Fiche technique du Wiko View 4
Modèle | Wiko View 4 |
---|---|
Dimensions | 75,8 mm x 165,7 mm x 8,85 mm |
Interface constructeur | Wiko UI |
Taille de l’écran | 6,52 pouces |
Définition | 1600 x 720 pixels |
Densité de pixels | 269 ppp |
Technologie | LCD |
Puce graphique | PowerVR GE8320 |
Stockage interne | 64 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 13 Mp Capteur 2 : 2 Mp Capteur 3 : 5 Mp |
Capteur photo frontal | 8 Mp |
Définition enregistrement vidéo | Full HD |
Wi-fi | Wi-Fi 4 (n) |
Bluetooth | 4.2 |
5G | Non |
NFC | Non |
Capteur d’empreintes | Non |
Type de connecteur | microUSB |
Capacité de la batterie | 5000 mAh |
Poids | 180 g |
Couleurs | Or, Bleu, Vert |
Prix | 199 |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé à partir d’un exemplaire fourni par la marque.
Un design des plus classiques
Après une gamme View 3 plutôt réussie l’an dernier, Wiko a lancé en 2020 une nouvelle gamme View 4 (ou View4) avec deux modèles, les Wiko View 4 et View 4 Lite. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette nouvelle génération reste cantonnée aux standards de l’an passé.
Oubliez les smartphones avec écran poinçonné comme on en trouve chez Xiaomi, ici Wiko a intégré en façade un écran de 6,52 pouces avec une encoche en forme de goutte d’eau en haut de l’écran. Bien évidemment, compte tenu du segment tarifaire de l’appareil, il faut se contenter d’un écran plat. Dommage également, on retrouve, tout autour de la dalle, des bordures assez larges. Comptez 4 mm sur les côtés, 5,5 mm en haut et jusqu’à 10 mm en bas pour ce qu’on qualifie généralement de menton. Autant le dire de suite, si on a bien affaire à un smartphone avec un écran au format 20:9, le Wiko View 4 n’est pas un smartphone borderless pour autant.
Au dos du smartphone, on va retrouver une surface en plastique avec le logo de la marque et une imitation verre. Rien de très original à souligner sur ce point, sinon qu’on pourra regretter que l’appareil capture facilement les traces de doigt, même avec le coloris doré, plutôt clair, qu’on a pu tester. Dans l’angle supérieur gauche, la marque française a intégré un module avec trois appareils photo positionnés à la verticale et, juste en dessous, le flash.
C’est là que dans la plupart des cas on vous signalerait également la présence d’un lecteur d’empreintes digitales. Mais non. Wiko a décidé de s’en passer sur le View 4. Il n’est présent ni au dos de l’appareil, ni sur la tranche, et encore moins sous l’écran. Il vous faudra donc nécessairement passer par le schéma ou le code PIN à l’écran pour déverrouiller votre smartphone. On y reviendra dans la partie logicielle.
Sur les tranches du Wiko View 4, on va retrouver à droite les boutons de mise en veille et de volume, qui tombent facilement sous le doigt avec un clic agréable. En haut, Wiko a intégré une prise casque bienvenue pour utiliser son casque filaire. Mais cette présence s’explique également par la connectique USB utilisée, puisque Wiko a fait l’impasse sur l’USB-C pour intégrer une prise micro-USB, qui ne peut donc pas faire passer de flux audio. C’est également sur la tranche inférieure qu’on va retrouver le haut-parleur.
Enfin, sur le côté gauche, on va retrouver un tiroir complet avec la possibilité d’insérer deux cartes nano-SIm en plus d’une carte microSD. C’est également sur ce côté que Wiko a positionné le bouton Google Assistant qui permet, comme son nom l’indique, de lancer l’assistant vocal simplement d’une touche.
Dans l’ensemble, on a droit à un smartphone assez imposant, particulièrement en largeur. Avec son format de 165,7 x 75,8 x 8,85 mm, le Wiko View 4 n’est pas des plus évidents à utiliser à une main et conviendra davantage à une utilisation à deux mains. Heureusement, le smartphone reste relativement léger, compte tenu de son gabarit, avec un poids de 180 grammes. Un poids qui peut notamment s’expliquer par l’utilisation d’un dos en plastique et non en verre.
Un écran plutôt lumineux
Concernant l’écran, le Wiko View 4 est équipé d’une dalle assez imposante de 6,52 pouces. Elle utilise une technologie LCD et vient afficher 1600 x 720 pixels. Si on a donc droit à un écran HD dans le sens le plus strict du mot, puisqu’elle dépasse les 720 p, on a tout de même une définition bien en deçà du Full HD. Qui dit grand écran avec petite définition dit également faible densité de pixels. En effet, le Wiko View 4 ne parvient à afficher que 269 pixels par pouce (ppp). On est loin des 400 ppp que l’on retrouve généralement sur le marché. Concrètement, cela signifie qu’on peut distinguer assez facilement les pixels à l’écran à condition de les chercher. Ça ne sera pas gênant dans la plupart des cas, mais il en résulte un manque de netteté et un aliasing qui peut être désagréable.
À l’usage, le Wiko View 4 propose un écran plutôt lumineux pour un téléphone d’entrée de gamme. Même en plein soleil, la dalle reste suffisamment lumineuse pour pouvoir consulter les contenus confortablement en extérieur. Revers de la médaille, on notera une luminosité un peu trop forte de l’écran, même en le réglant sur le cran le plus bas, lorsqu’on est dans le noir complet. Le contraste, n’est quant à lui pas le point fort du téléphone de Wiko et les pixels noirs sont bien visibles avec une faible lumière ambiante. Enfin, notons que le téléphone a un écran qui tire légèrement vers le bleu.
Malheureusement, en raison du télétravail toujours en place chez Frandroid, je n’ai pas eu l’occasion de tester à la sonde le Wiko View 4. J’ai cependant pu comparer son écran à celui du Samsung Galaxy Note 10 Lite. Il faut dire que le smartphone du constructeur coréen a une dalle particulièrement bien calibrée, avec une température des couleurs mesurée à 6486 K. C’est extrêmement proche des 6500 K de la lumière blanche du soleil et l’écran va ici nous servir de référence. Comme pressenti, le Wiko View 4 tire bien davantage vers le bleu et propose donc un écran à la teinte bien plus froide que celui du Galaxy Note 10 Lite.
Notons néanmoins que Wiko propose quelques options de calibration dans les paramètres d’affichage. Il n’est pas ici question de mode de couleurs vives ou naturelles, mais simplement de régler la balance de blancs vers des couleurs plus froides ou plus chaudes. De quoi s’approcher, avec le niveau le plus chaud, de la température du Galaxy Note 10 Lite.
Une interface logicielle à la sauce Google
Le Wiko View 3 est équipé d’Android 10 avec la mise à jour de sécurité du 5 janvier 2020. Testé en juin 2020, autant dire qu’on aurait apprécié une mise à jour un peu plus récente.
Dans l’ensemble, on a droit à une interface Wiko très proche de celle proposée de base par Google avec ses Pixel, Sony sur Xperia ou Motorola sur ses propres appareils. On a ainsi droit à une navigation similaire avec, sur l’écran d’accueil, un tiroir d’application qui peut s’ouvrir d’un coup de pouce vers le haut, ou un écran de notifications d’un glissement vers le doigt, depuis n’importe où sur l’écran. On va également retrouver nombre d’applications Google préinstallées sur l’appareil comme Google Agenda, Google podcasts ou Google Discover. Un bon choix de la part de Wiko, puisqu’il s’agit de l’un des meilleurs écrans de découvertes disponibles sur le marché.
On va également retrouver un thème sombre, accessible depuis les paramètres d’affichage du smartphone, et à une navigation gestuelle qui peut être activée depuis les « fonctionnalités Wiko ». Parce qu’en plus des fonctionnalités intégrées nativement par Google sur Android 10, Wiko a également ajouté quelques fonctionnalités.
C’est ainsi depuis ces paramètres que l’on va retrouver le mode d’utilisation du smartphone à une seule main, les paramètres de l’écran d’accueil — qui ne permettent d’afficher malheureusement que des lignes de trois icônes — l’option pour masquer l’encoche avec une bande noire, le mode jeu ou le témoin lumineux. Pour cette dernière option, signalons en effet que le Wiko View 4 est équipé d’une LED de notifications qui va s’afficher en vert ou en rouge en fonction du type de notification. Malheureusement, on ne peut pas programmer d’autres couleurs.
Enfin, c’est également dans ce menu que l’on va retrouver le système de reconnaissance faciale 2D intégré par Wiko. Parce que si le smartphone est dépourvu de lecteur d’empreintes, il profite heureusement d’un système de reconnaissance faciale pour compenser. Si ce type de système est moins sécurisé qu’un lecteur d’empreintes ou qu’un système de reconnaissance 3D, il reste cependant bienvenu dans un usage quotidien pour éviter d’avoir à rentrer systématiquement son code PIN ou son schéma de déverrouillage. Ça n’excuse pas l’absence de lecteur d’empreintes, mais ça a au moins le mérite de la rendre aigre-douce.
On l’a vu plus haut, le Wiko View 4 est doté d’un bouton Google Assistant. Tout bêtement, il va ainsi lancer l’assistant vocal de Google lorsque vous appuyez dessus. Et c’est tout. Ne comptez pas sur des interactions différentes selon si vous appuyez une fois, deux fois ou de manière prolongée. Le bouton a pour seul mérite de fonctionner même lorsque le smartphone est en veille. Dommage également, Wiko ne propose pas nativement de réattribuer ce bouton pour une autre fonctionnalité. On aurait par exemple apprécié de pouvoir appuyer deux fois dessus pour ouvrir le flash du smartphone, ou mettre sa musique en pause. À moins de bidouille ou de passer par une application tierce, c’est tout bonnement impossible.
Enfin, concernant la gestion des DRM, le Wiko View 4 n’est compatible avec Widevine qu’au niveau L3. Concrètement, cela signifie qu’il est impossible de lancer Netflix, Molotov, Disney Plus ou myCanal en HD sur le smartphone.
Des performances médiocres
Le Wiko View 4 est équipé d’une puce Helio A25 de MediaTek adossée à 3 Go de RAM et 64 Go de stockage. Autant le dire de suite, ce n’est pas un foudre de guerre, loin de là. Le smartphone pourrait même se caractériser par sa lenteur lors du chargement des applications, l’ouverture du clavier virtuel et même le multitâche. Même sur les pages Web, le Wiko View 4 peut prendre quelques secondes de plus qu’un smartphone normal.
Il faut dire que si le Helio A25 est une puce récente de MediaTek, lancée en février dernier, il s’agit d’une puce d’entrée de gamme conçue pour les smartphones les moins chers du marché. C’est d’ailleurs le même processeur que l’on va également retrouver sur le Wiko View 4 Lite, lancé à 129 euros. La puce Helio A25 est en fait dotée d’un processeur avec huit cœurs basse consommation Cortex A53 à 1,8 GHz et d’un GPU IMG powerVR GE8320.
Dans les jeux 3D, c’est la débandade. Fortnite refuse tout bonnement de s’installer sur le Wiko View 4. Quant à PUBG Mobile, si le jeu se lance bel et bien, il est paramétré par défaut avec des graphismes faibles et une fréquence d’images par seconde réglée sur moyenne. On peut cependant passer la fréquence sur élevée, mais pas activer l’anticrénelage, les ombres ou les ragdoll. Avec une fréquence élevée et malgré des graphismes faibles, le smartphone a bien du mal à suivre la cadence du jeu et on se retrouve fréquemment avec quelques freeze assez handicapant à l’écran, surtout dans un jeu de tir aussi nerveux.
Afin d’évaluer les performances du Wiko View 4, nous l’avons soumis à une batterie de benchmarks déjà passés par certains de ses concurrents, le Realme 6 et les Xiaomi Redmi Note 9 et Redmi Note 8T. Ou plutôt, nous avons tenté de le soumettre à ces benchmarks. Dans certains cas, comme AnTuTu v8, le test s’est arrêté en cours de route, et ce à chaque reprise. Impossible donc d’obtenir la note du View 4 sur ce test.
Wiko View4 | Xiaomi Redmi Note 9 | Xiaomi Redmi Note 8T | Realme 6 | |
---|---|---|---|---|
SoC | MediaTek Helio A25 | MediaTek Helio G85 | Snapdragon 665 | MediaTek Helio G90T |
AnTuTu 8.x | nc | 191 662 | nc | 289 301 |
PCMark 2.0 | 5 179 | 8 799 | 6 687 | 10 766 |
3DMark Sling Shot Extreme | 442 | n/c | 1 130 | 2 552 |
3DMark Slingshot Extreme Graphics | 377 | n/c | 979 | 2 389 |
3DMark Slingshot Extreme Physics | 1 123 | n/c | 2 447 | 3 354 |
GFXBench Aztec Vulkan High (onscreen / offscreen) | nc | n/c | nc | 10 / 6,7 FPS |
GFX Bench Car Chase (onscreen/offscreen) | 5,4 / 3,1 FPS | n/c | 6,3 / 7,0 FPS | 16 / 18 FPS |
GFX Bench Manhattan (onscreen/offscreen) | 19 / 11 FPS | n/c | 17 / 20 FPS | 45 / 50 FPS |
Lecture / écriture séquentielle | 236 / 135 Mo/s | 297 / 244 Mo/s | 316 / 174 Mo/s | 518 / 204 Mo/s |
Lecture / écriture aléatoire | 11,7k / 5,9k IOPS | 16,6k / 36,7k IOPS | 23k / 22k IOPS | 42,6k / 43k IOPS |
C’est bien simple, quel que soit le test pris en compte, le Wiko View 4 fait partie des smartphones les moins performants. Alors certes, le Realme 6 est lancé à 50 euros de plus et le Redmi Note 9 s’affiche à 200 euros, mais le Redmi Note 8T, lancé il y a un an, est désormais proposé à un prix similaire.
Un appareil photo tout juste convenable
Pour la photo, le Wiko View 4 reprend une configuration somme toute assez classique pour un smartphone d’entrée de gamme. On va ainsi retrouver un module avec trois appareils photo au dos comprenant, de haut en bas :
- Capteur pour le mode portrait de 2 mégapixels
- Appareil photo grand-angle de 13 mégapixels, équivalent 27 mm (f/2,0)
- Appareil photo ultra grand-angle de 5 mégapixels, équivalent 13 mm (f/2,2)
Si le Wiko View 4 fait donc l’impasse sur le zoom optique ou hybride — mais propose bien un zoom numérique — il propose cependant une polyvalence optique cohérente pour son niveau de prix. Les clichés suivants ont tous été capturés en mode automatique :
Dans l’ensemble, le Wiko View 4 a bien du mal à gérer les fortes plages dynamiques avec un ciel qui paraît facilement brûlé, même avec l’appareil photo principal. Par ailleurs, on notera une très grande disparité entre les deux appareils avec des couleurs bien plus vives sur le grand-angle que sur l’ultra grand-angle. En zoomant dans l’image, même le niveau de détails est assez moyen comme on peut le voir sur la photo de l’étagère. Mais c’est bien évidemment en base lumière que le Wiko View 4 va avoir le plus de mal. Heureusement, pour compenser, il intègre un mode nuit que l’on qualifiera poliment de discutable.
C’est simple à constater, le Wiko View 4 ne propose aucune différence notable entre le mode automatique et le mode nuit. Notons également que le mode nuit ne fonctionne qu’avec le capteur principal.
Pour les portraits, le Wiko View 4 est doté d’un mode… portrait. Logique, puisque le constructeur a même intégré un troisième capteur au dos censé gérer le flou d’arrière-plan. On appréciera notamment la possibilité de gérer au mieux ce flou logiciel avec un curseur allant de f/16 à f/0,95. Le flou peut par ailleurs être retouché a posteriori grâce au visionneur de photo de Google.
Dans l’ensemble, on notera tout de même de nombreux défauts sur ce mode portrait. Il a en effet du mal à bien détourer correctement la silhouette, comme on le voit à droite du cou sur la deuxième série. Surtout, comme en mode automatique, le View 4 peine à bien gérer les hautes plages dynamiques. Enfin, en basse lumière, non seulement le smartphone peine à produire le flou d’arrière-plan, mais en plus la photo devient particulièrement bruitée.
Pour les selfies, le Wiko View 4 embarque un appareil photo de 8 mégapixels en façade, au sein de l’encoche. Celui-ci est doté d’un objectif équivalent 25 mm ouvrant à f/2,0.
Malheureusement, le Wiko View 4 ne permet pas de profiter du mode cliché nocturne ou du mode portrait en selfie. Il faudra donc se contenter de clichés en mode automatique. Et dans l’ensemble, bien que le smartphone puisse théoriquement gérer les fortes plages dynamiques, ne comptez pas trop sur les selfies à contrejour. Le téléphone a tendance à capturer des clichés avec une plage dynamique assez faible, tant et si bien que ma peau est carrément blanche sur la première photo et qu’on n’aperçoit pas l’arrière-plan sur la troisième. Cependant, on pourra apprécier un bon niveau de détails dans l’ensemble, à condition de profiter d’une bonne luminosité.
Pour les vidéos, le smartphone de Wiko permet de capturer des séquences en 1080p à 30 images par seconde au maximum, que ce soit avec l’appareil photo frontal ou avec le module arrière.
Une excellente autonomie
Le Wiko View 4 est doté d’une batterie d’une capacité de 5000 mAh. De quoi permettre, selon les mesures du constructeur, de faire tenir le smartphone pendant 3 jours avant qu’il ne tombe à court de batterie.
Dans les faits, j’ai cependant pu tenir plus longtemps encore. En chargeant le Wiko View 4 lundi après-midi, le smartphone aura tenu jusqu’au vendredi matin avant de tomber à 10 % de batterie, pour un total de 87 heures et 48 minutes. Sur cette période, l’écran a été utilisé pendant 6h54, dont plus de deux heures sur YouTube, une heure sur Messenger, une heure sur Twitter et une demi-heure sur Chrome. J’ai également pu faire les tests de benchmarks et deux parties de Call of Duty sur cette période. Concrètement, le Wiko View 4 offre donc bel et bien une excellente autonomie qui devrait largement vous permettre de tenir deux jours complets, quel que soit votre usage.
En revanche, il en est tout autre pour la recharge. Forcément, qui dit grosse batterie dit longue durée pour la recharge. Surtout que le View 4 n’est pas aidé par le chargeur 10 W fourni par Wiko. En une heure de charge, le smartphone passe de 10 à 47 % de batterie. En deux heures, il monte à 84 % de batterie, en 3h à 99 % et il faudra patienter 3h05 avant que le smartphone ne soit complètement chargé.
Bien évidemment le Wiko View 4 n’est pas compatible avec la charge sans fil, mais on ne saurait lui en tenir rigueur compte tenu de son prix.
Réseau & communication du Wiko View 4
Le Wiko View 4 est doté d’un tiroir permettant d’intégrer deux cartes nano-SIM en plus d’une carte microSD. Un bon point pour ce smartphone. Du côté des bandes 4G, il est compatible avec l’ensemble des bandes 4G disponibles en France, à savoir les bandes B1 (2100 MHz), B3 (1800 MHz), B7 (2600 MHz), B20 (800 MHz) et B28 (700 MHz). Il ne profite cependant pas de la 5G qui sera déployée en France dans les prochains mois.
Pour le Wi-Fi, le Wiko View 4 se contente de la norme 802.11 b/g/n. Certes, on n’oserait espérer du Wi-Fi 6 sur ce segment de prix, mais dommage de ne pas avoir au moins intégré du Wi-Fi 5 pour un meilleur débit. Il en va de même pour le Bluetooth où le Wiko View 4 n’est compatible qu’avec la version 4.2. Enfin, notons que le Wiko View 4 n’est pas équipé d’une puce NFC.
Du côté de la qualité des appels, le Wiko View 4 s’en sort correctement. S’il a légèrement tendance à compresser la voix, il parvient correctement à filtrer les bruits ambiants avec le trafic routier, y compris les camions qui passeraient à proximité.
Prix et disponibilité du Wiko View 4
Le Wiko View 4 est disponible depuis le mois de mars 2020. Il est proposé en trois coloris — cosmic blue, cosmic gold ou cosmic green — et dans une seule configuration, 3/64 Go, au prix de 169,99 euros.
À ce tarif, le Wiko View 4 fait face aux Xiaomi Redmi Note 9, Xiaomi Redmi 9 et Realme C3.
[…] mieux que son grand frère, puisqu’il atteint le score de 200 740. À titre de comparaison, le Wiko View4, proposé à un prix similaire, n’arrive même pas à faire tourner entière […]
[…] frère, puisqu’il atteint le score de 200 740. À titre de comparaison, le Wiko View4, proposé à un prix similaire, n’arrive même pas à faire tourner […]
Oui comme Archos reprenait il me semble les ZTE. Après redesign c'est un gros mot. Il font que l'adapter au larché local car le marché Chinois et Français/Européen n'a ps les mêmes exigence/attendus de base.
En magasin, les marques chinoises telles que Oppo, Xiaomi... sont mieux mises en avant depuis quelques temps.
Autant ne rien avoir au vu de son inutilité.
J'espère que ce n'est pas le début de la fin pour eux, c'était une marque ambitieuse à ses débuts.
Tu connais grand monde qui a une reconnaissance faciale très sécurisée dans cette gamme de prix ?
Non bien sûr que non. C'est là tout le sens de mon commentaire. Être limité à de la reconnaissance faciale quand elle est si peu perfectionnée (normal pour cette gamme) est vraiment un choix dénué de sens. Pour moi il faut absolument un capteur d'empreinte digitale si il n'y a pas de reconnaissance faciale 3D
Oui, malheureusement
Le problème c'est que pour moins cher (tarifs français TTC), il y a le Realme C3 ou encore le Redmi 9... Vu l'écart de performances, difficile de défendre Wiko...
Je me souviens en 2014, le combo parfait était free+Wiko. Si le premier existe encore aujourd'hui et est quasiment au même niveau que les 3 autres, le deuxième se suicide et meurt lentement mais sûrement.
Le problème c'est que pour moins cher (tarifs français TTC), il y a le Realme C3 ou encore le Redmi 9... Vu l'écart de performances, difficile de défendre Wiko...
C'est les smartphone de chez TINNO ( je ne sais pas si les smartphone TEENO leurs appartiennent aussi ) qui sont redesign et rebrand sous la marque WIKO en France.
[…] Fiche produit Voir le test […]
C'est sur, j'avais acheté( c'était plutôt mon père) mon premier smartphone en 2016. C'était un Wiko Sunny a 50€ que j'avais acheté dans un Auchan pendant que j'étais en vacances.
Oups excusez moi n'empêche qu'être limité à de la reconnaissance faciale quand elle est si peu sécurisée n'est pas le rêve de grand monde
C'est clairement fait pour les casual, j'ai un proche qui n’achetè que des wiko en grande surface et franchement il s'en satisfait très bien ( il a un view 2 go actuellement) et pour une durée de vie correcte.
Il ne doit plus rester grand monde dans les bureaux français, la marque a sauvagement taillé dans ses effectifs en fin d'année 2019.
Ca a dû être difficile de lui trouver des points positifs en conclusion pour que vous en arriviez à faire mention d'une prise casque sur un appareil de cette gamme. Pas de capteur d'empreinte, pas d'USB-C et des performances à la ramasse… Beaucoup trop de compromis chez Wiko quand on compare avec ce que la concurrence fait dans la même gamme de prix, pas étonnant que la PdM ne cesse de se réduire en France.
La reconnaissance faciale est présente, 2D certes, mais présente !
tu n'as pas bien lu : "La reconnaissance faciale est heureusement plutôt réactive."
C'est impardonnable l'absence de reconnaissance faciale et de capteur d'empreinte digitale en 2020😒 je veux bien qu'on fasse des sacrifices mais pas ça
Quelques emplois en France après le gros du truc se fait en Chine. Il y a il me semble que la conception faites en France. Après c'est un leurre souvent pr les personnes âgés ou les novices. J'étais dans le rayon technologie à Carrefour récemment et il y avait une dame d'un certain âge qui avait un problème avec son smartphone et en gros le vendeur lui a conseillé d'en reprendre un et c'était un Wiko bien sûr pas donné du tt pr le tarif mais qui était censé faire l'affaire sur les usages basiques selon le vendeur. Donnez un Wiko à un jeune et voyez sa réaction et celles de ses camarades cela ne sera ps la même et ceux même s'il vaut autour 2k son smartphone. Wiko est présent ds les grandes distribution parce que la stratégie c'est de vendre en volume pas forcément à des connaisseur dc il n'y a ps de différence entre acheter une bouteille de coca et un wiko.
Yep pour des gens qui ne s'y connaissent pas du tout haha.
Après je penses que leur force de vente, c'est principalement dans les supermarchés, pour des gens qui n'y connaissent rien en téléphone. Ça peut être un téléphone potable pour une personne qui utilise que des fonctionnalités basiques (appels / SMS / internet).
Je me posais justement la même question, ils sont plutôt coriace a ce que je vois ! Même si leurs téléphones sont nuls, je suis plutôt content qu'ils existent encore, ça fait quelques emplois en France, c'est peut être ça leur seul atout 😁
Ça existe encore Wiko ?
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