Depuis quelques années, les mesures proposées par les montres connectées, notamment pour le suivi de la santé, se développent de plus en plus. Avec sa Scanwatch, Withings propose non seulement une montre hybride au design très classique, mais surtout une montre capable de prendre de très nombreuses mesures. Rythme cardiaque, nombre de pas, apnée du sommeil, électrocardiogramme, elle fait quasiment tout. Cela suffit-il à justifier son prix de près de 300 euros ? C’est ce qu’on va voir dans ce test complet.
Pour aller plus loin
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Fiche technique de la Withings ScanWatch
Modèle | Withings ScanWatch |
---|---|
Capteur de rythme cardiaque | Oui |
Analyse du sommeil | Oui |
Accéléromètre | Oui |
Capteur de lumière ambiante | Oui |
Prix | 249 € |
Fiche produit |
Cette montre nous a été fournie par Withings.
Un design à la fois sobre et élégant
La ScanWatch de Withings n’est pas une montre connectée comme les autres. On parlera d’ailleurs plus volontiers de montre hybride, puisque la toquante a de véritables aiguilles. Si la montre est bien équipée d’un écran, il est finalement assez petit, positionné sur la partie haute du cadran. Pour tout le reste, la Withings ScanWatch ressemble à n’importe quelle autre montre classique.
C’est d’ailleurs la signature de la marque depuis ses débuts dans le domaine des montres connectées. Les premières montres de la marque française, les Activité, Activité Pop, ou même les récentes Move ne sont même pas dotées d’écrans, mais simplement d’un système d’aiguilles. Ici, on retrouve finalement une approche assez semblable à celle de la Withings Steel HR de la marque. C’est-à-dire que la montre est dotée de deux cadrans, un principal pour l’heure et un second pour le nombre de pas parcourus, ainsi que d’un écran PMOLED sur lequel on reviendra plus tard.
Il en résulte un design à la fois sobre et intemporel. Il faut dire que la montre est constituée d’un boîtier en laiton laqué du plus bel effet. Sur le cadran, Withings n’a pas annoté les minutes, mais se contente de barres en métal plutôt élégantes. Les aiguilles font-elles aussi dans la sobriété. On va également retrouver tous les marqueurs d’une montre classique avec une véritable couronne sur le côté droit. Comme sur l’Apple Watch, elle va vous permettre de naviguer dans les menus en appuyant dessus ou en la tournant. Des cornes semblant se prolonger jusque dans le bracelet sont également présentes pour accrocher le bracelet.
En parlant du bracelet, il convient de signaler que Withings propose deux formats de sa montre ScanWatch : un modèle 38 mm — avec un format de 38,4 x 13,2, un bracelet de 18 mm de large et un poids de 58 grammes — et un modèle 42 mm — avec un format de 42 x 13,7, un bracelet de 20 mm de large et un poids de 83 grammes. Dans mon cas, j’ai pu tester le premier modèle, le plus petit.
Et pour le coup, c’est peu dire que la ScanWatch 38 mm est petite. Comparée à nombre d’autres montres connectées du marché, elle semble effacée sur mon poignet. Il faut dire qu’elle sera surtout adaptée aux petits poignets, notamment féminins, quand la version 42 mm sera davantage conçue pour les poignets plus larges.
Dans les deux cas, même si la taille de la montre et du bracelet varie, Withings a intégré un système de bracelet amovible. Il faut dire qu’il s’agit de bracelets aux formats standards de 18 et 20 mm et qui pourront donc facilement être remplacés par n’importe quel autre bracelet chez un bijoutier ou en ligne. Pratique si jamais le bracelet en silicone, proposé par défaut avec la montre, ne vous convient pas.
L’autre grosse différence entre les deux formats de montre vient du boîtier en lui-même. Si le modèle 38 mm joue clairement la carte de la sobriété, Withings a ajouté une couronne un peu plus large au modèle 42 mm. Les rondeurs du petit format font alors place à un design un peu plus anguleux. Les cornes qui permettent d’attacher le poignet sont également plus nettes et ne semblent plus se fondre avec l’accroche de la pompe. Enfin, autour du cadran, Withings a choisi d’intégrer des annotations pour son modèle 42 mm indiquant précisément les minutes.
Enfin, dernière option au choix, la Withings ScanWatch propose deux couleurs pour son cadran : noir ou blanc. Si le choix de l’un ou l’autre est avant tout une question de goût, notons que la version noire a le mérite de permettre de faire disparaître l’écran, qui reste bien visible même éteint sur la version blanche.
Du côté de l’étanchéité, Withings affirme que sa ScanWatch peut être utilisée dans l’eau jusqu’à 50 mètres de profondeur. Le verre saphir servant à protéger le cadran devrait lui aussi assurer une bonne résistance, notamment aux rayures.
Un écran très secondaire
Si la Withings ScanWatch est avant tout une montre à aiguilles, elle est pourtant dotée d’un petit écran intégré en haut du cadran. Il s’agit d’un écran PMOLED, c’est-à-dire un écran Oled à matrice passive. Concrètement, il permet de profiter de pixels noirs complètement noirs, avec un taux de contraste infini, mais une définition bien moindre. Par ailleurs, il s’agit d’un écran monochrome, capable d’afficher uniquement une image blanche sur fond noir, sans couleurs ni niveaux de gris.
Vous l’aurez compris, l’écran de la Withings ScanWatch n’est pas des plus jolis, mais ce n’est pas ce qu’on lui demande. Il s’agit clairement d’un écran d’appoint qui va simplement permettre de naviguer dans les menus de la montre. Pas besoin de mode always-on, puisque la toquante est dotée d’un véritable cadran à aiguilles. L’écran se contentera d’afficher les menus et, le cas échéant, le texte de vos notifications.
C’est en fait le même type d’écran que l’on retrouvait déjà sur la Withings Steel HR, la première montre hybride à écran de la marque, mais légèrement amélioré. L’écran affiche en fait 9000 pixels — soit environ 95 x 95 pixels — sur un diamètre de 1,3 cm, soit 0,5 pouce. Par ailleurs, il peut monter jusqu’à une luminosité de 260 cd/m². C’est assez peu, mais ça suffira dans un usage d’appoint.
Notons également que la montre est dotée d’un capteur de luminosité automatique pour éviter de vous éblouir trop les yeux en pleine nuit. Un mode manuel de la luminosité est également disponible dans l’application compagnon. Pour allumer l’écran, il suffit simplement d’appuyer sur le bouton de la tranche droite de la montre. Néanmoins, une option baptisée « quicklook » peut être activée, depuis la montre ou l’application, pour que l’écran s’allume automatiquement lorsque vous tournez le poignet pour consulter la ScanWatch. Bien évidemment, ce mode aura tendance à consommer davantage de batterie.
Des fonctions limitées sur la montre
Pour synchroniser la Withings ScanWatch à un smartphone, il faut nécessairement passer par l’application maison du constructeur : Health Mate. Disponible sur Android comme sur iOS, c’est cette application qui va vous permettre de connecter la montre au smartphone en Bluetooth, de récupérer les données récoltées par la montre sur votre smartphone — et sur votre compte via le site Internet — et même proposer certains réglages.
La navigation au sein de la montre se fait quant à elle exclusivement à l’aide de la couronne rotative à droite du boîtier. Comme on l’a vu plus tôt, un simple appui sur le bouton-couronne vous permettra d’allumer l’écran. Dès lors, plusieurs applications vous seront proposées avec par défaut, en tournant la molette de bas en haut :
- Heure
- Réglages
- Horloge
- Respirer
- Sport
- SpO2
- ECG
- Étages
- Distance
- Pas
- Rythme cardiaque
Ici, c’est surtout l’application « réglages » qui va nous intéresser, puisqu’elle permet quelques interactions avec la montre comme l’affichage de la batterie restante, l’activation du monde ne pas déranger ou du mode « quicklook » qui allume l’écran lorsque vous tournez le poignet. Malheureusement, c’est là que les choses se compliquent légèrement.
En effet, pour revenir en arrière, il vous faudra forcément appuyer sur l’écran « retour ». Pour activer une option, il vous faudra parfois faire un appui court sur le bouton et parfois un appui long. Dans l’ensemble, le grand nombre de menus et la petite taille de l’écran ne simplifient pas les choses et il n’est pas toujours évident de visualiser dans quel sens on doit aller pour trouver telle ou telle option.
Une alarme silencieuse est disponible dans le menu « horloge » qui va vous permettre en plus de lancer un chronomètre ou un minuteur. Pour les autres fonctions, liées à l’activité sportive et à la santé, on y reviendra dans la partie suivante.
Du côté de l’application Health Mate — que l’on pourrait traduire par « compagnon de santé » — ce sont logiquement les données liées à la santé de l’utilisateur qui vont être mises en avant. Plusieurs réglages de l’appareil y sont néanmoins proposés. C’est là par exemple que vous pourrez gérer les notifications de la montre.
La Withings ScanWatch peut en effet afficher les notifications reçues, le contenu des SMS ou le nom de la personne qui vous appelle. Pour les notifications en elles-mêmes, vous pourrez choisir quelles applications peuvent envoyer des notifications. Un bon moyen pour être prévenu d’un message WhatsApp, mais ne pas sentir son poignet vibrer dès qu’on reçoit une offre promotionnelle de Call of Duty Mobile.
D’autres réglages sont proposés dans Health Mate, comme le réglage de l’heure, la prochaine alarme — encore –, le raccourci de l’appui long sur le bouton — qui permet par défaut de lancer un entraînement –, la gestion de la luminosité et certains paramètres liés à la santé. Dans ces « paramètres vitaux », vous pouvez régler la mesure de SpO2, indiquer à quel poignet vous portez votre montre pour l’ECG ou détecter des signes de fibrillations auriculaires. C’est là aussi que vous pourrez activer la détection d’apnée du sommeil.
Enfin, le dernier réglage concerne l’objectif de pas quotidien. Réglé par défaut sur 10 000, vous pouvez le fixer sur un autre niveau. En fonction de ce réglage, le second cadran de la montre — qui indique le pourcentage de votre objectif réalisé chaque jour — va s’adapter.
Un suivi de santé très complet
S’il y a bien un domaine dans lequel la Withings ScanWatch cherche à se distinguer de la concurrence, c’est au niveau du suivi d’activité et du suivi de santé. Il faut dire qu’en plus des mesures classiques comme le rythme cardiaque ou le SpO2, elle propose certaines fonctionnalités encore rares sur le marché des montres connectées.
Pour aller plus loin
SpO2, ECG, VFC, fréquence cardiaque : comment les montres connectées prennent soin de votre cœur
C’est le cas de l’électrocardiogramme (ECG), qui n’est proposé que sur de rares montres comme les Apple Watch. Il faut dire qu’il s’agit d’une fonctionnalité médicale et qu’elle doit donc être validée par les autorités de santé de chaque pays, raison pour laquelle on attend toujours que Samsung active l’ECG sur ses Galaxy Watch Active 2 et Galaxy Watch 3.
Pour rappel, l’électrocardiogramme va permettre de visualiser l’activité électrique de votre cœur sous forme de courbe. Un bon moyen de vérifier que votre cœur ne souffre pas de fibrillation auriculaire, avec un rythme irrégulier ou des sauts de battement.
Pour activer l’ECG, il convient d’abord de bien renseigner dans l’application Health Mate si vous portez votre montre au bras droit ou au bras gauche, puis simplement de lancer la fonctionnalité dans les menus de la ScanWatch. Un compte à rebours de 30 secondes s’affichera alors à l’écran de la montre, ainsi qu’un graphique représentant l’activité électrique cardiaque. Une fois les trente secondes passées, vous aurez un affichage indiquant si l’activité cardiaque est « normale » ou non.
Attention néanmoins, pour lancer cet électrocardiogramme, il vous faudra nécessairement poser l’autre main sur la montre, de manière à créer un circuit électrique d’un bras à l’autre. Après l’enregistrement, vous pourrez retrouver le graphique de votre ECG directement dans l’application Health Mate avec quelques annotations comme votre rythme cardiaque et si la montre a détecté un problème.
L’autre fonctionnalité innovante proposée sur la Withings ScanWatch concerne le suivi du sommeil. On va avoir droit à un mode de suivi assez classique, qui va tenir compte de vos mouvements et de votre rythme cardiaque pour détecter les phases de sommeil léger ou profond, ainsi que les phases d’éveil. Sur ce domaine, autant le dire d’emblée, le montre de Withings peine à convaincre. Il m’est arrivé, sur des nuits de 7h27 de sommeil, que la ScanWatch ne m’indique que 2h56 de sommeil. Pourtant, sur l’application Health Mate, on visualise bien un endormissement à 2h20 et un réveil à 9h27. Autant dire qu’en termes de soustractions, on a vu mieux.
En revanche, c’est dans le domaine de l’analyse d’apnée du sommeil que la ScanWatch se distingue clairement. Withings avait déjà lancé un capteur de sommeil, à placer sous son matelas, le Withings Sleep, permettant de détecter des soucis de respiration pendant la nuit. Ici, le constructeur a décidé de proposer cette fonction directement sur sa montre. Pour cela, il suffit d’activer une fonction dans les paramètres de l’application Health Mate. Néanmoins, cela se fait aux dépens de la batterie.
Si vous décidez d’activer la détection d’apnée du sommeil chaque nuit — plutôt qu’à intervalle régulier — la montre va rapidement vider sa batterie, au rythme de 15 % par jour. Néanmoins, si vous aviez des doutes sur d’éventuelles difficultés à respirer en dormant, la montre pourra éventuellement le confirmer ou l’informer en se basant notamment sur votre SpO2.
Parce qu’en plus de l’ECG et des difficultés respiratoires, la Withings ScanWatch permet également des mesures plus traditionnelles comme le rythme cardiaque ou la SpO2, c’est-à-dire la saturation en oxygène dans le sang. Elle va aussi proposer un accéléromètre assez classique pour mesurer le nombre de pas parcourus dans la journée.
Enfin, la montre de Withings n’intègre pas directement de GPS. Néanmoins, elle pourra utiliser celui de votre smartphone, associé en Bluetooth, lorsque vous lancez un entraînement. Ce sont six activités qui sont prises en charge lorsque vous appuyez longuement sur le bouton de la couronne :
- course
- natation
- vélo
- marche
- course en intérieur
- autre
Pour les séances d’entraînement, la montre va mesurer le nombre de pas parcourus, le rythme cardiaque, le VO2max, la distance parcourue — basée sur le GPS du smartphone — ainsi que le dénivelé ou l’allure moyenne. Autant d’informations qui peuvent, encore une fois, être retrouvées dans l’application Health Mate sur smartphone.
Une autonomie record
En termes de batterie, la ScanWatch peut se targuer d’être l’une des montres les plus autonomes du marché. Il faut dire que son petit écran ne consomme que très peu de batterie. Withings annonce ainsi jusqu’à 30 jours d’utilisation en mode classique et 20 jours supplémentaires en mode réserve.
Des données qui semblent se confirmer par mon utilisation. En mode classique, avec l’option « quicklook » désactivée et l’analyse de la respiration pendant la nuit réglée en « automatique », la montre aura perdu seulement 20 % de batterie en une semaine. C’est un excellent score, qui suggère bel et bien jusqu’à un mois d’utilisation. Néanmoins, sur un second cycle, en activant le mode « quicklook » et en passant le scan respiratoire en « toujours activé », l’autonomie en a été grandement amoindrie.
Avec ces paramètres, il n’aura fallu que huit jours avant que la montre tombe à moins de 5 % de batterie. Comme les précédentes montres de Withings, la ScanWatch passe alors en mode « réserve d’énergie ». Autrement dit, les aiguilles continuent de tourner et la montre va encore mesurer le nombre de pas, mais les autres fonctions ne peuvent plus fonctionner.
Pour la recharge, Withings fournit une base de charge magnétique reliée à un câble USB-A. Aucun chargeur n’est cependant proposé avec la montre. Si le constructeur communique sur une durée de deux heures pour une charge complète et une heure pour atteindre 80 % de batterie, mes mesures ont été moindres. En partant de 0 %, la montre n’a été chargée qu’à 39 % en une heure, à 77 % en deux heures et il aura fallu attendre 2h30 au total pour une charge complète.
Réseau et communication de la Withings ScanWatch
La montre Withings ScanWatch ne propose ni connexion 4G ni même du Wi-Fi. La seule connexion dont elle dispose est celle du Bluetooth Low Energy pour communiquer ses informations au smartphone et réciproquement.
Du côté du GPS, si le suivi des entraînements vous permet de vous localiser, c’est encore une fois à l’aide du GPS du smartphone qui lui est associé. La ScanWatch n’intègre en effet pas de GPS et, si vous comptez aller courir sans smartphone, vous ne pourrez pas retrouver le tracé de votre parcours.
Prix et disponibilité de la Withings ScanWatch
La montre ScanWatch de Withings est disponible au prix de 300 euros pour le modèle 42 mm et à 280 euros pour la version 38 mm. Elle est proposée avec un cadran noir ou un cadran blanc dans les deux cas. Withings propose également des bracelets en option en plus de celui en silicone noir fourni avec la montre.
À ce prix, la Withings ScanWatch fait face à plusieurs montres connectées haut de gamme comme la Samsung Galaxy Watch 3, la TicWatch Pro 3 ou l’Apple Watch SE.
Une bouse... Ma plus grosse déception withings (j'ai la balance body cardio et leur première montre en version verre saphir). Des promesses oui, des résultats aucun. Autonomie aux fraises (moins d'une semaine), toutes les analyses fantaisistes sauf le podomètre et summum pour une montre électronique, elle ne donne même pas l'heure car elle se décale de plusieurs minutes par jour. Et je ne parle pas du bracelet silicone qui me provoque des allergies. Je ne comprends pas pourquoi il faut activer GPS, Bluetooth et Wifi sur mon téléphone pour la synchroniser puisqu'elle n'a pas de GPS... Je préfère ma garmin fenix 5x pour le sport, moins jolie mais beaucoup plus fiable (et aucun problème d'allergie avec les bracelets silicone), ou ma code41 day41 pour faire habillé, mécanique mais beaucoup plus fiable pour sonner l'heure. Je n'ose même pas la revendre...
Sincèrement demander a une montre connectée de diffuser de la musique... Consommation de batterie inutile
Presque complète... Mais peut on se passer d'un GPS et diffuser de la musique dans des écouteurs bluetooth... Pour moi non. Un frein majeur à la pratique sportive.
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