Le vidéoprojecteur Horizon Ultra est le premier modèle de Xgimi à proposer une définition Ultra HD et à être certifié Dolby Vision. Il n’a plus grand-chose à voir avec l’Horizon Pro, notamment grâce à son design beaucoup plus abouti et classieux, comme pour mieux se montrer dans le salon ou dans la chambre.
Voulant proposer une installation des plus faciles sur une table basse ou en fond de salle avec des fonctions de correction automatique grâce à son pack de fonction ISA 3.0, ce vidéoprojecteur embarque une source de lumière hybride alliant les avantages du laser et des LED pour une meilleure précision, une luminosité optimale et une bonne gestion des couleurs. Le tout est animé par Android TV sans la certification Netflix. Nous avons pu l’essayer pendant un moment et en voici nos impressions.
Fiche technique
Modèle | Xgimi Horizon Ultra |
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Dimensions | 224 mm x 265 mm x 170 mm |
Définition maximale | 3840 x 2160 pixels |
Taille de l’écran | 200 pouces |
Compatible HDR | HDR10, Dolby Vision |
Ports HDMI | 2 |
Compatible Surround | DTS-HD |
Nombre de haut-parleurs | 2 |
Puissance des haut-parleurs | 24 watts |
Sortie audio | Casques, Haut-parleurs, Optique |
Système d’exploitation (OS) | Android TV |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec un vidéoprojecteur Xgimi Horizon Ultra prêté par la marque.
Design : un vidéoprojecteur à montrer
Alors que l’Horizon Pro possède un design plutôt tout en rondeur avec une grille qui entoure l’appareil, l’Horizon Ultra présente des formes qui n’ont rien à voir. Son format est légèrement rectangulaire avec des arêtes arrondies pour qu’elles ne soient pas saillantes et que l’appareil puisse être pris facilement en main.
On apprécie les couleurs douces avec du beige sur les plaques principales et un revêtement légèrement doré sur les arêtes.
Il se montre plutôt compact avec des dimensions de 26,5 cm de profondeur pour 22,4 cm de large et 17 cm de hauteur. Relativement léger, il pèse seulement 5,2 kg et peut donc être très simplement déplacé. La façade diffère des autres faces puisqu’elle contient la lentille et différents capteurs qui se découvrent à la faveur d’une trappe qui monte et s’abaisse automatiquement dès qu’on allume ou qu’on éteint l’appareil.
Cette plaque est recouverte d’un tissu, dans le même ton que le reste du projecteur, d’un très bel effet. Cela permet de protéger la lentille de l’accumulation de poussière et d’éventuels chocs lorsqu’il est manipulé. Toutefois, de notre point de vue, c’est moins indispensable que pour un vidéoprojecteur à ultra-courte focale, pour lequel ce type d’accessoire manque pourtant cruellement.
Il n’y a pas de patins réglables sous le projecteur qui auraient permis de corriger l’horizontalité de l’image projetée. Non, il s’agit d’un carré de caoutchouc sur lequel doit s’appuyer l’appareil. Ensuite, il faut faire confiance aux systèmes de correction automatique. Notez tout de même la présence d’un pas de vis pour fixer le projecteur sur un support.
L’appareil est livré avec un bloc d’alimentation qui est particulièrement imposant. Il faut en tenir compte lors de déplacements. Xgimi a poussé le côté Premium jusqu’à proposer le même coloris pour le projecteur et les câbles/bloc d’alimentation.
Le modèle prêté par la marque pour réaliser ce test proposait des finitions parfaites et un assemblage exemplaire.
Connectiques
C’est sur la partie arrière que l’on trouve toutes les connectiques. Celles-ci sont regroupées à la base avec, juste au-dessus, une grille d’aération permettant d’évacuer l’air chaud produit par les composants internes. À ce sujet, nous déconseillons d’installer le projecteur directement devant soi à moins de vouloir recevoir un courant d’air chaud régulier…
Pour en revenir aux connectiques, l’Horizon Ultra dispose d’un port Ethernet, de deux ports USB-A 2.0, deux entrées HDMI 2.0b, dont une est compatible eARC, une sortie optique et une sortie analogique jack 3,5 mm. On peut regretter l’absence de HDMI 2.1 et d’un port Trigger 12V qui permet de gérer électriquement l’ouverture d’un écran motorisé. Toutefois, il est possible de profiter de l’audio vers une barre de son, par exemple, via une liaison HDMI depuis la prise eARC.
En outre, le projecteur Xgimi Horizon Ultra est compatible Wi-Fi 6 (802.11ax) et Bluetooth 5.2. Il peut ainsi envoyer le son vers une enceinte ou un amplificateur Bluetooth. Il peut aussi servir d’enceinte indépendante en lui transférant, via Bluetooth, de la musique. Il est également capable de recevoir des contenus sans fil via la fonction Chromecast et on peut compter sur l’intégration de l’assistant vocal de Google.
Écran : libre choix
Le vidéoprojecteur Xgimi Horizon Ultra est livré sans écran. Cela laisse le choix pour écran, mais si le budget est limité, on peut aussi être tenté de l’installer sans écran (en se servant d’un mur comme surface de projection) et donc perdre le bénéfice (important) d’avoir une surface optimisée pour la projection. Comptez entre 500 et 2700 euros environ pour des écrans de différentes tailles dont la surface profite d’un traitement spécifique.
Installation : très facile avec les fonctions de correction automatique
Les vidéoprojecteurs récents proposent de nombreuses fonctionnalités permettant une installation facile. Pour cela, le Horizon Ultra est particulièrement bien équipé puisqu’il embarque la fonction ISA 3.0 (Intelligent Screen Adaptation). Il s’agit d’un pack d’options qui servent à optimiser l’image après avoir posé le projecteur. Ainsi, on peut compter sur l’intégration d’un capteur ToF 3D en façade, capable d’analyser ce qui est présent devant lui et d’adapter automatiquement, en temps réel, les caractéristiques de l’image en corrigeant le trapèze et en décalant le cadre de la projection si des obstacles peuvent gêner tout en adaptant la couleur de l’image en fonction de celle du mur.
Notez aussi au passage une fonction de détection de proximité qui permet de couper automatiquement le faisceau de lumière lorsqu’on passe devant pour ne pas blesser les yeux. Il est possible de désactiver cette fonction.
L’Horizon Ultra se place relativement loin de l’écran (idéalement) ou du mur. Il propose un rapport de projection de 1,2-1,5:1. Le zoom se règle directement depuis la télécommande, comme la netteté. Celle-ci s’est avérée tout à fait pertinente lors de nos tests et nous a proposé des images toujours nettes, jusque dans les coins.
Pour une image d’environ 225 cm en diagonale, comptez sur un recul de 280 cm par rapport à l’écran avec le zoom 1x. Avec le zoom maximal, on obtient une image d’approximativement 280 cm en diagonale pour le même recul.
Interface : Android TV avec son lot d’applications, mais sans Netflix
L’Horizon Ultra de Xgimi fonctionne sous Android TV sans avoir besoin d’un dongle, comme c’est le cas pour le BenQ GP500, par exemple. La page d’accueil présente différents contenus avec les applications les plus couramment utilisées. Plusieurs sont préinstallées et d’autres peuvent être téléchargées depuis la boutique prévue à cet effet, mais le projecteur n’est pas officiellement certifié Netflix et refuse donc l’installation de l’application.
Il est toutefois possible de passer par l’installation d’un fichier APK, au détriment de l’absence de diffusion en définition Ultra HD et du format Dolby Vision. Sinon, il faut passer par un boîtier externe comme la Nvidia Shield, un FireTV Stick d’Amazon ou l’Apple TV, par exemple.
Pour lire des contenus multimédias partagés sur le réseau domestique, on passe par une application comme VLC. Celle-ci a parfaitement réussi à lire différents médias que nous lui avons soumis, même avec une définition Ultra HD à très haut débit.
Nous avons trouvé que l’interface Android TV n’était pas toujours très réactive. Parfois, nous avons constaté quelques ralentissements et avons dû patienter avant de pouvoir accéder à certains menus. Lors de la visualisation des contenus, aucune gêne se fait ressentir. Il faut dire que l’appareil embarque un processeur MediaTek MT55 couplé à seulement 2 Go de mémoire vive, ce qui est plutôt léger.
Après avoir été débranché, comptez une dizaine de secondes pour afficher le logo Xgimi, puis une quarantaine de secondes supplémentaires pour avoir le menu Android TV et pouvoir commencer à naviguer dans l’interface. En sortie de veille, comptez sur un délai de huit secondes pour afficher la page principale du système. Outre les menus d’Android TV, le vidéoprojecteur propose ses propres menus de réglages. Ils sont intuitifs et bien organisés.
L’image en mode subjectif, excellent piqué, mais un contraste faible
Le vidéoprojecteur Xgimi Horizon Ultra embarque une puce DMD 0,47 pouce qui profite d’un système de simulation des images Ultra HD via le traitement XPR de Texas Instruments, comme le BenQ GP500 ou le Screeneo U5 de Philips, pour ne citer qu’eux. Rappelons qu’il s’agit de projeter deux images légèrement décalées à une fréquence extrêmement élevée pour créer l’illusion d’une meilleure définition. Le résultat est très satisfaisant. Comme toujours avec la technologie DLP, on note la présence d’une bordure grise autour de l’image
L’Horizon Ultra possède la particularité d’être doté de deux sources de lumière : laser et LED, alors que les autres modèles embarquent soit l’une, soit l’autre. L’idée ici est de profiter des avantages de ces deux technologies : le laser pour sa précision et sa luminosité, et les LED pour les couleurs. Cela fonctionne très bien et la marque est arrivée à lui faire produire des images qui sont extrêmement flatteuses.
Le projecteur propose plusieurs modes d’image : Standard, Télévision, Film, Sport, Brillant, Personnalisé et Puissance élevée. Le mode Personnalisé permet de modifier la luminosité, le contraste, la saturation, la netteté, le gamma et la température des couleurs, ce qui n’est pas le cas pour les autres modes. On peut également modifier le niveau de compensation des mouvements, le niveau HDR ou de contraste local. Notez que le mode Puissance élevée propose des résultats colorimétriques catastrophiques et déclenche le ventilateur interne qui fait énormément de bruit. Nous cherchons encore l’intérêt d’un tel mode.
Pour ajuster la puissance lumineuse, notez que le projecteur dispose d’une fonction permettant d’adapter automatiquement la luminosité du faisceau en fonction de la luminosité ambiante. En outre, on peut modifier le niveau de luminosité de l’iris entre 1 et 10. Plus cette option sera faible et plus l’image sera contrastée, mais au détriment de la perte de détails dans les zones les plus sombres.
Rappelons que l’appareil est compatible avec le format HDR dynamique Dolby Vision. Il fait l’impasse sur le HDR10+, mais propose une compatibilité avec les sources à métadonnées statiques HDR10/HLG.
La première chose qui frappe lorsqu’on commence à regarder les séquences de démonstration que nous avons l’habitude de visionner pour des tests TV et vidéoprojecteurs, c’est la précision de l’image. La netteté est également à souligner, excellente en réglage automatique, même si on peut ensuite ajuster ce paramètre manuellement.
Pour aller plus loin
HDR10, HDR10+, HLG et Dolby Vision : quelles différences entre les standards HDR ?
Nous avons par ailleurs été particulièrement bluffés par l’excellente colorimétrie proposée par l’appareil avec les réglages par défaut, en ayant tout de même pris soin de régler l’Iris et d’activer la fonction Précision élevée des couleurs. Même en jouant avec l’ouverture de l’Iris (entre 1 et 10), le contraste reste faible. Les scènes classiques que nous visionnons régulièrement lors des tests et qui proposent des images à fort contraste n’arrivent pas à procurer de vrais noirs et on ne parle même pas de profondeur.
Les contenus SDR sont bien reproduits avec une colorimétrie juste et une très bonne fluidité des mouvements. Les tons de peaux sont convenables. En outre, les images HDR, dont celles qui sont Dolby Vision, sont particulièrement performantes. Il est possible de choisir entre le Dolby Vision Dark (pour un visionnage dans une pièce sombre) ou Dolby Vision Bright (pour un visionnage dans une pièce claire).
De plus, on peut régler la dimension de l’écran ainsi que son gain, pour une meilleure précision.
La compensation des mouvements et la mise à l’échelle
La compensation des mouvements est tout à fait satisfaisante avec les séquences que nous avons testées. Elle permet d’optimiser la netteté des objets qui bougent rapidement et pendant les travellings. Les découpages ne sont pas absolument parfaits, car on peut voir quelques décrochages autour des objets aux contours complexes, mais c’est contenu. Les dégradés sont bien gérés. La mise à l’échelle est tout à fait convaincante de notre point de vue. La simulation est très bien réalisée et on profite d’un très beau piqué avec un niveau très élevé de détails.
L’effet Arc-en-ciel
S’agissant d’une technologie de projection DLP, l’effet d’arc-en-ciel est présent, mais particulièrement limité. C’est subjectif, mais nous avons eu l’impression qu’il n’était pas plus visible que sur le Philips Screeneo U5, par exemple. La visibilité de ce phénomène dépend de la sensibilité du spectateur et peut survenir en donnant l’impression de voir de petits arcs-en-ciel (rouge/vert/bleu) sur les contours des objets lumineux sur fonds sombres, voire sur certains sous-titres.
Mesures : colorimétrie fidèle, mais un contraste très bas
Pour nos mesures, nous avons sélectionné le mode Film disponible dans les paramètres. Nous avons également activé la fonction Précision élevée des couleurs. Sans celle-ci, les résultats ne sont pas fidèles du tout. Avec, en SDR, nous avons mesuré un taux de contraste de 431:1, ce qui est plutôt faible et confirme les impressions que nous avons eues lors de nos séquences subjectives. Les noirs paraissent bien délavés et plutôt gris. Le gamma a été relevé à 2,13, ce qui est un peu en dessous de la valeur attendue, mais on peut remarquer que l’appareil suit très bien la courbe de référence, proposant ainsi une bonne justesse des gris, sur tout le spectre, ce qui n’est pas toujours évident. Concernant la température moyenne des couleurs, celle-ci a été mesurée à 6094 K, ce qui est inférieur à la valeur idéale de 6500 K. On a donc droit à des séquences qui sont plus chaudes que ce qu’elles devraient être.
Pour la fidélité des couleurs, les LED jouent leur rôle puisque nous avons obtenu un Delta E moyen de 2,12. Ce résultat est inférieur au seuil de 3, en dessous duquel l’œil humain n’arrive plus à faire la différence entre la couleur demandée et celle affichée. Des optimisations pourraient être trouvées, mais c’est déjà une bonne valeur en sortie de carton.
Avec des contenus HDR, c’est aussi le mode Film qui permet de produire l’image la plus proche du rendu cinéma. Pour la fidélité des couleurs, nous avons mesuré un Delta E moyen de 1,23, ce qui est nettement inférieur au seuil de 3. L’Horizon Ultra propose donc des couleurs fidèles à celles demandées, ce qui est loin d’être toujours le cas pour ce type d’appareil.
Le pic de luminosité a été mesuré à 150 cd/m² pour une image qui fait 100 pouces de diagonale contre 138 cd/m² pour le BenQ GP500, par exemple. Le projecteur propose une luminosité de 511 cd/m² à une distance de 1,5 m de l’écran contre 404 cd/m² pour le BenQ GP500. C’est particulièrement lumineux. On pourra donc utiliser ce vidéoprojecteur dans des pièces qui ne sont pas totalement dans l’obscurité, avec un peu de lumière.
Enfin, pour les couvertures des espaces colorimétriques DCI-P3 et BT2020, nous avons obtenu des valeurs respectives de 97,90 % et 71,50 %, ce qui est excellent. Notez que ces résultats ont pu être obtenus en activant la fonction Précision élevée des couleurs proposée par l’appareil et en sélectionnant le bon espace colorimétrique dans les paramètres.
Gaming : faible input lag au programme
Le vidéoprojecteur Xgimi Horizon Ultra propose un mode Jeu. Une fois activé, il annule les corrections automatiques de l’image, ce qui est désagréable si on a passé du temps à configurer le cadrage. Avec la fonction Boost activée depuis les paramètres, nous avons mesuré un temps de retard à l’affichage (input lag) de 18,5 ms (Ultra HD à 60 images par seconde), ce qui correspond à une image de retard entre le moment où le joueur appuie sur le bouton de la manette et où l’action se déroule à l’écran. C’est très satisfaisant.
Malheureusement, ici, il n’est pas question de la technologie d’optimisation pour le gaming VRR (Variable Refresh Rate).
Audio : un son bien projeté
Le projecteur est équipé de deux haut-parleurs de 12 watts chacun. Ils sont optimisés par Harman Kardon, une référence pour l’audio embarqué. Les haut-parleurs sont installés dans la partie basse de l’appareil. Notez la compatibilité Dolby Atmos et DTS Virtual:X. D’ailleurs, le projecteur est particulièrement efficace avec ce dernier mode qui permet d’obtenir une certaine ampleur du son.
En outre, nous avons été étonnés par la projection du son faite par l’appareil. Lorsque ce dernier est placé juste devant soi, sur une table basse, il donne l’impression que le son provient vraiment de l’écran et non pas du projecteur. Le cas échéant, il y a plusieurs modes sonores : Film, Musique, Sport et Jeu.
La télécommande
Fonctionnant tout d’abord avec un signal infrarouge, la télécommande peut ensuite passer en mode Bluetooth pour un plus grand confort d’utilisation. Plutôt compacte, elle propose un revêtement en aluminium en dessous et sur la partie basse alors que le plastique noir recouvre le reste, là où sont placés les boutons.
Malheureusement non rétroéclairée, on peut compter sur la présence d’un microphone ainsi qu’une organisation bien pensée pour être assez ergonomique. Un bouton spécifique permet d’accéder directement aux réglages de la netteté. L’assistant vocal peut aussi être lancé tout aussi rapidement. Une pression sur la touche Paramètres permet d’afficher les menus de réglage pour configurer l’image, le son et, si nécessaire, d’accéder à toutes les options.
Consommation et nuisance raisonnables
En mode Film, le vidéoprojecteur Xgimi Horizon Ultra consomme 143 watts avec une mire blanche à 100 %. C’est plus que la consommation du BenQ GP500, mesurée à 107 watts dans les mêmes conditions. Étonnamment, nous avons relevé une consommation de 143 watts avec la luminosité (Iris) réglée sur 10 alors qu’avec ce paramètre réglé sur 1 (le moins lumineux), la consommation a grimpé à 197 watts…
Pour la nuisance sonore, nous avons mesuré un bruit de seulement 35 dB en moyenne en étant collé à l’appareil et de 33 dB à 2 mètres de distance, ce qui signifie que le projecteur est très discret. Même placé proche de soi, en bout de canapé, par exemple, on l’entend très peu et il ne nuit pas à la séance.
Conditions du test
Le vidéoprojecteur Xgimi Horizon Ultra testé nous a été prêté par la marque. Il a été testé en association avec un écran Lumene Movie Palace UHD Platinum 300C. Il s’agit d’un modèle spécialement conçu pour les vidéoprojecteurs. Les mesures ont été réalisées avec du matériel professionnel adapté et en face de l’écran afin de limiter les erreurs et de proposer des valeurs en accord avec ce que le spectateur peut réellement voir. Ce protocole est identique pour tous les tests de vidéoprojecteurs afin de pouvoir les comparer.
Prix et disponibilité
Le vidéoprojecteur Xgimi Horizon Ultra est disponible pour un prix de 1899 euros.
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