 29 FPS | 16 / 24 FPS | 73 / 103 FPS |
GFXBench Manhattan 3.0 (onscreen / offscreen) | 52 / 63 FPS | 68 / 79 FPS | 50 / 71 FPS | 46 / 62 FPS | 120 / 183 FPS |
Geekbench 6 Single-core | 947 | 1025 | 1011 | 939 | 1986 |
Geekbench 6 Multi-core | 2812 | 2902 | 2710 | 2723 | 5031 |
Geekbench 6 Compute (Vulkan) | 1699 | 3032 | 2192 | 1668 | N/C |
Lecture / écriture séquentielle | N/C | 454.18 / 331.83 Mo/s | 920.2 / 801.01 Mo/s | 1912.92 / 1793.85 Mo/s | N/C |
Lecture / écriture aléatoire | N/C | N/C | 59872.66 / 54642.37 IOPS | 73582.82 / 74958.64 IOPS | N/C |
Le SoC de Qualcomm n’est pas pour autant un mauvais choix, mais il est surtout limité sur sa partie graphique.
Comme le justifient bien les benchmarks, le Xperia 10 VI est aussi bon que ses concurrents (mêmes prix de lancement) dans tous les usages, excepté le jeu vidéo. Là, l’Adreno 710 qui se charge de sa partie graphique montre ses limites.
En jeu, je n’ai cependant pas rencontré de soucis particuliers et j’ai pu jouer à Genshin Impact en détails élevés à 45 fps avec quelques petites chutes de temps à autre.
Ajoutons qu’en stress test, le Xperia 10 VI a du mal à maintenir ses performances. Au bout de cinq minutes, il perd plus de 20 % d’entre elles lorsqu’il est fortement et longtemps sollicité.
Enfin, durant mon test, j’ai rencontré quelques ralentissements dans l’interface.
Et vous l’aurez remarqué dans le tableau, le trublion de Xiaomi vient mettre le bazar avec ses scores dantesques. Le Poco F6 est lancé au même prix que le Xperia 10 VI, mais son Snapdragon 8s Gen 3 est un SoC haut de gamme. La marque de fabrique de Poco.
Sony Xperia 10 VILogiciel : la Pixel Experience, ou presque
Android 14 est aux commandes de ce Xperia 10 VI. Y est adjoint Xperia UI, le logiciel de Sony. Celui-ci se fait extrêmement discret puisque depuis 2016 son éditeur s’attache à le rendre de plus en plus proche d’Android Stock et donc de l’expérience que l’on retrouve avec les Pixel de Google.
Et ça fonctionne plutôt bien. Le but n’est pas ici de perdre les utilisateurs au travers d’une démultiplication d’options, mais bien de leur simplifier au maximum la vie avec un système très épuré.
Un parti pris que l’on aime ou pas. À chacun de voir. Sobriété fonctionnelle, voilà l’état de l’OS de ce Xperia 10 VI.
En sus d’Android, on a droit à un volet latéral pour accéder rapidement à quelques réglages en le tirant vers l’intérieur, ou à des applications en le tirant vers le haut (actions modifiables). Plutôt pratique.
Petit point sur le retour haptique du Xperia 10 VI. On n’en parle habituellement pas, mais ici il dénote. Il est loin de la rondeur que l’on peut trouver sur tous les modèles actuels. On a comme l’impression de revenir à une ancienne vibration qui résonne comme un ressort. Chez Frandroid, il y a du pour et du contre. À essayer.
Enfin, Sony garantit un suivi logiciel de 3 ans sur la version d’Android et de quatre ans de mises à jour de sécurité. C’est un peu limité surtout lorsqu’on sait que Samsung propose un meilleur suivi.
Sony Xperia 10 VIPhoto : non, non et non
La partie photo du Xperia 10 VI se compose d’un grand-angle, d’un ultra grand-angle et d’un capteur selfie.
- grand-angle de 48 Mpx (26 mm) f/1,8,
- ultra grand-angle 8 Mpx (16 mm) f/2,2,
- capteur selfie 8 Mpx (26 mm) f/2.
Capteur principal
Le capteur principal du Xperia 10 VI est plutôt convaincant dans la plupart des situations, mais a tendance à surexposer ses plans. On perd donc en détails si l’on ne prend pas garde à refaire le focus manuellement pour assombrir un poil la prise de vue.
De fait, les couleurs peuvent être assez fausses comme l’herbe ici un peu trop désaturée ou encore ce tracteur dont l’orange – bien que passé – est plus vif en vue réelle.
De nuit, c’est compliqué. Le Xperia 10 VI rechigne à récupérer de la lumière. Aussi, les clichés extérieurs sans trop d’éclairage sont impossibles. Le rendu est vide, noir.
En intérieur, il ne faut pas bouger pour avoir des clichés nets. Et on a toujours ce manque de luminosité.
Zoom numérique
Sony a ôté le téléobjectif qui équipait son Xperia 10 V. Est-ce gênant ? Pas forcément puisque l’on a déjà pu constater qu’un bon traitement logiciel peut être performant sur un zoom numérique (poke le Pixel 8a).
Ici, le rendu est honnête en x2 malgré un peu de bruit. C’est valable de jour comme de nuit. Ça se dégrade en x4 et x6 (le zoom maximal), mais c’est encore utilisable pour une diffusion sur les réseaux sociaux.
Le souci principal est toujours celui du capteur principal qui offre des images trop surexposées.
Mode portrait
Voilà un mode pleinement satisfaisant sur ce Xperia 10 VI. Les portraits produits par son capteur principal sont de belle facture. Colorimétrie juste, vibrance, bokeh doux, tout est réuni. On pourrait avoir plus de détails, mais pour ce prix c’est satisfaisant.
De nuit, comme pour le reste, c’est plus compliqué. La colorimétrie tire vers le jaune ou le vert. La peau est donc mal rendue. Et l’on a aussi un grand manque de netteté. On aurait préféré avoir du bruit plutôt que des zones d’aplats.
Ultra grand-angle
L’ultra grand-angle ne fait pas de miracles. Il observe la même approche de surexposition que le capteur principal. Aussi se retrouve-t-on avec une image pas du tout contrastée et à la colorimétrie fantasque. Notons aussi les bords qui sont bruités et très fouillis, traités à la truelle.
De nuit, c’est pire. Même le centre de l’image, où la mise au point est faite, ne parvient pas à être net. Et on ne récupère toujours pas de lumière.
Selfie
Le capteur avant prend de bons égoportraits tant que l’on se positionne bien par rapport au soleil. Il gère mal l’exposition directe et a tendance à cramer les zones concernées, ici le haut de mon crâne dégarni.
De nuit, on peut utiliser le flash virtuel matérialisé par l’illumination de l’écran en blanc. Peu de détails, des zones écrasées, mais on a un rendu tout de même correct, ce que n’autorise pas la prise de vue sans ledit flash.
Vidéo
Le Sony Xperia 10 VI est capable de filmer jusqu’en 4K à 30 fps et 1080p à 120 fps avec une stabilisation optique à l’arrière. Le capteur selfie est limité au 1080p, toujours à 30 fps.
Sony Xperia 10 VIAutonomie : en baisse, mais encore bonne
Sony voit grand et équipe son smartphone d’une batterie de 5000 mAh. C’est la même que celle du Xperia 10 V, mais c’est toujours étonnant de voir qu’ils parviennent à caser d’une aussi grosse capacité dans un appareil vraiment compact.
Traditionnellement, l’autonomie est une force des Xperia 10. Cette année, il fait moins bien que son prédécesseur et perd son badge de champion de l’autonomie. Néanmoins, cela ne veut pas dire qu’il est mauvais.
La mise à jour de son SoC doit jouer en grande partie, le Snapdragon 6 Gen 1 étant plus énergivore que le Snapdragon 695.
Au bilan, on arrive à tenir une grosse journée sans le charger en utilisation mixte avec des appels, de la navigation Internet, du streaming et un peu de gaming.
Charge
Sony ne précise pas la vitesse de charge de son smartphone. Il est simplement notifié « chargement rapide » sur sa fiche technique. Après test, il semblerait que ce soit du 20 ou du 25 Watts. Voici les temps intermédiaire de 0 à 100 %.
- 5 min 10%
- 10 min 17%
- 15 min 24%
- 30 min 42%
- 45 min 58%
- 60 min 71%
- 1h45 100%
Sony Xperia 10 VIRéseau/Audio
Le Xperia 10 VI est compatible 5G, NFC, Bluetooth 5.2 et… Wi-Fi 5. Oui pas de Wi-Fi 6 ici, le SoC de Qualcomm ne le prend pas en charge.
En appel, le résultat est correct, sans plus. L’appelé peut entendre une compression lorsque l’environnement est bruyant. Quelques sons extérieurs peuvent passer entre les mailles de la réduction de bruit.
Le son est desservi par deux haut-parleurs stéréo disposés dans la bordure noire autour de l’écran. Le rendu est correct, détaillé et avec un peu de basses. Il manque de volume, cependant, et le son peut grésiller à volume maximum.
Sony Xperia 10 VIPrix et disponibilité
Le Xperia 10 VI est sorti en mai 2024. Il est commercialisé à 399 euros dans une unique version de 8 Go de RAM et 128 Go de ROM. Trois finitions sont disponibles : blanc, noir et bleu.
Ce contenu est bloqué car vous n'avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par Disqus.
Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l'usage étant opéré par Disqus avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l'amélioration des produits d'Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l'audience de ce site (en savoir plus)
En cliquant sur « J’accepte tout », vous consentez aux finalités susmentionnées pour l’ensemble des cookies et autres traceurs déposés par Humanoid et ses partenaires.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment. Pour plus d’informations, nous vous invitons à prendre connaissance de notre Politique cookies.
Gérer mes choix