
Si vous voulez un smartphone au design sage, polyvalent et pas cher, prenez un Redmi. Si vous cherchez avant tout la puissance et une finition plus agressive pour un prix modique, Poco vous tend les bras. Voilà ce qui pourrait être la définition de Xiaomi pour ses smartphones d’entrée de gamme.
Le Poco X7 succède au Poco X6 qui était un bon rapport qualité/prix l’an dernier. Et il redouble d’efforts en proposant une fiche technique améliorée sur presque tous les points.
Avec un tarif de base à moins de 300 euros, il a la chance d’être un excellent smartphone d’entrée de gamme de ce début d’année.
Fiche Technique
Modèle | Xiaomi Poco X7 |
---|---|
Dimensions | 74,42 mm x 162,33 mm x 8,4 mm |
Taille de l’écran | 6,67 pouces |
Technologie | AMOLED |
SoC | Mediatek Dimensity 7300-Ultra |
Puce graphique | Mali G615 |
Stockage interne | 256, 512 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 50 Capteur 2 : 8 Capteur 3 : 2 Mp |
Capteur photo frontal | 20 Mp |
Wi-fi | Wi-Fi 6 (ax) |
Bluetooth | 5.4 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capacité de la batterie | 5110 mAh |
Poids | 185,5 g |
Couleurs | Noir, Vert |
Fiche produit |
Design
Malgré sa grande dalle de 6,67 pouces, le Poco X7 offre un format agréable en main grâce à son ratio 20:9 qui limite sa largeur. L’écran incurvé sur les côtés contribue également à une meilleure préhension. En sus, le smartphone est bien équilibré et on peut l’utiliser longtemps avant d’avoir mal à l’avant-bras. Son poids de 190 grammes y est pour quelque chose.

Et côté prise en main, on a aussi le dos en similicuir sur notre modèle de test. Il offre une bonne accroche. Biton jaune et noir avec de fausses surpiqûres, il est plutôt bien réalisé et donne un caractère racé à l’appareil qui ne reflète absolument pas le véritable prix du Poco X7.
Le contour du téléphone est quant à lui en plastique gris foncé brillant. Il présente un effet anodisé sur les parties haute et basse qui lui confère un aspect plus premium.
L’imposant module photo situé au dos différencie clairement le X7 du X7 Pro, où il est placé à gauche et se fait plus discret. Ce choix de design souligne l’orientation photo du X7, tandis que le Poco X7 Pro met l’accent sur les performances. Le module abrite trois objectifs photo et un flash, le tout cerclé d’un liseré doré qui rappelle la couleur de la police d’écriture du logo POCO.

Ce logo, justement, est centré en partie basse à l’arrière. Large, imposant et doré, il s’étale sur la hauteur et est impossible à rater. Un parti pris ostentatoire qui affiche clairement l’identité de la marque.
Sur la tranche droite, on retrouve les boutons d’alimentation et de volume. La partie inférieure du téléphone accueille le tiroir SIM (pouvant accueillir deux nanoSIM), un port USB-C et un haut-parleur.

Le Poco X7 bénéficie d’une excellente protection grâce au Gorilla Glass Victus 2 qui recouvre son écran. Il est également certifié IP68, garantissant une résistance totale à l’eau et à la poussière. On apprécie la présence d’une protection d’écran posée en usine, même si elle a tendance à accrocher les traces de doigts.
Enfin, le capteur d’empreintes digitales, situé sous l’écran, réagit bien mais son positionnement un peu trop bas pourrait gêner certains utilisateurs. On a aussi de la reconnaissance faciale, mais rappelons qu’elle n’est que 2D puisqu’il n’y a qu’un capteur selfie à l’avant. Un schéma ou un code sera toujours plus sécurisé.
Écran
Le Poco X7 est équipé d’une dalle Amoled de 6,67 pouces. Elle est incurvée sur ses côtés et au format 20:9, ce qui la rend particulièrement agréable pour regarder films et séries. La prise en main est aussi améliorée par une largeur réduite.

Compatible 120 Hz, elle peut basculer de 60 à 120 Hz automatiquement en fonction des contenus affichés. Le mode de rafraîchissement par défaut fait malheureusement tout à l’envers. Le 120 Hz ne s’active que sur l’interface d’HyperOS, ses menus et le volet Google Actus, mais on tombe à 60 Hz sur les applications sur lesquelles on défile beaucoup comme Chrome, Twitter ou encore Instagram. Pour inverser la tendance, il faut changer de paramètre dans le menu affichage et passer à « taux d’actualisation jusqu’à 120 Hz » et non le mode dynamique.
Concernant la calibration de l’écran, nous l’avons soumis à l’épreuve de notre sonde couplée au logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Display.

Le Poco X7 récolte de très bons résultats avec une excellente justesse des couleurs en SDR (DeltaE moyen de 2,1) et HDR (DeltaE moyen de 5,6). Et ça continue avec la température colorimétrique qui est presque neutre, puisque mesurée à 6607K pour 6500K visés. Le blanc est vraiment blanc. Précisons que l’on n’a pas ces résultats au déballage. Il faut opter pour le mode colorimétrique standard et basculer la température en mode froid.
Xiaomi promet que son appareil parvient à couvrir l’espace DCI-P3 à 100 % et donc afficher toutes ses nuances de couleurs. C’est vrai puisque l’on mesure de notre côté 101%.
Côté luminosité, la promesse est de 1200 nits lorsqu’il doit pousser sa luminosité et 3000 nits en pic. Cette dernière valeur nous ne l’avons jamais trouvé malgré notre lampe de studio de 50 000 lumens. On atteint un peu plus de 1070 nits en SDR et HDR, ce que l’on considère comme acceptable pour un smartphone de ce niveau de prix.
Performances
Xiaomi intègre le Dimensity 7300 Ultra dans son Poco X7. C’est le même SoC que l’on retrouve dans son cousin, le Redmi Note 14 5G.
Différence notable, pour le prix demandé par le Poco X7, difficile de trouver un smartphone plus véloce. Il met à l’amende tous ses concurrents.
Dans notre liste de benchmarks, il parvient à surpasser les Galaxy A35 et Nothing Phone (2a), deux smartphones pourtant plus onéreux.

À l’usage, on n’observe pas de ralentissements dans l’interface d’Hyper OS. Tout est parfaitement fluide. Même la prise de photo est rapide, sans pour autant pouvoir prendre des rafales.
En jeu, parce que c’est tout de même la cible de Poco, on a aussi une bonne surprise. Sur Genshin Impact, en poussant toutes les options graphiques au maximum, on tourne en moyenne à 45 fps. Quelques chutes à 30 fps sont à noter.
Pour avoir ce framerate, il faut en revanche activer le Game Boost, dans le menu latéral. Celui-ci vient doper les performances au détriment de l’autonomie et de la chauffe.

Néanmoins, rien de dommageable puisque Xiaomi a bien étudié sa proposition. Contrairement au Poco X7 Pro qui a tendance à chauffer, ici on reste aux alentours de 35°C au point le plus chaud (au niveau du module photo). Rien d’insupportable donc. On note aussi que la chaleur est bien dégagée du SoC qui n’a pas à souffrir de bride automatique lorsqu’il est trop solicité. Dans notre cas, les performances restent proches de 100 % si l’on excepte quelques petites chutes à 80 %. Bref, c’est une machine bien huilée.
Logiciel
La boucle est bouclée, le Poco X6 était le dernier de cette gamme à être lancé sous MiUI.
Son successeur a droit dès sa sortie de boîte au nouveau logiciel de la maison Xiaomi, à savoir HyperOS. Attention, un petit retard subsiste puisqu’on n’a droit ici qu’à Hyper OS 1.0, la version 2.0 n’étant que sur le Poco X7 Pro.
De fait, on est privé de certaines évolution du système, dont des changements dans l’interface, la meilleure interconnectivité entre appareils Xiaomi ou encore les optimisations de performances qui permettent notamment à l’appareil d’être plus endurant.
Et puis il y a les fonctions IA qui se font aussi plus discrètes. Juste quelques-unes en édition photo : améliorer, étendre, effacer et ciel. Problèmes, elles sont quasi toutes inopérantes. Seule la gomme magique fonctionne lorsqu’on n’utilise pas son mode Pro. C’est lui qui semble poser problème ici. La transformation du ciel est aussi valable, mais avec des résultats improbables. Le reste mouline tant qu’il peut.
Ces fonctions mises à part, on passe tout de même le plus clair de son temps sur l’interface générale. Et Hyper OS est toujours aussi agréable à utiliser. On a une interface qui répond bien, sans ralentissement notable. Le menu déroulant du haut est désormais scindé en deux avec d’un côté les paramètres et de l’autre les notifications. Pratique.
Les menus, colorés, sont aussi bien rangés. Seul regret, et c’est une habitude chez Xiaomi, le premier démarrage est un peu pourri par une kyrielle d’applications préinstallées.
Et elles vont vous chercher jusque sur l’interface globale. À savoir que le magasin d’apps de Xiaomi propose automatiquement des jeux à télécharger.
En tout, on compte une quinzaine de ces applications. Une fois désinstallées, on peut enfin profiter des qualités d’HyperOS, toujours aussi personnalisable d’ailleurs avec de nombreux thèmes.
Enfin, Xiaomi dote son appareil de trois ans de mises à jour Android et de quatre ans de patchs de sécurité. C’est une moyenne basse, mais qui reste en accord avec le prix demandé.
Photo
Gros module, grosse photo ! S’il n’est pas un Redmi Note 14 Pro 5G, lui radicalement orienté photo à petit prix, le Poco X7 n’est pas pour autant laissé à l’abandon de ce côté.

Il est équipé de trois objectifs :
- un grand-angle de 50 Mpx (sans doute son meilleur argument) avec stabilisation optique,
- un ultra grand-angle de 8 Mpx
- et un capteur macro de 2 Mpx.
L’avant est completé par un capteur selfie de 20 Mpx.
A-t-il cette polyvalence que l’on cherche sur tout bon smartphone ? Et bien il n’en est pas loin. Bien entendu, je dis cela en gardant en tête son prix abordable.
Grand-angle
Les photos prises avec son capteur principal sont loin d’être médiocres. Xiaomi peut dire merci à Sony qui prête ici son capteur IMX882. Il a notamment pour avantage d’avoir un rendu plutôt chaud, plus proche de la réalité que les capteurs Samsung. Les photos sont colorées, nettes et avec un bon piqué. Attention tout de même sur une scène exposée, les zones blanches peuvent être un poil grillées.
De nuit, le résultat est plus mitigé. Il faut que les conditions lumineuses soient rassemblées si l’on souhaite trouver une photo exploitable. Ici, l’école était totalement dans la pénombre, à peine éclairée par les lampadaires derrière moi. C’est une scène compliquée et le résultat n’est d’ailleurs pas terrible. Si l’on ajoute de la lumière, en revanche, le X7 se débrouille plutôt bien malgré un bruit certain et un niveau de détails qui chute comparé aux photos de jour.
Portrait
Le mode portrait propose deux plans : un large et un rapproché. Le second me convient plus. J’y trouve des détails mieux retranscrits, comme ici les petites rides sous les yeux. Le détourage est opérationnel, mais manque sans doute d’une transition plus fine.
De nuit, le plan serré est aussi mieux, mais des détails s’égarent avec la lumière faiblissante. En revanche, le bokeh est étonnament plus précis, ne coupant pas, par exemple, ce petit fil dépassant de ma casquette.
Zoom
Pas de téléobjectif sur le Poxo X7. Néanmoins, son capteur principal permet de zoomer numériquement jusqu’à x20 de jour et x10 en mode nuit. Pas de surprise ici, les plus forts grossissements ne sont pas très heureux. Pour des résultats exploitables, on s’arrêtera au x4.
Mais même en x2 et x4 on notera que l’IA est clairement à l’oeuvre. On observe quelques halos autour des lettres de la gare de Saint Étienne, par exemple, en regardant le cliché en taille réel. Néanmoins, en vision classique sur un écran d’orginateur ou un smartphone, ça fait le job. Seul perte par rapport à la focale de base, une colorimétrie un peu moins saturée.
De nuit, on peut monter en x2 dans un environnement éclairé. Au-delà, on a trop de bruit sur le x4 et de la bouillie de pixel sur le x10.
Ultra grand-angle
Xiaomi opte pour un autre capteur Sony sur son objectif ultra grand-angle. C’est l’IMX355 qui est à la manoeuvre. Il n’est pas vraiment optimal pour shooter des personnes ou animaux, mais bien plus à l’aise dans des photos globales, des paysages, des scènes larges.
Là, il offre un beau résultat avec une colorimétrie moins saturée que le capteur principal, mais aussi un peu plus réaliste, soyons honnête. Les déformations sur les bords sont plutôt bien maîtrisées mais pas totalement supprimées. Le niveau de détail est plutôt bon pour un ultra grand-angle à ce prix.
Après le coucher du jour, le constats est bien plus amère. Lumières obligatoires et même avec on a des textures qui bavent et un petit manque de dynamisme.
Macro
Le capteur macro reste anecdotique. De 2 mégapixels, il ne récupère pas beaucoup d’informations. Amusant sur quelques clichés avant d’être oublié. Surtout, il ne bascule pas automatiquement lorsque l’on s’approche trop. Il faut l’activer manuellement dans le menu haut de l’appareil photo.

Selfie
À l’avant, le capteur de 20 mégapixels ne cherche pas à en mettre plein les yeux. Il sert à prendre des photos à partager rapidement. Le rendu n’est pas mauvais, avec une jolie colorimétrie d’ailleurs. Mais il souffre d’une pauvre définition et d’un manque de détails. Pire, on voir même quelques artéfacts comme ici à côté de l’oreille droite.


De nuit, les selfies ne sont pas aussi mauvais qu’on aurait pu imaginer. Il y a du détail malgré la faible luminosité. Pas de bruit, mais le capteur peut se perdre sur certaines textures comme la laine de la casquette dont la reproduction de la trame peut paraître un peu brouillon.
Vidéo
Le Poco X7 peut filmer en 4K à 30 fps et Full HD à 60 fps. Sans stabilisation on a un rendu tout à fait honnête qui pourrait gagner à être un peu plus exposé.
Toutes les stabilisations optiques ne se valent pas. Celle du Poco X7 est fonctionnelle en limitant les mouvements de l’image, mais au détriment par moment de la colorimétrie qui peut observer, elle, quelques sauts. Rien de dommageable à ce prix néanmoins.
Audio
Malgré son faible prix, le Poco X7 n’a pas de sortie minijack. Non, le son doit y sortir en Bluetooth ou via le port USB-C. Ou encore via les deux enceintes certifiée Dolby Atmos !

Bon, bien sûr que ce n’est que du marketing. Le son n’est pas enveloppant. Cependant, il serait injuste de dire qu’il est mauvais. Surtout, Xiaomi a la délicatesse de bien utiliser deux haut-parleurs et pas un plus fort que l’autre. On a donc un bel équilibre dans la balance. Certes, ça manque de basses, mais ce qui sort du téléphone est audible, sans distortion.
Réseaux et communication
Le Poco X7 est compatible 5G, mais pas 5G NSA/SA comme le Poco X7 Pro.
Autre différence entre les deux, le Bluetooth qui n’est que 5.4 contre 6.0 sur le modèle plus cher. Idem pour le Wi-Fi avec du Wi-Fi 6 sur le X7 et du Wi-Fi 7 sur le Poco X7 Pro.
En appel, les communications sont limpides tant qu’il n’y a pas de perturbations. Lorsqu’elles surviennent, on entend le traitement de réduction de bruit s’appliquer pour réentendre ensuite distinctement la voix au prix d’une légère compression. En somme, le X7 fait le boulot, mais il prend son temps.
Autonomie
5110 mAh, voilà la capacité posée sur la table. Bon ce n’est que 10 mAh que sur le Poco X6, mais son autonomie n’était pas mauvaise.
Ici, on a un smartphone qui tient la dragée aux modèles plus haut de gamme. Logique, sa configuration est aussi moins gourmande. Dans notre batterie de test, on mesure une baisse de 14% de l’autonomie après une demie-heure de jeu sur Genshin Impact. En streaming vidéo, ce sont 11% qui se sont envolés après les 2h30 d’Inglorious Bastards sur Netflix en Wi-Fi.

Des résultats qui sont à associer à l’usage à plein temps. Là, on tient deux jours, ou une journée et demie si l’on force sur le gaming ou la vidéo. En tout cas, pas de souci de batterie avec ce smartphone.
C’est plus sur la charge qu’on l’épinglera. Le Poco X6 était compatible 67 Watts. Son successeur doit se contenter de 45 Watts. Comptez 50 minutes pour une charge complète contre 30 minutes sur son aîné.
Et en plus l’Union européenne interdit désormais la vente du chargeur avec le téléphone. On est perdant sur tous les points.
Prix et disponibilité
Voilà une bizzarerie qui doit arriver lorsque l’on lance trop de smartphones à la fois. Avec cinq Redmi et deux Poco, Xiaomi devait bien réussir à s’emmêler les pinceaux sur les fiches techniques. C’est le cas entre le Poco X7 et le Redmi Note 14 Pro 5G.

Ils partagent strictement les mêmes caractéristiques sur presque tous les plans. Seule la partie photo diffère à l’avantage du Redmi avec un capteur principal de 200 Mpx.
Mais pour le reste c’est bonnet blanc blanc bonnet, même sur les dimensions. En revanche, le prix n’est pas du tout identique :
- Poco X7 12/512 Go : 323 euros
- Redmi Note 14 Pro 5G 12/512 Go : 413 euros
90 euros de différence, c’est le prix pour un volet photo un peu plus développé et un design moins tape-à-l’oeil et c’est discutable.
Le Poco X7 est aussi disponible en version 8/128 Go pour 273 euros et même 253 euros actuellement via un coupon sur le site de Xiaomi.
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