5 choses à savoir avant d’acheter une voiture électrique : l’exemple de la Citroën ë-C4

 
Il ne fait plus aucun doute aujourd’hui, la voiture du futur sera électrique. La révolution est en marche, apportant de nouveaux concepts, ce qui peut intimider certains automobilistes. La voiture 100 % électrique n’est pourtant plus réservée à un club fermé d’automobilistes initiés et très aisés. On vous propose donc de démystifier 5 des caractéristiques principales des voitures électriques.

Puissance, autonomie, recharge ou encore coût d’entretien deviennent autant de questions quand on envisage d’acheter un véhicule électrique. Retour sur les principales caractéristiques de la voiture électrique, en prenant pour exemple la nouvelle Citroën ë-C4.

1 – La puissance maximum au quart de tour

Les voitures électriques sont réputées offrir un très bon agrément de conduite, mais ça ne transparaît pas toujours aux yeux des profanes à la vue des fiches techniques ou des lignes extérieures. Pourquoi les voitures électriques sont-elles plus agiles qu’une voiture thermique de même puissance ?

Le moteur d’une Citroën ë-C4 par exemple développe 100 kilowatts, soit 136 chevaux, une puissance qui peut sembler correcte quand on la compare à celle des voitures thermiques, mais sans plus. La différence, c’est que ce moteur délivre la puissance sur une plage de régimes beaucoup plus étendue qu’un moteur thermique, et surtout le couple maximal est disponible instantanément.

Autrement dit, il n’est pas nécessaire de monter dans les tours pour exploiter tout le potentiel du moteur. Concrètement, une voiture électrique comme la ë-C4 démarre littéralement au quart de tour, en plus d’offrir des reprises étonnantes.

C’est aussi ce qui explique que la majorité des voitures électriques n’ont qu’un seul rapport de vitesse, ce qui leur permet d’accélérer et de décélérer sans le moindre à-coup, pour une conduite parfaitement fluide. Autre effet collatéral avantageux d’une voiture électrique : la batterie généralement positionnée sous le plancher, comme avec la Citroën, abaisse le centre de gravité et leur confère une très bonne tenue de route.

2 – Autonomie : des voitures parfaitement adaptées aux déplacements urbains

Les voitures 100 % électriques sont encore loin d’intéresser les « go fast » et autres gros rouleurs qui traversent le pays à vitesse de croisière élevée. Pour autant, elles ne sont plus cantonnées au rôle de voiture d’appoint. Désormais, certaines voitures électriques peuvent effectivement couvrir tous les besoins de certains foyers, pour leurs déplacements urbains ou périurbains quotidiens, et pour quelques voyages occasionnels.

La Citroën ë-C4 // Source : Citroën France

C’est le cas de la Citroën ë-C4, dont la batterie de 50 kWh lui confère une autonomie de 350 km selon la norme européenne WLTP. Sur autoroute elle est plutôt de l’ordre de 200 km, ce qui coïncide à peu près avec la pause « réglementaire » toutes les 2 heures. En faisant coïncider ses pauses pipi, pauses café et pauses déjeuner avec les recharges, on peut ainsi traverser la France pas tellement moins vite qu’en thermique.

Surtout, Citroën propose sur la page de présentation de la ë-C4 un simulateur d’autonomie tenant compte du type de conduite (calme, normale ou dynamique), de la vitesse, de la température extérieure et de l’utilisation ou non de la climatisation ou du chauffage. D’ailleurs, contrairement à une idée reçue, l’influence de ces derniers est assez négligeable.

3 – Recharge : 30 minutes suffisent pour atteindre les 80 % de batterie

La recharge a longtemps été le principal obstacle à la mobilité électrique. Mais la plupart des réserves ont été levées ou sont sur le point de l’être.

Pour commencer, la majorité des nouvelles voitures électriques bénéficient de la recharge rapide. En l’occurrence, la Citroën ë-C4 se recharge en pointe à 100 kW, de telle sorte que la batterie peut passer de 10 à 80 % de charge en environ 30 minutes.

Et si jusqu’à récemment les chargeurs rapides manquaient ou faisaient défaut le long de certaines autoroutes françaises, le gouvernement français a annoncé au mois de février que les stations de recharge rapide se multiplieraient rapidement. L’État a effectivement lancé un plan qui devrait mener à ce que la totalité des 440 aires de service du réseau autoroutier soit équipée d’au moins 2 bornes d’au moins 150 kW d’ici 2 ans. En attendant, les principaux axes sont déjà bien couverts, notamment par le réseau Ionity.

Pour ce qui est des trajets du quotidien, les Français résidents dans des immeubles peuvent faire valoir, sauf exception, leur droit à la prise. La plupart des constructeurs, dont Citroën, proposent d’accompagner les clients résidents en maison individuelle. À défaut de parking, on trouve de plus en plus de bornes de recharge publiques, qui sont même gratuites dans certaines villes. La recharge complète d’une ë-C4 dure 5 à 24 heures selon la prise, mais on a rarement besoin d’une recharge complète au quotidien.

Citroën propose ici aussi un simulateur de temps de charge, ainsi qu’une carte des bornes, sur la page de présentation de la ë-C4. Les acheteurs potentiels peuvent également simuler de longs trajets sur un service indépendant comme A Better Routeplanner (ABRP). Citroën propose à ses clients le service maison Free2Move, qui donne accès à une application de planification d’itinéraires ainsi qu’à un badge de paiement.

4 – Connectivité : une longueur d’avance sur le thermique

Résolument modernes, la majorité des voitures électroniques sont connectées. C’est-à-dire qu’elles embarquent un modem et proposent une application mobile offrant diverses fonctions.

L’application My Citroën par exemple permet de consulter l’état de sa ë-C4 : niveau de charge, localisation, journal de bord, etc. Elle permet aussi de suivre l’avancée d’une recharge, ce qui est très pratique lors d’une pause sur l’autoroute, ou de programmer les recharges à domicile, afin qu’elles s’effectuent le cas échéant au tarif heures creuses. Surtout, elle permet de réchauffer ou de refroidir l’habitacle avant un départ, afin que la climatisation ou le chauffage s’alimentent depuis le réseau électrique, plutôt que depuis la batterie. Un gain de confort en plus d’un gain d’autonomie !

5 – Coût : elles sont plus rentables que les voitures thermiques

Bardées de technologies dernier cri, les voitures électriques peuvent paraître beaucoup plus chères que leurs équivalents thermiques. En réalité, elles sont plus rentables, pour diverses raisons.

D’abord, l’État subventionne la transition écologique avec un bonus écologique atteignant 7 000 euros pour les voitures vendues moins de 45 000 euros. La ë-C4 électrique coûte ainsi de 700 euros de moins à 1 700 euros de plus que la C4 équivalente en thermique, après déduction du bonus. Les prix bonus déduits démarrent à moins de 30 000 euros puisqu’ils s’échelonnent de 28 600 euros pour une ë-C4 Feel à 31 800 euros pour une ë-C4 Shine Pack, équipée notamment du convaincant pilote automatique Highway Driver Assist.

En plus de ces prix très raisonnables pour une berline compacte neuve, il faut savoir qu’une voiture 100 % électrique est beaucoup plus économique à l’usage qu’une thermique équivalente. Si les recharges rapides sur autoroute, occasionnelles, sont parfois plus coûteuses au kilomètre que l’essence ou le gasoil, les recharges à domicile sont quant à elles 2 à 10 fois moins chères ! Enfin, les voitures électriques sollicitent très peu leurs freins grâce au freinage régénératif et nécessitent très peu d’entretien.

En somme, une voiture 100 % électrique comme la Citroën ë-C4 est un choix aussi plaisant que judicieux pour de nombreux automobilistes. Rendez-vous sur le site internet de Citroën pour la configurer ou l’essayer.

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