Chez le constructeur chinois Xiaomi, les smartphones dédiés aux joueurs sont regroupés dans la gamme Poco. La vocation de ces derniers est de fournir aux passionnés de loisirs ludiques l’équipement le plus performant possible, avec toujours le souci de ne pas (trop) faire exploser la facture (car tous les gamers ne peuvent pas investir 1300 € dans un Asus ROG Phone 9 Pro).
Dans la gamme Poco, on trouve plusieurs modèles, dotés d’un équipement plus ou moins performant, afin de couvrir un large éventail de prix. Par exemple, si les Poco X7 et Poco X7 Pro sont particulièrement abordables, car vendus respectivement à partir de 250 € et 370 € (avec 8 Go de mémoire et 256 Go d’espace de stockage), les smartphones de la série Poco F le sont un peu moins, en raison d’un équipement plus sophistiqué. En particulier, le Poco F7 Ultra corrige certaines lacunes des Poco X7, en apportant — entre autres — un téléobjectif et la charge sans fil.

D’ailleurs, si l’année dernière, Xiaomi proposait le Poco F6 et le Poco F6 Pro, le constructeur désire manifestement hausser le niveau de ces smartphones pour 2025, puisque les deux nouveaux modèles sont estampillés Poco F7 Pro et Poco F7 Ultra.
Les différences entre le Poco X7 Pro et le Poco F7 Ultra, qui est l’objet de ce test, justifient-elles un prix deux fois plus élevé ? Ce dernier est-il vraiment plus performant lorsqu’il s’agit de jouer ? Quelles sont les améliorations apportées par ce nouveau modèle par rapport au Poco F6 Pro ? C’est ce que nous allons voir.

Fiche technique
Modèle | Xiaomi Poco F7 Ultra |
---|---|
Dimensions | 74,95 mm x 160,26 mm x 8,39 mm |
Interface constructeur | HyperOS |
Taille de l’écran | 6,67 pouces |
Définition | 3200 x 1440 pixels |
Densité de pixels | 526 ppp |
Technologie | AMOLED |
SoC | Qualcomm Snapdragon 8 Elite |
Puce graphique | Qualcomm Adreno 830 |
Stockage interne | 256, 512 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 50 Capteur 2 : 50 Capteur 3 : 32 Mp |
Capteur photo frontal | 32 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K @ 60 fps |
Wi-fi | Wi-Fi 7 (be) |
Bluetooth | 6.0 |
5G | Oui |
NFC | Oui |
Capteur d’empreintes | Sous l’écran |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 5300 mAh |
Poids | 212 g |
Couleurs | Noir, Jaune |
Fiche produit |
Un design sophistiqué, mais pas très gamer
Le Poco F7 Ultra ne manque pas de charme, avec son dos en verre incurvé sur les quatre bords. Disponible en noir ou en jaune, comme une corvette ou une Lamborghini (il ne manque que le rouge Ferrari !), il arbore une apparence mate, qui ne retient pas les traces de doigts (tout du moins sur le modèle jaune que nous avons reçu).

La partie supérieure, où se trouve le bloc optique, est légèrement différente du reste du boîtier, car un peu plus brillante. Mais ce n’est pas flagrant sur la version jaune.
Pour le reste, le smartphone possède des bords plats métalliques, ainsi qu’un bloc optique rond et décentré, doté d’un double cerclage en aluminium, noir et doré, qui lui confère une touche sophistiquée, assez séduisante.

L’écran est protégé par le « Poco Shield Glass », un revêtement à priori plus résistant que celui qui équipe son petit frère, le Poco F7 Pro (Corning Gorilla Glass 7i). Seule une petite ouverture, en forme de poinçon, est visible dans l’écran. Celle-ci, très discrète, abrite l’objectif photo frontal.
D’autre part, le Poco F7 Ultra est certifié IP68 (comme le Poco X7 Pro), ce qui est le gage d’une étanchéité totale à l’eau et à la poussière. Il s’agit d’une amélioration significative par rapport au Poco F6 Pro, qui n’était pas étanche (certification IP54 seulement).
Le reste de l’équipement comprend un lecteur d’empreintes digitales ultrasonique placé sous l’écran et deux haut-parleurs qui permettent de restituer le son en stéréo, avec une qualité correcte, sans plus (comme très souvent).
Et aucune prise casque n’étant présente, il faut utiliser un casque ou des écouteurs Bluetooth pour éviter de gêner ses proches si on désire écouter de la musique, regarder une vidéo ou affronter ses adversaires dans Fortnite ou PUBG, voire même se faire une séance de pilotage endiablée avec Asphalt ou Mario Kart.
Écran : une excellente couverture colorimétrique !
L’écran OLED de 6,67 pouces de diagonale du Poco F7 Ultra supporte une définition d’affichage QHD+, soit 3200 x 1440 pixels (comme sur le Poco F6 Pro). Cela lui permet d’offrir des images plus précises que celles affichées par d’autres smartphones, dont la définition d’affichage est limitée à 2712 x 1220 pixels (Poco X7 Pro) ou 2800 x 1272 pixels (comme Oppo Reno 13 Pro).

Bon point, on a la possibilité d’utiliser un mode moins précis (2400 x 1080 pixels), afin d’économiser de l’énergie lorsqu’on utilise une application qui ne nécessite pas vraiment la très haute définition (écouter de la musique, regarder des vidéos Full HD sur Youtube, etc.).
D’autre part, en ce qui concerne la fréquence d’affichage, le Poco F7 Ultra se contente du mode 120 Hz, au mieux. Le smartphone fait l’impasse sur des fréquences plus élevées, comme le mode 144 Hz proposé par le Redmagic 10 Pro, ou le mode 165/185 Hz de l’Asus ROG Phone 9 Pro. Comme toujours, par défaut, la fréquence d’affichage du smartphone s’adapte à l’application utilisée (60 Hz ou 120 Hz). Pas de LTPO ici.
Le constructeur annonce que la luminosité maximale de l’écran peut atteindre 1800 nits, avec le mode luminosité automatique, avec un pic HDR de 3200 nits.
En pratique, à l’aide de notre sonde Calibrite Display Pro HL et du logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Displays, nous avons mesuré la luminosité de base est de 573 nits. Un mode appelé Lumière du soleil permet de faire grimper celle-ci à 764 nits. Enfin, si on active la luminosité automatique, on atteint presque les 1000 nits (965 nits précisément), tout cela en SDR comme en HDR. La promesse de Xiaomi nous semble donc un peu optimiste, pour ne pas dire exagérée.
En revanche, la fidélité des couleurs affichées est très bonne, puisque le Delta E moyen mesuré n’est que très légèrement supérieur à 3 (3,09 en l’occurrence).

Et, si on utilise le profil d’affichage Vif, avec un réglage « chaud », la température moyenne des couleurs est de 6823 K (colorimétrie très légèrement froide), ce qui n’est pas très éloigné de la température 6500 K, qui symbolise une colorimétrie parfaitement neutre.
Enfin, l’écran est en mesure de reproduire 168 % de l’espace colorimétrique BT 709, 113 % du DCI-P3 et 76 % du BT 2020, ce qui constitue d’excellents résultats.

Logiciel / IA
Le Poco F7 Ultra fonctionne bien sur sous Android 15. D’ailleurs, les mises à jour de l’OS sont assurées jusqu’à Android 19 (4 années). Les mises à jour de sécurité sont quant à elles garanties pendant 6 ans. C’est pas mal, même si d’autres constructeurs font mieux, en garantissant des mises à jour pendant 6 ans (Samsung), voire même 7 années (Honor).
L’interface du smartphone bénéficie des fonctions IA apportées par Xiaomi HyperOS 2.0. Ce sont les mêmes que celles que l’on a déjà rencontrées sur les derniers smartphones Xiaomi, comme les Redmi Note 14 Pro 5G ou le Poco X7 Pro.
Pour la productivité, on retrouve donc Gemini et la fonction Entourer pour rechercher, mais aussi les fonctions de reconnaissance vocale IA, d’interprète IA, de sous-titres IA, écriture IA (aide et suggestion dans l’application Xiaomi Notes), etc.
Pour la photo, il est possible de faire appel aux fonctions Ciel, Effaceur d’objets, retirer les réflexions, Améliorer la définition, Expansion de l’image. À celles-ci s’ajoutent de nombreuses fonctions de retouche « classiques », qui permettent d’ajuster l’exposition de l’image, sa saturation, sa vibrance, etc.
Enfin, on dispose aussi de plusieurs fonctions, qui permettent de réaliser diverses opérations avec des vidéos (éditeur vidéo simplifié) ou des photos (Collage, Clip, Couper, Effet artistique).
Performances : le top, tout simplement
Pour garantir des performances optimales, Xiaomi n’y va pas avec le dos de la main morte, puisqu’il a doté le Poco F7 ultra du dernier processeur haut de gamme de Qualcomm, le Snapdragon 8 Elite.
C’est donc sans surprise que les résultats obtenus avec les différents benchmarks sont parmi les meilleurs observés. Ils sont du même ordre que ceux relevés avec les smartphones équipés du même processeur, comme le Samsung Galaxy S25 Ultra, le Xiaomi 15 Ultra ou encore les deux autres smartphones spécialement pour les gamers, l’Asus ROG Phone 9 Pro Edition et le Redmagic 10 Pro.

Et pour de meilleures performances graphiques, le constructeur exploite un mystérieux composant appelé VisionBoost D7. Celui-ci, assisté par l’option Wild Boost, activable depuis la fenêtre Game Turbo, permet de faire fonctionner les jeux en mode 120 Hz et avec une qualité graphique optimale. D’autres options permettent d’affiner la qualité des graphismes (Super résolution) ou de modifier le style visuel (jeu HDR, mode Brillant, mode Saturé).
Au final, il est impossible de mettre la puce Snapdragon 8 Elite en difficulté. Et même lorsque le composant est poussé dans ses retranchements pendant une période assez longue (une heure en l’occurrence), les performances demeurent stables. On ne constate qu’une baisse inférieure à 20 %, ce qui reste très satisfaisant.
Et pour ne rien gâcher, le dispositif de refroidissement du smartphone s’avère efficace, puisque la montée en température reste limitée. En effet, si la température du processeur peut grimper jusqu’à 81°C, celle du boîtier du smartphone n’atteint que 40°C à l’endroit le plus chaud (et environ 35°C en moyenne).
Photo : le téléobjectif fait la différence
Jusqu’à présent, les smartphones de la série Poco assuraient un service minimal en matière de photographie, avec juste un objectif principal grand-angle, efficace certes, et un ultra grand-angle des plus classiques.

Avec le Poco F7 Ultra, la donne change. En effet, ce dernier se voit enrichi d’un troisième objectif. En l’occurrence, il s’agit d’un téléobjectif, offrant un zoom optique 2,5x. Le constructeur espère ainsi séduire les joueurs qui apprécient aussi bénéficier d’une plus grande polyvalence en matière de photographie.
Le Poco F7 Ultra embarque donc trois objectifs dorsaux :
- Le grand-angle, équivalent à un 24 mm, est associé à un capteur de 50 mégapixels. Par défaut, ses photos ont une définition de 12 mégapixels, puisqu’il fusionne les pixels 4 par 4, afin de capter 4 fois plus de lumière (ce qui est particulièrement intéressant lorsque l’éclairage ambiant est limité, en intérieur ou le soir). Il est équipé d’un système de stabilisation optique pour réduire au maximum les photos floues. Son ouverture est de f/1,6.
- L’ultra grand angle (ouverture f/2,2), avec un capteur de 32 mégapixels (clichés générés en 8 mégapixels sur le même principe que le capteur grand angle).
- Le téléobjectif, avec un capteur de 50 mégapixels. Il dispose lui aussi d’un dispositif de stabilisation optique et son ouverture est de f/2,0.
Grand angle
En plein jour, les performances de l’objectif grand angle et du capteur Light Fusion 800 de Sony procurent entière satisfaction. Le piqué des images et la fidélité des couleurs sont au rendez-vous.

De nuit, le duo s’en sort également avec les honneurs, même si les sources lumineuses en sont pas très puissantes, ou assez éloignées.
Ultra grand angle
De jour, les photos prises en mode ultra grand angle s’avèrent globalement un peu moins précises. Elles demeurent toutefois assez satisfaisantes, lorsqu’on les regarde sur le petit écran d’un smartphone.

De nuit, les plupart des clichés que nous avons réalisés lors de nos tests se sont avérés de qualité moyenne, sans plus. Si nous avons déjà vu bien pire, la plupart des détails sont toutefois estompés, ce qui nuit à la précision générale.

Téléobjectif
Par défaut, l’interface du module photo propose de réaliser des zooms 2x, 2,5x et 5x. Bien sur, il est possible de tenter de se rapprocher encore plus de son sujet, avec un zoom numérique plus puissant, pouvant aller jusqu’à 60x.
Rappelons qu’en l’absence de téléobjectif, le petit frère du Poco F7 Ultra, le Poco X7 Pro, se contente de proposer un zoom numérique, avec un facteur de grossissement maximal de 10x. Le Poco F7 Ultra permet donc de photographier des sujets plus éloignés.
Et force est de constater que l’apport du téléobjectif 2,5x n’est pas négligeable. En effet, comme on peut le voir sur les différents exemples ci-dessus, les images ne manquent pas de précision avec des zooms 2,5x , 5x et 10x.
Si on pousse le zoom numérique encore plus loin (20x, 30x ou 60x comme sur les photos ci-dessus), les images demeurent partageables sur les réseaux sociaux, si on ne les regarde pas de trop près. Dans le cas contraire, on constate une dégradation de la précision. On remarque que plus la scène photographiée est complexe, avec plein de détails (des branches d’arbres par exemple), moins le résultat est précis lorsqu’on fait appel à ces forts niveaux de zooms numériques.
De nuit, une seule option est proposée : le zoom 2,5x. Et, une fois n’est pas coutume, la qualité des images générées s’avère plutôt satisfaisante, surtout si les sources lumineuses sont assez proches.
Selfies
L’objectif frontal, et son capteur de 32 mégapixels, permettent de réaliser des selfies précis, en 32 mégapixels, soit 6560 x 4928 pixels !
D’autre part, on dispose des filtres et effets d’embellissement qui peuvent rendre les portraits plus séduisants.
De la même façon, l’intensité du flou appliqué à l’arrière plan (l’effet Bokeh) est configurable, au moment de la prise de vue. L’effet peut également être ajouté après coup, sur une photo « normale ».
Mode macro
Les photos capturées en mode macro ont une définition de 12 mégapixels, ce qui leur confère une bonne précision, pour peu qu’on arrive à faire une bonne mise au point (et sans bouger).
Encore une fois, si ce mode n’est pas vraiment indispensable, il est susceptible d’intéresser certains utilisateurs. Alors pourquoi pas ?
Vidéo
Les réalisateurs en herbe (ou expérimentés !) seront heureux d’apprendre que le Poco F7 Ultra est capable de réaliser des séquences vidéo en 4K avec 60 images par seconde.
En revanche, ça sera sans stabilisation d’image. En effet, pour que cette fonction soit utilisable, il faut basculer en mode Full HD (1080p), avec seulement 30 images par seconde.
Réseau et communication
Le Poco peut accueillir deux cartes nano SIM. En revanche, il n’est toujours pas compatible avec la technologie eSim.
D’autre part, il n’est pas possible d’ajouter une carte mémoire microSD pour étendre la capacité de stockage.
Le smartphone est bien sur compatible avec la 5G. Il sait également communiquer en Wi-Fi 7, Bluetooth 6 et NFC.

Autonomie et charge
Une des (rares) petites déceptions concernant le Poco F7 Ultra concerne sa batterie, dont la capacité n’est que de 5300 mAh (alors que son petit frère, le Poco X7 Pro, embarque une batterie nettement plus grosse, puisque de 6000 mAh).
Est ce que Xiaomi ne se reposerait pas un peu trop sur l’excellente efficacité énergétique de la puce Snapdragon 8 Elite ? C’est possible.
Pour le savoir, nous avons soumis le Poco F7 Ultra au test d’autonomie bureautique / multimédia de l’application PC Mark, avec une luminosité de 250 nits, une fréquence d’affichage adaptative et avec la résolution Full HD+, soit 2400 x 1080 pixels.
Dans ces conditions, le test a fonctionné 13 heures et 12 minutes, ce qui constitue un résultat assez moyen. La même batterie que le Poco X7 Pro n’aurait donc pas été du luxe.

En revanche, la recharge filaire s’effectue à très haute vitesse, grâce au chargeur de 120 W présent dans la boîte. On note que le prédécesseur du Poco F7 Ultra, le Poco F6 Pro était déjà livré avec un tel adaptateur.
Grâce à cet adaptateur secteur, la batterie s’est rechargée à hauteur de 31 % en 10 minutes, puis à hauteur de 58 % en 20 minutes. Enfin, le niveau de charge est remonté à 89 % au bout d’une demie heure. Et il ne faut attendre que 5 minutes supplémentaires, soit 35 minutes, pour que la batterie soit totalement rechargée (99% !).
Cerise sur le gâteau, la charge peut également s’effectuer sans fil et à grande vitesse : 50 W ! C’est une fonction qui n’était pas disponible sur le Poco F6 Pro.
Prix et date de sortie
Le Poco F7 Ultra est disponible en deux modèles :
- Avec 12 Go de mémoire et 256 Go d’espace de stockage : 753 €
- Avec 16 Go de Ram et 512 Go de stockage : 803 €
Bon point, une offre de lancement, valable jusqu’au 10 avril, permet de bénéficier d’une baisse immédiate du prix de 53 €, ce qui porte les deux modèles à seulement 699,90 € et 749,90 €.
En plus, il est possible de profiter aussi d’un bonus de reprise sur son ancien smartphone de 70 € (pour l’achat du Poco F7 Pro) ou de 100 € (pour l’achat d’un Poco F7 Ultra).

À cela s’ajoutent, au choix, la montre Xiaomi Redmi Watch 5 Lite ou les écouteurs Bluetooth Xiaomi Redmi Buds 6 (tous les deux d’une valeur de 49,90 €).
Enfin, on peut acheter le smartphone avec un accessoire afin de bénéficier d’un prix réduit sur ce dernier :
- Chargeur sans fil de 80 W à 50 € (au lieu de 200 €)
- Enceinte Bluetooth à 40 € (au lieu de 80 €)
Si on compare ces prix avec ceux auxquels le précédent modèle, le Xiaomi Poco F6 Pro, a été lancé l’année dernière (629,90 € pour la version comportant 12 Go de mémoire et 512 Go d’espace de stockage), on constate une hausse sensible du prix. C’est le prix à payer pour bénéficier des différentes améliorations du Poco F7 Ultra.

Les alternatives
Dans une tranche de prix de 700 à 800 €, on peut mettre en avant plusieurs smartphones récents et particulièrement efficaces :
- Le OnePlus 13R, vendu 769 €, avec 12 Go de mémoire et 256 Go de stockage.
- Le Oppo Reno 13 Pro, proposé à 802 €, avec 12 Go de mémoire et 512 Go de stockage.
Si ces deux modèles intègrent des processeurs moins performants, et ne sont pas compatibles avec la recharge sans fil, ils ne manquent pas d’intérêt. En effet, le OnePlus 13R embarque un écran qui exploite la technologie LTPO, alors que le Oppo Reno 13 Pro est doté d’un téléobjectif 3,5x et d’un capteur frontal de 50 mégapixels.
Enfin, on pense aussi au Redmagic 10 Pro, spécifiquement conçu pour les joueurs. Il est commercialisé à 799 € en version 16 / 512 Go. Il est doté du même processeur que le Poco F7 Ultra, et comporte des gâchettes tactiles ainsi qu’un grand écran particulièrement lumineux. En revanche, il n’est pas certifié IP 68, ne supporte pas la charge sans fil et n’intègre pas de téléobjectif.

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