Disponible au tarif de 39,99 euros, la Rival 3 entend bien conquérir le cœur des joueurs aux budgets les plus serrés, mais qui ne veulent pas faire de concessions sur les performances et fonctionnalités.
Les joueurs profiteront donc d’une souris légère, bien construite et équipée d’un capteur TrueMove Core une fois encore fourni par PixArt. L’ADN gaming n’en est pas oublié pour autant avec 3 zones d’éclairage RGB qui seront paramétrables grâce au pilote SteelSeries Engine.
Un design simple mais efficace
Visuellement, la Rival 3 reprend la forme de la Rival 110 qu’elle vient remplacer au sein de la gamme SteelSeries. Dotée d’une forme symétrique, elle reste néanmoins réservée aux seuls droitiers puisque les boutons d’action supplémentaires ne sont présents que sur sa tranche gauche.
Entièrement construite en plastique noir, elle propose ainsi un design tout à fait classique et plus simple que les autres modèles de la marque. S’il n’est pas aussi confortable qu’un revêtement type « peau de pêche » comme on peut trouver sur la Sensei Ten, le plastique dur qui compose le corps de la souris semble particulièrement résistant à l’épreuve du temps.
Une fois en main, le petit châssis de la souris se révèle finalement assez confortable. On ne la recommandera cependant pas aux joueurs avec de grandes mains qui devront se tourner vers des modèles plus imposants. En revanche, sa petite taille lui permet de conserver un poids maîtrisé de 77 grammes sans le câble non tressé d’environ 1,80 m, ce qui en fait l’une des souris les plus légères de la marque.
Les deux clics principaux sont ici séparés du corps de la souris pour apporter plus de réactivité, comme on le verra plus loin dans le test. Les deux boutons supplémentaires présents sur la tranche gauche tombent quant à eux parfaitement sous le pouce bien qu’ils se révèlent un peu mous à l’usage. Enfin, on dispose également d’un bouton situé derrière la molette pour basculer entre les profils de sensibilité.
Parlant de la molette justement, celle-ci propose des crans assez doux et suffisamment marqués pour ne pas faire d’erreurs. Son revêtement en caoutchouc texturé apporte quant à lui une bonne accroche. Si elle ne propose pas de clics latéraux, son clic principal est par contre très réactif et ne nécessite pas d’effort particulier.
N’oubliant pas son ADN gaming, la SteelSeries Rival 3 est équipée de 3 zones d’éclairage RGB paramétrables. Le cerclage présent à la base est ainsi divisé en 3 parties adressables qui créent un joli halo lumineux tout autour de la souris. Le logo de la marque prend quant à lui la couleur de la dernière zone paramétrable au sein du pilote SteelSeries Engine.
Pour finir, un rapide coup d’œil sous la souris nous laisse apercevoir son capteur TrueMove Core construit par PixArt ainsi que les 3 larges patins qui devraient assurer une excellente glisse à l’ensemble.
Des fonctionnalités complètes
Comme tous les périphériques de la marque, il faudra compter sur le pilote Steelseries Engine pour gérer tous les aspects de la Rival 3. L’application est disponible sur le site de SteelSeries et détecte automatiquement la souris une fois celle-ci connectée.
Tous les paramètres de la souris sont regroupés au sein d’une unique page qui nous laisse tout d’abord la possibilité de configurer à notre guise les 6 boutons qu’elle embarque. Chacun des boutons peut donc être remappé avec différentes fonctionnalités préconfigurées. Il est enfin possible d’enregistrer des actions rapides (macros) très simplement au sein du logiciel.
La partie droite est quant à elle dédiée aux performances de la Rival 3. L’outil nous permet de créer jusqu’à 5 niveaux de sensibilité différents que l’on peut incrémenter par palier de 100 CPI, jusqu’au maximum supporté par le capteur, soit 8500 CPI. Juste en dessous, on dispose de différents réglages liés au capteur où l’on peut choisir notamment la fréquence de polling, à savoir la fréquence à laquelle la souris communique avec le PC (que l’on vous recommande de laisser à 1000 Hz).
Au centre, un clic sur les différentes zones d’éclairage RGB permettra d’accéder au paramétrage de celles-ci. Comme souvent, on y trouvera pléthore d’effets et couleurs pour adapter le mulot aux goûts et couleurs de chacun. À noter d’ailleurs que ces effets lumineux peuvent être synchronisés entre les différents périphériques de la marque.
Tous ces réglages peuvent évidemment être enregistrés au sein de « configurations », listées sur la gauche de l’interface. L’idée est ici d’associer une configuration en fonction des jeux et applications. Il suffit alors de créer un nouveau profil, de l’associer à l’exécutif en question et de personnaliser la souris en fonction. La bascule entre les différents profils se fait alors automatiquement et de façon quasi instantanée.
Très simple à prendre en main, le SteelSeries Engine est l’une des références du marché en ce qui concerne les pilotes de périphériques pour joueurs. Il permet d’appréhender rapidement les possibilités offertes par la Rival 3 et de l’adapter sans mal à tous les cas de figure.
Les performances au rendez-vous
Si la mode est à l’explosion de la sensibilité des capteurs des souris pour joueurs, SteelSeries joue ici la carte de la simplicité avec un capteur optique TrueMove Core capable de monter jusqu’à « seulement » 8500 CPI de sensibilité. Une valeur bien en deçà des presque 18 000 CPI que certains capteurs atteignent, mais qui en a réellement besoin ?
À l’usage, ce capteur se révèle très convaincant avec une excellente accroche et aucun décrochage. La Rival 3 a ici été mise à l’épreuve sur le dernier Call Of Duty et permet d’enchaîner sans mal les éliminations à une sensibilité raisonnable de 800 CPI.
Seule sa distance de décrochage nous a semblé un peu élevée par rapport aux standards du marché. Entendez par là que la souris a tendance à continuer à capter les déplacements à une hauteur suffisamment haute pour que de petits mouvements non voulus soient retranscrits lorsque l’on replace la souris au centre du tapis notamment. Un point à prendre en compte, surtout si vous utilisez une faible sensibilité.
La Rival 3 est également très agréable en utilisation bureautique et pourra également être utile sur les logiciels de création grâce à ses différents boutons programmables.
Les deux clics principaux sont justement très réactifs et agréables à utiliser. Compliment qu’il est difficile de faire aux deux boutons latéraux qui sont quant à eux un peu mous et entachent quelque peu la réactivité de l’ensemble. Dommage.
À noter enfin que la légèreté de cette Rival 3, associée à ses patins de bonne qualité lui assurent une excellente glisse sur un tapis de souris tout ce qu’il y a de plus classique, en l’occurrence un SteelSeries QCK.
Prix et date de sortie
La SteelSeries Rival 3 est proposée à sa sortie au tarif très attractif de 39,99 euros. C’est d’ailleurs peut-être la plus belle surprise de ce nouveau modèle qui vient donc jouer sur un segment très concurrentiel. Vous pouvez notamment vous procurer la Rival 3 chez Amazon.
[…] comes to mind when we take the Aerox 3 Wireless out of its box. SteelSeries has indeed taken over the hull of his Rival 3, which itself was based on that of the Rival 110 and which was later used for the Rival 3 Wireless. […]
[…] vient en tête lorsque l’on sort l’Aerox 3 Wireless de sa boite. SteelSeries a en effet repris la coque de sa Rival 3, qui elle-même était basée sur celle de la Rival 110 et qui a ensuite été utilisée pour la […]
[…] L’application SteelSeries est très complète, permet même de configurer la fréquence de rafraîchissement du capteur en plus de sa sensibilité. La création de raccourcis, de profil est assez simple et bon point, une mémoire interne les stocke. En jouant sur une autre machine que la vôtre, vous retrouverez pourtant tous vos repères. Elle est proposée à moins de 40 euros, et vous pouvez en savoir plus dans notre test complet de la SteelSeries Rival 3. […]
[…] LightSync s’attaque à un marché très concurrentiel où elle devra notamment faire face à la Rival 3 de SteelSeries ou encore à la ROG Strix Impact II […]
[…] très concurrentiel en face de certains modèles très convaincants comme la SteelSeries Rival 3 que nous testions il y a quelques semaines. La question sera évidemment de savoir si la […]
[…] chassis and a truly ambidextrous design with buttons on each side. A feature not found on the SteelSeries Rival 3 that we’ve been testing […]
[…] des boutons présents de chaque côté. Une caractéristique que l’on ne retrouvait pas sur la Rival 3 de SteelSeries que nous testions […]
[…] des boutons présents de chaque côté. Une caractéristique que l’on ne retrouvait pas sur la Rival 3 de SteelSeries que nous testions […]
[…] thus accompanies wonderfully the new Rival 3 gaming mouse. If the latter has strongly convinced us, it is now necessary to check if the contract is also […]
[…] accompagne ainsi à merveille la nouvelle souris gamer Rival 3. Si cette dernière nous a fortement convaincus, il convient maintenant de vérifier si le contrat […]
[…] accompagne ainsi à merveille la nouvelle souris gamer Rival 3. Si cette dernière nous a fortement convaincus, il convient maintenant de vérifier si le contrat […]
Tiens... Encore une fausse souris ambidextre... Bon bah je vais encore rester sur ma Roccat Kova de 2009 alors... C'est dingue ça...
tu manges en jouant, ou tu joue en mangeant? il y a longtemps que le teflon ( qui est un nom commercial ) fait l'objet de normes drastique dans le domaine alimentaire. bon film 😂
Bonjour 👋 Si la PU94 de Lexip reste un produit innovant et intéressant, elle n'est pas comparable avec une souris pragmatique comme la Rival 3. Un constat aussi bien valable pour leurs fonctionnalités que pour leur placement tarifaire.
Autant acheter une lexipPU94 et elle est française en plus d'être innovante avec son joystick intégré . Quand je pense que je suis toujours avec souris gaming microsoft sidewinder et qui malgré mes crises de rage parfois à la frappé fortement contre mon bureau , elle fonctionne nickel ... Les patins en téflon pour en avoir déjà eu sur une logitech , bof . Sur ma microsoft c'est en plastique dur et inusable . ( vu que le teflon s'use , on doit en respirer des microparticules , surtout si on mange sur son bureau , je vous conseillerai de regarder le film " darkwater " de Todd HAYNES sur les effets de ce produit qu'on retrouve même dans les ustensiles de cuisine ... ) .
J'ai toujours eu du steelseries et jamais déçu :) donc sa note ne m'étonne pas :)
[…] Source Gaming – Frandroid […]
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