Test du T598 de Thrustmaster, le Direct Drive accessible sur PC et PS5

Manettes • 2024

Thrustmaster bouleverse le marché du simracing avec son nouveau T598, premier volant Direct Drive de la marque compatible PlayStation. Face à une concurrence qui maintient des prix élevés, le constructeur français propose une solution complète à 499,99 euros. Mais à ce tarif, peut-on vraiment avoir un vrai Direct Drive performant ? C'est ce que nous allons découvrir dans ce test complet.
Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid
Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid
 
Source : Thrustmaster

Thrustmaster est loin d’être un nouveau venu dans le monde du simracing. Mais après une génération complète de domination sur les consoles PlayStation 4 et Xbox One, le constructeur s’était laissé prendre de vitesse par Fanatec et Logitech. En effet, l’ère du Direct Drive, technologie qui permet une connexion directe entre moteur et volant, se passait alors du fabricant français, du moins sur consoles.

Ainsi, après un T818 dédié au monde du PC, Thrustmaster met sur le marché son premier volant Direct Drive, avec une compatibilité PC, PlayStation 4 et PlayStation 5. Sa stratégie : miser sur un nouveau type de motorisation avec un moteur axial et non radial. De quoi alléger la note sans perdre en sensations ?

En tout cas, le T598 est un bundle complet comprenant un volant, une base motorisée et un pédalier. Nous le comparerons à son concurrent direct sur la plateforme, le Fanatec GT DD Pro (699 euros en version 5Nm), mais aussi au T300 RS, ancienne référence de Thrustmaster.

Thrustmaster T598Fiche technique

Modèle Thrustmaster T598
Dimensions 300 mm x 310 mm x 270 mm
Prise jack Non
Fiche produit

Ce test a été réalisé avec un modèle fourni par le constructeur.

Thrustmaster T598Design et fabrication : des compromis assumés

En visant le seuil des 500 euros pour un pack complet et prêt à jouer, Thrustmaster se devait de faire des compromis. C’est probablement ce qui explique que le premier coup d’œil jeté à l’ensemble ne rende pas aussi bien que les meilleures productions de la marque, et que le T598 se montre finalement moins réussi, esthétiquement parlant, qu’un Logitech G923. Question de design, mais aussi de matériaux utilisés.

Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid

Un volant détachable en plastique

Le volant livré avec le T598 fait clairement les frais des compromis budgétaires. La construction est intégralement en plastique, à l’exception des palettes de changement de vitesse en métal. Si l’aspect visuel reste correct grâce à quelques touches esthétiques comme les bagues décoratives, on est loin du premium auquel la marque a pu nous habitués avec certains de ses volants vendus seuls. Notez à ce titre que le volant est remplaçable et qu’on peut donc utiliser un autre modèle, le cas échéant.

Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid

La façade du volant imite certes le carbone avec un logo central assez énorme, mais ne nous y trompons pas, il s’agit bien de plastique. Le pourtour du volant, lui aussi, mélange gomme pour les poignées, et plastique pour les autres parties. Une gomme texturée qui rappelle assez clairement celle du T300RS, avec un diamètre de 3,5 centimètre.

En façade, on trouve pas moins de 13 boutons et une croix directionnelle, mais là encore, le rendu ne tient pas la comparaison avec les productions de Logitech, ni même avec le GT DD Pro de Fanatec. A l’arrière, un quick release de dernière génération, lui aussi en résine, permet la connexion à la base du T598.

Si les ajustements de ce volant sont assez corrects, on retiendra donc surtout une finition en retrait face à la concurrence, marquée notamment par la présence de nombreuses vis visibles à l’arrière et par l’omniprésence de matériaux peu nobles.

Une base au format étonnant

Avec l’arrivée de la technologie Direct Drive, on s’est habitué à voir de plus en plus de bases motorisées compactes. Ainsi, Fanatec et Moza ont opté pour un format cubique, tout comme Thrustmaster avec son T818. Mais le T598 n’utilise pas exactement la même technologie, et son moteur axial prend moins de profondeur mais plus de hauteur.

Source : Thustrmaster

En résulte une base plus large et haute, avec un diamètre de 23 centimètres environ, pour une profondeur d’à peine 18 centimètres, quick release compris.

Toute la partie centrale de ce moteur est enfermée dans une coque en métal, alors qu’à l’avant et à l’arrière, c’est une large pièce de plastique qui accueille boutons et connecteurs. On trouve ainsi à l’arrière un port alimentation, un mini-din pour connecter un frein à main ou un levier de vitesses, un port RJ12 avec ergot décalé pour le pédalier et un port RJ45 dont la fonction est encore inconnue. Enfin, la connexion à la console ou au PC se fait avec un port USB-C, le câble correspondant étant bien fourni par le constructeur, tout comme l’alimentation de 90W.

Thrustmaster T598

En façade, on trouve 4 larges boutons, dont les L3 et R3 de la manette PlayStation, un bouton pour le changement de mode (et donc de compatibilité) et un pour l’accès au menu interne. Menu qui apparaît sur un écran central, hérité du T248, et qui permet d’effectuer de nombreux réglages directement depuis la base, comme chez Fanatec.

Le pédalier Raceline Pedals LTE plein de promesses

Le Raceline Pedals LTE n’a plus grand chose à voir avec les anciennes productions de Thrustmaster et se rapproche fortement du CSL Pedals de Fanatec. Sa construction, très majoritairement métallique, inspire confiance, et ses possibilités de réglages sont nombreuses pour un modèle d’entrée de gamme. On peut ajuster la position du point d’appui des ressorts, changer les ressorts eux-mêmes, modifier la hauteur et l’espacement des pédales.

Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid

Le choix d’un modèle deux pédales (frein et accélérateur) peut sembler limitant, mais Thrustmaster prévoit la sortie d’une troisième pédale load cell courant 2025. Là encore, ça nous rappelle la solution proposée par Fanatec pour son entrée de gamme.

Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid

Thrustmaster T598Compatibilité et installation : Thrustmaster ne veut pas créer de rupture

Avec le T598, Thrustmaster a tout fait pour inscrire son nouveau volant dans la continuité. Mais certains choix techniques, souvent nécessaires pour améliorer l’expérience, impliquent forcément quelques compromis. C’est pourquoi nous vous proposons de regarder de plus près l’intégration de ces éléments dans votre écosystème.

La fixation de la base désormais sur 4 points

Pour la fixation de la base à une table ou un bureau, le T598 s’accompagne d’une platine en métal et de deux étaux pour un maintien de très bon niveau malgré la puissance de la motorisation. Le système complet s’installe et se désinstalle en moins de 2 minutes, ce qui permet de passer rapidement d’une configuration simracing à un bureau classique.

Les utilisateurs de supports de volants ou de châssis profiteront eux de 4 points de fixation contre 2 pour les précédents modèles du fabricant comme le T300 ou le T-GT. De quoi assurer une meilleure rigidité une fois installé. Mais il faudra donc faire attention à la compatibilité avec votre cockpit ou support de volant, et éventuellement ajouter deux trous supplémentaires à la perceuse, les deux premiers étant simplement ceux des modèles d’ancienne génération chez Thrustmaster. Toutefois, nous avons réussi à monter le kit (volant et pédalier) sur le cockpit Oplite GTR S8 Infinity, sans trop de difficulté ni d’accessoires supplémentaires.

Un pédalier quasiment utilisable sans support

Le pédalier est utilisable en l’état directement sur sol, grâce à l’ajout de 4 patins en caoutchouc et 4 griffes pour moquette. Sur sol lisse, comme du linoléum ou du carrelage, la stabilité n’est pas vraiment au rendez-vous, mais les griffes se montrent particulièrement efficaces sur tapis ou moquette. Mais comme pour tout pédalier de simracing, il est de toute façon toujours préférable de le fixer sur un support dédié ou une plaque de bois. Des emplacements pour vis sont d’ailleurs prévus à cet effet.

Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid

Mais là encore, cette possibilité de modifier latéralement l’emplacement de chaque pédale implique un risque d’incompatibilité avec les supports de pédaliers habituels. On peut donc envisager de ressortir la perceuse pour créer des trous manquants en cas d’utilisation sur cockpit ou wheelstand.

Un Quick Release de nouvelle génération

Le système de démontage rapide constitue l’une des belles réussites de ce T598. Reprenant la base du T818 avec quelques améliorations, il offre une meilleure rigidité tout en restant simple d’utilisation. Le changement de volant peut se faire d’une seule main, et la compatibilité est assurée avec tous les volants Thrustmaster de nouvelle génération comme les récents EVO Racing 32R Leather ou Hypercar Wheel Add-On, par exemple.

Source : Thrustmaster

Pour les possesseurs d’anciens modèles de volants, deux solutions existent : l’adaptateur QR Adapter ou le récent Quick Release Upgrade si votre volant est compatible. C’est un point important qui montre la volonté de Thrustmaster de préserver la compatibilité avec son écosystème existant tout en proposant une meilleure solution de connexion base/volant que par le passé.

Frein à main et levier de vitesses bienvenus

Le T598 est équipé d’un port RJ12 permettant d’accueillir un frein à main ou un levier de vitesses de la gamme de Thrustmaster. Il est donc compatible avec les TH8A, TH8S et TSS Handbrake. Pour utiliser deux accessoires simultanément, il faut cependant passer par le TM Sim Hub, comme pour les T300 et T-GT.

Une compatibilité PS5, PS4, PC, mais pas Xbox

Le nouveau T598 est officiellement compatible PC, PlayStation 5 et PlayStation 4. Mais contrairement à ce que proposent ses concurrents Fanatec et Logitech avec leurs nouvelles bases, point de compatibilité Xbox à l’horizon en changeant simplement le volant. Pour les joueurs sur consoles Microsoft, la marque a prévu un modèle spécifique, non encore sorti à l’heure de ce test.

Profitant d’un mode de compatibilité hérité du T-GT, le T598 permet de jouer à l’ensemble du catalogue des plateformes citées. Ainsi, tous les jeux que nous avons essayés ont pu être joués dans de bonnes conditions : F1 24, Assetto Corsa Competizione, EA SPORTS WRC, iRacing, Gran Turismo 7, etc. Pour autant, aucun des jeux console n’a réellement reconnu nativement le T598. Ce qui, nous le verrons dans la partie dédiée aux sensations de ce test, a de réelles conséquences.

Une suite logicielle en développement

Le logiciel My Thrustmaster Panel représente certainement l’aspect le plus perfectible du T598. Actuellement en version bêta, il permet uniquement la mise à jour du firmware et la visualisation des périphériques connectés. Les réglages doivent se faire directement depuis la base, en attendant une future mise à jour qui permettra la configuration via PC Windows ou smartphone.

Pour les joueurs PlayStation en revanche, aucun support logiciel ne semble prévu, comme c’est malheureusement toujours le cas sur ces plateformes. Là encore, c’est bien via le menu interne que l’ensemble des réglages devront se faire. Quant aux mises à jour, si elles sont hautement recommandées, elles nécessitent obligatoirement un PC Windows pour être appliquées.

Thrustmaster T598Le ressenti en jeu : un énorme potentiel qui demande à être exploité

Soyons clairs, lors de notre test, nous avons ressenti des différences assez importantes de rendu en passant d’un jeu à l’autre. Certes, chaque jeu diffère dans sa gestion des volants, des modèles physiques et des sensations qu’ils procurent. Mais le T598 a clairement une responsabilité dans ces différences ressenties. Probablement à cause de son système de compatibilité issu du T-GT, un modèle qui n’est pas en Direct Drive.

Écartons tout de même le pédalier de cette situation. En effet, il se montre tout à fait constant, avec un accélérateur léger mais précis, et un frein qui, à défaut de load cell, s’en sort honorablement bien. Avec sa technologie magnétique, c’est clairement le meilleur modèle de la marque à ce jour et ses perspectives d’évolution en font un modèle de choix.

Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid

Le PC, la plateforme reine pour le T598

Sur PC, les premières différences se font ressentir entre simulations pures et dures, et jeux plus accessibles. Ainsi, un iRacing ou un RFactor 2 révèle véritablement le potentiel de cette nouvelle motorisation, capable de belles envolées de puissance lors des contacts avec les concurrents, et très constante lors des enchaînements de virages. Mais c’est surtout sur la finesse des effets retranscrits que le T598 se démarque de ses concurrents. Effets de route, vibreurs, changements de surfaces, viennent s’ajouter à la résistance du volant avec un réalisme inédit dans cette gamme de prix.

Sur Assetto Corsa Competizione PC, le résultat est moins “exceptionnel”, mais reste très satisfaisant. On regrettera un retour au centre un peu trop marqué et un nombre d’informations trop élevé dès que l’on ajoute des effets de route. Le titre ne permet malheureusement pas la gestion indépendante des différents effets, et le logiciel fourni par Thrustmaster non plus. Pour autant, le rendu des ralentisseurs en bord de route sont parmi les mieux retranscrits qui soient, même lors des longues courbes où le moteur est particulièrement sollicité.

Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid

PlayStation 4 et 5, encore quelques progrès à attendre

Le passage sur PlayStation 5 ou PlayStation 4 est, après nos sessions sur PC, un peu plus décevant. Le T598 est un système basé sur une technologie direct drive, et ça se sent clairement. En ça, il surpasse les T-GT et T300 de la marque. Et dans la plupart des situations, on peut même le placer un cran au-dessus du GT DD Pro de Fanatec, dans sa version 5 Nm. Pour autant, les sensations ne sont pas aussi bonnes qu’avec les jeux Windows.

La conduite dans Assetto Corsa Competizione PS5 par exemple, manque clairement de finesse. Le volant est trop souple, les pertes d’adhérence sont floues, alors même que l’on garde cette surcharge d’informations dues aux effets de route. Alors attention, c’est très jouable et on peut largement s’habituer, mais on sait que le T598 est capable de mieux, et difficile de croire que la situation pourra évoluer, l’éditeur du jeu étant désormais passé à son nouveau titre, Assetto Corsa Evo.

Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid

Sur Gran Turismo 7, jeu phare de la plateforme, nous avons eu deux phases à notre test. Une première assez décevante, avec un effet de spring très élevé et quelques mises en résonance de l’axe. Puis, après une mise à jour de Thrustmaster, tout est devenu beaucoup plus agréable à jouer. Certes, l’influence du T-GT est toujours bien présente, avec une direction qui manque un peu de précision, mais on apprécie vraiment l’effet Direct Drive en comparaison des autres modèles de la marque. Surtout, le titre de Polyphony Digital profite d’effets de route bien présents et franchement réussis. Jamais la partie Rallye du jeu n’aura été aussi agréable dans GT7

Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid

En course, une ergonomie pas si efficace

Ajoutons une petite touche de déception avec l’ergonomie du volant qui, malgré des palettes tout à fait efficaces, nous propose des boutons bien mal placés.

Surtout, c’est le système de gestion des paramètres en course qui nous a le plus déçus. En clair, on utilise une croix directionnelle pour d’abord choisir un paramètre et ensuite le modifier, avec pour seul indicateur du paramètre en cours de modification, une petite LED de couleur. Et en pleine course, c’est parfois compliqué de savoir exactement ce que l’on est en train de faire. 

Thrustmaster T598 // Source : Chloé Pertuis / Frandroid

Cette ergonomie, qui se base sur quatre molettes virtuelles, est là aussi issue du T-GT. Lequel propose bien des roulettes physiques pour ces actions. Et avec le volant d’origine du T598, ces actions perdent tout leur sens. On leur aurait clairement préféré la méthode classique du T-300, dont la croix directionnelle agit directement sur l’affichage en jeu du paramètre sur lequel agir.  

Thrustmaster T598Prix et date de sortie

Le T598 est déja disponible. Son tarif officiel est de 499,99 euros.

À ce prix, il se positionne en alternative au CSL DD de Fanatec sur PC, ou aux T-300 et T-GT de Thrustmaster, GT DD Pro de Fanatec sur PS5 et PS4. 

Notre avis sur Le Thrustmaster T598

Design
7
Si la base, plutôt haute, se montre joliment fabriquée, avec un boitier principalement en métal, un écran et de large boutons, le volant est plutôt en retrait au regard des autres productions de la marque. Côté pédalier, c’est un sans faute pour un modèle d’entrée de gamme, avec la possibilité d’évolution vers la technologie load cell, déjà annoncée par Thrustmaster pour 2025.
Confort / ergonomie
7
La prise en main du volant est bonne et sa rigidité est excellente grâce au nouveau quick release de la marque. Mais malgré des palettes très efficaces, l'ergonomie des boutons manque d'efficacité. Côté pédalier, on apprécie tous les réglages de position proposés.
Logiciel
5
Si les réglages au volant sont les bienvenus et efficaces, on regrette que la partie logicielle sur PC soit aussi réduite. Certes, Thrustmaster a mis à jour le visuel et l’ergonomie de son pilote, mais on attend beaucoup plus de paramètres d’une telle interface.
Conduite
8
Le T598 est parfois un volant étonnant. Il offre un retour de force élevé, avec de belles sensations, et ce sur un large panel de jeux. La technologie direct drive axiale prouve sa supériorité en termes de précision et sa capacité à proposer une résistance plus élevée qu'attendue. Sa compatibilité PS5 et PC est excellente, mais elle s'appuie encore trop sur celle du T-GT. En résulte parfois un certain manque de précision dans l'axe.
Note finale du test
7 /10
Le Thrustmaster T598 représente une petite révolution dans le monde du sim racing. En proposant un volant Direct Drive complet à 499,99 euros, Thrustmaster rend cette technologie accessible à un plus large public. Malgré quelques compromis sur la finition du volant et une suite logicielle encore en développement, l'ensemble est remarquablement cohérent.

Les performances sont au rendez-vous, particulièrement sur PC où le T598 exprime tout son potentiel. Sur PlayStation 5, si l'intégration n'est pas encore parfaite, les futures mises à jour devraient permettre d'améliorer l'expérience. Face à ses concurrents principaux , le T598 propose un meilleur retour de force, capable de montées en puissance assez impressionnante pour un modèle de cette gamme.

Pour les simracers à la recherche d'un premier volant Direct Drive ou ceux qui veulent upgrader depuis un T300 ou un G29, le T598 représente une excellente option. Il offre une porte d'entrée abordable vers les sensations haut-de-gamme du sim racing, sans compromis majeur sur la qualité de fabrication.

Points positifs du Thrustmaster T598

  • Un excellent rapport qualité/prix

  • Moteur dynamique et réactif

  • Pédalier de qualité et évolutif

  • Quick Release efficace

  • Les réglages depuis le volant

  • Une très large compatibilité PS5, PS4 et PC

Points négatifs du Thrustmaster T598

  • Finition plastique du volant

  • Ergonomie des boutons très perfectible

  • Suite logicielle encore en développement

  • Des sensations en retrait sur PS5, pour le moment

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