Afin de palier au principal défaut des écrans LCD, les fabricants misent beaucoup sur des dalles embarquant un panneau de mini-LED, beaucoup plus petites que les LED classiques permettant ainsi d’avoir plus de sources de lumière et pouvoir mieux contrôler les noirs et les potentiels effets de blooming qui peuvent parfois apparaitre autour des objets clairs sur un fond sombre. TCL exploite cette technologie depuis quelques années maintenant et propose des modèles aboutis dont la série C935 fait partie. Celle-ci bénéficie de la technologie OD-5 avec des mini-LED extrêmement proches du panneau LCD.
Profitant également d’une fréquence de rafraîchissement de 144 Hz et intégrant toutes les technologies d’optimisation pour les jeux vidéo, elle se veut être un allié de choix dans le gaming. Supportant les formats HDR10+ et Dolby Vision, elle promet également de belles images pour les séances Home Cinéma. C’est ce que nous avons voulu vérifier au détour d’un test complet.
Fiche technique
Modèle | TCL 65C935 |
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Dimensions | 1446 mm x 916 mm x 309 mm |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’écran | 65 pouces |
Compatible HDR | HDR10, HDR10+, Dolby Vision |
Ports HDMI | 4 |
Compatible Surround | Dolby Atmos |
Nombre de haut-parleurs | 5 |
Puissance des haut-parleurs | 90 watts |
Sortie audio | Casques, Haut-parleurs, Optique |
Assistant vocal | Google Assistant, Amazon Alexa |
Efficacité énergétique | G |
Indice de réparabilité ? |
6,7/10 |
Prix | 1 249 € |
Fiche produit |
L’exemplaire de test nous a été prêté par la marque.
Design : un pied central
Le design des téléviseurs TCL C935 est particulièrement réussi. En effet, le téléviseur de 65 ou 75 pouces propose un cadre assez fin pour un modèle LCD. Il mesure 4,5 cm d’épaisseur avec une partie légèrement plus fine sur le haut. L’écran repose sur un pied composé de deux éléments à assembler à l’aide de plusieurs vis. Il s’appuie sur quatre patins en caoutchouc. Aucun pivotement n’est possible.
La base du pied est en métal brossé noir et fait 34 cm de large pour le modèle de 65 pouces (celui testé) avec une profondeur de 30 cm ce qui permet de l’installer sur un meuble relativement petit. Le pied peut avoir deux positions plus ou moins hautes. La première, la plus haute, permet d’avoir un espace de 7 cm entre le pied et la base de l’image. La deuxième maintient l’écran à 3,5 cm au-dessus du pied. L’écran est souligné par une grille en métal qui contient plusieurs haut-parleurs, telle une barre de son. Une petite plaque Onkyo permet de voir le partenaire audio de TCL qui a œuvré ici.
De face, la part belle est faite à l’image. En effet, l’écran a un cadre avec des bordures noires mesurant 5 mm de large auxquels il faut rajouter un cadre métallique de 3 mm d’épaisseur pour finaliser la dalle. La qualité d’assemblage est excellente. Nous n’avons pas détecté de défaut de fabrication même après un examen minutieux du téléviseur.
Lorsqu’on passe derrière l’écran, on peut voir le pied qui le maintien et qui dispose d’une plaque en plastique venant cacher l’organisation de la fuite des câbles vers l’arrière, grâce à une sorte de tunnel pour les guider au milieu. C’est bien pensé même si d’autres guide-fils auraient été les bienvenus sur le reste de la dalle pour une meilleure organisation, surtout si l’on a beaucoup de câbles à brancher. Toutefois, il faut reconnaître qu’avec cette façon de faire, de face, on ne voit aucun fil dépasser, ce qui est, in fine, le but recherché.
Pour parfaire l’arrière de l’écran, il y a deux parties en plastique qui reprennent l’aspect rayé du dos du téléviseur et permettant de cacher les connectiques ainsi que la prise d’alimentation. Ceux-ci sont à l’opposé les uns des autres, comme la plupart du temps.
Toujours au dos, au centre en position haute, on peut voir le système Onkyo Ultra-bass qui doit apporter les sonorités les plus graves pour l’audio. Tout en haut, vers l’extrémité gauche et celle de droite, il y a deux haut-parleurs pour les effets d’élévation pour les pistes Dolby Atmos. Difficile de les prendre pour autre chose étant donné qu’il y a une petite plaque sur chaque grille mentionnant le nom du format audio développé par Dolby.
Si vous préférez accrocher le téléviseur à un support mural, c’est tout à fait possible en choisissant un modèle VESA 300×400.
Connectiques
Les connectiques sont donc réparties en deux pôles. L’alimentation se trouve du côté droit lorsqu’on regarde le téléviseur de dos alors que les autres sont situées à gauche. Ces dernières sont alors toutes orientées vers le côté ce qui simplifie les branchements. Il y a une prise USB 2.0, un port Ethernet, une entrée TNT, une entrée satellite, une sortie audio optique et une entrée Audio/Vidéo analogique. Il y a également une prise casque au format jack 3,5 mm.
On trouve aussi deux entrées HDMI 2.1 et deux autres entrées HDMI 2.0. L’entrée HDMI 1 supporte les signaux Ultra HD jusqu’à 144 Hz tandis que la prise HDMI 2 peut accepter les signaux Ultra HD jusqu’à 120 Hz. Les deux autres supportent l’Ultra HD jusqu’à 60 Hz. C’est la prise HDMI 4 qui est utilisé pour renvoyer le son vers une barre de son, par exemple via la fonction eARC évitant de bloquer l’entrée HDMI 1 ou 2.
N’oublions pas l’emplacement PCMCIA indispensable dans certaines zones où on ne capte pas la TNT et la compatibilité avec le Wi-Fi à la norme 6 (802.11 ax) et du Bluetooth 5.2.
Le téléviseur étant animé par Google TV, il supporte la technologie Chromecast mais aussi le AirPlay 2 pour envoyer des contenus multimédia sans fil depuis des appareils mobiles, par exemple. On peut aussi compter sur la présence de l’assistant de Google que l’on peut interroger via les microphones intégrés au niveau du téléviseur (désactivable via un bouton au centre, en-dessous) ou par celui qui est dans la télécommande.
La TV fonctionne aussi avec l’assistant d’Amazon Alexa mais il faut avoir une enceinte connectée située à proximité. Il y a donc là le principal pour bien communiquer. Certains pourraient regretter qu’il n’y ait que deux prises HDMI 2.1 si effectivement ils disposent de plusieurs consoles de jeux et d’un ordinateur, par exemple voulant les faire fonctionner au maximum de leur possibilité. Toutefois, rappelons que l’une des prises HDMI supporte le signal jusqu’à 144 Hz ce qui est très loin d’être courant dans l’univers TV, une caractéristique normalement réservée aux moniteurs de PC.
Image : Mini-LED avec un écart réduit entre les panneaux
Comme évoqué en introduction, la série TCL C935 dispose d’une dalle LCD de type VA (Vertical Alignment) avec un système de rétroéclairage mini-LED et un panneau de couleurs Quantum Dots ce qui en fait un modèle QLED. Il est capable d’afficher une définition Ultra HD de 3840×2160 pixels. La dalle du modèle de 65 pouces contient 1080 zones de mini-LED alors que celui de 75 pouces en compte 1920.
On peut également compter sur la présence d’un filtre anti-reflet. Celui-ci n’est pas le plus efficace que nous ayons pu voir étant donné qu’il a bien du mal à diluer les sources de lumière importante que l’on peut lui mettre devant. Il peut les limiter si elles ne sont pas trop intenses, mais ne peut rien faire face à une baie vitrée en plein après-midi. Le téléviseur profite donc d’un rétroéclairage avec une distance optique de 5 mm contre un espace bien plus important habituellement. Cela signifie que l’écart entre le rétroéclairage et l’affichage LCD est réduit, de quoi permettre des effets de blooming moins prononcés qu’avec une dalle classique (même mini-LED) comme c’est le cas sur la série C835, par exemple.
Dans la réalité, effectivement, nous avons pu constater que les halos lumineux autour d’objets clairs sur des fonds sombres sont extrêmement limités. En outre, on peut aussi apprécier un très haut niveau de contraste. Celui-ci a été mesuré à 7519:1, en mode natif, ce qui est particulièrement élevé. Les noirs paraissent vraiment noirs ce qui est une belle prouesse pour ce type de technologie. Merci le Local Dimming qui joue très bien son rôle.
L’opération de mise à l’échelle est très bien réalisée sur ce téléviseur et cela permet de profiter de contenus qui ne sont pas proposés avec une qualité Ultra HD d’en tirer tout le potentiel. Les compensations de mouvements sont excellentes et on peut ainsi apprécier les programmes sportifs sans rémanence et avec une grande fluidité, les artefacts étant très limités, quasi absents.
Le téléviseur propose plusieurs modes d’images : Dynamique, Standard, Amélioration HDR, Sports, Film et Jeux. C’est le mode Film qui propose les meilleurs résultats en termes de calibration. En effet, avec des contenus SDR, nous avons pu relever un Delta E moyen de 1,26 soit nettement inférieur à la valeur de 3, en-dessous de laquelle l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur demandée et celle qui est affichée à l’écran.
La température des couleurs moyenne a été mesurée à 6809 K ce qui est un peu en deçà de la valeur cible à 6500 K. Le gamma moyen a été relevé à 2,25. La courbe n’est pas très bien suivie, car pour les gris les plus sombres, le téléviseur a une petite tendance à les rendre plus lumineux alors que pour les autres, il fait l’inverse.
Avec des contenus HDR, rappelons que le téléviseur supporte les formats HLG, HDR10 ainsi que les modes dynamiques HDR10+ et Dolby Vision IQ (avec un capteur de luminosité qui adapte automatiquement le mode d’image sur Dolby lumineux ou dolby sombre). Bizarrement, sur notre modèle de test, il est arrivé que le documentaire La vie en couleurs diffusé sur Netflix, pourtant disponible en Dolby Vision, reste « bloqué » en mode HDR10.
Apparemment, il s’agissait d’un bug temporaire puisque quelques jours plus tard, le format a été convenablement identifié. Les autres contenus sur cette plateforme ou d’autres ont été parfaitement reconnus dont le format Dolby Vision pour la série Le Seigneur des Anneaux : Les anneaux de pouvoir diffusée sur Prime Video.
En HDR, c’est encore le mode Film qui propose les meilleurs résultats. En effet, nous avons relevé un Delta E moyen de 1,77 ce qui est encore inférieur à 3, signifiant que le téléviseur est très bien calibré en sortie de carton. Les plus exigeants pourront toutefois obtenir une fidélité encore plus fine, mais les réglages par défaut peuvent largement satisfaire. Toujours en mode Film, nous avons mesuré un pic de luminosité de 1242 cd/m². C’est moins que le Samsung QN95B aussi équipé d’une dalle mini-LED, mais bien plus que les TV OLED quelle que soit la technologie utilisée, QD-OLED chez Samsung S95B et Sony (A95K) ou White-OLED chez les autres dont Sony (pour les autres références que la série A95K).
Enfin, concernant la couverture des espaces colorimétriques, nous avons relevé 99,1 % pour le rec709, 97 % pour le DCI-P3 et 76 % pour le BT2020, le plus exigeant. Ce sont de bons chiffres qui montrent l’étendue des possibilités de la dalle.
Gaming : input lag réduit et 144 Hz, comme les moniteurs PC
Nous avons commencé à évoquer le sujet un peu plus haut en rappelant que la dalle peut supporter une fréquence jusqu’à 144 Hz, via les cartes graphiques de PC. Cela permet d’offrir une parfaite fluidité dans les jeux vidéo qui le supporte. Autre donnée intéressante, le faible input lag. En effet, nous avons pu relever un temps de retard à l’affichage de 13,2 ms ce qui correspond à moins d’une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran. Ce n’est pas le meilleur dans ce domaine, car les dernières gammes de TV OLED LG peuvent descendre jusqu’à 9,5 ms ainsi que la Samsung QN95B qui propose un input lag de 9,8 ms, par exemple. Notez aussi la série TCL C635 propose un temps de retard à l’affichage de seulement 9,3 ms.
Le téléviseur supporte les technologies d’optimisation pour les jeux vidéo telles que le VRR (Variable Refresh Rate) et l’ALLM (Auto Low Latency Mode). À noter que l’option VRR est désactivée par défaut dans les paramètres. Il faut se rendre dans le menu « Canaux et Entrées » puis « Entrées » pour trouver l’option.
Le mode Jeu est très bien calibré à la différence de ce que nous avons pu voir jusqu’ici sur la plupart des téléviseurs. En effet, l’écran se montre particulièrement fidèle puisque nous avons relevé un Delta E moyen de seulement 1,33. Il n’y a donc rien à redire sur ce point.
Comme beaucoup de marques maintenant, la série C935 propose l’affichage d’une barre de jeu. Il faut activer le mode Maître du Jeu dans les paramètres et appuyer longuement sur la touche de la télécommande portant une icône avec deux carrés l’un sur l’autre (Quick Panel) pour l’afficher. On peut alors voir une barre de jeu dans la partie basse de l’image qui permet de régler certains paramètres comme l’activation du mode HGiG pour la gestion du HDR, l’affichage d’une barre d’état indiquant l’heure et le nombre d’images par seconde (FPS), obtenir une aide à la visée dont on peut gérer la forme, la couleur et la taille du viseur. Le mode audio ainsi et la sortie sonore peuvent être réglés depuis la barre de jeu.
Audio : Atmos et DTS au programme pour un rendu correct
Pour la partie audio, le téléviseur dispose de quatre haut-parleurs de 15 watts chacun dont deux sont placés à la base de l’écran et dirigés vers les téléspectateurs. Les deux autres sont installés à l’arrière, en position haute pour les effets d’élévation. Il y a également au dos, au centre, en position haute aussi, le woofer qui délivre une puissance de 30 watts. On apprécie la compatibilité avec les formats audio Dolby Atmos et DTS ce qui n’est pas si courant, notamment pour ce dernier. À l’écoute, l’ensemble est correct, mais manque tout de même de basses et même de médiums. Le son n’est pas assez chaud et sérieusement en retrait par rapport à la qualité d’image produite par l’écran. Les voix sont très claires et parfaitement audibles, se détachant bien mais pas trop non plus du reste de la scène.
Attention, ce n’est pas mauvais, car l’ensemble propose tout de même un environnement sonore assez satisfaisant. Cependant il faut dire que nous nous attendions à mieux surtout pour un modèle haut de gamme.
Interface : du Google TV à bord avec quelques menus TCL
Le téléviseur TCL 65C935 est animé par le système Google TV. La page d’accueil en plein écran donne quelques suggestions de programmes à regarder en fonction des contenus déjà visionnés. Plusieurs bandeaux sont ensuite disponibles pour parcourir les médias à regarder. On apprécie les différentes options de visionnage proposées pour certains films, par exemple. Une ligne est dédiée aux applications que l’on peut installer sur le téléviseur. L’ordre des vignettes représentant les applications est personnalisable. Il suffit de rester appuyer sur le bouton de sélection de la télécommande pendant trois secondes pour voir s’afficher un menu permettant de déplacer l’élément en question. On a droit un moteur de recherche tout en haut de l’interface principale, mais également des contenus regroupés par thème : Films, séries, Applications et Bibliothèque avec, pour cette dernière, la liste des contenus achetés sur la plateforme.
Au-delà de la page d’accueil, le bouton avec une roue crantée sur la télécommande permet d’afficher un menu dans le coin supérieur à droite. Il est ainsi possible d’ajouter un compte (Google) mais également d’accéder aux paramètres, de voir l’heure, de sélectionner l’une des entrées du téléviseur ou d’entrer dans les réglages des modes d’image. On peut également y trouver des notifications, le cas échéant. On apprécie de pouvoir accéder assez rapidement aux modes d’image permettant ainsi de passer aisément de l’un à l’autre sans avoir à parcourir des menus et des sous-menus comme sur d’autres systèmes.
L’interface est globalement assez réactive même s’il faut parfois patienter un peu avant de voir afficher le contenu demandé. La grande force d’Android est de pouvoir installer un très grand nombre d’applications.
Les paramètres sont nombreux. Ils permettent de régler le téléviseur vraiment avec précision ce qui est toujours une bonne chose, sans toutefois proposer des configurations complexes et difficilement compréhensibles. Nous devons tout de même signaler que nous avons trouvé des paramètres qui n’étaient pas nécessairement dans les bons menus. Par exemple, l’option VRR est dans le menu Canaux et Entrées. Dans le menu système, on trouve le mode d’image Sport mais aussi le mode Maître du jeu qui, selon nous, n’ont rien à faire là et trouveraient plus leur place dans les paramètres d’images ou Entrées, au pire.
La touche Entrée sur la télécommande permet d’afficher un bandeau, en bas de l’écran, pour sélectionner une entrée (AirPlay, TV, entrées HDMI, lecteur médias ou Arte et Google Play Films). Quelques applications y sont également accessibles : TCL Channel, un navigateur Internet, une application de santé, MyCanal, PlutoTV, Plex et deux autres parmi les plus récentes ouvertes. Les paramètres y sont également accessibles ainsi qu’un module de recherche et l’interface TCL Home.
Cette dernière ouvre un menu dans le coin supérieur à droite pour accéder à la galerie d’images enregistrées dans la mémoire du téléviseur, le lecteur de médias et l’utilitaire de protection Safety Guard. C’est aussi à cet endroit que l’on peut trouver l’interface de contrôle des objets connectés qui sont enregistrés dans l’application TCL Home, le cas échéant. Le menu TCL Home est directement accessible depuis une touche dédiée sur la télécommande.
L’extinction du téléviseur est immédiate. Toutefois, le son s’éteint 1 seconde après l’image. Comptez environ 4 secondes pour avoir une image d’une chaine de la TNT lorsque le téléviseur est en veille.
La télécommande ergonomique mais pas rétroéclairée
Le téléviseur est livré avec une télécommande qui est conçue tout en plastique. Elle a des formes arrondies sur les bords pour proposer une excellente prise en main. Il y a un microphone à l’intérieur pour les commandes vocales. Un bouton est dédié à l’assistant de Google et plusieurs sont disponibles pour accéder directement à plusieurs plateformes dont Netflix, Prime Vidéo, YouTube, TCL Channel mais également au lecteur de médias et l’interface Safety Guard. L’organisation des touches est assez bien pensée et ergonomique. On regrette malgré tout qu’elle ne soit pas rétroéclairée.
Une autre télécommande est également livrée avec. Plus grande que la première, elle n’a pas de microphone et des touches numériques pour accéder directement aux chaînes de la TNT. Elle propose moins de raccourcis pour les plateformes de streaming (Netflix et Prime Vidéo uniquement) et n’est pas non plus rétroéclairée.
Consommation
Pour la consommation électrique, nous avons mesuré ce que consommait le téléviseur pendant la diffusion d’une série, « les 100 » sur Netflix (HD 5.1) pendant 4 heures avec le son et les paramètres de l’image réglée sur le mode Film. Dans ces conditions, reproduites pour tous les tests de téléviseurs, le TCL 65C935 consommait 179 Wh. Cette consommation est très importante lorsqu’on sait que la Samsung QN95B consomme 50 Wh seulement dans les mêmes conditions avec sa diagonale de 65 pouces. À titre de comparaison, nous avons pu relever une consommation moyenne de 54 Wh pour la TV LG OLED65G2 aussi de 65 pouces.
Pour la série en HDR (Dolby Vision sombre plus précisément) The Black Mirror sur Netflix, nous avons obtenu une consommation moyenne de 184 Wh contre 122 Wh pour le Samsung QE65QN95B. La consommation en veille est de 0,5 Watt sauf si on laisse le mode réseau activé dans les paramètres, le téléviseur se tenant prêt à obéir à vos ordres vocaux et consommant alors 2 Watts.
Prix et date de sortie
La série C935 est déclinée en 65 et 75 pouces pour des prix respectifs de 1590 euros et 2299 euros.
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