Avec son Cargo Verso, Toyota tient peut-être la meilleure alternative à l’automobile en centre-ville

 
Moins cher et plus pratique en centre-ville qu’une voiture, le vélo cargo électrique a de beaux jours devant lui. La preuve avec le Toyota Cargo Verso, qui ne craint pas la comparaison avec la bonne vieille automobile individuelle.
Le Toyota Cargo Verso // Source : Denis Meunier pour Toyota

Transporter ses enfants à l’école, faire ses courses de la semaine dans un supermarché, passer à la déchetterie… Longtemps, la voiture individuelle s’est positionnée comme le véhicule par défaut des particuliers. En 2024, les choses ont changé. D’un côté, les centres-villes sont de plus en plus hostiles à la voiture individuelle, et de l’autre, les alternatives se peaufinent.

C’est le cas du vélo cargo, en passe de devenir la solution de mobilité urbaine et utilitaire la plus adaptée pour les urbains. Pour répondre à ces nouveaux besoins, Toyota, en partenariat avec le fabricant français Douze Cycles, lance son premier vélo cargo électrique : le Cargo Verso. Disponible à la LOA (49 mois) à partir de 79 euros par mois, la nouvelle solution de mobilité Toyota a tous les atouts pour remplacer la voiture.

Une immense caisse pour tout transporter

Cent kilos : c’est la charge maximale supportée par le Toyota Cargo Verso, et c’est sans compter le poids du conducteur. Un poids important que vous pouvez répartir sur un long plateau de 85 cm. De quoi transporter des charges très lourdes et volumineuses, comme du matériel de bricolage, du gros électroménager, de l’ameublement ou des courses alimentaires. Toyota permet toutefois d’utiliser son Cargo Verso dans des configurations différentes, offrant encore plus de flexibilité pour les particuliers.

Le Cargo Verso, avec et sans Wide Box // Source : Denis Meunier pour Toyota

En option, il est possible d’acquérir une grande caisse de stockage — la Wide Box –, à fixer sur le plateau, avec une capacité de 270 litres et un couvercle. C’est tout simplement un volume équivalent aux coffres des petites voitures citadines. De quoi transporter vos courses alimentaires sans risquer qu’elles ne tombent au moindre virage. Dans cette même caisse, Toyota vous permet également d’installer deux sièges enfants, avec ceintures, et même une canopy — une protection transparente — pour les protéger des intempéries et du vent.

Enfin, le Toyota Cargo Verso est équipé d’un porte-bagages arrière pour porter des charges supplémentaires, ou y positionner un siège pour enfant lorsque l’espace à l’avant du vélo est déjà affairé.

Un vélo qui n’est pas réservé aux cyclistes

Rassurez-vous, vous n’avez pas besoin d’avoir les mollets d’un coureur du Tour de France pour piloter le vélo Cargo Verso de Toyota. Il est équipé d’un moteur Yamaha PW-X3 garantissant un couple maximal de 85 Nm. Une puissance élevée, mais nécessaire pour entraîner le poids du vélo afin de garantir le confort et la sécurité au conducteur.

Vous pouvez ainsi mener le vélo sans effort ni risque de tomber à vitesse réduite, et ce pour une longue distance. Le moteur est alimenté par une grande batterie de 500 watts, offrant jusqu’à 100 km d’autonomie. Celle-ci a l’avantage d’être amovible, pour faciliter la recharge à son domicile ou à son bureau en laissant le vélo à l’extérieur.

Denis Meunier pour Toyota

Pour garantir un confort d’utilisation à toute épreuve, Toyota a été généreux sur l’équipement de son vélo biporteur. Il est équipé d’une fourche suspendue à l’avant (course de 80 mm), d’un afficheur Yamaha pour contrôler le moteur, d’éclairages avant et arrière, d’une sonnette Knog et d’une béquille centrale pour maintenir debout le vélo à l’arrêt. Enfin, le constructeur a choisi une transmission Shimano Cues (1×10) et des freins hydrauliques Tektro pour finir d’équiper son deux-roues. Ce sont des composants haut de gamme de grandes marques et qui ont déjà fait leur preuve.

Une conception française

Toyota n’est pas parti d’une feuille blanche pour concevoir son vélo cargo. Le fabricant japonais s’est associé à une marque française : Douze Cycles. Non seulement la marque conçoit et assemble ses vélos en France (en Côte-d’Or), mais elle fait également appel à des fournisseurs français pour la production des cadres. Ils sont conçus en aluminium recyclé, et moulés d’un seul bloc pour éviter les soudures disgracieuses.

L’un des ateliers de Douze Cycles // Source : Toyota

Fort de son expérience en la matière, Douze Cycles a par ailleurs développé des caractéristiques innovantes pour son vélo cargo. L’avant et l’arrière du vélo peuvent être séparés en deux parties, afin de le rendre plus facilement transportable pour l’emmener en vacances par exemple. Le fabricant a aussi conçu le vélo pour faciliter sa réparation. Le système de direction est simplement accessible sous le vélo, tandis que les câbles intégrés ne sont dissimulés que par des caches amovibles. Le bouclard vous remerciera.

La force du réseau Toyota

Toyota, c’est aussi un large réseau de concessions. Plus de 270 emplacements physiques répartis en France, dans lesquels vous pouvez essayer le vélo et même le faire entretenir, tous les 1 500 km environ. Un logiciel existe même pour ne manquer aucun point de contrôle lors de la révision par les techniciens. Reste que la plupart des petits contrôles du quotidien sont simples à réaliser soi-même (contrôle de la pression des pneus, lubrification de la chaîne…).

Constructeur automobile oblige, Toyota permet d’acquérir son Toyota Cargo Verso par le biais d’une LOA (location avec option d’achat), avec un premier loyer de 1000 euros, puis 48 loyers de 79 euros.

Il est également possible de l’acheter comptant, à partir de 5 390 euros après remise immédiate de 800 euros valable jusqu’au 29 août. Un prix que vous pouvez faire baisser grâce aux différentes aides proposées par les agglomérations, les régions, et l’État. Elles peuvent atteindre les 2000 euros, selon vos ressources.

Vous pouvez réserver un essai du Toyota Cargo Verso en concession depuis une simple demande réalisée en ligne.