Actuellement, trois opérateurs que sont Lime, Dott et Tier – en sachant que Dott et Tier ont récemment fusionné pour devenir un géant de la mobilité partagée – exploitent leur flotte de vélos électriques disponibles en libre-service à Paris. Un paysage qui devrait évoluer en 2025, puisque la mairie a lancé en juin dernier un nouvel appel d’offres qui sélectionnera trois nouveaux candidats pour une durée de contrat de 4 ans.
Parmi les postulants se trouve une entreprise française nommée Pony. Cela fait déjà plusieurs années que Pony est implantée un peu partout en France – d’Angers, sa ville d’origine, à Bordeaux en passant par Tours -, avec un modèle participatif bien particulier : il est possible d’acheter un vélo Pony, de le mettre en partage, et de récupérer une partie des gains générés à chaque trajet pour à terme, amortir son achat.
Biplace et fabriqué en Europe
Pas besoin d’être électricien pour récupérer et stocker l’énergie solaire. Le Hyper 2000 de Zendure est une solution Plug & Play très simple à installer chez soi… et capable de générer jusqu’à 600 euros d’électricité par an !
Pony fait donc partie des opérateurs prêts à partir à la conquête de la Ville lumière. Sa force de proposition ? Un vélo électrique biplace, capable de transporter un passager à l’arrière, que ce soit un adulte ou un enfant à partir de 6 ans, apprend-on sur les antennes de BFM Business. Un guidon directionnel et des cale-pieds ont ainsi été installés pour que le passager puisse se tenir comme il se doit.
Ce vélo familial est l’argument phare de Pony pour séduire la Mairie. Il a en effet l’avantage de transporter deux fois plus de personnes qu’un vélo électrique classique. Mais il est aussi Français, aussi bien de par son origine que de son lieu de fabrication : en effet, la production se tiendra entièrement en Europe et en Hexagone à partir de 2025.
Un partenaire logistique à chaque lancement
Si Pony l’emporte, il sera alors en mesure de déployer 6000 vélos électriques deux places en libre-service. À chaque nouvelle ville investie, la société ouvre un atelier de maintenance et travaille avec des partenaires logistiques – comme La Poste, par exemple – pour externaliser la maintenance notamment. Il est en effet important que les flottes soient opérationnelles, en bon état et sûres pour les utilisateurs.
Pony peut aussi compter sur sa récente levée de fonds de 23 millions d’euros – s’il vous plaît – bouclée en septembre dernier. Un bon moyen de rassurer des équipes politiques, qui pourraient être séduites par un tel projet français. La date à laquelle la mairie de Paris doit donner son verdict n’est pas encore connue.
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