Qui est Voltaire ?
Voltaire est une entreprise française fondée par Grégoire Lieurade et Gabriel Ecalle en mars 2019. De cette nouvelle aventure entrepreneuriale est né un tout premier vélo électrique répondant au nom de… Voltaire. Après plusieurs mois de précommande, les livraisons débutent en avril 2021.
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Aujourd’hui, l’entreprise tricolore est composée de 12 employés. Elle mise bien évidemment sur l’engouement du vélo électrique dans les grandes villes pour poursuivre son développement. Son produit vendu 2390 euros vise les bourses relativement aisées, et souhaite « répondre aux exigences d’une utilisation urbaine quotidienne ».
Fiche technique
Modèle | Voltaire (2020) |
---|---|
Vitesse max | 25 km/h |
Puissance du moteur | 250 watts |
Autonomie annoncée | 80 km |
Temps de recharge annoncé | 150 min |
Batterie amovible | Oui |
Bluetooth | Oui |
GPS | Oui |
Écran | Oui |
Poids | 21,5 kg |
Couleur | Noir, Bleu, Vert |
Poids maximal supporté | 100 kg |
Phares | Oui |
Feu arrière | Oui |
Prix | 1 599 € |
Fiche produit |
Ce test a été réalisé à partir d’un modèle prêté par Voltaire.
Design
Tout en élégance
Pour son premier vélo électrique, Voltaire a opté pour un style dit « Hollandais ». Cette catégorie de cycle se destine avant tout à un usage urbain, et se distingue par une allure élancée, un long cadre et un guidon relativement surélevé. C’est un vélo de ville que l’on croise régulièrement depuis de nombreuses années déjà.
L’une des premières forces de ce vélo est son cadre ouvert : cette configuration est l’alliée parfaite pour enfourcher et descendre de sa monture avec facilité. Nul besoin de jouer l’acrobate en soulevant sa jambe à plus d’un mètre du sol. C’est très pratique au quotidien, pour les hommes comme pour les femmes.
La seconde force de ce modèle concerne la patte graphique appliquée par les équipes de Voltaire. Ce produit respire l’élégance et fait preuve d’une certaine classe, non sans profiter d’une petite touche vintage. Dans mon entourage, son style a clairement fait l’unanimité. Je fus aussi le premier conquis au moment de le découvrir.
Notre modèle d’essai se pare d’un coloris bleu nuit très flatteur pour la rétine. Les poignées et la selle de couleur marron apportent un contraste intéressant, alors que le guidon et la potence s’harmonisent avec les garde-boue la tige de selle dans un langage plus industriel. Dans l’ensemble, c’est une réussite.
Mention spéciale au guidon, sublimé par un écran parfaitement intégré (nous y reviendrons plus tard) et une sonnette Crane Bell Suzu fabriquée par le japonais Crane Bell. Cet élégant accessoire, conçu tout en finesse, arbore une cloche en laiton et produit un son suffisamment puissant et prolongé pour bien avertir les autres usagers de la route.
Les poignées, elles, s’octroient des surpiqûres qui apportent de la profondeur à son esthétisme. Clou du spectacle : un logo Voltaire gravé à l’avant de la colonne de direction vient compléter cette formule très convaincante, mais pas non plus parfaite.
En effet, quelques petits bémols viennent ternir la note du Voltaire, sans non plus la compromettre profondément. En premier lieu, les câbles avant auraient mérité un meilleur camouflage et un peu moins de longueur. L’un d’entre eux a droit à un cordon de protection, mais l’ensemble s’avère un poil disgracieux.
Pour chipoter, on peut également pointer du doigt les traces de soudures visibles sur les éléments venant se fixer sur le tube de selle. Mais là, on pinaille vraiment. Difficile également de rater la grosseur de ce fameux tube. Et en même temps, il faut bien caler la batterie quelque part.
Un confort correct, mais perfectible
Acheter un vélo électrique plus de 2000 euros peut légitimement susciter des attentes en matière de confort. Celui du Voltaire est convenable, sans être exceptionnel non plus. Difficile de se sentir sur un petit nuage douillet lorsqu’aucune suspension n’a été installée. Ni à l’avant, ni à l’arrière, ni sous la selle.
Il aurait en effet été intéressant d’opter pour une tige de selle suspendue, qui a le mérite de filtrer les faibles impacts et les vibrations sur les pavés, mais des problématiques évidentes de conception — la batterie se trouve juste sous la selle — ont sûrement eu raison de cette idée. C’est dommage, mais il faudra faire avec, ou plutôt sans.
Ne vous inquiétez pas pour autant : la selle en mousse haute densité et les Road Cruiser Plus Green Compound de Schwalbe sauvent quelque peu la mise. Vos virées sur les pavés ne seront certes pas très agréables, la vigilance sera de mise sur les nids de poule, mais pour le reste, cela fait l’affaire.
Composés de matières premières renouvelables et recyclées, les pneus bénéficient aussi d’une sous-couche de 3 mm d’épaisseur pour éviter au maximum les crevaisons. C’est toujours bon à prendre sur un vélo de 21,5 kilos, dont le poids impacte vos passages sur les irrégularités de la route.
Des équipements à la pelle
Côté équipements, le Voltaire ne se la joue pas Harpagon de l’Avare. Et encore heureux, à 2390 euros. Les longs garde-boue vous protégeront parfaitement des éclaboussures, la sonnette tombe parfaitement sous votre pouce gauche et la béquille centrale à double pied stabilise le vélo à merveille une fois garé.
En revanche, l’avant du cycle souffre d’un léger déséquilibre qui a tendance à faire pencher le guidon vers la gauche lorsque le vélo est assis sur sa béquille. Les premières fois, c’est assez déroutant : vous avez comme l’impression que le vélo va complètement basculer, voire limite tomber, avec l’élan du guidon. En roulant sans les mains (déconseillé), le constat est le même. Faites donc bien attention.
Le phare avant est quant à lui directement intégré dans la potence, bien qu’un poil haut pour éclairer une piste cyclable de nuit. Celui de l’arrière est quant à lui incorporé à la verticale sur le garde-boue arrière, et profite aussi et surtout d’un feu-stop qui s’allume au moment d’utiliser le frein arrière. Belle idée !
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Au niveau de la roue arrière, un antivol intégré permet de bloquer la roue en un tour de clé dans un loquet prévu à cet effet. Une couche de sécurité supplémentaire, et potentiellement de dissuasion, qui n’est pas pour nous déplaire.
En option, un panier et un rack avant de très bonne facture signés Pelago sont disponibles aux prix de 110 et 95 euros, respectivement.
Application et écran
Un écran épuré
Le Voltaire appartient à la catégorie des vélos électriques connectés. De ce fait, il profite d’une connectivité Bluetooth et d’une application mobile permettant d’appareiller son cycle à son téléphone. Un écran directement intégré dans la potence, comme déjà présenté ci-dessus, complète le tout.
Débutons par l’écran. S’il est éteint, c’est que le vélo électrique l’est aussi. Il est impératif que cette petite dalle soit allumée pour faire fonctionner les systèmes électriques de l’engin. Il existe deux manières de l’allumer : via l’application mobile, ou avec un badge NFC fourni par l’entreprise.
Il suffit de passer le badge sur l’icône Wi-Fi — qui est placé juste en dessous de l’écran — pour activer le vélo (et inversement pour l’éteindre). En à peine une seconde, le tour est joué. Sachez que l’écran n’est pas tactile : il fait donc office de support informatif, et non interactif. Une seule fenêtre d’affichage est également au programme.
Sur cette fenêtre, vous retrouverez votre vitesse, le mode d’assistance utilisé, l’autonomie restante sous forme de barre de chargement, le kilométrage et enfin, et pas des moindres, l’heure. Cela pourrait paraître anodin, mais peu de vélo connecté daigne afficher l’heure de la journée. C’est ici, à titre subjectif, un vrai plus et un ajout utile.
En revanche, on aurait apprécié un bouton physique ou tactile pour directement gérer le mode d’assistance ou l’allumage des phares. Ces actions dépendent de l’application mobile. Si vous n’avez plus de batterie dans votre téléphone, bonne chance pour changer de mode — même si, généralement, cela arrivera rarement — et gérer vos feux.
Nous ne le répéterons jamais assez : un vélo électrique connecté trop dépendant d’une application peut rapidement faire ressurgir quelques limites.
Une application à peaufiner
De son côté, l’application se montre plus fournie. Si vous souhaitez allumer votre vélo depuis l’app’, il faut déjà qu’elle vous géolocalise à proximité de votre modèle. D’une manière générale, le système de localisation manque de précision et a eu tendance à me déplacer sur la carte. J’étais pourtant immobile.
Il suffit ensuite d’appuyer environ deux secondes sur l’icône d’allumage. À partir de cette étape, vous tomberez sur un écran d’accueil relativement épuré. En haut à gauche, une vignette affiche le pourcentage de batterie restant, le nombre total de kilomètres parcourus et la distance de votre dernier trajet.
Problème : la distance affichée correspond à celle du kilométrage global. Au moment d’écrire ces lignes, l’application tend à me flatter avec un dernier itinéraire… long de 161 kilomètres, contre 5,7 kilomètres en réalité. Ce n’est rien de bien grave, mais les équipes de Voltaire doivent encore peaufiner leur expérience logicielle.
À gauche du bouton d’allumage, une fonction « phare » vous permet de gérer l’intensité lumineuse de votre feu avant. Pourquoi pas, c’est suffisamment rare pour le souligner. À droite du bouton d’allumage, un onglet fait apparaître les modes d’assistance électrique : VIF, ÉCO ou MECA (aucune assistance).
En haut à droite, un autre bouton vous donne accès aux statistiques de navigation, à la réinitialisation de votre géolocalisation et de votre kilométrage ainsi qu’au mode Transport. Ce mode intervient lorsque le vélo est éteint : il évite que celui-ci ne produise un bip sonore en cas de déplacement.
Car Voltaire a aussi renforcé la sécurité du vélo via la partie logicielle : dès que le vélo bouge, il sonne et vous envoie une notification mobile pour vous prévenir d’un potentiel vol ou déplacement suspect. L’alarme n’est peut-être pas la plus bruyante et la plus dissuasive, mais elle a le mérite d’exister. À court terme, Voltaire va apporter des améliorations à l’ensemble de son système, nous a confié Grégoire Lieurade.
« Nous sommes en train de développer le FOTA (Firmware Over-The-Air, ndlr) qui sera ‘uploader’ sur tous nos vélos à partir de l’automne. Nous travaillons aussi sur de nouveaux modes d’assistance, ainsi qu’une amélioration de l’app », expose l’intéressé.
Je tiens enfin à signaler un léger bug système rencontré pendant mon essai. Après avoir basculé du mode VIF au mode ÉCO en allant à mon lieu de travail le matin, il m’eût été impossible d’activer le vélo depuis l’application, le soir, au moment de rentrer à mon domicile. En clair : je suis resté bloqué sur le mode ÉCO, que je voulais pourtant enlever.
Le badge NFC fonctionnait correctement, certes, mais il était obligatoire d’utiliser l’application pour switcher d’un mode à un autre. La fermeture forcée de l’app’ et la désactivation de mon Bluetooth n’y ont rien changé. Dans ce cas, la solution est relativement simple : redémarrez votre téléphone. D’où l’idée d’un bouton physique permettant de changer de mode : dans ce genre de cas, il m’aurait été utile.
Voltaire nous a cependant assuré que leur serveur « responsable de l’authentification client a cessé de fonctionner » durant un court laps de temps. D’où ce bug système. C’est la première que ce type d’anomalie survient depuis le lancement en production du logiciel.
Conduite
Quand on arrive en ville
Si vous avez lu le test jusqu’ici, vous aurez sans doute compris que le Voltaire est avant tout un vélo fait pour la ville. Ne tentez pas de vous aventurer avec sur des sentiers battus ou autres chemins en pleine forêt, à moins que vous aimiez le risque et les expériences singulières.
Il n’est pas non plus question de conduite sportive où votre corps bascule naturellement vers l’avant. Ici, vous allez privilégier une tenue de conduite bien droite, avec une bonne visibilité sur vos alentours. Sachez aussi que le vélo est adapté aux utilisateurs mesurant entre 155 et 180 centimètres. En dehors de ces limites, il est recommandé de le tester avant de l’acheter.
Le Voltaire a-t-il sa place dans un petit appartement ? Pas vraiment, compte tenu de sa mine très élancée. Les meilleures solutions pour le garer restent un local à vélo sécurisé, un jardin ou un salon suffisamment spacieux (c’est mon cas). Mais pour cela, il vous faut un grand ascenseur pour le monter dans les étages.
Dans les tout petits ascenseurs parisiens, la tâche s’avère très délicate, si ce n’est impossible. Dans un ascenseur plus grand, il vous suffira de soulever la roue avant pour faire basculer le vélo sur sa roue arrière. C’est faisable, bien que l’avant du vélo se montre relativement lourd à porter.
La panoplie d’accessoires de sécurité peut vous pousser à le laisser dormir dehors en cas de force majeure. À vos risques et périls, mais c’est jouable.
Une assistance électrique au poil
Nous voilà dans le vif du sujet. Le comportement électrique du Voltaire… qui s’avère tout bonnement excellent. Pour son moteur, les équipes de la marque ont fait appel à Mivice, notamment spécialisée dans la conception de moteurs ou de batteries. Les deux partenaires ont commencé à travailler ensemble en 2019.
Main dans la main, le duo a alors développé un nouveau moteur spécialement conçu pour le Voltaire. « Nous avons énormément bossé le software, ce qui permet d’avoir cet accompagnement “smooth” », nous précise Grégoire Lieurade. Ce côté smooth, justement, est l’un des éléments clés du vélo.
C’est simple : au moment de pédaler, un véritable sentiment de puissance surgit. Mais tout en douceur. En clair, vous n’avez aucun à-coup brutal provoqué par l’assistance électrique. Ce rapport puissance/douceur extrêmement bien maîtrisé me rappelle celui des Cowboy, mais dans un style un poil moins sportif.
Pour en arriver là, Voltaire a installé un capteur de couple : la puissance est alors envoyée selon la force que vous mettez dans vos pédales. Ce capteur est à la fois réactif et précis, et a pour avantage de répondre instantanément à vos besoins du moment. Pour s’extirper d’une situation délicate ou doubler un autre cycliste sur une piste étroite, c’est un allié idéal.
En plus de ça, les 25 km/h sont atteints en quelques coups de pédales. Vous avez affaire ici à une solution clé en main : vous montez sur votre vélo, et vous pédalez. Aucun rapport de vitesse n’est disponible sur ce deux-roues, et c’est bien volontaire de la part de Voltaire. Pour les démarrages en côte, il faudra légèrement forcer, mais c’est tout à fait supportable. Pour les reprises, le système remplit bien son rôle.
Toutes ces explications concernent surtout le mode VIF. Pour le mode ECO, le fonctionnement du système reste le même. Dites-vous seulement que l’assistance électrique est légèrement moins puissante. Ici, elle ne se limite pas à 15 km/h comme sur beaucoup d’autres vélos, mais vous propulse jusqu’à 25 km/h, avec moins de force.
Pour aller plus loin
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En plus du moteur de 250 W placé sur le moyeu arrière, le Voltaire se paye une transmission à courroie qui a donc l’avantage d’être moins salissante, de demander moins d’entretien et de ne jamais dérailler. Cela reste avantageux comparé à une chaîne classique.
Des freins rassurants
Le Voltaire embarque à son bord des freins à disque hydrauliques signés Tektro qui répondent présent dans la majorité des situations du quotidien. Mordant, mais progressif, le freinage permet de s’arrêter ou ralentir de manière urgente lorsque cela est nécessaire.
Attention peut-être à ne pas serrer trop fortement les poignées de frein, au risque de bloquer la roue. Cela m’est arrivé à quelques reprises. Mais dans l’ensemble, les phases de freinage ne m’ont jamais posé problème durant mes trajets. Mission réussie.
Autonomie et recharge
Une autonomie bonne, mais un peu juste
Sur son site Internet, Voltaire revendique une autonomie oscillant entre 50 et 80 kilomètres. Il faut ici comprendre que le mode ÉCO est pris en compte dans le calcul et correspond donc à la valeur la plus haute, a contrario du mode VIF qui s’octroie la valeur la plus basse. Soyons honnêtes : 99 % du temps, vous utiliserez le mode VIF.
Prévoyez donc un rayon d’action qui tourne davantage autour des 50 kilomètres. Dans mon cas — 176 cm et 63 kilos –, mes sorties m’ont permis d’atteindre une autonomie d’un peu plus de 46 kilomètres. D’après mes calculs, 10 % d’énergie correspondent environ à 4,5 kilomètres. S’il vous reste 20 %, vous pourrez donc encore rouler 9 kilomètres.
C’est ici une donnée importante, puisque ni l’écran ni l’application ne vous donne de chiffre numérique quant à l’autonomie restante. Mais seulement un pourcentage peu parlant. À l’avenir, Voltaire compte affiner sa technologie pour que la batterie leur transmette un % restant plus précis, nous a-t-on expliqué.
Cette autonomie d’à peine 50 kilomètres est-elle suffisante pour un vélo électrique de ville vendu 2390 euros ? À nos yeux, c’est un peu juste. Certains concurrents poussent jusqu’à 70 kilomètres à un prix relativement similaire, si ce n’est inférieur.
Certes, le Voltaire se destine à un environnement urbain, mais il n’est pas rare de se déplacer de la banlieue au centre-ville, et inversement, pour des trajets de 10 kilomètres ou plus à l’aller comme au retour. Au final, la limite des 50 kilomètres peut rapidement être atteinte, vous poussant à le recharger au moins 2 fois par semaine selon votre usage.
D’ailleurs, il suffit d’effectuer un détour après une journée de travail, pour, au pif, avaler une petite mousse, pour rouler 10 kilomètres de plus. Bref, vous l’aurez compris : on n’aurait clairement pas dit non pour 20 kilomètres d’autonomie supplémentaires.
Une recharge pratique et rapide
La recharge, quant à elle, se montre rapide : comptez 2h30 environ pour recharger la batterie de 360 Wh. Vous pouvez soit la brancher directement dans le tube de selle, soit la sortir de son emplacement — en soulevant la selle — pour la garder près de vous.
La batterie profite par ailleurs d’une sécurité matérialisée par un petit bouton placé tout en bas du tube de selle : si le bouton est enfoncé, alors la batterie est bloquée et sécurisée. S’il ressort — une clé est prévue pour –, alors elle peut être extraite. C’est simple, pratique et efficace.
Prix et disponibilité
Le vélo électrique Voltaire est disponible sur le site officiel de la marque au prix de 2390 euros et chez divers partenaires le proposant dans leur boutique physique. Au total, dix stores le mettent en vente, localisés à Paris, Biarritz, Deauville et Bordeaux. Pour les adresses et les horaires, rendez-vous sur cette page.
Le Voltaire n’a pas d’assurance incluse : il faut pour cela débourser la somme de 270 euros, valable pour deux années de couverture (plus d’informations sur cette page). Bonne nouvelle : la marque assure le SAV grâce à une garantie de 2 ans. Le moindre problème est pris en charge par Voltaire dans la journée.
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Vélo électrique : tout savoir sur la nouvelle prime à la conversion
Pour faire baisser la note, de nombreuses primes à l’achat pour un vélo électrique existent en France : n’hésitez pas à consulter notre dossier qui les récapitule région par région.
[…] Bikes confirment la dimension sportive du vélo. Il est moins confortable qu’un vélo comme le Voltaire Courcelles ou le Cowboy 4 ST, en particulier sur les longs trajets. En contrepartie, le vélo est dynamique, […]
[…] mais font un petit peu cheap par rapport à d’autres surpiqûres croisées ailleurs (cf le Voltaire). Elles semblent en effet […]
Et combien d'ampères-heures (Ah) la batterie? Et combien de volts dans le moteur? 360Wh ça nous donne une batterie de 10Ah si on a un moteur de 36v.....
"Test du vélo électrique Voltaire : classe, puissant, fiable" Vous évaluez la fiabilité d'un vélo sur moins de 200km ??? Nous n'avons clairement pas les mêmes critères.
2390€ pour ce vélo c'est BEAUCOUP, mais alors BEAUCOUP trop cher. On voit que vous manquez d'expérience sur les vélos électriques dans vos tests pour ne pas le mettre en carton rouge direct. Le vélo ne possède aucun atout confort particulier. La selle est rudimentaire. Il n'y a pas de vitesses (ou de boitier type nuvinci, le top pour ce genre d'usage) donc pénible au quotidien au moindre arrêt en côte (le blabla commercial ne marche pas). Pas de fonctionnalité particulière comme l'offre Bosch avec les Cobi (qui permettent d'avoir un vrai et beau GPS sur son vélo). L'autonomie de 360Wh le réservera uniquement à la ville et la forme de la batterie obligera l'usager à acheter une batterie de rechange à la marque (qui peut couler d'ici là). Vraiment, je ne comprends pas la tarification.
Il serait judicieux de travailler le confort une priorité sur ce genre de vélo car les routes défoncées en France!!!on connait!!!! alors nos petit culs et nos reins n'ont pas finis de souffrir
Et si vous tombez par terre, ce sera de sa faute ^^
[…] Lire la suite […]
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Le sav de deux ans est la garantie légale sur tous les biens vendus, rien de particulier à Voltaire.
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