Qui est Le Vélo Mad ?
Fondée par le duo d’entrepreneurs Guillaume Adriansen et Charles Hurtebize, l’entreprise Le Vélo Mad a été lancée en octobre 2018 avec une idée simple en tête : concevoir des vélos électriques conçus et assemblés en France, à la Manufacture Française du Cycle plus précisément, sise à Machecoul (44).
Le Vélo Mad privilégie au maximum le circuit court, du moins quand elle le peut. Rayonnage, moyeu, peinture et test d’homologation sont effectués en France, lorsque les cadres sont fabriqués à Taïwan, les garde-boue en Allemagne et les pneus en Chine.
Aujourd’hui basée à Rouen, la société compte trois modèles branchés à son catalogue : Le Sport (sortie en 2018, 1849 euros), l’Urbain (sortie en en 2019, 1849 euros) et le Sport+, attendu en juillet 2021. Le Vélo Mad possède deux boutiques, l’une à Rouen et l’autre à Paris, bientôt rejointe par une troisième et une quatrième à Bordeaux et Lyon.
Fiche technique du Vélo Mad Sport+
Modèle | Le Vélo Mad Sport Plus |
---|---|
Vitesse max | 25 km/h |
Puissance du moteur | 375 watts |
Nombre d’assistances | 5 |
Autonomie annoncée | 80 km |
Temps de recharge annoncé | 150 min |
Batterie amovible | Oui |
Bluetooth | Non |
GPS | Non |
Écran | Oui |
Poids | 19,5 kg |
Couleur | Noir |
Phares | Oui |
Feu arrière | Oui |
Prix | 2290 |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé à partir d’un vélo prêté par la marque.
Un vélo de toute beauté
Le Sport+ reprend les principaux marqueurs esthétiques du modèle Sport, et c’est ici une bonne nouvelle. Une bonne nouvelle, car l’entreprise a apporté un soin particulier au design de ses vélos électriques en faisant notamment appel au fabricant britannique Brooks, entreprise historique dans la fabrication de selles de vélo.
Brooks a le souci du détail, et ses équipements ont la particularité d’apporter du cachet, un style et une vraie claque visuelle. Le Sport+ s’équipe notamment de la selle B17, le modèle de référence fabriqué depuis 1866. En cuir végétal, cette selle jouit d’une magnifique qualité de fabrication et d’une structure en acier robuste.
Son coloris marron est associé à un travail minutieux, où le logo de la marque a été soigneusement apposé sur le côté de la selle. Le nom Brooks apparaît également à l’arrière sur une bande métallique, laquelle s’associe visuellement avec les vis qui viennent perforer cette selle B17. Bref, du beau travail.
Dans un souci de cohérence stylistique, ce cuir marron s’invite également sur les poignées du vélo qui profitent au passage d’un support en aluminium. Sur la base latérale de ces poignées a été gravée l’appellation de la marque pour accentuer ce travail d’orfèvre entrepris par le constructeur britannique.
Attention cependant à l’usure de ces poignées, qui avaient déjà tendance à déteindre sur le modèle prêté à la rédaction. Sachez aussi que le modèle Sport+ ne sera décliné qu’en un seul et unique coloris pour ses débuts : en noir brillant, disponible en photos sur le site officiel. Cette couleur lui donnera un look plus uniforme avec moins de relief colorimétrique.
Ne vous attardez donc pas trop sur le flanc des pneus marron clair et la sonnette couleur cuivrée, puisqu’une teinte noire sera privilégiée pour la version définitive du Sport+. Pour revenir sur le design plus global, Le Vélo Mad a privilégié l’aluminium comme matériau principal. On le retrouve notamment sur le cadre fermé, le cintre et les garde-boue.
Ce cadre, justement, accueille la batterie au sein de son tube oblique, dans lequel viennent également se nicher les câbles de freins. Quelques traces de moulures sont aussi apparentes sans pour autant être flagrantes, mais cela n’est pas dérangeant puisque le style du vélo attire suffisamment l’œil pour ne pas trop porter attention à ce genre de détails.
Bonne nouvelle, ce Sport+ vous propose tout l’attirail d’un vélo électrique de ville, à une petite exception près : le porte-bagages est en option (59,90 euros), contrairement aux garde-boue précédemment évoqués et la béquille. Cette dernière manque cependant de finesse, paraît un poil grossière et dénote légèrement face au look très soigné du vélo. Mais elle a au moins le mérite d’être robuste.
Pour aller plus loin
Vélo électrique : quels accessoires choisir pour rouler en sécurité ?
L’entreprise nous a également précisé que le guidon avait été raccourci de 6 centimètres (3 cm de chaque côté) par rapport au modèle Sport. Cette initiative a pour objectif de rendre le vélo plus passe-partout, de sorte qu’il se faufile plus facilement entre les voitures par exemple. C’est une bonne idée, à l’heure où certaines villes françaises manquent de pistes cyclables.
Un ordinateur de bord plus discret… mais moins lisible
Le guidon a subi une autre modification : l’ordinateur de bord autrefois central et relativement large a été remplacé par un mini écran LCD cette fois-ci fixé sur la gauche. Il a certes le mérite d’être plus discret, mais il se montre un poil trop petit pour bien lire les informations affichées. Il aurait également mérité d’échanger sa place avec la sonnette.
Cette dernière est difficile, si ce n’est pas impossible d’accès si l’on garde sa main sur la poignée. Finalement, l’écran de bord n’est utilisé qu’une fois : au moment de démarrer le vélo. Lorsque la sonnette est amenée à être employée plusieurs fois durant un trajet.
Aussi, l’écran manque de luminosité lorsque l’intensité du soleil se montre trop intense : j’ai parfois eu du mal à percevoir les différents éléments. Ce module est par ailleurs composé de quatre boutons : l’un pour l’allumer et l’éteindre (sur la partie supérieure), un autre pour changer les informations indiquées à l’écran et deux derniers pour gérer le niveau d’assistance.
En pratique, ce système se montre très intuitif et simple d’utilisation. L’écran peut quant à lui vous indiquer votre vitesse du moment, votre allure moyenne, votre meilleure vitesse de pointe, le nombre de kilomètres ou encore le niveau de batterie restant via une simple barre horizontale. On aurait apprécié avoir un chiffre précis : c’est plus rassurant.
Un beau design au détriment du confort
Abordons désormais le principal point qui fâche : le confort. Si le Sport+ est un vélo électrique magnifique, il n’en demeure pas moins un cycle inconfortable, du moins au début. Bien que visuellement flatteuse, la selle se montre très rigide et ne profite d’aucun rembourrage pour accueillir votre fessier.
Au premier trajet, l’assise est clairement incommodante. Pour peu que vous ayez les fesses pointues, l’expérience tourne au vinaigre. Et ceci est tout à a fait normal, puisque le cuir de la selle va en fait s’adapter à votre anatomie au fil du temps. L’idée étant de fournir à l’utilisateur une assise parfaitement conforme à son séant. Après une centaine de kilomètres, la selle B17 me provoquait tout de même encore quelques gênes.
Il faut donc faire preuve de patience pour profiter de cette particularité propre aux selles de la marque britannique.
Malheureusement, le confort au niveau des poignées ternit légèrement la note. Parce que conçu pour une conduite sportive, le vélo vous incite forcément à basculer le poids de votre corps vers l’avant. Ce qui entraîne une gêne relativement intense au niveau des mains, qui s’appuient sur des poignées là aussi incommodantes.
Une douleur peut même survenir au niveau des éminences thénar et hypothénar. Derrière ces termes médicaux un peu obscurs, se cachent deux endroits précis de votre main : en dessous du pouce et la partie gauche.
Une conduite sportive maîtrisée
Pour quel usage ?
En pratique, le Vélo Mad Sport+ est un très bon compagnon de ville pour peu que vous aimiez les deux-roues avec une conduite sportive. Forcément, votre corps a tendance à s’incliner vers l’avant compte tenu de la conception du vélo : un guidon plus bas que votre selle, pour une personne mesurant 175 centimètres en l’occurrence.
Il n’est ici pas question d’une conduite droite comme le proposent les vélos dits « Hollandais » ou certains VTC. Et compte tenu de sa taille, le Sport+ n’a peut-être pas tout à fait sa place dans un appartement exigu. Si vous possédez un grand salon, cela fait l’affaire. Mais faut-il encore porter ses 19,5 kilos en cas d’immeuble sans ascenseur.
Forcément, le disposer dans un local, un garage ou un jardin demeure la plus simple des solutions, qui plus est avec la présence d’une batterie amovible. Finalement, le choix final vous revient si les conditions optimales ne sont pas réunies.
Moteur et assistance : entre frustration et pur plaisir
Fabriqué à la Manufacture Française du Cycle (MFC), le moteur électrique (il suffit d’appuyer sur un bouton situé sur la batterie pour allumer le système) du Sport+ propose logiquement une puissance maximale de 250 W pour coller aux règles européennes. C’est donc au niveau du couple qu’il peut faire la différence : 80 Nm en l’occurrence, ce qui, sur le papier, le classe parmi les très bons élèves du segment.
Problème : en pratique, j’ai rencontré des difficultés à réellement ressentir ces 80 Nm, bien qu’il m’ait été impossible de mesurer ce couple avec un outil dédié. Je parle donc bien ici de ressentis. Comparé au Canyon Precede:On par exemple (85 Nm), l’explosivité au démarrage n’était clairement pas la même, même en utilisant la vitesse 1 du Sport+.
En fait, Le Vélo Mad manque un poil de réactivité et de fougue sur un départ arrêté. J’ai notamment remarqué un très léger délai entre votre première poussée et le moment où le moteur transmet l’assistance électrique. Je le répète : c’est léger, mais suffisant pour le sentir… et surtout sentir les 19,5 kilos du modèle.
Pour continuer dans le jeu de la comparaison, les Cowboy 3 et Cowboy 4 ne souffrent pas de ce petit défaut. Ne vous méprenez guère : le Sport+ offre tout de même de très belles prestations et vous fait grimper jusqu’à 25 km/h en quelques coups de pédales. Que se passe-t-il une fois ce cap franchi ? Le moteur s’éteint, et vos jambes prennent le relais… pour le meilleur et pour le pire.
En effet, la transition entre la phase électrique et musculaire aurait pu être mieux gérée. Il faut vraiment pousser sur les pédales pour atteindre les 27 km/h par exemple. Chose qui ne m’est jamais arrivée avec un Cowboy, où l’élan donné par le moteur me permettait de grimper à 32 voire 33 km/h sans trop forcer.
En fait, le Sport+ a un côté frustrant. De par sa conception et votre conduite sportive, l’envie d’aller (très) vite est clairement présente. Sauf qu’une fois les 25 km/h atteints, vous voilà face à un petit mur qui vous bloque l’accès aux vitesses plus élevées, à moins encore une fois de muscler comme il se doit votre pédalage.
Et en même temps, cela peut constituer une solution intéressante pour les utilisateurs cherchant un vélo électrique « hybride » : c’est-à-dire un vélo capable de vous propulser jusqu’à une certaine allure, mais un vélo qui vous fait aussi travailler vos jambes une fois cette allure franchie. Une sorte de compromis entre le zéro effort et le tout effort.
Il n’empêche, l’assistance électrique du Sport+ procure tout de même un bon shoot de plaisir qui ne laisse pas indifférent : on lui demande de vous propulser à 25 km/h, elle exécute sa tâche très bien malgré le petit délai au démarrage.
Transmission à 10 vitesses, le plaisir à l’ancienne
Parmi les nombreux vélos électriques testés par Frandroid au cours des derniers mois, et tout particulièrement ceux au-dessus des 1500 euros, force est de constater que les transmissions à 10 vitesses ne couraient pas les rues. Nous avions en effet affaire à des moyeux à vitesses intégrés voire des systèmes 100 % automatisés ou à une seule et unique vitesse.
Le Vélo Mad a fait appel au savoir-faire de Shimano, qui fournit ici le dérailleur, la cassette et les manettes, tous issus de la gamme Tiagra. Après plus de 100 kilomètres parcourus avec, je n’ai tout bonnement aucun reproche à lui faire. Mieux : quel fut mon plaisir de jouer à nouveau avec un tel système, qui plus est ultra fiable.
Certes, vous n’utiliserez probablement pas les rapports numéro 1 ou 10, vu que les vitesses intermédiaires font largement l’affaire en ville compte tenu du rythme imposé par la circulation et l’environnement. Mais ce retour « à l’ancienne » fait plaisir à voir et à prendre en main. Sur ce point, c’est un grand oui. Et pour les côtes, il suffit de sélectionner l’un des rapports bas pour gravir le tout sans aucune difficulté, toujours à 25 km/h.
Le Sport+ se faufile-t-il bien entre les voitures ?
Si Paris est aujourd’hui une ville bourrée de pistes cyclables, toutes les agglomérations françaises n’ont pas encore cette chance. Dans ce cas, rouler sur la route et parfois se faufiler entre les voitures demeurent le quotidien de certains cyclistes. D’où la question de ce sous-titre, à laquelle nous répondons par un « oui ».
En rapetissant de 6 centimètres le guidon, Le Vélo Mad rend son Sport+ forcément plus passe-partout. Je me suis donc essayé à quelques virées sur route au milieu des automobilistes parisiens (ne reproduisez pas ça chez vous), sans rencontrer de grandes difficultés à remonter une file de voitures arrêtées à un feu rouge par exemple.
En termes de maniabilité, le Vélo+ ne souffre d’aucun défaut majeur. Il profite même d’un très bon rayon de braquage à faible vitesse. Quant à la stabilité, le seul point noir à relever apparaît lors de fortes rafales de vent. Pensez à bien maintenir votre guidon au risque de voir votre roue avant être un poil malmenée.
De bons pneus slick
Pour les pneus du Sport+, le Vélo Mad a opté pour les WTB Horizon qui ont la particularité d’accueillir une bande de roulement slick. Les pneus slicks ont l’avantage d’optimiser le rendement et les performances, mais le désavantage de perdre énormément d’adhérence sur sol mouillé.
Et c’est pour le coup le cas lors d’un freinage moyennement intense, où la roue arrière à tendance à chasser et vous faire perdre l’équilibre. Attention donc à votre conduite lors d’intempéries : la prudence est triplement de mise, et l’anticipation le maître-mot.
Sinon, le pneu absorbe correctement les aspérités de la route, mais ne remplace pas de véritables suspensions. À ce sujet, le Sport+ n’en possède pas. Entre ça, la selle et les poignées, l’équation n’est pas la plus optimale pour rendre vos trajets douillets. Sur pavé, attendez-vous à être secoués.
Des freins puissants et très progressifs
La sécurité d’un vélo est un élément essentiel lors d’un achat. Avoir de bons freins, c’est augmenter vos chances d’éviter un accident in extremis et de vous extraire de situations parfois délicates. Bonne nouvelle : les freins de ce Sport+ répondent parfaitement à ces attentes.
Le Sport+ profite de freins à disques hydrauliques signés Shimano — et de type Flatmount, qui facilite le montage de l’étrier — qui apporte un freinage à la fois puissant et très progressif. C’est terriblement agréable. Vous avez ici une configuration idéale pour vos trajets urbains.
Une autonomie honorable
Sur son site internet, Le Vélo Mad mentionne une batterie de 460 Wh, qui confère au Sport+ une autonomie moyenne de 80 kilomètres. Ici, la marque ne précise pas quel niveau d’assistance électrique est utilisé pour obtenir ce rayon d’action, d’où l’emploi du terme « moyenne ».
En l’absence d’application mobile et de données très précises, il a fallu enregistrer à la main chaque trajet effectué avec le vélo, puis additionner le nombre de kilomètres avalés. L’ensemble de mes itinéraires ont été réalisés avec l’assistance numéro 4, soit la plus puissante proposée par le cycle.
Avec, j’ai ainsi pu parcourir un total de 63,5 kilomètres avant de tomber en rade de batterie. Sur les 5 derniers kilomètres, la petite barre correspondant à l’autonomie restante s’est mise à clignoter pour m’avertir du manque d’énergie. À ce stade-là, le vélo est encore en mesure de vous fournir de la puissance, mais à une intensité beaucoup plus faible.
La fameuse barre d’autonomie présente sur votre écran de bord est quant à elle divisée en cinq petits segments. Chaque segment correspond donc en moyenne à 13,5 kilomètres d’autonomie. Cela peut vous donner une idée, si ce n’est une estimation, du nombre de kilomètres que vous pouvez encore parcourir selon le nombre de segments allumés.
Pour la recharge, la présence d’une batterie amovible peut s’avérer pratique pour recharger votre accumulateur d’à peu près n’importe où. Comptez un poil plus de 3h30 pour retrouver 100 % d’énergie et repartir sur les routes. Pour déloger la batterie, une simple clé doit être insérée dans un loquet prévu à cet effet.
Dans l’idée, l’autonomie du Sport+ est donc tout à fait satisfaisante. En face, un concurrent comme le Cowboy 3 ou Cowboy 4 monte jusqu’à 70 kilomètres. Dans les deux cas, cela permet de rejoindre un point A à un point B sans devoir généralement brancher votre batterie à la fin d’une journée. Évidemment, la fréquence des recharges dépend de la longueur de vos trajets quotidiens.
Prix et disponibilité du Vélo Mad Sport+
Le Vélo Mad Sport+ est disponible en précommandes (au samedi 22 mai 2021) au prix de 2290 euros, en taille 50 (pour les utilisateurs entre 169 à 179 centimètres) et 54 (pour les utilisateurs entre 180 à 190 centimètres). Un seul coloris est disponible : noir. L’ouverture des ventes interviendra en juillet 2021. Des lumières LED sont fournies avec le vélo.
Le Vélo Mad met également en vente une assurance facturée 189 euros, contre les dommages, la casse, le vol, le vandalisme, les décès et les invalidités, avec quelques conditions inhérentes à la première année d’utilisation. Pour les consulter, rendez-vous sur cette page.
Selon votre localisation, vous pouvez aussi profiter d’aides à l’achat qui grimpent parfois jusqu’à 500 euros. Une prime non négligeable qui peut faire chuter le Sport+ à 1790 euros. N’hésitez également à consulter notre dossier sur les meilleurs vélos électriques du moment.
le terme sport est il approprié ?
C'est bien que vous testiez des VAE en détaillant bien, mais ça manque très sérieusement de rigueur. 345 Wh de puissance indiqués début d'article (problème d'unité) pour poursuivre plus loin par un 250W (correspondant au maximum légal) : quel chiffre est le bon ? Ensuite, le sourcing des composants soi-disant "en circuit court". OK il y a de l'assemblage à Machecoul ce qui est très bien, mais on pourrait faire mieux. Du coup, vous pourriez apporter une plus value plutôt que simplement reprendre l'argumentaire du fabricant... Par exemple, des Hutchinson made in France existent sans coûter plus cher dans les mêmes dimensions. Au passage, parlons de la selle : renseignez-vous, il y a très peu de selles plus confortables qu'une B17 Brooks... mais il faut la faire à son séant, et ça prend quelques centaines de kilomètres. Vous semblez ne juger l'inconfort du vélo que sur ce critère, c'est très bancal. C'est historiquement LA selle des cyclistes au long cours, et c'est bien plus confortable qu'une selle rembourée ... une fois assouplie. Au final, quid du confort du cadre et de la fourche ? Cette dernière est sûrement en alu et bien raide (et inconfortable). Dernier détail : c'est une fausse idée de penser que des pneus lisses accrochent moins bien que des pneus à rainures profondes à vélo. C'est valable en auto, mais les surfaces de contacts et les vitesses n'ont rien à voir. Mais vous êtes sur la bonne voie, encore un effort :)
Ce contenu est bloqué car vous n'avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par Disqus.
Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l'usage étant opéré par Disqus avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l'amélioration des produits d'Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l'audience de ce site (en savoir plus)
En cliquant sur « J’accepte tout », vous consentez aux finalités susmentionnées pour l’ensemble des cookies et autres traceurs déposés par Humanoid et ses partenaires.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment. Pour plus d’informations, nous vous invitons à prendre connaissance de notre Politique cookies.
Gérer mes choix