Qui a dit qu’il fallait nécessairement dépenser plus de 300 euros pour une montre connectée sous Wear OS ? Certainement pas Xiaomi. Après la Xiaomi Watch 2 Pro, sa première montre sous Wear OS, proposée à 270 euros, le constructeur chinois a lancé un modèle plus accessible encore, la Xiaomi Watch 2. Cette montre abordable s’affiche à un tarif plancher pour un modèle connecté de ce type, à tout juste moins de 200 euros. Mais à ce prix-là, la montre est-elle suffisamment équipée ? C’est ce qu’on va voir dans ce test complet.
Fiche technique
Modèle | Xiaomi Watch 2 |
---|---|
Dimensions | 45,9 mm x 47,5 mm x 11,8 mm |
Norme wifi | Wi-Fi 5 (ac) |
Définition de l’écran | 466 x 466 pixels |
Dalle | AMOLED |
Mémoire interne | 32 Go |
Poids | 36,8 g |
Capteur de rythme cardiaque | Oui |
Analyse du sommeil | Oui |
Accéléromètre | Oui |
Capteur de lumière ambiante | Oui |
Indice de protection | 5ATM |
Fiche produit |
La montre de ce test nous a été fournie par Xiaomi.
Un design qui va droit au but
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Xiaomi n’y est pas allé par quatre chemins pour concevoir sa Xiaomi Watch 2. On a affaire ici à une montre connectée au format tout ce qu’il y a de plus classique, sans aucune fioriture.
La montre affiche des dimensions plutôt larges de 47,5 x 45,9 x 11,8 mm (sans le capteur optique), mais cela ne se ressent pas pour autant au poignet. Il faut dire qu’avec 36,8 grammes sans bracelet sur la balance, il s’agit d’un poids plume. À titre de comparaison, la OnePlus Watch 2, testée récemment, pèse quant à elle 54,5 grammes sans bracelet, tandis que la Samsung Galaxy Watch 6 en version 44 mm affiche un poids de 33 grammes.
Sur le papier, cette légèreté s’explique avant tout par les matériaux choisis par Xiaomi pour sa montre. Alors que le modèle de OnePlus utilise par exemple de l’acier inoxydable, celui de Xiaomi se contente d’un alliage d’aluminium. Forcément, ce matériau plus léger aura également tendance à se rayer plus facilement. Néanmoins, cette légèreté a du bon au quotidien. Non pas qu’une montre trop lourde fatigue le poignet, loin de là, mais elle aura tendance à bouger davantage durant l’exercice, son centre de gravité étant plus éloigné du poignet. Ici, la montre étant légère, elle restera plus facilement en place.
Toujours dans cette optique de simplicité, Xiaomi a fait le choix de proposer des contrôles très simples, basés uniquement sur deux boutons en forme de pilule positionnés sur la tranche. Pas de couronne ni de lunette rotative ici, on a une approche similaire à celle de la Galaxy Watch standard. Le bracelet est par ailleurs fixé au boîtier à l’aide de cornes qui viennent prolonger la montre, là encore un choix qui n’est pas sans rappeler le design des montres Samsung. En revanche, on notera que l’écran est intégré un peu grossièrement au châssis, avec une sorte de lunette métallique qui vient faire le lien entre le boîtier en lui-même et la surface en verre. Toujours sur le boîtier, Xiaomi a intégré, du côté des deux boutons, un petit trou où est logé le microphone et, de l’autre côté, une grille de haut-parleur pour les alarmes ou les appels en Bluetooth.
Pour le bracelet, on a droit ici à un format standard de 22 mm de largeur. De quoi vous permettre de changer de bracelet à la volée, d’en acheter de nouveaux chez n’importe quel horloger ou bijoutier ou même de récupérer le bracelet de la montre de grand-tonton. Par défaut, Xiaomi fournit un bracelet en polyuréthane thermoplastique, un matériau plastique souple plutôt adapté pour un usage sportif. Le bracelet de base reprend d’ailleurs la même boucle d’accroche que les modèles de Google, Apple ou Xiaomi, avec un rabat qui vient se caler à l’intérieur du bracelet, entre la bande et la peau. Personnellement, ce n’est pas le système que j’apprécie le plus tant il a tendance à me pincer la peau, mais il a l’avantage indéniable de ne pas laisser de bout de bracelet à l’air libre.
La Xiaomi Watch 2 est enfin une montre certifiée 5 ATM. Autrement dit, on pourra donc l’utiliser sans crainte sous la douche, sous la pluie ou pour de la natation en surface. Elle n’est cependant pas recommandée pour de la plongée en profondeur.
Un écran Oled convaincant
Pour l’écran de sa montre, Xiaomi a opté pour une dalle ronde de 1,43 pouce de diamètre, avec une définition de 466 x 466 pixels. De quoi proposer ainsi une résolution de 326 pixels par pouce. À titre de comparaison, c’est précisément la même densité d’affichage que l’Apple Watch Series 9 ou que la OnePlus Watch 2, tandis que la Samsung Galaxy Watch 6 en version 40 monte à 330 pixels par pouce.
Par ailleurs, la Xiaomi Watch 2 utilise ici un écran Oled, avec un contraste infini. De quoi valoriser les différents écrans logiciels du constructeur qui font la part belle aux fonds noirs. Xiaomi annonce en outre une luminosité maximale de sa montre à 600 cd/m², contre généralement plus de 800 cd/m² pour les modèles haut de gamme. À l’usage, même s’il m’a parfois fallu plisser les yeux pour consulter mes données en plein entraînements, la luminosité de l’écran m’a paru suffisante pour consulter l’affichage en plein jour.
Toujours du côté de la luminosité, Xiaomi n’a pas fait l’impasse sur un capteur de luminosité et l’écran sait s’adapter rapidement à la luminosité ambiante pour moduler sa propre luminosité.
La montre profite par ailleurs d’une mode d’affichage always-on qui va vous permettre d’afficher, en permanence, une version simplifiée du cadran principal de la montre, même lorsque vous ne la regardez pas. Bon point, cet écran always-on peut être programmé à heures fixes — par exemple de 9h à 23 heures — et être coupé automatiquement la nuit. En revanche, si la fonction « lever pour activer » (qui va allumer l’écran lorsque vous levez le poignet) peut théoriquement être programmée elle aussi, j’ai rencontré plusieurs bugs qui empêchaient cette programmation. De fait, pendant la nuit, l’écran continuait à s’allumer lorsque je bougeais mon bras. Il s’agit cependant ici d’un souci logiciel et nul doute que Xiaomi saura le corriger à l’avenir.
Enfin, concernant les cadrans, la Xiaomi Watch 2 embarque nativement plus de 30 modèles. Il est cependant possible de les personnaliser au niveau des teintes, des complications ou d’autres éléments, mais également de télécharger davantage de cadrans depuis le Google Play Store, montre Wear OS oblige.
Une interface qui manque de personnalisation
La Xiaomi Watch 2 embarque une puce Snapdragon W5+ Gen 1 de Qualcomm. Pour rappel, il s’agit du processeur le plus puissant actuellement proposé par l’équipementier américain pour les montres connectées. Il est adossé ici à 32 Go de stockage et 2 Go de RAM. À l’usage, la montre propose ainsi une interface plutôt fluide, même si j’ai pu rencontrer, çà et là, quelques ralentissements, mais jamais suffisants pour rendre l’expérience réellement frustrante.
La montre est par ailleurs équipée du système Wear OS de Google, ici en version 3.5. Étrangement, alors même que Google a rendu disponible Wear OS 4 au printemps dernier, la montre semble donc avoir un an de retard en termes de version logicielle.
Pour naviguer dans les menus de la montre, pas de lunette ni de couronne rotative, il faudra donc se contenter de l’écran tactile et des deux boutons latéraux. Voici les contrôles par défaut de la Xiaomi Watch 2 :
- Glissement vers le bas : accès aux notifications ;
- glissement vers le haut : accès aux paramètres rapides ;
- glissement vers la gauche ou la droite : accès aux cartes des applications ;
- appui simple sur le bouton du haut : ouverture de la liste des applications / retour au cadran d’accueil ;
- appui long sur le bouton du haut : ouverture de Google Assistant ;
- double appui sur le bouton du haut : liste des dernières applications ouvertes ;
- appui simple sur le bouton du bas : retour à la dernière application lancée ;
- appui long sur le bouton du bas : menu de mise hors tension ;
- double appui sur le bouton du bas : ouverture de Google Wallet.
Malheureusement, ces contrôles ne peuvent pas être modifiés dans les paramètres de la montre. Impossible donc de modifier l’une des touches pour qu’elle serve, par exemple, de raccourci à votre application d’entraînement sportif. Tout juste pourra-t-on modifier la mise en page de la liste des applications, avec une vue en forme de grille — un peu comme sur watchOS 10 — ou sous forme de liste. À propos des applications, on pourra d’ailleurs déplorer un certain manque d’homogénéité graphique dans les icônes des différentes applications maison de Xiaomi. Par exemple, l’icône de la boussole semble particulièrement détaillée quand celle de la lampe torche est particulièrement simpliste avec une faible définition.
En revanche, la montre étant équipée de Wear OS, elle est bien sûr compatible avec de nombreuses applications qui peuvent être installées depuis le Google Play Store, disponible directement sur la montre. Vous pourrez y retrouver non seulement des applications pour le sport, comme Strava, Komoot ou Nike Run Club, mais également pour la productivité, comme WhatsApp, Bring ou Citymapper, ou même pour écouter de la musique, comme YouTube Music, Spotify ou Deezer.
L’application Mi Fitness
Comme c’était déjà le cas pour la Xiaomi Watch 2 Pro, la Xiaomi Watch 2 se configure depuis l’application Mi Fitness disponible sur smartphones Android. Malheureusement, comme toutes les montres Wear OS depuis quelques années, la montre n’est par ailleurs par compatible avec les iPhone et ne pourra donc pas être utilisée appairée à un smartphone Apple.
L’application Mi Fitness est en fait découpée en quatre rubriques : santé (avec les données de la journée), entraînement (pour lancer un exercice depuis le smartphone), appareil (pour contrôler la montre) et profil (pour modifier vos données).
En ce qui nous concerne, pour la gestion de la Xiaomi Watch 2, c’est surtout l’onglet « appareil » qui nous intéresse ici. On va pouvoir y modifier le cadran de la montre, gérer les applications autorisées à transmettre leurs notifications vers la Xiaomi Watch 2, faire des captures d’écran et gérer de nombreux paramètres également accessibles depuis la montre comme les mesures de la fréquence cardiaque, de stress ou de sommeil, l’activation des modes always-on ou lever pour activer, ou paramétrer l’appel d’urgence.
Dans l’ensemble, l’application Mi Fitness est plutôt simple à appréhender et on apprécie les nombreux paramètres proposés qui vont permettre de gérer la montre sans avoir nécessairement à naviguer dans ses nombreux menus sur un petit écran.
Un suivi sportif un peu trop léger
Pour les mesures de santé et d’activité, la Xiaomi Watch 2 reprend la plupart des capteurs que l’on trouve désormais sur les montres connectées. Si elle n’est pas dotée d’un électrocardiogramme ou d’une mesure de la tension, elle est cependant équipée d’un cardiofréquencemètre optique (fréquence cardiaque), d’un oxymètre optique (SpO2), d’un accéléromètre et d’un gyroscope (mouvements et nombre de pas), d’une boussole et d’un baromètre (altitude). La montre est par ailleurs capable nativement de suivre plus de 160 sports avec la détection automatique d’exercices pour certains d’entre eux.
Elle va également pouvoir analyser la fréquence cardiaque en continu, tout comme la saturation en oxygène dans le sang, mais également le suivi du sommeil et du niveau de stress.
Enfin, depuis l’application Mi Fitness, il est possible d’exporter automatiquement les données d’entraînement enregistrées par la montre de Xiaomi vers Strava, comme c’était déjà le cas, mais également vers l’application du constructeur de montres de sport Suunto.
La précision du GPS de la Xiaomi Watch 2
En plus des capteurs dédiés spécifiquement au suivi de santé, la Xiaomi Watch 2 embarque également une puce GPS pour le suivi de la géolocalisation, aussi bien sur les applications que pour vos entraînements sportifs. Il s’agit ici d’une puce multi-GNSS (compatible GPS, Galileo, Glonass, Beidou et QZSS) et multibande (L1+L5).
Pour vérifier la précision de cette puce, j’ai porté la montre à mon poignet pendant trois sessions de course à pied, pour un total de plus de 30 kilomètres, aussi bien dans un bois que dans les rues de Paris ou sur piste. J’ai ensuite comparé la distance et le tracé obtenu avec les données de la Garmin Forerunner 255, une montre de sport particulièrement précise, utilisée ici comme référence.
Courses | Référence | Xiaomi Watch 2 | Écart |
---|---|---|---|
Course 1 | 11,255 km | 11,062 km | -1,71 % |
Course 2 | 13,285 km | 13,053 km | -1,75 % |
Course 3 | 7,106 km | 7,128 km | +0,31 % |
Total | 31,646 km | 31,243 km | -1,27 % |
Dans l’ensemble, on constate sur les deux premières sorties, une tendance de la montre à raccourcir considérablement la distance parcourue. Un écart de 1,75 %, sur une distance comme le marathon, va représenter une différence de l’ordre de 750 mètres et les allures seront faussées d’autant. Cette différence s’explique par le fait que ces deux séances ont été courues sur pistes, alors que la montre avait tendance à couper à travers les courbes comme on le voit ci-dessous.
La troisième séance a mieux été analysée, probablement parce que je courais autour d’un lac, dans un endroit dégagé. La montre a alors sur analyser correctement le parcours et ne pas chercher systématiquement à prendre au plus court.
La précision de la fréquence cardiaque de la Xiaomi Watch 2
Pour évaluer la précision du capteur optique de fréquence cardiaque, au dos de la Xiaomi Watch 2, j’ai là aussi couru à plusieurs reprises avec la montre au poignet. J’ai ensuite comparé les mesures de fréquence cardiaque de la Xiaomi Watch 2 avec celles relevées par une ceinture thoracique utilisant les signaux électriques du cœur, la Garmin HRM-Pro, par définition plus fiable que n’importe quelle montre à capteur optique.
Pour proposer une analyse globale du suivi de fréquence cardiaque, j’ai d’abord couru pendant 45 minutes à allure constante, sans variation d’intensité ou de vitesse.
Mesure de référence | Xiaomi Watch 2 | Écart moyen | Écart moyen après 10 min | |
---|---|---|---|---|
FC moyenne | 152 bpm | 152 bpm | +0,33 % | -0,15 % |
FC max | 163 bpm | 163 bpm |
Sur ce premier test, la montre était à la peine pendant les 10 premières minutes, luttant pour mesurer une fréquence cardiaque fiable. Néanmoins, après ces dix premières minutes particulièrement ardues, la montre a su proposer des données très proches de celles de la ceinture Garmin.
Mesure de référence | Xiaomi Watch 2 | Écart moyen | Écart moyen après 10 min | |
---|---|---|---|---|
FC moyenne | 166 bpm | 167 bpm | +0,59 % | +0,53 % |
FC max | 185 bpm | 189 bpm |
En revanche, sur un exercice plus intense, avec de fortes variations d’intensité, la montre de Garmin a eu bien du mal à suivre l’allure. Notons déjà, comme sur le premier test, de grosses erreurs sur les dix premières minutes. Ensuite, lors de mes accélérations, ma fréquence cardiaque s’emballait logiquement. Or, la montre de Xiaomi avait bien souvent du retard, ce qui l’a empêché, au bout de cinq intervalles, de mesurer correctement ma fréquence cardiaque durant les phases de récupération.
Dans l’ensemble, si le suivi GPS peut être plutôt correct, le suivi de la fréquence cardiaque est quant à lui bien à la traîne et ne sera pas des plus conseillés pour les entraînements sportifs, du moins pas si vous souhaitez des données précises.
Une autonomie suffisante
Pour alimenter sa Watch 2, Xiaomi y a intégré une batterie plutôt conséquente de 495 mAh. Sur le papier, le constructeur promet, grâce à elle, une autonomie pouvant atteindre les 65 heures.
Dans les faits et avec un usage plutôt poussé, j’ai logiquement atteint une autonomie plus faible. Comme pour tous les tests d’autonomie sur Frandroid, j’ai activé le mode écran always-on en permanence la journée, tout comme la fonction « lever pour activer ». J’ai également activé un suivi en continu de la fréquence cardiaque, les suivis de la SpO2 et du stress toute la journée, et les suivis du sommeil et du score respiratoire la nuit. J’ai par ailleurs couru avec le GPS activé pendant 1 heure et 7 minutes.
Avec tous ses paramètres plutôt énergivores, j’ai néanmoins pu utiliser la Xiaomi Watch 2 pendant 51 heures avant qu’elle ne tombe à court de batterie, soit un peu plus de deux jours. Autant dire que c’est un excellent score, même si Xiaomi y a mis les moyens avec une batterie plutôt conséquente malgré un poids léger. À titre de comparaison, c’est la même autonomie que sur la TicWatch Pro 5 et elle n’est devancée, du côté des montres sous Wear OS, que par la OnePlus Watch 2 (62 heures) et la Galaxy Watch 5 Pro (52 heures).
Pour la recharge, Xiaomi fournit un câble avec une base magnétique d’un côté et une connectique USB-A de l’autre. La montre n’est malheureusement pas compatible avec la charge sans fil par induction Qi. Si le constructeur communique sur une charge complète en 45 minutes, j’ai pu mesurer, de mon côté, 37 minutes pour une charge de 0 à 100 %.
Appel et communication
La Xiaomi Watch 2 se connecte au smartphone en passant par le protocole Bluetooth en version 5.2. La montre profite par ailleurs d’une connexion Wi-Fi 2,4 et 5 GHz et peut donc se connecter toute seule aux réseaux Wi-Fi enregistrés sur votre smartphone, par exemple pour télécharger des applications ou des mises à jour logicielles.
La montre profite également du paiement sans contact grâce à une puce NFC. En revanche, elle n’est pas équipée de puce eSIM et ne pourra donc pas être utilisée individuellement, sans smartphone avec vous.
Concernant la géolocalisation, comme on l’a vu la montre est compatible avec le GPS à double fréquence et avec les constellations GNSS Beidou, Galileo, Glonass et QZSS.
Pour les appels téléphoniques, la Xiaomi Watch 2 est dotée d’un micro et d’un haut-parleur et peut donc être utilisée pour passer des appels en Bluetooth avec votre smartphone dans la poche. Premier constat, malheureusement Xiaomi ne semble pas avoir optimisé logiciellement cette fonction et, durant mes tests, mon interlocuteur m’a indiqué qu’il entendait son propre écho retransmis par le haut-parleur de la montre, — et ce même lorsque le micro aurait dû être coupé parce que je ne parlais pas.
La Xiaomi Watch 2 s’en sort sinon plutôt bien pour les appels, malgré une captation légèrement compressée de la voix. Elle parvient également à supprimer efficacement les bruits ambiants, même si cela vient avec une légère détérioration de la voix, mais sans perte d’intelligibilité.
Pour le haut-parleur, la Xiaomi Watch 2 peine quelque peu à monter en volume sonore, à moins de pousser le volume au maximum. Ça reste mieux que sur la Pixel Watch, mais une certaine saturation accompagne cette montée en volume.
Prix et date de sortie
La Xiaomi Watch 2 est déclinée en deux coloris : noir ou blanc. Contrairement aux montres d’Apple ou de Samsung, elle n’est proposée qu’en un seul format et aucune déclinaison 4G n’est par ailleurs proposée. La Xiaomi Watch 2 est affichée au tarif de 199,99 euros en France.
Ce contenu est bloqué car vous n'avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par Disqus.
Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l'usage étant opéré par Disqus avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l'amélioration des produits d'Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l'audience de ce site (en savoir plus)
En cliquant sur « J’accepte tout », vous consentez aux finalités susmentionnées pour l’ensemble des cookies et autres traceurs déposés par Humanoid et ses partenaires.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment. Pour plus d’informations, nous vous invitons à prendre connaissance de notre Politique cookies.
Gérer mes choix