Xiaomi a choisi de renforcer sa gamme F, notamment avec l’arrivée d’un tout nouveau modèle : le Poco F7 Ultra. Ce dernier s’impose comme la nouvelle star de la famille, mais cela ne doit pas faire oublier un F7 Pro qui ne manque pas d’atouts pour venir titiller des concurrents parfois 50 % plus chers.
Les joueurs comme les utilisateurs en quête d’un smartphone puissant à prix contenu devraient donc y trouver leur bonheur. Il faut toutefois garder à l’esprit que la concurrence devient de plus en plus féroce.
Nous nous sommes donc plongés dans le Poco F7 Pro pour en extraire la substantifique moelle et mesurer jusqu’où il peut aller…
Fiche technique
Modèle | Xiaomi Poco F7 Pro |
---|---|
Dimensions | 74,95 mm x 160,26 mm x 8,12 mm |
Interface constructeur | HyperOS |
Taille de l’écran | 6,67 pouces |
Définition | 3200 x 1440 pixels |
Densité de pixels | 526 ppp |
Technologie | AMOLED |
SoC | Qualcomm Snapdragon 8 Gen 3 |
Puce graphique | Qualcomm Adreno 750 |
Stockage interne | 256, 512 Go |
Appareil photo (dorsal) |
Capteur 1 : 50 Capteur 2 : 8 Mp |
Capteur photo frontal | 20 Mp |
Définition enregistrement vidéo | 4K @ 60 fps |
Wi-fi | Wi-Fi 7 (be) |
Bluetooth | 5.4 |
5G | Oui |
NFC | Inconnu |
Capteur d’empreintes | Sous l’écran |
Type de connecteur | USB Type-C |
Capacité de la batterie | 6000 mAh |
Poids | 206 g |
Couleurs | Noir, Argent, Bleu |
Fiche produit |
Design : un look de bonne tenue
Au niveau du look, le Poco F7 Pro s’éloigne nettement du F6 Pro. Exit le revêtement effet pierre à l’arrière : place au verre, ici du Gorilla Glass 7i. Xiaomi a clairement voulu donner du style à son nouveau modèle, en travaillant soigneusement cet aspect.

Les deux premiers tiers de la face arrière, en partant du bas, adoptent un rendu mat, tandis que le dernier tiers est brillant. Ce contraste fonctionne très bien, quel que soit le coloris choisi parmi les trois proposés : noir, vert ou bleu.

Le bloc optique prend place dans la zone brillante. Il se distingue par sa forme ronde, désormais courante sur le marché, et par une épaisseur notable. Il est cerclé de métal, ce qui apporte une touche de style supplémentaire. La surface brillante intègre également des formes géométriques, dont un rectangle encadrant le flash, qui ajoutent du caractère. Notez que posé à plat, le téléphone est parfaitement stable, tant que vous n’interagissez pas avec le tiers haut de l’écran.
Les tranches en métal sont totalement plates, avec juste ce qu’il faut de courbures discrètes pour assurer une bonne prise en main. Sur la tranche droite, on retrouve les boutons physiques : bien placés et agréables à utiliser, même si, pour les grandes mains, passer de l’un à l’autre demande de vraiment plier ou étirer le pouce.

Avec des dimensions de 160,26 x 74,95 x 8,12 mm, le F7 Pro est assez imposant. Toutefois, sa conception bien pensée et son poids de 209 g, bien réparti, le rendent confortable sur la durée.
À l’avant, on retrouve une configuration classique : un écran AMOLED de 6,67 pouces, occupant 89,3 % de la face avant. Les bordures sont fines, visibles mais bien équilibrées, et surtout symétriques, ce qui reste rare à ce niveau.
On a donc un smartphone séduisant, qui développe une véritable personnalité esthétique. Il bénéficie en prime d’une conception robuste, d’un assemblage de haute qualité, et d’une certification IP68.
Affichage : de jolies prestations
L’écran de 6,67 pouces embarqué par le Poco F7 Pro est une dalle AMOLED en 3200 x 1440 pixels. On profite ici d’une finesse d’affichage exceptionnelle, avec une densité de 526 ppp. Par défaut, pour préserver la batterie, l’écran est limité à 2400 x 1080 pixels. Le taux de rafraîchissement est adaptatif et peut automatiquement passer à 60 Hz ou 120 Hz, selon les usages.
Nous avons testé les quatre modes d’affichage proposés par le Poco F7 Pro (Couleur originale Pro, Vif, Saturé et Avancés). Le mode Saturé, activé par défaut, est celui qui offre le meilleur rendu, selon les mesures effectuées avec notre sonde et le logiciel CalMAN Ultimate de Portrait Displays.
Nous obtenons ainsi un Delta E de 2,35, inférieur à la valeur de référence fixée à 3. Côté température de couleur, nous mesurons 7104 K, contre 6500 K pour la norme. Le blanc tire donc légèrement vers le bleu, mais cela reste acceptable et n’altère pas une colorimétrie globalement fidèle. L’écran couvre 168 % du sRGB, 112 % du DCI-P3 et 76 % du BT.2020, offrant une palette colorimétrique riche et étendue.

Finalement, le principal point de déception concerne la luminosité. Nous avons mesuré un maximum de 964 nits en SDR et 968 nits en HDR. En pratique, l’écran reste lisible dans des environnements lumineux. En revanche, dès qu’il est frappé directement par le soleil ou une source lumineuse intense, la consultation devient très difficile. Quant aux contenus HDR, pour en profiter pleinement, il faudra se placer en pénombre ou dans l’obscurité.

Par défaut, l’affichage est réglé en 2400 x 1080 pixels, mais il est possible d’exploiter tout le potentiel de la dalle en activant la définition 3200 x 1440 pixels. Dans les usages quotidiens, cela présente peu d’intérêt, notamment pour les tâches courantes, d’autant plus que cela augmente la consommation de la batterie. En revanche, pour des activités comme la retouche photo ou d’autres tâches de précision, ce mode prend tout son sens.


Concernant le gaming, cette résolution plus élevée est censée améliorer la finesse graphique des jeux. Actuellement, seul Genshin Impact prend en charge ce mode, qu’il faut activer via la barre de jeu. L’amélioration est visible, notamment au niveau des feuillages ou de la tour lumineuse au loin, dont les contours apparaissent plus nets. Cependant, comme indiqué plus bas, cette finesse se paie par une consommation énergétique plus élevée, pour un gain visuel que l’utilisateur ne remarque véritablement qu’en image fixe.
Logiciel : l’IA avec intelligence
Nous retrouvons le couple HyperOS 2.0 et Android 15. Ce duo fonctionne à merveille, offrant une interface fluide, agréable au quotidien, réactive et enrichie de nombreuses options de personnalisation.
Là où Xiaomi progresse véritablement, c’est dans l’intégration de l’intelligence artificielle. La marque propose toujours autant de fonctionnalités : aide à la rédaction, outils de retouche photo, Gemini, et bien sûr Circle to Search. Tous ces outils sont disponibles en français et parfaitement intégrés à l’interface.
Xiaomi introduit également une fonction HyperConnect, qui vient compléter les possibilités de connectivité et de partage entre les produits de son écosystème. Cette fonction est censée offrir une communication fluide avec les ordinateurs sous Windows ou macOS. Malheureusement, il n’a pas été possible de la tester, car elle ne sera disponible qu’au lancement du téléphone.
Concernant les bloatwares et les publicités intrusives, ils restent trop nombreux. Il est toutefois possible de les désinstaller, ou mieux encore, de les éviter dès la première configuration du smartphone.

Pour ce qui est de la politique de mises à jour logicielles, Xiaomi garantit 4 ans de mises à jour Android et 6 ans de correctifs de sécurité. Cela reste en dessous des standards actuels, notamment face à Google ou Samsung, qui assurent 7 ans de mises à jour majeures.
Performances : il chauffe, mais ça dépote
Le Poco X7 Pro repose sur la nouvelle plateforme Snapdragon 8 Gen 3, accompagnée d’un GPU Mali-G720, de 12 Go de mémoire vive LPDDR5X et de 256 ou 512 Go de stockage UFS 4.1. Il s’agit d’un véritable concentré de puissance, comme le montre notre graphique de benchmarks.

En puissance brute, l’appareil se place au niveau du Xiaomi 14 Ultra, avec une légère différence en faveur du Galaxy Note 24 Ultra. Une configuration musclée, qui permet de profiter d’un Android extrêmement fluide. Le multitâche ne ralentit pas le système, et les applications les plus lourdes s’exécutent sans la moindre difficulté.
Passons maintenant aux performances gaming et comme tout Poco qui se respecte, nous sommes plutôt gâtés. Ainsi, Fortnite en mode Épique, le framerate est presque stable à 58-60 fps. Nous retrouvons ces résultats autant dans Call of Duty et Fortnite dans le mode de qualité graphique le plus haut.
Le Poco F7 Pro atteint 120 fps sans difficulté dans Call of Duty (mode graphique faible) et 90 fps dans Fortnite. Des performances impressionnantes, également constatées sur Genshin Impact, où le jeu reste fluide et stable, même en configuration poussée.

Dans Call of Duty, il est possible de maintenir les 120 fps en qualité graphique moyenne, ce qui reste rare sur cette gamme de prix.

La fonction d’amélioration du framerate a également été activée, et le résultat est plus que convaincant. Ainsi, Genshin Impact atteint les 90 fps, alors que ce niveau de fluidité n’est pas prévu en natif. Le gain de fluidité sera surtout apprécié par les joueurs les plus compétitifs, qui y trouveront un véritable avantage en gameplay.
Le Poco F7 Pro a été soumis à des tests de température. Après plus d’une heure d’usage intensif, la chauffe est bien réelle, atteignant 43 à 46°C au dos. Cela peut rendre l’utilisation désagréable après une vingtaine de minutes. Si vous n’êtes pas particulièrement sensible à la chaleur, c’est encore supportable, mais pas agréable.
Le bridage du SoC reste maîtrisé, avec une baisse maximale de performance de 18 %, ce qui place le smartphone dans la bonne moyenne pour ce type de configuration.
Photo : efficace même s’il manque de polyvalence
Le Poco F7 Pro dispose d’un bloc optique massif, qui pourtant ne renferme que deux capteurs différents. Nous avons maintenant droit à :
- Un capteur principal grand-angle de 50 Mpx, avec une ouverture variable f/1,6.
- Un capteur ultra grand-angle de 8 Mpx, avec une ouverture de f/2,2.

Comme lors du passage du Poco X6 Pro au X7 Pro, le capteur macro du F6 Pro disparaît ici. À notre avis, ce n’est pas une grande perte, mais on aurait apprécié un petit téléobjectif en remplacement. En revanche, le capteur selfie monte en gamme : on passe de 16 Mpx sur le F6 Pro à 32 Mpx ici, avec une ouverture de f/2,2.
Capteur principal
Le capteur principal de 50 Mpx est une bonne surprise. Il délivre des photos réussies, avec une gestion de la luminosité soignée. Même les zones très lumineuses sont bien traitées, affichant un niveau de détail satisfaisant.
Seul bémol : l’autofocus peut parfois hésiter sur ces zones. Il faudra alors toucher l’écran pour l’aider, sous peine de se retrouver avec un flou indésirable. La colorimétrie est globalement naturelle, même si les couleurs tirent légèrement vers le brun pâle, surtout en forte lumière, ce qui donne un rendu un peu trop flatteur.
Le niveau de détail est bon. En zoomant dans l’image, on constate que les micro-détails sont atténués, sans pour autant ruiner la qualité globale des clichés, qui restent très agréables à l’œil. Cela dit, les textures ou zones complexes souffrent légèrement de ce lissage. Un manque de précision, certes, mais on reste dans la moyenne haute du segment.
Capteur ultra-grand-angle
Le capteur ultra grand-angle déçoit. Les clichés manquent clairement de définition, les détails sont mal restitués et le rendu des textures est approximatif. Le bruit numérique est bien présent, et sur nos clichés de test, les feuillages et les pierres s’en sortent particulièrement mal.
Dommage, car la gestion de la lumière est plutôt bonne, et les contrastes, bien que manquant de finesse, tiennent la route. La colorimétrie, quant à elle, manque de naturel.


Ce mode ultra grand-angle peut faire illusion tant que l’on reste sur l’écran du smartphone sans zoomer. Au-delà, les limites sont flagrantes.
Téléobjectif
Xiaomi fait l’impasse sur le téléobjectif, et propose à la place un zoom numérique allant de 2x à 20x.


Le zoom 2x s’en sort très bien. On conserve les qualités du capteur principal, avec une perte de détails minime. Globalement, on est dans la moyenne supérieure des zooms numériques, mais attention, le résultat reste très dépendant du niveau de lumière ambiante.


Le zoom 4x reste de bon niveau, mais on commence à noter l’apparition d’un léger bruit numérique qui brouille les micro-détails. La perte de précision devient perceptible.


En zoom 8x, même en bonne lumière, les limites sont atteintes : trop de bruit, du lissage et des contours qui manquent de netteté. Les niveaux de zoom supérieurs ne font qu’empirer les choses — inutile de s’attarder dessus.
Cela dit, à ce niveau de prix, les performances en zoom 2x et 4x sont très satisfaisantes.
Mode nuit
Xiaomi a amélioré sa copie avec un mode nuit bien plus efficace. Il capte une belle quantité de lumière, sans trop dénaturer le caractère naturel des scènes.
Les contrastes ne sont pas les plus subtils, mais ils affichent un niveau de nuance suffisant pour garantir une restitution lisible et agréable.


La colorimétrie reste assez juste, et le niveau de détail est globalement bon. Certes, le bruit numérique est présent, et les clichés manquent de précision dans les micro-détails, mais le résultat final reste plaisant. Le principal bémol : dans un environnement totalement dépourvu de lumière artificielle (ex. : zone rurale sans éclairage urbain), le rendu chute rapidement, avec une forte perte en netteté et lisibilité.


L’ultra grand-angle, déjà peu convaincant en plein jour, souffre encore plus de nuit. Le capteur capte très peu de lumière, les détails résiduels sont noyés dans le bruit numérique. Le résultat est souvent inexploitable, sauf en conditions lumineuses idéales.
Notez que le mode nuit est uniquement disponible sur le grand-angle et l’ultra grand-angle. Le zoom numérique, lui, n’en bénéficie pas : il faut donc revenir au mode photo classique pour l’utiliser.
Le zoom 2x s’en sort tout juste. L’image reste exploitable, bien que la perte de qualité soit visible. En revanche, le zoom 4x chute nettement, avec un bruit numérique de plus en plus agressif.
Et ce phénomène ne fait que s’intensifier à mesure que l’on pousse le zoom plus loin. Les images deviennent alors floues, bruitées, voire inutilisables.
Mode portrait
Le Poco F7 Pro délivre des clichés en mode portrait de belle facture. Le détourage est propre, avec des erreurs rares et rarement flagrantes. La colorimétrie est légèrement plus claire qu’elle ne le devrait, ce qui se remarque surtout au niveau de la carnation. L’effet bokeh est joliment restitué, progressif et agréable à l’œil.

Cependant, le rendu manque de précision. Si les gros détails sont bien traités, les micro-détails souffrent d’un traitement numérique trop lissé. Cela se remarque particulièrement au niveau de la pilosité, de la peau ou encore sur les textures, comme une veste qui manque de relief.
Capteur selfie
Le détourage reste solide bien qu’un peu brutal, mais la gestion de la lumière se montre plus aléatoire. Sans atteindre la surexposition, certains clichés, par temps ensoleillé, sont un peu trop lumineux. Cela influe sur la colorimétrie et donne des contrastes pas toujours très fins.

L’effet de flou est globalement bien dosé, et les selfies devraient satisfaire la majorité des utilisateurs. Toutefois, en pleine lumière, il faudra souvent aider l’autofocus pour obtenir une mise au point précise et éviter une surexposition partielle.
Audio : équilibré mais manquant de substance
Nous avons ici un bel équilibre stéréo, avec un effet d’enveloppement satisfaisant. Les basses sont nettement en retrait, tandis qu’à l’opposé du spectre, les aigus sont présents, mais manquent de précision.

Xiaomi a clairement mis l’accent sur les médiums, qui concentrent l’essentiel du rendu sonore. Les bas médiums apportent un peu de relief, et les hauts médiums assurent une bonne restitution des voix. L’ensemble est donc honorable, sans être exceptionnel. Bon point : le son ne sature jamais, même à plein volume. En revanche, le niveau sonore maximal reste inférieur à ce que proposent certains concurrents.
Réseau et communication
Le Xiaomi Poco F7 Pro est compatible avec les réseaux 4G et 5G. Il prend en charge toutes les bandes de fréquences utilisées en France. En plus de cela, il offre une connectivité Wi-Fi 7, ainsi que la technologie NFC, le Bluetooth 5.4 et le GPS (Beidou, GPS, Galileo, Glonass).
Lors de nos tests, nous n’avons pas constaté de problèmes particuliers lors des appels, aussi bien en émission qu’en réception.
Autonomie : le jeu, ça consomme !
Xiaomi a bien fait d’intégrer une batterie de 6000 mAh à son Poco F7 Pro. En effet, si en usage classique, mêlant réseaux sociaux, emails, consultation de textes, visionnage de vidéos, écoute musicale et un peu de jeu vidéo, le mobile permet un usage jusqu’à 17 heures, en usage intensif, nous descendons sous les 11 heures, surtout si nous lançons des jeux 3D.

Le visionnage des 2 h 30 du film Inglourious Basterds, avec un volume à 50 % et une luminosité à 250 nits, consomme 10 % de batterie. Trente minutes de Genshin Impact, dans les mêmes conditions que le long-métrage, retire 11 % de batterie au minimum. Si nous activons l’amélioration de l’affichage ou du framerate, nous passons à respectivement 12 et 15 % de batterie en moins sur ces scénarios.
Si vous êtes un gros joueur, alors la charge rapide 90 W fera en sorte de ne pas trop vous frustrer face à un low battery. Ainsi, en partant de zéro, nous récupérons :
- 20 % de batterie en 5 minutes
- 39 % en 10 minutes
- 100 % en moins de 35 minutes
Attention : pour respecter la législation européenne, le bloc de charge n’est pas inclus. Il faudra donc l’acheter séparément.
Prix et disponibilité
Le Xiaomi Poco F7 Pro est disponible en trois coloris (noir, argent et bleu) en deux déclinaisons :
- 12 Go + 256 Go pour 603 euros, avec une offre de lancement 499,90€ + un bonus reprise de 50€.
- 12 Go + 512 Go pour 653 euros, avec une offre de lancement 579,90€ + un bonus reprise de 70€.
L’offre de lancement est valide du 27 mars 2025 à 10h jusqu’au 10 avril 2025 à 23h59.
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