Jaybird a lancé début juin 2021 sa deuxième version des Vista, ces écouteurs true wireless dédiés aux sportifs. Cette année, le produit embarque une réduction de bruit active et a également eu droit à quelques améliorations ici et là. La première génération de Jaybird Vista avait raflé un 8/10 lors de notre test, il est désormais temps de voir si la deuxième version fera mieux… ou moins bien. Voici notre avis complet sur les Jaybird Vista 2, après un mois d’utilisation.
Pour aller plus loin
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Fiche technique
Modèle | Jaybird Vista 2 |
---|---|
Format | Ecouteurs sans fil |
Batterie amovible | Non |
Microphone | Oui |
Réduction de bruit active | Oui |
Autonomie annoncée | 24 heures |
Poids | 13,4 g |
Prix | 209 |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé avec des écouteurs fournis par Jaybird.
Design
Les Vista 2 reprennent exactement le même design que leurs prédécesseurs. Seule la surface externe permet de différencier les deux modèles : elle est désormais en tissu. Ce n’est pas seulement un choix esthétique, car la marque explique que ce tissu « durable et protecteur » recouvre les micros et « permet d’éliminer les interférences pour obtenir un son clair ». Si l’on s’en tient au design, ce changement est réussi même si quelques microdébris du quotidien s’y accrochent de temps à autre. Le toucher est également important puisque c’est avec la surface externe que l’utilisateur va contrôler sa musique — nous reviendrons sur ce point prochainement.
Les Vista 2 sont disponibles en noir (version testée), bleu et gris clair // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
On retrouve le même type d’embouts que sur les Vista premiers du nom. Faits en silicone et livrés en quatre tailles, ces embouts embarquent une ailette de maintien et ont la particularité d’englober la quasi-totalité du produit. Ainsi, les écouteurs en eux-mêmes ne sont jamais salis et les embouts sont très faciles à laver. Autrement, les écouteurs affichent, à quelques millimètres près, les mêmes dimensions que la première version. Même chose pour la masse, qui grimpe d’un petit 6 grammes à un toujours petit 6,7 grammes.
Les embouts protègent la totalité des écouteurs // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
Une fois combinés avec cette légèreté, le format intra-auriculaire des écouteurs et les ailettes offrent un maintien tout simplement excellent. Aucun problème pour un usage quotidien comme pour une utilisation sportive. Les Vista 2 sont toujours restés fermement fixés dans mes oreilles lors de mes entraînements mouvementés ou de mes courses à pied : même pas besoin de les replacer après une heure d’effort. Attention, le format intra-auriculaire de ces écouteurs ne fait pas semblant, il bouche complètement le canal auditif et provoque sans surprise une légère sensation de gêne après 1 h 30 d’écoute, comme pour la première génération. Cela veut aussi dire que la très forte isolation passive des Vista a été conservée sur les Vista 2 : pas besoin d’aller plus haut que 40 % de volume. Une bonne nouvelle pour vos tympans.
Les Vista 2 proposent un look plutôt discret // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
Niveau look, les Vista 2 ne présentent qu’une légère protubérance, mais restent discrets dans les oreilles. Vous pouvez donc les utiliser dans des situations du quotidien. C’est d’ailleurs sûrement ce que veut Jaybird en proposant du tissu sur la surface externe, histoire d’atténuer le look initial baroudeur des Vista. Les écouteurs restent cependant très robustes face aux chocs, à la poussière, à l’eau et à la transpiration grâce à un classement IP68. C’est une belle évolution quand on sait que la précédente génération avait « seulement » un indice IPX7. Comme si cela ne suffisait pas, Jaybird a également fait valider les Vista 2 aux tests MIL-STD-810G, une norme militaire américaine. Bref, je n’ai pas été surpris par la résistance dont ont fait preuve les Vista 2 lors de mes sessions running sous la pluie. Bonne nouvelle, cette année, le boîtier a lui aussi droit à un indice de protection : les infiltrations limitées de poussière et des projections de liquide ne viendront donc pas à bout de l’étui grâce à sa norme IP54.
Le boîtier
En parlant du boîtier des Vista 2, sachez qu’il est lui aussi très similaire à son prédécesseur. On retrouve le même agencement des écouteurs et du bouton d’appairage. Les écouteurs s’installent et se retirent très facilement grâce aux pins de charge magnétiques, ce qui n’est pas encore le cas pour tous les true wireless. La surface extérieure de l’étui est désormais faite de plastique lisse, mais est toujours frappée du logo de la marque. La face inférieure est cette fois-ci vide de toutes mentions légales, ces dernières ayant migré à l’intérieur du boîtier.
L’étui des Vista 2 est facile à transporter // Source : Maxime Grosjean pour Frandroid
Le petit cordon propre à la gamme Vista est toujours placé à gauche du boîtier, mais est cette année fixé au corps du produit : impossible de le retirer. Nous trouvions cela dommage au début de notre test, mais ce cordon nous a plus servi qu’on ne le pensait, par exemple pour sortir le boîtier d’une petite poche. Finalement, il aide plus qu’il ne dérange.
Le port de recharge est toujours étrangement placé à l’avant, mais il a le mérite de faciliter l’ouverture de l’étui. Il faut tout de même utiliser ses deux mains. Juste au-dessus de ce port USB-C, on remarque trois LEDs, contre une auparavant. Le système est ingénieux : la LED centrale communique sur le niveau de batterie du boîtier tandis que les LEDs gauche et droite font la même chose pour l’écouteur gauche et droit. C’est très pratique. Soulignons également l’ajout de la charge sans-fil.
L’encombrement est quant à lui sensiblement le même. Retenez que le boîtier est très facilement transportable, dans un sac comme dans une poche de pantalon. L’expérience proposée avec le boîtier est globalement très agréable. Voyons si on peut dire la même chose des écouteurs.
Usage et application
Les Vista 2 sont compatibles avec l’appairage Google Fast Pair et il suffit donc d’ouvrir le boîtier à proximité du téléphone pour lancer la procédure. On a alors droit à l’habituelle fenêtre automatique, qui ne demande qu’un seul clic pour finaliser la première connexion. Cette compatibilité Fast Pair offre également d’autres avantages sous Android. Il est par exemple possible de faire sonner les écouteurs directement depuis le menu Bluetooth. On a également droit à l’affichage du design des Vista 2 dans le menu du volume.
La connexion Bluetooth
Les écouteurs se connectent automatiquement au téléphone dès leur sortie du boîtier. Au quotidien, nous retrouvons malheureusement les mêmes quelques frustrantes microcoupures que sur la première version. Ces problèmes restent rares, mais ils viennent tout de même ternir l’expérience d’utilisation. Les microcoupures se font plus fréquentes lorsque les écouteurs n’ont plus beaucoup de batterie. Il est également parfois nécessaire de replacer un des deux écouteurs dans le boîtier le temps de quelques secondes suite à une perte de connexion avec le téléphone inexpliquée. On attendait plus de fiabilité de la part de Jaybird. Les Vista 2 ne proposent pas de Bluetooth multipoint.
Concentrons-nous désormais sur quelques points positifs du produit. Les deux écouteurs sont indépendants : vous pouvez tout à fait en utiliser un et laisser l’autre dans le boîtier. Aussi, Jaybird a cette année jugé bon de proposer l’option de mise en pause automatique de la musique. Cette dernière utilise les pins magnétiques de charge pour détecter la présence ou non de peau humaine. Cela fonctionne bien, même si les écouteurs peuvent temporairement relancer la musique suite à un bref contact avec les doigts de l’utilisateur.
Les contrôles physiques et tactiles
La marque a également eu la bonne idée de garder les commandes physiques des Vista première génération : de bons vieux boutons cliquables fonctionnent encore aujourd’hui mieux que la plupart des commandes tactiles. Notons tout de même l’apparition d’une commande « double tap », en plus du « double appui ». Par défaut, voilà comment sont organisées les commandes :
- Appui simple : lecture/pause
- Double appui : musique précédente (gauche)/musique suivante (droite)
- Double tap : réduction de bruit active/mode transparent
- Appui long : volume bas (gauche)/volume haut (droite)
Il est possible de modifier ces actions dans l’application dédiée. Par exemple, l’appui long peut être utilisé pour éteindre et allumer manuellement les écouteurs. Cette option est très pratique dans certaines situations, lorsque le boîtier n’est pas à proximité par exemple.
L’application Jaybird
L’application, déjà très bien agencée lors de notre test des premiers Vista, a eu droit à une belle réorganisation cette année. On ne peut honnêtement pas faire plus simple, puisque les trois menus ont été condensés en une seule et unique page principale. On retrouve le niveau de batterie des écouteurs et de l’étui, les préréglages sonores sur lesquels on reviendra dans la prochaine partie, la gestion des commandes physiques et même une carte pour localiser les écouteurs et le boîtier. En cas de perte, Jaybird est allé au bout des choses et propose à l’utilisateur de faire sonner les écouteurs et clignoter les LEDs de l’étui. Bluetooth oblige, il faut être relativement proche des éléments pour utiliser une telle fonctionnalité.
L’application permet de désactiver la mise en pause automatique de la musique, mais aussi de basculer manuellement entre les modes de réduction de bruit active. C’est également grâce à elle que les Vista 2 reçoivent leurs mises à jour — déjà deux entre la sortie des écouteurs et la publication de ce test. Soulignons la fluidité et le soin apportés au design de l’application.
Surtout, cette dernière à le mérite de se lancer très rapidement : pas besoin d’attendre 5 secondes ou plus pour l’utiliser et piloter ses écouteurs. Elle fait alors partie des rares applications d’écouteurs que l’on prend la peine d’ouvrir pour basculer manuellement entre les modes de réduction de bruit active. Justement, parlons-en.
Réduction de bruit
La réduction de bruit active proposée par les Vista 2 est mauvaise. Avant de détailler ces propos, nous pouvons déjà nous demander pourquoi Jaybird a intégré un tel mode dans des écouteurs dédiés aux sportifs. Certaines activités peuvent en effet devenir dangereuses : nous pensons ici à la course à pied en extérieur, pendant laquelle il n’est pas très malin de vouloir se couper totalement des sons environnants. Pas grave puisque, dans les faits, la réduction de bruit active des Vista 2 crée plus de bruits de vent qu’elle ne supprime les sons parasites. Nous avons donc tout simplement désactivé la réduction de bruit active lors de nos sessions sportives… autant acheter la première génération de Vista non ?
Jaybird explique tout de même sur son site que ce mode est utile « lorsqu’il est temps de se concentrer » pour supprimer « les bruits de fond à la salle de sport, au bureau ou à l’aéroport ». Sauf que là aussi, les résultats ne nous ont pas convaincus. En parlant d’aéroport justement, quoi de mieux qu’un vol de deux heures avec un enfant en bas âge qui s’égosille pour tester la réduction de bruit active des Vista 2 ? Mauvaise nouvelle, les (terribles) pleurs du bambin se font légèrement plus dérangeants avec l’ANC activé. Au décollage, ce dernier fait mieux que la simple isolation passive, mais il produit quand même quelques crépitements.
Changeons de situation. Sur le quai, le bruit du métro qui arrive est bien moins agréable avec l’ANC activé, la faute encore à l’amplification involontaire du bruit du vent. Une fois à l’intérieur de la rame, la musique passe parfois légèrement au premier plan, mais la différence est généralement imperceptible. On a l’impression que seul le volume augmente, sans pour autant éliminer les bruits de fond. Il faut alors augmenter le volume pour s’en débarrasser définitivement, ce qui est tout simplement contre-productif pour une réduction de bruit active. Même histoire pour les voyages en train et en bus : les sons produits par la vitesse, le moteur et les tremblements ne sont pas supprimés et sont souvent détachés du reste. Pour finir avec les transports, sachez que nous entendions encore les voix des annonces avec la réduction de bruit. Votre voisin passe la tondeuse dans son jardin ? Là aussi, l’ANC n’est pas flagrant, voire moins bon que l’isolation passive. C’est exactement la même chose en présence d’une climatisation d’intérieur un peu trop soufflante. La réduction de bruit active est efficace dans de très rares situations, lorsque les bruits sont très monotones et sur des fréquences basses. Les bruits des voitures qui passent dans la rue sont par exemple plutôt bien gérés, mais pas assez pour nous motiver à activer la réduction de bruit.
Dans un open space, les quelques bruits de clavier et appels téléphoniques des collègues sont de toute façon supprimés dès lors que l’on passe la faible barre des 25 % de volume, que l’on soit en mode de réduction de bruit active ou non. C’est bien là tout le comble des Vista 2 : la réduction de bruit active est moins bonne que l’isolation passive. Globalement, les bruits ambiants dont on souhaiterait se débarrasser ne sont pas réduits et sont au contraire détachés. Ils ne sont pas forcément plus forts, mais on les distingue mieux, ce qui n’est évidemment pas le but. Dans le meilleur des cas, on a l’impression que le volume est légèrement augmenté, sans pour autant sentir que la musique passe au premier plan.
Pour vous dire, l’isolation passive est tellement forte que nous devions abaisser le volume de notre musique à 20 % pour essayer de distinguer la différence entre l’activation et la désactivation de la réduction de bruit. C’est simple, en trois semaines de test, nous n’avons jamais eu le réflexe de passer en mode ANC : ce dernier n’est clairement pas au point. Le simple fait de marcher dans la rue produit des bruits artificiels de vent.
Le mode transparent
Un mot sur le mode transparent, qui a lui aussi fait son arrivée sur les Vista 2. Ce n’est pas le meilleur jamais testé, mais il fait le travail en permettant d’amplifier les bruits extérieurs. L’application Jaybird propose même beaucoup de réglages : pourcentage des sons ambiants à laisser passer et filtres de vent « faible », « normal » et « haut » en fonction des situations.
Appelé « SurroundSense », ce mode transparent est mis en avant par Jaybird pour protéger l’utilisateur sur la route et lui permettre « d’être toujours conscient de son environnement » tout en atténuant les bruits extérieurs. Ce mode fonctionne bien pour écouter les voix, mais ne gère pas tant que ça le bruit de vent. Dans les faits, on préfère baisser simplement le volume de sa musique pour rester un minimum averti, ou dans certaines situations retirer les écouteurs des oreilles — plutôt que d’ouvrir l’application pour modifier les réglages du mode transparent.
Audio
La différence entre la qualité sonore des Vista et des Vista 2 est minime et ce n’est pas une surprise, car les deux modèles partagent exactement la même fiche technique, à l’exception de l’ajout du codec AAC sur les Vista 2. Jaybird a gardé les transducteurs de 6 mm, mais nous avons tout de même une toute légère préférence pour le son proposé par les Vista 2… à condition de ne pas activer la réduction de bruit. Une rapide explication s’impose alors. Sur les écouteurs équipés d’une telle fonctionnalité, la qualité sonore est souvent légèrement différente une fois avoir activé l’ANC. Généralement, le son offert par le mode ANC est plus agréable et est donc celui décrit dans les tests. Ici, le son proposé par le mode ANC des Vista 2 a beau être différent de celui sans ANC, il est simplement gâché par le bruit du vent artificiel créé par les algorithmes. Dans ce test, nous décrirons donc la qualité sonore délivrée par les écouteurs sans réduction de bruit active.
Les Vista 2 conservent leur attrait pour les basses, ce qui n’est ni étonnant ni décevant pour des écouteurs dédiés aux sportifs. La cible n’est clairement pas audiophile : les écouteurs n’offrent pas un niveau de détails incroyable, mais le son reste tout de même très convaincant. L’isolation passive engendrée par le format purement intra-auriculaire des écouteurs permet une expérience d’écoute somme toute agréable. Nous ne sommes pas au niveau des Bose Sport Earbuds ou des Jabra Elite 85t, mais le son reste prenant. S’il fallait les comparer (bêtement, car ces modèles ne sont pas faits pour les sportifs) aux autres ténors du marché tels que les Airpods Pro ou les Sony WF-1000XM4, là aussi les Vista 2 ne seraient pas à la hauteur. Les basses bavent parfois sur les médiums, ce qui peut déranger certaines personnes à la longue, surtout qu’avec ses Vista 2, Jaybird essaie cette année d’offrir plus qu’une paire d’écouteurs pour sportifs. Entre alors en jeu l’application Jaybird précédemment décrite. L’approche de la marque est intéressante : elle mise beaucoup sur la personnalisation du son et pousse l’utilisateur à changer fréquemment de signature, en fonction de ses envies et situations.
L’utilisateur a plusieurs choix : personnaliser son égaliseur, fouiller parmi les dizaines de préréglages créés par la communauté (présentés à la manière des playlists Spotify) ou même se laisser guider par l’application pour profiter d’un profil d’égalisation sur mesure. Pour cette dernière option, l’application envoie des tonalités de différentes fréquences dans les écouteurs et l’utilisateur doit indiquer à partir de quel niveau sonore il les entend. Pur marketing ou vraie fonctionnalité ? Difficile à dire, mais soulignons l’effort de Jaybird, même si nous préférions de notre côté le profil « Signature » et ses généreuses basses pour nos séances sportives. Le profil plat est quant à lui… bien trop plat, voire insipide, sur les morceaux chantés. Mentions spéciales aux profils créés par la communauté. Certains valent le détour.
Micro
Sur son site, Jaybird communique fièrement sur la réduction du vent pendant les appels. Dans les faits, les deux haut-parleurs internes présents sur chaque écouteur montrent rapidement leurs limites. Mes interlocuteurs m’entendaient parfaitement bien lorsque je marchais, mais pas du tout lorsque je trottinais ou courais. Dommage pour des écouteurs dédiés aux sportifs, la technologie a ses limites. Sachez tout de même que les Vista 2 ont su atténuer les bruits d’eau de mon évier lors d’un de mes appels.
Autonomie
Jaybird annonce 6 heures d’autonomie avec la réduction de bruit active et jusqu’à 8 heures sans. Nous avons fait nos tests et nous sommes tombés sur des résultats quasiment égaux, ce qui est assez rare pour le souligner.
- Avec réduction de bruit active et volume à 50 % : 6 heures et 6 minutes
- Sans réduction de bruit active et volume à 50 % : 8 heures et 3 minutes
Ces résultats classent les Vista 2 dans le haut du panier. Toujours selon nos tests, un passage de 5 minutes dans l’étui permet aux écouteurs de tenir 56 minutes — la marque annonçait une heure. Le boîtier est censé offrir deux recharges supplémentaires, ce que nous avons également pu vérifier. Comptez même un tout petit peu plus. Ainsi, le boîtier et les écouteurs complètement chargés peuvent offrir plus de 24 heures d’autonomie sans ANC, ou 18 heures avec. Belle performance, en nette hausse par rapport à la première version.
La fête est moins folle du côté de la recharge : les écouteurs demandent une sieste de plus d’1 heure et 40 dans le boîtier pour atteindre les 100 %. Nous avons clairement connu plus rapide. Une fois le boîtier et les écouteurs complètement déchargés, comptez un peu moins de 2 heures et 30 minutes pour une charge complète. Il faudra logiquement prévoir encore plus de temps si vous décidez d’utiliser la charge sans-fil de l’étui.
Prix et date de sortie
Les Jaybird Vista 2 sont affichés au prix de 209 euros, soit 20 euros de plus que la première génération de Vista à sa sortie. Trois coloris sont proposés : noir, blanc et bleu. Notez que la couleur du boîtier (et du cordon) s’accorde avec celle des écouteurs.
En clair, c'est une évolution qui n'en est pas vraiment une mais cela permet d'augmenter le prix qui était déjà élevé apparemment vis à vis du produit ... "Les écouteurs restent cependant très robustes face aux chocs, à la poussière, à l’eau et à la transpiration grâce à un classement IP68" Depuis quand la certification IP concerne les chocs ? J'imagine qu'il s'agit d'une erreur de rédaction puisque vous mentionnez la certification MIL-STD-810G plus loin qui, elle, comporte des essais de chocs (en plus d'autres).
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