En savoir plus sur le Horwin SK3
Le marché des scooters électriques foisonne et les nouveautés n’ont pas manqué au cours des derniers mois. Le salon milanais de l’EICMA a d’ailleurs été l’occasion pour un bon nombre de constructeurs de dévoiler leurs nouveautés à venir, de NIU à VMoto en passant par Kawasaki pour les motos électriques.
L’entreprise chinoise Horwin y va également de sa petite annonce en révélant son Horwin SK3, imaginée au sein de son QG européen en Autriche. Ce scooter électrique aux lignes esthétiques relativement sportives se destine avant tout à la ville, mais ne se bride pas pour autant à 45 km/h tel un équivalent 50cc.
Seconde batterie optionnelle
Le Horwin SK3 appartient en effet à la catégorie des 125cc -- en équivalence -- et peut ainsi grimper à une vitesse maximale de 90 km/h grâce à sa puissance de 6,2 kW. De quoi emprunter quelques petites routes secondaires en périphérie des grandes villes, en cas de besoin.
Du côté de l’autonomie, le constructeur communique sur un chiffre de 80 kilomètres. Mais attention, cette mesure a été calculée à partir d’une vitesse de 45 km/h. Si vous vous déplacez principalement en ville à des vitesses réduites, alors ce rayon d’action pourrait largement être atteint.
Et pour les plus consommateurs, sachez qu’une seconde batterie optionnelle peut être installée pour ajouter 80 kilomètres d’autonomie supplémentaires. Pour la recharge, comptez environ 5 heures pour une session complète.
Un modèle 50cc en approche
Le Horwin SK3 se dote également de feux LED, d’un écran, d’un compartiment pour ranger un casque et d’un système CBS (Combined Brake System) qui actionne les freins avant et arrière simultanément au moment d’appuyer sur l’une des manettes de frein.
Au total, le deux-roues est décliné en trois coloris : bleu métallique, gris métallique et noir. Il sera disponible dans les magasins européens au début de l’année 2022, à un prix de 3990 euros, TVA incluse. Rapidement derrière, Horwin lancera le SK1, un équivalent 50cc du SK3. Son prix est encore inconnu à l’heure d’écrire ces lignes.